Cette histoire est vraie et s'est déroulée au mois de Juin dernier.
Partie 1 :
Je m'appelle Rafael, j'ai 20 ans. Je suis grand (1m86), plutôt mince et j'ai les cheveux très brun, tout comme mes yeux. Ce matin là, j'étais très chaud. J'avais cours l'après-midi mais je ressentais le besoin d'évacuer une tension sexuelle, celle qui pousse à baiser avec le premier qui passe.
Je me connecte à une appli de rencontre et miracle, je trouve quelqu'un assez proche de chez moi. On échange quelques mots, quelques photos. Il n'est ni grand, ni particulièrement beau, mais bien dessiné et il semble avoir une belle queue. Il a 35 ou 36 ans. Je lui dis de suite mon envie de pomper. On se fixe un rendez-vous 10 minutes plus tard, dans un coin proche de chez moi, on fera ça dans sa voiture.
J'arrive à l'endroit prévu, une route de terre menant à une carrière. Lui est un peu en retard, il ne trouve pas le chemin mais enfin lorsque j'aperçois sa berline noire, je lui fais signe. Il se gare sur le côté, et me dit de monter dans la voiture. Mon pantalon est déjà tendu à cause de ma bosse qui se forme. Sans attendre, on se roule une pelle avec fougue. Il est carrément chaud, moi aussi, ça tombe bien. On se bouffe littéralement la bouche, nos langues se mêlent et s'entremêlent. Je ne peux plus attendre, je lui dis de sortir sa queue. Il ouvre sa braguette et baisse son jean, je lèche sa queue à travers le boxer. Puis je libère l'engin, qui claque sur son ventre : une belle bite pointant vers le ciel, 16cm environ. Je la mets intégralement en bouche et commence à le pomper bruyamment. Je pense qu'il apprécie, il gémit et pose sa main sur ma tête. Moi-même ne peux m'empêcher de gémir tellement c'est bon. Tout en le suçant, je joue autour de son gland avec ma langue, tandis qu'il m'impose le rythme avec ses mains. C'est alors qu'il me dit de baisser mon pantalon. Dans la voiture, il se pose péniblement à califourchon sur moi pour me rouler une pelle. J'en profite pour lui malaxer les fesses, il a l'air d'avoir un bon ptit cul aussi. Sa queue frotte la mienne, je claque ses fesses et le fais gémir. Il retourne sur son siège pour que je le finisse, car il est temps d'aller bosser. Je continue mon travail de pompage jusqu'à ce que je sente qu'il vient. Il me demande où je souhaite recevoir son jus, sans hésiter je lui réponds le visage. Il me bloque la tête contre ses jambes tout en se branlant. D'un coup je sens un liquide chaud me couvrir la joue, du sperme épais bien blanc. On s'essuie, je sors de la voiture.
Promis, il y aura une prochaine fois, et on ira plus loin...
Partie 2 :
Quelques jours plus tard, on remet ça. Même lieu, même heure, toujours de bon matin. Comme un rituel, il arrive avec sa voiture, se gare et me dit de monter. On se pose sur la banquette arrière cette fois-ci. Je l'embrasse tout en malaxant son paquet, je meurs d'envie de me jeter sur sa queue. Il défait son pantalon et m'enfonce sa bite au fond de la gorge. Je lui avais demandé de me dominer, voilà qui est faite. Il me lime la bouche en me disant "t'aimes la bite toi mmmmm". Je salive d'envie. On change de position, je me mets sur le dos les jambes relevées et lui vient frotter sa bite sur mon trou. Tout en m'embrassant, il rentre et sort son gland dans mon cul. J'aimerais aller plus loin, mais on n'a pas de capote...tant pis. Je compte en revanche lui rendre la pareille. Il se relève, se penche en avant de sorte que je puisse malaxer, claquer ses fesses. Puis il se pose doucement sur ma bite tendue au maximum. Au moment où mon gland tente de forcer le passage, une voiture passe à côté, on se baisse rapidement de peur d'être vus. Une voiture de policier...la malchance. Mais que font-ils ici ?! Heureusement, personne ne nous a vu. Cependant face à de pareilles émotions, on décide de s'arrêter là pour aujourd'hui et de continuer un soir chez lui. Marché conclu, on va pouvoir enfin baiser.
Partie 3 :
Deux semaines plus tard, je suis en vacances. J'en profite pour aller me détendre chez lui et baiser. A peine arrivé devant la porte, il me roule une pelle et me touche la queue à travers le pantalon : ça s'annonce bien...Installés tranquillement dans son sous-sol aménagé, on se déshabille. Ce soir, je suis chaud, je veux sa bite en moi. Assis par terre, j'attends qu'il me défonce la bouche. Il vient debout devant moi et m'enfourne sa bite dans la bouche, puis la sort et me donne quelques bifles. J'en peux plus, j'adore ça, je m'agrippe à ses fesses pendant qu'il me baise la gueule. Puis je lui dis que je veux qu'il m'encule. Il part chercher des capotes et du gel. A quatre pattes au sol, je tends mon cul. Je me suis rarement fait prendre, mais là j'en veux. Il enduit mon trou de gel, ainsi que sa bite, puis pose son gland contre mon anus. Il pousse légèrement, ça commence à rentrer. Heureusement que sa bite n'est pas énorme. Il continue de pousser, je sens mon trou se dilater pour laisser sa queue glisser entièrement. Il commence ses va-et-viens en moi. Un miroir placé en face de nous nous permet de nous observer. Je le vois en train de me baiser, c'est hyper bandant. On change de position, il s'assied sur un fauteuil, je viens m'empaler sur sa bite en lui tournant le dos. Mmm c'est vraiment trop bon...Mais je sens que j'ai envie de le baiser aussi. D'un commun accord, on échange nos rôles. J'enfile une capote et du gel, il se met en position de levrette. Je viens me poser à l'entrée de son cul. Ma queue étant large, on a un peu de mal au début. Mais je finis par entrer entièrement, lui faisant pousser des gémissements. Je commence à le baiser. Je me sens franchement en forme ce soir, je commence à le pilonner fort, dans différentes positions. Je ramone son cul de plus en plus dilaté. Alors qu'il se couche sur le ventre sur un banc, je rentre et sors entièrement ma grosse bite de son cul. A chaque sortie de ma bite, son trou reste un moment béant en attendant d'être à nouveau fourré. Je suis au maximum, lui aussi. Mes coups de reins se heurtent à ses fesses que je fais claquer bruyamment, on gémit fort tous les deux, c'est énorme. Je sors de son cul, il vient juter contre mon torse. A mon tour : je me mets debout devant lui, agenouillé, et je me branle pour juter. Mon corps de tend, il sent que ça vient, je décharge alors une dizaine de jets très liquides sur son torse, il en a partout. Epuisés, on s'assied un instant, avant que je ne reparte définitivement.
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Sicario
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