Premier épisode | Épisode précédent
Je tiens encore à vous remercier pour vos nombreux mails qui me poussent à écrire la suite. J'ai décidé de créer un compte Twitter @GabCyrillo pour vous prévenir de quand je poste une histoire, des indices sur la suite et les prochaines que je vais vous raconter... Maintenant, mettez votre main dans votre pantalon et profitez.
Je me réveille complètement nu dans mon lit vers 11h30, il règne un lourd silence dans la maison... Je n'avais aucune idée de ce que je devais faire.
J'aurais aimé mettre un caleçon mais mon connard de père m'a pris toutes mes affaires pour passer une semaine dans mon intimité.
J'ouvre donc ma porte pour sortir et mon pied touche quelque chose : un sac. Je le prend, ferme ma porte et me dirige vers mon lit.
Il y'a un mot dessus : " Fiston, je suis désolé pour hier, ce serait inhumain de te laisser nu alors voici une tenue pour aujourd'hui, je t'en apporterais une chaque jour ". Mon père regrette soudainement, il n'est pas si malsain. Enfin c'est ce que je pensais...
Dans le sac se trouvait certes des vêtements mais d'un autre style que le mien. Il y'avait seulement une tunique blanche et une paire de sandale en cuir... Un autre mot était au fond du cadeau empoisonné :
" Aujourd'hui tu seras mon serviteur et je serais ton roi. Je t'attend sur mon trône ".
J'étais extrêmement excité et je m'empressai de me glisser dans la tenue. Mon sexe en erection levait légèrement la tunique presque transparente.
Je me dirigeai alors vers le salon pour découvrir un magnifique spectacle...
Mon père était complètement nu dans le canapé. Il portait une cape rouge et une couronne en or. Je ne savais pas ce qui lui était passé par la tête pendant la nuit, mais j'étais heureux de voir son énorme sexe en érection.
" J'attend mon esclave depuis beaucoup trop longtemps...
- Je suis désolé pap... Mon seigneur.
- Approchez que je décide de votre sort "
Sans détacher mon regard de sa bite, je continuais d'avancer jusqu'à me retrouver face à lui. Il me demanda de me retourner, ce que je fis. Vincent souleva ma tunique et se mit à me toucher les fesses, je frissonnais. Soudain je reçu une énorme féssée " J'ai décidé de votre sort ".
Mon père ( mon Roi ) se leva d'un coup et me força à me mettre à genoux. Il me prit par les cheveux et me colla contre son manche " Mon esclave voit bien mon épée ?
- Oui, il aimerait la lécher...
- Qu'il le fasse "
Je me suis jeté dessus. J'ai commencé par la lècher, appréciant chaque carré de sa peau puis je l'ai mise dans ma bouche à une vitesse folle pour sucer mon Roi... J'entendais mon père gémir alors qu'il ne disait rien hier, il se retenait le salaud.
Je touchais à la fois ses boules pour les malaxer lors de ma fellation.
" Suce petit pute... Ah oui c'est bon... Ton roi aime... Putain Gabriel, suce ma bite salope de mes couilles " J'adoressa vulgarité, lui qui se montrait si digne.
Il m'aggripa par les cheveux et me releva "
Maintenant, je vais envahir ton royaume ".
Mon père me jeta sur le sol et m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Sur le tapis, je sentais ses mains écarter mes fesses et il plongea sa tête dedans. Il me lèchait le trou comme un professionnel, il me faisait crier rien qu'avec ça. Et lui aussi y prenait du plaisir car je pouvais entendre sa voix grave en pleine juissance.
Il me doigta ensuite, sans autre préparation... Un doigt, puis deux, trois... J'entendais sa main claquait contre mon cul et je criais de douleur mais il s'en foutait de son putain de fils...
" Gabriel, retiens ta respiration "
Il avait raison car à la seconde même, je pouvais sentir son gland contre mon trou. Il n'avait pas mis de capote, ni le lubrifiant mais vu comme j'étais excité, le travail n'allait pas être si compliqué.
C'est donc petit à petit qu'il rentra son énorme queue dans mon cul. Il la sortait et la rentrait pour bien me préparer jusqu'à arrive à la levrette décisive.
Il commença des vas et viens violents tout en accélérant de plus en plus. J'entendais ses boules taper mon cul et lui continuer de crier et de m'insulter.
" C'est profond... Ptite chatte... C'est... Putain prend ça connard. Tu voulais de la baise, bah maintenant t'as ma bite dans toi salope... Garage à bite. T'es plus bon que ta mère, cette conne "
J'adorais ça... Mon père trompait ma mère avec son fils... C'était malsain mais tellement excitant. De plus, j'adorais que sa voix de père de famille m'insulte.
Un moment, il sortit son monstre de mes entrailles et je me retournai alors. Il s'était allongé sur le sol, la bite en l'air, j'ai tout de suite compris.
Je pris sa couronne et me la mit avant de me poser sur sa bite. Elle rentra directement au fond de moi, je ne bougeai plus jusqu'à ce que mon père pose ses mains sur mes fesses et me force à sauter sur sa queue
" Le roi monte son cheval " c'est ce que je lui dis et sa réaction me chauffa encore plus " Monte sur ma queue, monte moi comme ta mère me monte. Putain... Tu baises mieux qu'elle.
- Répète le.
- Tu baises mieux qu'elle.
- Plus fort !
- TU BAISES MIEUX QUE TA CHIENNE DE MÈRE. ALLEZ MET LA TOI AU FOND SALOPE ! "
Je ne me fis pas prier et le rythme s'intensifia.
Je fus le premier à spermer, je ne tenais plus. J'arrêta de bouger et continua de me masturber, toujours sur sa bite. Mon jus coula partout sur son corps et lui le prit sur ses doigts pour le lécher en me regardant droit dans les yeux. Il me répondit " À mon tour "
Je voulais absolument qu'il jute en moi alors je repris mes mouvements.
" J'veux juter dans ta bouche !
- Nan dans mon cul !
- NAN SORS DE MA BITE C'EST MOI LE PÈRE
- C'est moi qui ai la...
- GABRIEL ! "
D'énormes jets de liquide chaud rentrèrent dans mon cul. Mon père hurlait à la mort et sa bite continuait de me baiser en même temps qu'il jutait en moi, dans moi...
Après plusieurs secondes à attendre calme, il me jeta et me fit tomber par terre. Lui se releva et me regarda droit dans les yeux.
" J'en ai pas finis avec toi pour aujourd'hui " puis me laissa le cul blanc de sperm sur le tapis. Mon père Vincent n'avait alors pas menti et m'avait comme promis encore baisé. Une fois pendant le repas ( où je devais lui servir de table ), une fois pensant qu'il regardait un match de foot à la TV et une fois juste avant que j'aille dormir voulant bercer son fils.
Nous sommes alors Dimanche soir et je me suis déjà fais baiser trois fois par mon père... La semaine s'annonçait mieux que prévu...
Gabriel
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