Petite présentation : moi, c'est Sylvain ; j'ai 26 ans, et je suis gay.
Cette histoire s'est déroulée il y a un mois. Dans la vie, je bosse dans une société d'informatique. Après le boulot, mes loisirs sont sportifs. En effet, je m'occupe d'une équipe de football de jeunes (entre 18 et 21 ans). Je suis l'entraîneur-adjoint, en fait. Mes semaines sont donc bien remplies : entraînement mardi et jeudi soir, et match le samedi après-midi.
C'est justement un samedi après match que cette histoire a commencé...
Je suis gay, mais il n'y a pas beaucoup de personnes qui le savent. Au football, personne ne sait. Je peux vous assurer que je ne rate pas une occasion de regarder tous ces mecs en tenue d'Adam. Certains sont vraiment très sexys, mais je ne préfère pas les aborder sur ce sujet de peur de me faire " connaître ".
Je reviens donc à l'histoire. Cela s'est donc passé un samedi après-midi après notre match de football. Nous avions perdu la rencontre 4-2 contre une très bonne équipe. D'habitude, à toutes les rencontres j'utilise ma voiture pour faire du covoiturage avec les joueurs, mais cette fois-ci je n'ai pas pu le faire car je devais la mettre au garage pour un petit souci. C'est donc un joueur de l'équipe qui s'est proposé de prendre quelques joueurs et moi-même pour faire le déplacement jusqu'au terrain adverse. Il s'agissait de Paulo. Il a vingt ans, assez mignon et pas mal foutu (souvenir des vestiaires). Je lui ai donc dit de venir me chercher vers 13 h 30 chez moi.
Nous avons fait le trajet aller à cinq dans sa voiture. Le match s'est déroulé, tout le monde a pris sa douche et puis quelques boissons à la buvette. On a repris la voiture avec Paulo pour le retour. Il a déposé les trois joueurs qui étaient avec nous. Il ne restait plus que lui et moi. Il m'a alors proposé de passer chez lui (ses parents n'étaient pas là) pour prendre un verre et faire quelques parties de jeux vidéo. J'ai accepté la proposition sans réfléchir.
On est arrivé donc chez lui vers 17 h 30. Il m'a proposé de m'installer dans le salon en attendant qu'il prépare les boissons et la console de jeu. Nous avons bu quelques bières et fait quelques parties de FIFA 2015.
Ce qui suit m'a alors vraiment étonné...
On a discuté du match qu'on venait de faire et des quelques soucis qu'il y avait dans l'équipe, sans plus. Ensuite on a parlé d'infos personnelles, comment ça allait au boulot, la famille, etc.
Après toute cette conversation, il m'a alors avoué qu'il était bi. J'étais étonné de sa parole. J'ai alors dit :
- Oh, alors tu es bien tombé !
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que moi, je suis gay.
- Ah bon ? Je ne l'aurais pas cru.
- Mais pourquoi tu m'avoues ça aujourd'hui ?
- Parce que, " coach ", tu me plais.
Après avoir entendu cette phrase, j'ai eu une petite montée d'adrénaline. J'étais étonné mais aussi très excité de ce qu'il venait de me dire. J'ai répondu :
- Et que comptes-tu faire avec moi ?
- Je t'ai invité chez moi pour faire plus ample connaissance. Mais j'avais aussi l'envie de te proposer un plan avec moi.
- J'ai déjà accepté ton invitation ; je peux donc accepter la proposition.
- Tu acceptes de le faire avec moi ?
- Oui, j'accepte. En fait, je t'ai déjà regardé quelques fois dans le vestiaire.
- Ah-ah, et qu'est-ce que tu en penses ?
- Tu es très mignon, mais toujours en boxer. Je peux donc pas tout juger.
- Je te laisse le suspens. Tu verras ça plus tard.
- Alors, on fait quoi ?
Après avoir posé cette question, il s'est approché de moi ; on s'est caressé et embrassé de longues minutes sur son canapé. Il m'a alors dit :
- Je suis un peu dominateur. Je ne sais pas si ça te dérange ?
- Non, mais je ne vais pas tout accepter, je te préviens.
- OK, pas de soucis. Commence d'abord à te mettre en sous-vêtement.
J'ai obéi à sa demande. Je me suis donc retrouvé en boxer devant lui dans son salon. Cela l'a fortement excité parce que je pouvais voir une belle forme dans son pantalon. Il m'a alors dit :
- Mmm, tu es vraiment très mignon. Tu as de belles fesses. Je vais me faire plaisir, je crois.
- Pas si vite, Paulo !
Je me suis mis à le déshabiller ; j'ai essayé d'être le plus sensuel possible pour pouvoir l'exciter au maximum. Ça avait l'air de fonctionner car la bosse dans son pantalon ne finissait pas de gonfler. Je l'ai mis en boxer, et là j'ai compris pourquoi il me laissait le suspens.
Son boxer avait une forme assez impressionnante. Je n'avais pas encore vu ça dans mes précédents plans. Il a vu que cela me plaisait beaucoup.
- Impressionnant ! Ça te plaît ?
- Wow, c'est énorme ! Tu m'avais caché ça.
- Eh oui ! Je vais te faire plaisir avec mon sexe.
- Combien il fait, le monstre ?
- 21 cm quand je suis vraiment excité ; et c'est le cas !
Je ne savais pas quoi dire. Je n'avais jamais vu ça. Je me demandais si je pouvais le faire avec un tel engin.
- Ne t'inquiète pas, je vais bien m'occuper de toi. Viens d'abord enlever mon boxer.
J'ai exécuté sa demande. J'ai pu voir ce monstre sortir de sa boîte. C'était vraiment impressionnant. Il prenait l'entièreté de ma tête. Cela m'a excité, je me branlais à travers mon boxer. Il m'a alors demandé de commencer à le sucer. Ce que j'ai fait sans broncher. Je me suis mis à sucer ce jeune mec de mon équipe. Il m'a alors dit entre ses gémissements de plaisir :
- Alors, coach, ça fait quoi de sucer un de ses joueurs ?
- Mmm, c'est super excitant. Tu es trop bon !
- Ouais, continue. Tu fais ça super bien.
J'ai donc continué à le sucer pendant de longues minutes. Ça avait l'air de lui plaire car ses gémissements étaient plus intenses. Il m'a cependant arrêté et m'a dit :
- En fait, coach, je ne t'ai pas tout dit. Il y a un autre joueur de l'équipe qui est bi ; il a aussi envie d'essayer avec toi. Tu aimerais que je l'appelle pour faire un plan à trois maintenant ?
- Oh, OK ! Et je peux savoir qui c'est ?
- Oui : c'est François.
Lorsque j'ai entendu son prénom, j'ai tout de suite réagi avec un grand sourire. C'était le joueur le plus gaulé de l'équipe. Il a aussi vingt ans, un beau corps dessiné, et j'avais vu qu'il était pas mal équipé.
Je n'avais pas encore fait de plan à trois ; j'ai donc encore accepté la proposition.
- OK, j'accepte.
- Wow, super ! Ça va être trop bon. Tu vas être servi : il est aussi bien équipé que moi !
- Je vais essayer d'assurer.
Il a alors pris son smartphone et a contacté François. Il est parti dans la cuisine afin que je n'entende pas la conversation. Après cinq bonnes minutes, il est revenu à côté de moi dans le canapé :
- C'est bon, il arrive. J'ai laissé la porte d'entrée ouverte ; il pourra nous rejoindre quand il veut. Maintenant, recommence à me sucer.
Son sexe avait un peu perdu de vigueur. J'ai donc commencé à le branler et puis j'ai repris la fellation quand son sexe a repris sa taille exceptionnelle. Je me retrouvais donc en train de sucer Paulo. J'étais toujours en boxer. Paulo, lui, l'avait à ses chevilles.
Après dix bonnes minutes, on a entendu la porte s'ouvrir. C'était François ! Il est venu nous rejoindre dans le salon. En entrant dans la pièce, il a tout de suite réagi à ce qu'il avait devant lui :
- Holà, les mecs ; c'est chaud ici ! Vous êtes super excitants ainsi.
- Déshabille-toi et rejoins-nous, a dit Paulo.
François s'est donc déshabillé et s'est mis en boxer à côté de moi. Je pouvais voir qu'il était déjà en forme.
- Alors, coach, prêt à se faire démonter par deux de tes joueurs ?
- Oui ; je vais essayer de vous faire plaisir un maximum. Tu as l'air également bien monté, François.
- Presque le même que Paulo, je crois.
- Laisse-moi voir ça...
Je lui ai donc enlevé son boxer. Et là aussi un sexe imposant est sorti. Il devait faire 20 cm. J'étais en plein rêve. J'étais entouré par deux étalons.
- Suce-moi, coach ! a dit François.
Je me suis mis à le sucer. Avec ma main gauche, je continuais à branler Paulo. Pendant que j'étais en train de me démener sur leur sexe, ils discutaient :
- C'est super d'avoir réussi à le persuader de faire ça, Paulo.
- En fait, je ne le savais pas mais il est gay.
- Oh, encore mieux... On va le démonter !
- Ouais, on va faire ça dans ma chambre.
Paulo m'a alors demandé de monter dans sa chambre. Il m'a expliqué où elle se trouvait à l'étage. Ils me rejoindraient après. Ils devaient sûrement discuter ensemble pour savoir comment ils allaient me " manger ".
Je suis donc monté dans sa chambre. Je me suis assis sur son lit en attendant mes deux joueurs. Pendant qu'ils discutaient en bas, j'ai un peu regardé la chambre, et quelque chose me plaisait beaucoup. Il avait sur un de ses murs un grand miroir ; cela m'a excité car je pourrais voir encore mieux ce qu'ils me feraient subir.
Après cinq bonnes minutes, je les ai entendus monter les escaliers. Je me suis alors dit " Maintenant, tu dois assurer, Sylvain : cela n'arrive pas souvent ! "
Ils sont entrés dans la chambre ; ils avaient remis leur boxer. J'étais assis au bord du lit, et eux étaient debout devant moi. Je n'avais pas vu tout de suite, mais Paulo tenait un appareil photo dans sa main. François a alors expliqué ce qu'on allait faire :
- Voilà, coach (ils aimaient bien le rappeler), on va t'expliquer ce qu'on attend de toi. On aimerait que tu nous fasses un petit " show " sur le lit, et Paulo prendra des photos afin que l'on ait un souvenir de ce plan.
- Ensuite, on va chacun te préparer ton cul afin que tu puisses prendre l'entièreté de nos sexes. Puis on passera au moment de plaisir : on te démontera. On veut t'entendre crier.
Après avoir entendu leur " programme ", je ne pouvais qu'accepter. Je me suis donc mis à faire la petite salope sur le lit de Paulo. J'ai pris quelques positions sexy ; Paulo prenait les photos. Je voyais que cela les excitait fortement car leur boxer gonflait, gonflait, gonflait...
Ils ont ensuite retiré leur boxer et Paulo m'a demandé de venir le sucer, ce que je fis. Pendant ce temps-là, François m'a préparé le cul afin d'accueillir leurs sexes. Cela a commencé par un petit léchage de l'anus pour finir par un, deux, et trois doigts. Il a fait quelques va-et-vient avec ses doigts ; cela m'a déjà bien fait gémir. Après quelques minutes, il m'a dit que j'étais prêt.
- OK, Sylvain, tu es prêt. Je vais te la mettre. Dis-moi si cela te fait mal.
- OK. Vas-y, démonte-moi.
Je me suis mis à quatre pattes sur le lit. Paulo s'est mis devant afin que je puisse continuer à le sucer tandis que François allait commencer à me prendre. J'étais alors pris des deux côtés.
On s'est regardé tous les trois dans le miroir ; c'était vraiment super sexy. François a commencé à faire entrer doucement son sexe ; c'était vraiment très gros. J'ai eu un peu de mal à le prendre, mais il savait y faire, ce petit jeune ! Il l'a fait entrer petit à petit. J'étais vraiment comblé ; pourtant, il n'avait pas encore tout fait entrer.
- Oh, c'est trop bon, Dzek' (son surnom) ! Continue comme ça...
- Putain, il a un trop bon cul, Paulo. Tu vas adorer aussi.
Sur ces paroles, François a accéléré ses va-et-vient. Je sentais son sexe rentrer et sortir assez facilement. Il m'avait vraiment bien préparé le con. Il m'a alors dit :
- Je suis entièrement en toi, coach. Tu es vraiment trop bon. Ça rentre comme dans du beurre.
Paulo a alors réagi :
- Vas-y, Dzek' ! Défonce-le ! Fais-le gémir de plaisir.
Moi, j'avais la mâchoire en feu à force de me démener sur son sexe. Il m'a demandé d'arrêter de le sucer. Il est allé chercher l'appareil photo afin d'immortaliser le moment.
Pendant ce temps-là, François continuait de me défoncer. Il a augmenté la force de ses coups de reins ; c'était juste énorme. Après une bonne dizaine de minutes, il ne pouvait plus se retenir et m'a dit :
- Je vais venir... C'est trop bon, putain ! T'es une bonne chienne.
- Ouais, vas-y jusqu'au bout. C'est le pied !
Paulo était en train de regarder le spectacle avec la main sur son sexe. Il prenait son pied aussi. François s'est alors retiré de moi et m'a éjaculé sur les fesses. Il avait pris son pied, le jeune !
- Maintenant, à ton tour, Paulo : fais-le crier avec ton monstre !
Moi, je n'en pouvais déjà plus avec ce que François m'avait déjà fait. Mon cul était rassasié, mais je devais continuer ce plan avec mes joueurs.
- Viens tout de suite, Paulo ! Je veux te voir me défoncer dans le miroir.
- OK, coach : tu vas la sentir !
Comme François venait de me baiser, il ne lui a pas fallu forcer ; son sexe est entré facilement, mais je sentais quand même qu'il était encore plus imposant que celui de François. Il s'est alors mis à me défoncer avec beaucoup de force. Il a agrippé mes fesses de ses mains fermes. Il me baisait comme un chien.
- Putain, tu prends mes 21 cm en entier ! C'est un cul de fou : tu as raison, François.
- C'est clair, Paulo, il est trop bon. On le baiserait des heures.
Paulo a voulu que l'on change de position. Il s'est couché sur le lit ; moi, je me retrouvais au-dessus de lui. Je devais m'asseoir sur son sexe.
- Allez, viens t'asseoir sur ma queue !
Je me suis mis à faire des va-et-vient sur son manche. Je prenais tout en moi. Je n'arrêtais pas de crier de plaisir. C'était le paradis. Je ne sentais plus mes jambes. J'étais vraiment leur chose.
Paulo ne pouvait plus se retenir ; je me suis donc retiré de son sexe et je l'ai pris en bouche. Je l'ai sucé quelques secondes et ensuite il a éjaculé dans ma bouche. Sentir ces jets de sperme, c'était trop bon !
- T'es une petite salope, coach ! a dit François.
- Vous êtes des dieux : c'est le pied, avec vous...
- Tu as assuré aussi. Mais ce n'est pas fini.
" Ce n'est pas fini ? " Je me suis demandé ce qu'ils avaient encore prévu avec moi.
- Oui : on voudrait faire quelque chose en extérieur.
- En extérieur ? Vous êtes fous ! Et les voisins ?
- Ne t'inquiète pas : on va aller dans la piscine, et tu vas nous sucer ; rien de plus.
- OK. C'est toujours aussi excitant, avec vous !
On est sorti de la chambre. On s'est mis tous les trois en boxer et on s'est dirigé vers le jardin et la piscine. On s'est un peu reposé après ce qu'on venait de faire. Ils n'ont pas su faire sans réagir :
- Franchement, Sylvain, on ne t'aurait jamais cru comme ça. Tu sais vraiment faire la salope.
- Ah-ah, merci pour le compliment. Non, mais ici j'ai vraiment pris mon pied. Vous ne savez pas la chance que vous avez d'avoir ça entre les jambes. Les filles doivent prendre du plaisir aussi avec vous...
- Mais c'est la première fois que je prends autant mon pied. Tu as vraiment un trop bon cul, coach ! J'ai encore envie de le faire avec toi... a réagi Paulo.
- Oh, OK : si vous êtes encore intéressés par mes " services ", il n'y a pas de problème.
Après cette phrase, je me suis mis entre deux et j'ai commencé à les toucher sous l'eau. Leur paquet reprenait vigueur. Ils n'étaient pas encore rassasiés, cela se voyait sur leur visage. Ils en voulaient encore. Je les ai donc bien excités sous l'eau. Ils ont ensuite retiré leur boxer. François s'est mis sur le bord de la piscine et j'ai commencé à le sucer. C'était très excitant de faire ça dehors. Paulo, lui, continuait à faire son paparazzi en nous photographiant. J'espère en tout cas qu'aucun voisin ne nous a vus...
Après avoir sucé François quelques minutes, on s'est dirigé vers la salle de bain ; et là, sous la douche, j'ai sucé Paulo. François n'a pas pu se retenir : il m'a positionné devant lui, et j'ai encore été baisé par ces deux mecs. Avec l'eau qui coulait sur nous, c'était encore plus sensuel et magique. Ils m'ont vraiment envoyé au septième ciel. Ils m'ont donc baisé chacun sous la douche. Et pour finir ce plan, comme " cadeau " de remerciement, Paulo a bien voulu me faire une fellation. Sentir ses lèvres sur mon sexe, c'était divin ! J'ai passé une fin d'après-midi exceptionnelle avec ces deux jeunes joueurs.
Après la douche, on est allé dans la cuisine où on a chacun mangé un petit quelque chose pour reprendre des forces après ce qu'on venait de faire.
La suite de la soirée, on l'a passée devant la télé en regardant comme par hasard un match de football. Pendant le match, nos regards en disaient long sur ce qu'on avait fait...
Et comme Paulo l'a dit et demandé, on a prévu de se revoir pour refaire ce trio.
Je raconterai ça peut-être dans une nouvelle histoire...
Sylvinho89
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