Je m'appelle Luc, je viens d'avoir 18 ans, il est 17h30 et je suis assis dans la voiture de mon nouveau prof de sport du lycée qui me ramène chez moi. L'angoisse me sert la gorge: j'ai foutu le souk pendant le cours de gym et ce connard de prof veut tout raconter a mon oncle chez qui je vis depuis le décès de mes parents quand j'étais enfant. je vais encore me prendre une volée sévère voir plus.
Arrivé a la maison:
-"salut Mike" dit mon oncle en serrant la main du prof,
-"salut Max" répond ce dernier.
c'est quoi ce bordel ils se connaissent?
-"ton neveu as encore foutu le bordel pendant mon cours" explique mon prof,
-"ENCORE!!! je sais vraiment plus quoi en faire de cette petite merde, je vais finir par le foutre a la porte"
-"faut lui tanner un peu le cuir, ça le dresseras"
-"ça fait des années que je lui met des volées, ça change rien, c'est même de pire en pire. fais le toi si t'as envie"
j'ai pas le temps de réagir, le prof m'attrape par le bras et me couche sur ces genoux, il as facile: je pèse a peine 55kg pour 1m65 et lui fait au moins 1m85 tout en muscle. je m'attendais pas du tout a ça, il comment a me fesser et il tape dur, plus dur que tonton, ce dernier viens me gueuler dessus pendant la fessée qui n'en finis pas.
-"T'EN AS PAS MARRE DE TE PRENDRE DES DÉGELÉES TOUS LES SOIRS? QU'EST-CE QUI TE FAUT DE PLUS POUR QUE TU TE TIENNES TRANQUILLE? EN PLUS JE SUIS SUR QUE TU BANDES COMME D'HABITUDE". Il baisse alors mon short, je prends les baffes direct sur la peau de mon cul, ça chauffe, je pleure mais je ne peux pas m'empêchè de bander, j'aime ça.
-" regarde ce petit con, sa petite bite est toute bander, il doit surement être PD" dit mon oncle
-" oh oui ça c'est un beau petit cul de tapette" répond le prof "regarde ces belles fesses bien rougies par mes baffes, c'est encore plus bandant qu'un cul meuf, tu trouve pas? t'as jamais pensé a le baiser?"
-" ben non, c'est qu'un gosse"
-" il est majeur maintenant, qu'est-ce-que t'attend pour le niquer?"
-" t'as raison ça le calmeras peut-être"
encore 2 bonnes baffes bien puissantes sur mon cul et la je vois mon cher tonton quitter son marcel et son short, il bande déjà a fond, sa bite est collée a son ventre poilu, elle est longue et fine mais le bout, le gland est gros et violacé, il me le passe sous le nez, je sert les lèvres, puis il largue un gros mollard dessus et passe dans mon dos.
Je suis toujours allongé sur les genoux de Mike-le prof-vicieux qui me tiens fermement et m'écarte les fesses. Un autre mollard sur mon petit trou étroit et la bite de tonton commence a appuyer, il pousse de plus en plus, ça brule, j'ai mal et d'un coup mon anneau cède sous la pression, je hurle: ça-y-est le gland est rentré et le reste de la teub me pénètre d'un coup. J'ai des étoiles devant les yeux, je tremble, j'ai chaud mais je bande toujours.
-"VAS-Y MAX? BAISE LA A FOND CETTE PETITE SALOPE" crie mon prof rendu comme fou par le spectacle de mon viol "EXPLOSE LUI LA CHATTE A CETTE PUTE? JSUIS SUR QU4ELLE AIME CA CETTE TRAINÉE"
et la il me baise tonton max, il y vas a fond en plus, il me nique dans les grandes largeur et j'aime ça, j'ai mal mais j'aime ça. Je ne crie plus qu'un seul mot,
-"OUI! OUI! OUI!"
-"JTE BAISE! JTE BAISE! JTE BAISE!" répète Max au mème rythme. puis d'un coup il se bloque au fond, pousse un grand cri et sa joussance gicle dans mon cul en feu, il me rempli, il m'inonde puis se retire d'un coup. Aussitôt, Mike-le-prof-pervers, me jette a plat ventre sur le sol, sort sa pine et, sans même se dessaper, il se jette sur moi et m'encule brutalement . Sa queue est plus large que celle de Max, elle m'explose le cul a mort.
-" t'aimes ça poufiasse! t'aimes te faire limer ta chatte de tafiole, tu la sens bien ma grosse pine? tu sens comme elle te remplis?".
il me pistonne comme un bourrin et me mord l'épaule, la je craque: mon corps se tend, j'éjacule sans mème me branler puis je m'affèce parterre, Mike sort de mon fion explosé, il me retourne sur le dos et viens se branler au-dessus de ma tronche, je me prend 4 ou 5 jets de foutre dans les cheveux et sur gueule.
les 2 obsédés s'allonge alors sur moi pour me lècher le visage et on finis par se rouler des grosses pelles aux jus de couilles.
sacré dépucelage. j'étais épuisé mais je savais que j'aurais vite envie de recommencer, ce que j'ai fait avec eux puis quelques un de leur potes.
Choducul
Autres histoires de l'auteur : Chaud du cul