Premier épisode | Épisode précédent
Après avoir reçu de nombreux mails, je décide enfin de poster le troisième chapitre de la folle aventure entre mon père et moi...
La nuit était presque tombée, je décide enfin de redescendre dans le salon... Je me suis totalement rhabillé : un short rouge et un débardeur blanc qui moule plutôt bien mes muscles. Je suis extrêmement gêné de devoir revoir mon père après l'épisode érotique que nous avons partagés.
Descendant les escaliers, j'entend mon père parler au téléphone. Je le pense dans son bureau, je vais y jeter un coup d'oeil... Peut être parlait il de moi ?
La porte est entrouverte, le spectacle est incroyable : mon père est totalement nu face à moi. Il est au téléphone et parle de son travail... Pourtant il se masturbe lentement : une vingtaine de centimètres, voila ce que je vois.
Apres plusieurs minutes à fantasmer, je retourne dans le salon, des images érotiques pleins les yeux... J'allume la télévision, une chaîne de musique, s'affiche un clip chaud " Anaconda ". Je le regarde, la main au fond de mon caleçon.
Un moment, mon père arrive lui aussi, toujours nu et toujours au téléphone. Il s'assit à côté de moi dans le canapé et dit :
" Chaude la chanteuse... Putain le cul...
- Ouais "
J'avoue ne pas être très enthousiaste à propos d'elle mais plus de son entrejambe qu'il continuait d'astiquer, devant mes yeux ! Un enfer... Me cherchait il ? Je ne sais pas, mais mon père n'a jamais eu un tel comportement avec moi.
Vincent ne me prête aucune attention, pourtant je me lève et me met face à lui. Je me met à genoux et le regarde dans les yeux, l'air suppliant, disant presque " Laisse moi te sucer ". Il hocha la tête.
Je tend une main hésitante vers sa barre, pourtant je la touche et la prend vite en main. Elle est chaude, longue, épaisse, poilue : un rêve.
Mon père, toujours assis et au téléphone parlant économie se redresse, laissant sa bite à proximité de ma tête. Je commence par la lécher doucement, je la goûte : Delicieuse. La musique saccadée en fond, me fait la mettre dans ma bouche : je la gobe. Ce qui fit gémir mon père, pourtant il n'interrompt pas sa discussion : c'est terriblement excitant.
Je lui met sa bite profondément dans ma gorge, je la lèche, je la suce rapidement, doucement, je veux le faire gémir, crier et que son interlocuteur l'entende prendre un putain de plaisir avec son fils mais il n'en ai rien. Il me provoque.
À ce moment là, je réalise la pipe la plus passionée de toute ma vie et elle a eu raison de mon père qui m'aggripe par les cheveux et me la met contre ma gorge. Il jouît des litres de sperm et me force à avaler, le salaud.
J'adore le sperm de mon père, presque sucrée. J'en ai partout dans la bouche et me lèche les lèvres.
Vincent se lève soudainement et me poussa violemment avec son pied sur le sol avant de quitter la pièce, toujours au téléphone. Un vrai connard.
Il me laisse ici toujours au téléphone, la bouche sale et mes couilles pleine de mon sperm qui n'est pas encore délivrée. Une fois du plus, c'est au lit que je finis de me masturber, j'ai jouis encore plus, je n'avais jamais jouis de la sorte.
Aujourd'hui, ma troisième séance de branle se finit différemment. Je reçois un message.
" Met toutes tes affaires dans une valise, tu vas finir la semaine à poils. Tu sors pas de ta chambre avant demain matin, t'as pas le droit de manger salope, t'en as eu assez. Ton père qui t'aime "
Ton père qui t'aime ? Il vient de m'etouffer de son jus, un vrai salaud je vous dis, un vrai.
Gabriel
Autres histoires de l'auteur : Mon père Vincent