Mon père avait décidé que j'étais un peu juste en maths. Il avait donc prévu de me donner des cours particuliers. Je n'étais pas particulièrement enchanté. Un vieux allait me dire combien font 2+2! Quelques jours plus tard, mon daron m'annonce que, demain matin, un prof viendrait à la maison pour mon 1er cours. Génial ... Le lendemain, ne sachant pas à quelle heure cet "expert" devait arriver, je me la coulais douce au lit. On frappe à la porte. La porte s'ouvre. Je suis encore au lit. Mon père rentre avec le fameux prof. Suis-je dans un rêve? Le mec a une vingtaine d'années (j'ai 18 ans), grand, cheveux très courts, chemise à demie ouverte (il semble imberbe) et pantalon en toile noire bien moulant laissant deviner de bonnes cuisses ... et un beau petit cul. Mon père nous présente et sort de la chambre. Je m'extirpe du lit. Comme je dors à poil, je fais style de rien et passe un caleçon, en prenant le temps de le chercher dans ma commode. Nous nous asseyons à mon bureau.
- Tu as des soucis avec les maths? me lance-t-il.
- Pas plus que ça ...
- Par contre, t'as pas de problème avec la pudeur ...
- J'fais du foot, alors tu sais, être à poil ...
- Comme moi mec. Moi aussi, je fais du foot.
- Cool. On s'y met?
- OK. Putain, il fait chaud dans ta piaule, et ça sent la branlette à plein nez!
- Comme surement dans la tienne. T'as k te mettre à l'aise.
Il retire alors sa chemise et déboutonne les 2 premiers boutons de son fut. Il a un torse sublime, complètement imberbe. De beaux abdos, et je constate qu'il ne porte pas de sous-vêtement, pouvant admirer le haut de sa touffe bien noire. A la vue de ce spectacle, ma queue commence à frémir dans mon calbut. J'écarte les cuisses et essaie de me concentrer sur les livres qu'il ouvre devant moi. Au bout de 10 minutes, je sens l'une de ses mains se poser sur ma jambe. Je ne dis rien et le laisse faire. Il commence par me caresser la cuisse, tout en remontant vers mon entre-jambe. Son doigt passe sous mon caleçon et il commence à me caresser l'une de mes boules. Mon sexe se redresse aussitôt. Il l'empoigne et me le sort par dessous. Sans un mot, il se penche et l'enfourne dans sa bouche. Il suce trop bien, ce con! Il dégage mes boules pour les gober l'une après l'autre. Il finit par retirer complètement mon calbut, passe ses doigts dans ma touffe tout en continuant à me sucer bien à fond. J'en profite pour passer ma main à l'arrière de son pantalon qui baille, palpant ainsi son cul. Il est bien ferme, et il commence à gémir.Il se relève. Ma queue est pleine de bave. Il baisse son fut, laissant apparaître un bel engin (plus long que le mien), mais beaucoup plus fin. Son clin d'oeil m'invite à le sucer à mon tour. Sa queue est trop bonne et je la gobe à fond, jusqu'à avoir le nez dans ses poils. Je malaxe ses boules bien pendantes. Mais il n'est là que pour 1 heure. J'entends mon père dans les escaliers. Je passe rapidos un boxer (histoire de camoufler ma gaule), tandis que mon prof relève son fut et passe sa chemise. La porte s'ouvre et mon père lui donne congés.
- Repassez la semaine prochaine, lui lance-t-il.
- OK, pas de souci, d'autant que tout s'est bien passé avec votre fils, n'est-ce pas?
- Sur ... à la semaine prochaine.
Nous échangeons un sourire complice. Vivement la prochaine fois ...
Fab19
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