" Monsieur Nicolas, qu'est-ce que vous attendez vraiment de nous ? "
- Humm, Soupira Nicolas... Il baissa la tête, eut un air très triste, l'agent psychologue avait de la peine pour lui en le regardant. Il essayait de sortir des mots de sa bouche mais c'était impossible, il gardait la bouche grandement ouverte... Feintant des paroles mais aucun son n'y sortait, puis il dit en suite : " J'ai... J'ai, J'ai été... J'ai été..."
- Enfin ! Hurla l'agent Madeleine avec euphorie... Vous l'avez dit, je suis fière de vous Nicolas !
- Ah Ouais !? S'enthousiasma Nicolas sans vraiment être enthousiaste.
- Bien sûr, ça fait trois mois que nous travaillons ensemble et c'est la première fois que vous le dites ! Maintenant, il va falloir vous confier à moi plus profondément à propos de ce qui s'est passé ce soir-là et sachez que je ne vous jugerai pas du tout.
- Non !!! S'écria Nicolas en se levant brusquement du fauteuil et sortit de la pièce.
- Pff, Soupira Madeleine d'un air épuisé, il a encore besoin du temps ce garçon.
Nicolas alla s'asseoir sur l'un des fauteuils de la salle d'attente, un grand couloir rempli de portes qui lui semblait un mystère. Une jeune fille vint s'asseoir sur le fauteuil, juste en face de lui. Elle ne le quittait pas du regard et baissait sa tête à chaque fois que Nicolas jetait l'oeil sur elle.
- Tu veux ma photo, c'est ça ? Gronda Nicolas.
La fille resta muette, toute apeurée et bloqua un regard bien inquiétant et pas discret sur celui-ci.
" T'as un gros problème, toi !! " Soupira Nicolas en se levant puis il se dirigea vers les toilettes.
Les toilettes du couloir étaient mixte, il y entra et rencontra Rozenn, un autre patient de la maison. Celui-ci se lavait la figure au robinet.
" Tous des malades ici !!! " Dit Nicolas indiscrètement.
- Je vois que t'as rencontré Bella !! Prononça Rozenn d'un ton ferme comme s'il ne parlait qu'à son reflet dans le miroir en face de lui.
- Vraiment des fous !! S'écria encore Nicolas ne remarquant pas que c'était à lui qu'il s'adressait.
- La fille dans le couloir qui te matait comme une folle ! Ajouta Rozenn, Nicolas le regardant d'un air étrange comme pour se dire " Pourquoi me parle-t-il ?", Elle fait comme ça à tout le monde. T'es là pourquoi ?
- Pour rien !! Répondit Nicolas d'un ton froid puis il se dirigea vers la sortie sans pouvoir se mettre à l'aise, la raison de sa venue dans les toilettes.
- Ouais casses-toi, pédé ! L'insulta Rozenn pour le taquiner.
- Ta gueule, tu ne me parles plus jamais comme ça !! Rétorqua Nicolas d'un ton brutal.
- Ouah ! Calmos mec ! S'exclama Rozenn d'un ton léger, tu te crois supérieur par rapport aux autres, tu crois avoir vécu la pire situation que j'ignore mais, c'est faux.
Nicolas ne répondit pas et s'en alla, agacé par Rozenn.
Le mercredi suivant, Nicolas se rendit encore à son rendez-vous pour la quatorzième fois et cette fois-ci, Madeleine lui annonça que la séance se ferait d'une manière inhabituelle, soudain un jeune homme entra dans la salle. " Qu'est-ce qu'il fait ici, lui ? " Demanda Nicolas d'un ton agacé.
- Je n'ai hélas pas eu le temps de tout t'expliquer suite à ton retard, il va tout t'expliquer ! Dit Madeleine puis elle sortit.
- Alors ça va ? Demanda Rozenn.
- Tu n'es pas un médecin alors, ta bouche ! Rétorqua Nicolas.
- T'es vraiment borné, c'est Nicolas hein ?
- Et alors ?
- Manquait plus que ça, qu'on me mette avec un barjot ! Se plaignit Rozenn.
- Attends, quoi !!!! S'exclama Nicolas, on nous a mis ici pour quel but ?
- T'es vraiment con, toi ! Dit Rozenn tout en pensant très fort dans sa tête " Mais tu es très mignon ! ", je te le dis si tu te montres plus cool avec moi.
- Bon, si tu veux ! Dit Nicolas, avec gène.
- Suis-moi ! Lui ordonna Rozenn en courant.
Les deux jeunes hommes de dix-huit ans se dépêchèrent, courant avec joie et ils allèrent dans le parc de la maison médicale. Ils s'assirent chacun sur une balançoire et commencèrent à discuter.
- Alors... ?
- C'est difficile à dire ! Répondit Nicolas.
- Moi aussi, je disais ça !
- Qu'est-ce qui t'est arrivé à toi ?
- Haha ! Gloussa Rozenn, tu ne veux pas me parler de ton histoire mais tu veux savoir la mienne!
- D'accord, je vais essayer de te le la raconter ! Promit Nicolas.
- Ok, Bah moi, je suis resté... enfermé par... un tueur en série pendant neuf mois dans son sous-sol.
- Je suis désolé ! Répondit Nicolas.
- Non, ce n'est pas de ta faute ! sourit Rozenn
- hm, soupira Nicolas.
- Je me pose toujours la question, pourquoi ne m'a-t-il pas tué comme je l'ai vu faire de nombreuses fois... ? Ces énormes atrocités.
- Peut-être qu'il t'aimait bien.
- Ou... Qu'il me gardait pour la fin !
- Ouais !
- Alors dis-moi pour toi !!
- Moi... Tu sais je ne l'ai encore jamais raconté à personne.
- Ne me dis pas que t'as tué quelqu'un !! S'écria Rozenn en rigolant, ou pire tes parents.
- Non... Et même, je serais plutôt en prison au lieu d'être ici ou en asile.
Le portable de Nicolas vibra, Madeleine lui avait annoncé que ses parents étaient déjà là pour lui.
- Je dois partir... ! Bégaya Nicolas d'un air désolé.
- Ouais, je comprends, prends soin de toi et viens surtout la prochaine fois à l'heure.
- Ouais !
Nicolas se leva et fit un pied avant, Rozenn l'appela aussitôt et il se retourna, Rozenn le prit au dépourvu et l'embrassa, Nicolas prit immédiatement peur, très étrangement, celui-ci tressaillit tout à coup et repoussa Rozenn puis s'en alla en courant, laissant Rozenn au sol.
Un mois passa et même malgré l'insistance de ses parents, Nicolas ne voulait plus aller chez son psychologue et ce qu'il appréhendait le plus, c'était de devoir expliquer sa réaction à son camarade Rozenn, il avait pensé à utiliser le prétexte " Je ne suis pas gay ! " mais ça n'aurait pas expliqué pourquoi il l'avait poussé au sol.
Un jour, seul à la maison, en train de regarder la télé, Nicolas était assis sur le sofa et soudain, on sonna à la porte, il alla ouvrir et à sa grande surprise, c'était Rozenn.
- Comment t'as eu mon adresse ?
- C'est ta mère !
- Ma mère ? S'étonna Nicolas.
- Elle est passée il y a deux semaines à la maison et dès que je l'ai aperçu, j'ai...
- Quoi ?
- Tu sais, la technique du chien mignon abandonné et je l'ai piqué l'info.
- Vraiment et ça a marché ?
- Disons que je lui ai dit des choses et quand tant que mère elle a été touchée.
- Bref, Si non, tu veux quoi ?
- Euh... Tu ne me demandes pas d'entrer ?
- Ah désolé, gloussa Nicolas avec embarras.
Rozenn entra chez Nicolas et il alla s'installer sur le sofa.
- Ah, tu regardes 2 Broke Girls !!! S'enthousiasma Rozenn, c'est ma série préférée.
- Tu veux à boire ?
- Non... Merci, c'est gentil.
Tous les deux restèrent muets et un silence d'enterrement régna dans le salon.
- Tu sais, tu ne vas pas ignorer ce qui s'est passé dans le parc, à la maison !
- Ecoute Rozenn, c'est pas contre toi mais....
- T'inquiète, je comprends que tu ne sois pas gay mais de là, à me pousser... C'est limite de l'homophobie.
- Non !! Hurla Nicolas, écoute-moi.
- Tu vas te calmer d'abord, moi je vais m'en aller car tu commences à faire peur.
Rozenn se précipita vers la sortie, Nicolas le rattrapa, Rozenn hurla.
- Mais Arrête Rozenn, je ne te ferais aucun mal ! L'implora Nicolas mais Rozenn continua à crier, appelant les secours.
*14h38... Donnez-moi Un V pour Violence.
Nicolas ferma la bouche de Rozenn avec sa pomme de main mais ce dernier continuait à hurler, voyant que le son qu'il émettait était bas, il croqua la main de Nicolas, se débattant en vain pour que celui-ci puisse le lâcher.
Nicolas essaya en vain de calmer Rozenn mais celui-ci était bien tenace, il réfléchit quelques secondes puis tenta encore en embrassant Rozenn. Dès cet instant le calme revint dans la pièce, on n'entendait plus que la télé et les deux jeunots en train de se donner un bain de langue.
Tout s'éclaircit pour Nicolas, il continuait à embrasser Rozenn avec passion, les deux étaient très excités, Rozenn appréciait bien la tournure de la situation, ils étaient tous les deux excités, les lèvres de Nicolas reflétaient la belle récompense et la beauté pour Rozenn, ce dernier était très chaud, il en voulait plus.
" Si j'avais su que ça finirait comme ça, j'aurais crié depuis bien longtemps !!! " Rigola Rozenn tout léchant et embrassant les belles lèvres rouges de Nicolas, tous deux se mirent à rire.
Nicolas laissa Rozenn et alla s'asseoir prenant un air soucieux.
- Qu'est-ce qu'il y a, je ne te plais pas ? Demanda Rozenn d'un air inquiet.
- Non, ce n'est pas toi... C'est juste...
- Si c'est lié avec ce pourquoi tu vois un psychologue, je comprendrais.
Nicolas avança encore vers Rozenn et l'embrassa encore langoureusement, le caressant cette fois-ci, les deux garçons gémissaient, se frottaient l'un contre l'autre, la tension monta. Rozenn au bout de sa faim, enleva sa veste, respirant fortement, ensuite son T-shirt, Nicolas descendit tendrement puis commença à lui lécher le torse en fermant les yeux, respirant fortement l'odeur de Rozenn, puis il pinça les tétons de Rozenn, très fort, celui-ci poussa un beau cri rauque étouffé, il continuait à caresser les beaux cheveux bruns de Nicolas.
Les deux garçons étaient allongés sur le long canapé, Rozenn détacha sa ceinture, il ouvra doucement la braguette de son pantalon tout en embrassant Nicolas qui était au-dessus de lui, enlevant sa chemisette à carreau qu'il portait.
Leur corps chaud s'entre frottaient, leur parfum de male se mélangèrent, Nicolas tint sa (la) main de Rozenn et le conduisit à l'étage, dans sa chambre, il ferma celle-ci à clefs et jeta Rozenn sur le lit, le plaquant dans ses draps moelleux, Nicolas restait un instant au-dessus de Rozenn qui était en manque, le regardant avec appétit, tenant très forts ses mains collées contre le lit.
Nicolas lécha la lèvre de Rozenn puis il descendit avec fouge au niveau du pubis de Rozenn, sortit son pénis bien chaud et l'inséra doucement et tendrement dans sa bouche, gouttant l'odeur d'un pénis comme il n'eut l'occasion de connaitre, qui lui faisait monter le désir, excitant ses papilles, ils allaient de plus en plus rapidement, mélangeant la fellation à la masturbation, humectait la bite, Rozenn quant à lui était aux anges, adossé sur le lit, les jambes écartées gardant le regard sur son compagnon qui était à ses pieds, relevant quelques fois la tête, émettait des bruissements de femelle comblée dans le nid.
Nicolas déshabilla totalement Rozenn et mettait de plus en plus de la salive sur l'anus de Rozenn, méthode qu'il avait gardé de son beau-frère. Il frottait l'orifice tendrement, Rozenn ne cessait de gémir, " ohhh... !! ", le sourire aux lèvres de Nicolas de pouvoir satisfaire son bon copain.
Puis il avança sa figure plus prêt de l'anus, il regarda cela avec peur et crainte comme si quelque chose qu'il avait échappé le rattrapait. Rozenn ne remarqua pas cela car il avait les yeux fermés et profitait encore de toutes les gâteries que son fantasme lui procurait.
Nicolas voyant que Rozenn était tant heureux dans son nid, poursuivit et lécha l'orifice du garçon, celui-ci bruissât un cri plus tendre, rempli de vulnérabilité et de plaisir. Nicolas lui faisait un Anulingus digne d'un professionnel le doigta le derrière après.
Après ces préliminaires, Nicolas ne tarda pas une seule seconde et pénétra sauvagement Rozenn, celui-ci hurla de plus belle, admirant le visage de Nicolas au-dessus de lui en train d'être à l'action dans son trou. Nicolas allait très fortement, comme s'il y mettait un peine, Rozenn gémissait la bouche grande ouverte, les sourcils froissés et les yeux grands ouverts, respirant et criant à chaque déhanchement et coup de pénis dans son derrière, ses gémissements, ceux de Nicolas et les coups de va-et-vient s'agençaient parfaitement pour créer un son en trois temps.
Puis vint le moment où Nicolas fut sur le point de jouir, il hurla " J'suis en train de venir bébé... ! ", Rozenn affecté par ces mots gémit " Viens en moi bébé... Oui ! " Rozenn se précipita et se branla rapidement pour pouvoir jouir en même temps que son copain.
La cadence s'accélérait, les garçons hurlèrent, on aurait cru assister à des hurlements de loups à la nuit tombée, ils haletaient, le liquide de Rozenn s'étalant sur son bas ventre tandis que celui de Nicolas ruisselait dans les entrailles de Rozenn, Nicolas sortit de Rozenn et s'allongea aussitôt sur le lit, palpitant, Rozenn se levait et allait sucer le pénis de Nicolas.
Hm, les deux apprécièrent ce moment.
Après quelques minutes, tous les deux toujours en train de s'embrasser nu, Sous la couette.
" J'ai vraiment apprécié ce moment-là, je crois que t'es mon plus beau coup ! " Dit Rozenn regardant Nicolas droit dans les yeux et les deux garçons se mirent à rire en sanglots.
- Moi aussi ! Dit Nicolas avec réserve.
- Mais d'où t'as appris ça, toi ? T'as eu des copines dans le passé.
- Oui... Et Elles étaient de bons coups.
- Haha ha, autant que moi ?
- Nah... Ça ne se compare pas, ça ! Je dirai que... T'étais... Un peu... Bien... Mieux qu'elles.
- Owww Merci, t'es gentil au final hein !
- Je ne sais pas... ! Peut-être, peut-être pas.
- T'es un Bad boy, je sens que tu vas me causer des soucis.
- Si toi, tu ne m'en feras pas haha ! ça servait donc à quoi cette séance ?
- Hein ?
- Avec Mme Madeleine.
- Ah oui, de t'aider à t'exprimer avec quelqu'un de ton âge, on n'en a même pas eu le temps ! Mais t'avais déjà fait avec un garçon auparavant ?
- humm... Tu sais à propos du psychologue.
- T'es pas obligé de m'en parler maintenant.
- Je sais mais, le fait est que là, tout de suite, je ressens l'envie de parler de ça.
- Je t'écoute !
" Tu sais, pendant longtemps je me suis dit que ça allait finir par passer mais, à chaque fois que je fermais l'oeil, je ne voyais que son visage et j'étais toujours apeuré, la scène se déroulait encore, je n'arrivais plus à dormir sans avoir couler une goutte de larme, une goutte de regret, lorsque je le voyais en vrai et proche de moi, ça devenait comme une phobie, je commençais à avoir des démangeaisons, des frissons parcouraient mon corps et une sensation de douleur comme le jour même me revenait. Bref, Rozenn, cette nuit-là, J'étais allé rendre visite à quelqu'un de très proche, à mon arrivée, elle n'était pas là mais son fiancé, lui il était là, il m'a invité à entrer et patienter que celle-ci arrive, qu'elle avait appelé plutôt et qu'elle était dans les bouchons pour rentrer. J'entrais donc et il me demanda si je voulais boire quelque chose, je lui ai répondu oui, de l'eau, il me dit qu'il y'avait du coca aussi, alors j'acceptais qu'il me le serve. Je n'avais jamais pris la peine de connaitre son fiancé, tu vois, mais je le trouvais sympa, ce pendant à ce moment-là, même si j'avais eu des relations hétéros, j'avais toujours ressentis une grande attirance pour les garçons, tu sais mais je ne le gardais que pour moi et le niais même si ma gestuelle, mes goûts, bref, mes habitudes en disait le contraire. J'étais seul au salon et je savais où se trouvaient les toilettes, une envie de faire pipi m'a pris et je me suis dépêché d'aller aux toilettes, en ressortant de là, j'aperçu la chambre du couple entrouverte et je pouvais bien distinguer ce qu'il se passait et il se passait que le mec était en train de se branler, ça m'a aussitôt attiré et excité surtout que je voyais ça en direct et son pénis était juste offert à ma vue, je ne pouvais résister, j'avançai pour mieux voir, il continuait à s'astiquer la queue. J'étais en érection et mon pénis me faisait mal dans mon pantalon serré. Le mec matait un porno sur son lit.
Je commençais à me frotter la bite à travers le pantalon, puis d'un geste brusque, la porte bougea, et le mec regarda aussitôt me voyant dans ma position, moi restant tétanisé.
Il me demanda d'entrer de ne pas avoir peur, ça nous ferait une partie de branle en commun, j'aimais bien l'idée, je m'asseyais sur le lit, il me dit de me mettre à l'aise, c'était la première fois que j'entrai dans cette chambre, j'ouvrai ma braguette et je me mis à l'aise, je me branlais, lui également mais c'était un porno hétéro, alors je ne gardais l'oeil que sur le male tout en jetant des regards discrets sur la bite du mec, elle était excitante et me donnait envie.
Ensuite, j'ai pensé que ce que je faisais était mal, la personne que je venais voir ne méritait pas cela, j'arrêtais tout et me rhabillais, je me levais et le gars fut étonné, il me demanda pourquoi je m'en allais, je lui répondis que ça ne me plaisait plus. Il insista tendrement de rester, j'en étais charmé mais, j'étais plus fort que ça, ensuite, il me dit que si je restais, je pourrais lui sucer la bite, je fus étonné, il rigola et me dit qu'il sait que je suis gay et qu'il ne dirait à personne ce qu'il se passerait, la tentation fut plus forte que moi et j'accouru dans ses pattes et je pris la bite en bouche, lui se mit à gémir. Me disant " tu aimes ça hein ! Petite chienne " des trucs comme ça et j'aimais bien puis l'image de celle que j'étais venu chercher apparue dans ma tête et je me relevais mais il forçait, je me débattais, il forçait encore, il était plus âgée que moi de 4 ans et était plus fort. Je disais que je ne voulais plus mais il continuait, je criai, il ferma ma tête dans l'oreiller et il m'enleva aussitôt le pantalon, je n'arrivais plus à bien voir, je me débattais tout de même mais il me maintenait de toutes ces forces que j'avais mal où il me tenait fermement, il me pénétra aussitôt, ça faisait très mal, il n'eut même pas prit la peine de bien faire les préliminaires, je pleurais, il cognait très fort de toute sa rage, j'avais très mal dans le derrière, je regrettais pourquoi j'étais venu là-bas, c'était bien un beau garçon mais il ne m'attirait pas. J'avais la haine, je n'arrêtais pas de gesticuler pendant qu'il me culbutait en m'aplatissant le ventre, dès que ça sonna, il éjacula en moi et me rhabilla, ensuite il me porta dans le salon, il se rhabilla lui-même et alla ouvrir, la personne était rentrée dès qu'elle me vit souffrant, couché sur le canapé, elle appela les secours et après je perdis connaissance. Les médecins dirent à mes parents que j'avais été violé, ils essayèrent tous de me faire parler mais depuis ce jour-là, il y'a quatre mois, je ne parvenais plus à parler dû à mes cris pendant l'acte et au traumatisme."
- Je veux que tu saches Nicolas, que je suis là et que je te soutiendrai toujours. Prononça Rozenn, les larmes presque qu'aux yeux, ceux-ci rouges.
- Merci, c'est gentil, saches que depuis notre rencontre, tout à changer et je t'aime tellement.
- Moi aussi, tu n'as jamais révélé de qui il s'agissait ?
- Non, ça ne valait pas la peine, j'aurais détruit un mariage qui est heureux aujourd'hui.
- Je ne veux pas te juger mais tu as laissé ton amie épouser cet homme ?
- Je ne t'ai jamais dit que c'était mon amie.
- Oui mais...
- Rozenn, tu es exactement en train de me juger et ça me chagrine.
- Je suis désolé, tu as raison !
On ouvrit aussitôt la porte de la chambre, " Oh mais, que vois-je, Nicolas avec son petit copain secret ! " dit la soeur de Nicolas.
- Salut Nicole ! Répondit Nicolas à sa soeur d'un ton gêné.
- Salut, moi c'est Rozenn ! Mais comment t'es entré ?
- Rozenn, quel prénom original ! Dit la soeur, c'était ma chambre ça avant Rozenn !
- Merci, elle est sympa ta soeur hein.
- Ouais ! Répondit Nicolas en souriant.
- Regardez qui est là, S'excita Nicole, c'est Judéen.
- Qu'est-ce qu'il fait là ? S'écria Nicolas.
- Euh rien, calme toi, ça fait 4 mois qu'il n'est pas venu ici lol.
- Hum, se racla la gorge Judéen ! Salut les amoureux !
- Salut, vous pourrez-nous laisser ? Demanda Rozenn.
- Ok, amusez-vous bien. Dit Nicole puis elle ferma la porte.
- Qu'est-ce qu'il est beau son copain.
- Ouais... C'est ça, son mari !!! Hurla Nicolas tout en étant stressé.
- Attends... C'est lui ?
Nicolas ne répondit pas. Rozenn comprit la situation et se coucha dans ses bras, le caressant.
*18h26... Donnez-moi Un V pour Viol
Davinson
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