Je m'appelle jul, j'ai 18 ans, une croissance trop rapide, brun, les yeux noisette. Les cheveux courts, très souriant, j'ai toujours un beau petit succès avec la gente féminine. J'aime séduire, comme être séduit.
Michel avait 45 ans. Il m'avait vu grandir. Il vivait en face de chez mes parents.Tranquille dans sa belle propriété, les enfants étaient partis depuis longtemps, sa femme morte depuis 3 ans d'un cancer l'amenait à se défouler dans son jardin. il s'en donnait à coeur joie, et d'année en année, je pouvais voir le résultat de cette activité physique. Des muscles saillants, des épaules qui s'élargissent, des abdos qui se dessinent, des fesses qui se développent. Bref, un mec mature, musclés, doté depuis peu d'une barbe poivre et sel. Le grand père rêvé.
Je le regardais depuis ma fenêtre du 1ier étage. J'avais juste la fenêtre qui donne sur sa parcelle. C'était plaisir total de le matter. De le voir tondre son gazon, coupé ses rosiers, tailler ses haies. Le soleil et la chaleur du sud, le mettait dès le preintemps en forte transpiration. Il n'hésitaient pas à enlèver ses tee shirt et ses marcels pour être plus à l'aise. J'en profitais un maximum du haut de mon premier étage.
Le connaissant depuis toujours, forcement on se saluait d'un hochement de tête. Parfois la fênetre ouverte, avec ma musique dans la chambre, je lançais un: "- Salut Michel !" et j'avais un superbe sourire en échange. Des banalités échangés, comme un oncle adoré, un grand père d'adoption, notre complicité était de plus en plus forte. Je pense qu'il avait compris mon petit manège et son sourire n'enquanailla d'un regard malicieux.
Ce printemps là, Nîmes avait connue des grosses chaleurs pas possible, et Michel passait d'autant plus de temps à jardiner. IL fallait sans cesse aroser les plantes, tondre les plantes qui poussaient outre mesure vue leur trop plein de sèves. Henri se faisait un plaisir à s'occupere de son petit coin de paradis. Le torse velu, tout poil à l'air en plein soleil, son corps prenait vraiment belle allure.
Chez moi aussi, ce printemps me mettait en émoi. J'avais grandi trop vite. Je sentais de nouvelle formes se dessiner. J'avais une barbe naissante et ma voix se transforrmait. J'avais plaisir à voir ces changement dans la glace plein pied de ma chambre. J'étais souvent nu dans ma chambre, ni vu ni connu, je profitais de la chaleur tranquille chez moi.
Même s'il ne pouvait rien voir, Michel se doutait que la plus part du temps, je n'avais rien en dessous. Un petit jeu commençait à s'installer. On attendait de se consulter avant de se désabiller. Alors, chacun à notre tour, on enlevait le haut. Je tombais mon tee shirt, en chantonnant. Je faisais ca à côté de la fenêtre, l'ai de rien mais pourtant avec précision pour que lui puisse en profiter un maximum.
C'est alors, qu'il allait et venait sur l'escabot de sa haie. Il soufflait beaucoup en transpirant, d'épongeant le visage, avec son débardeur. C'est alors que j'entendais un "- Trop chaud aujourd'hui". Sa voix était juste assez forte pour que je puisse l'entendre et m'avertir du début de son streap tease masculine. C'est alors, comme une fleur laisse tomber ses pétales qu'il se met à enlever son débardeur.
Il pivota de profil en regardant de côté. Il apuya ses coudes sur ses abdos et d'un mouvement circulaire, il quitta son vêtement blanc, salis par les herbes de sa haie. Il recoiffait ses cheuveux embrassant le soleil en fermant les yeux. La scène était exceptionnelle. Je suivais sa main qui caressait ses abdos et s'arrêta sur son pubis pour descendre un max son jeans roots, un peu troué par tous ses efforts.
Cette chorégraphie au ralenti s'arrêta sur un regard marqué plutôt prometteur.
Je savais, et nous savions tous les deux, à ce moment là que nous commencions un jeu complice plein d'excitations.
Fred30
Autres histoires de l'auteur : Fleurs Masculines