Premier épisode
La semaine qui a suivi est très vite passée.
Entre le boulot, les préparatifs, les coups de fil pour inviter mes ami.e.s à cette "mise à l'abattoir", le stress était à son comble.
Surtout que tout ce travail supplémentaire s'ajoutait à celui du quotidien. En effet, j'avais pour tâche de cuisiner midi et soir, de faire la lessive, le repassage, l'entretien de la maison en bon majordome professionnel mais j'avais aussi mes assignations journalières plus libidineuses. Mon maitre a de gros besoins sexuels. En effet, il sécrète beaucoup de testostérone et de sperme. Il doit donc éjaculer plusieurs fois par jour, à la fois pour faire descendre la pression comme il dit mais aussi pour le détendre. Chaque journée commence par un lavement dès le saut du lit, car il aime me prendre à son réveil et il exige que je sois propre.
Il me prend alors comme il veut et où il veut, en missionnaire dans la chambre, en levrette dans la salle de bain, le chevauchant dans la buanderie... Mais ce qu'il préfère c'est me sodomiser pendant que je suis au fourneau préparant le petit-déjeuner.
Il arrive par-derrière, la trique entre les jambes et me la met directe puisque je ne porte qu'un jockstrap à la maison. Ayant fait un lavement juste avant, mon cul est encore ouvert et accueillant ! J'avoue parfois, je me le graisse un peu pour que ce soit plus agréable pour tous les deux. Mais je ne le fais pas souvent car il aime aussi me prendre à sec. Or son plaisir passe avant tout. Dès que je le sens arriver derrière moi pour s'amuser avec mon cul, je me cambre et écarte légèrement mes jambes. En effet, il déteste que mon corps bloque son plaisir et que ses couilles ne butent pas contre mon scrotum. Une fois au chaud et après quelques va-et-vient où ses testicules frappent les miennes, il me susurre à l'oreille cette phrase quasi quotidiennement pour me rappeler ma place au sein du foyer :
- Tu sens les grosses bourses pleines de ton mâle ? Elles viennent frapper tes petites noisettes châtrées.
Je ne réponds jamais car c'est une question rhétorique qui n'appelle aucune réponse autre qu'un un léger gémissement qui signifie : oui maitre, je suis tout à vous, ravi de vous servir. Je connais ma place, côté face où je me fais prendre par mon maitre et côté pile où je cuisine pour lui. Car ce n'est pas parce que mon cul est utilisé que je dois être oisif avec mes mains, autant cuisiner ! Ensuite, que pourrais-je dire ? Je ne peux réfuter ces dires, car en effet, si lui produit une quantité impressionnante de sperme, moi, c'est tout l'inverse.
Je suis son total opposé. Je produis très peu de testostérone et encore moins de sperme.
Par contre quand je suis chaud, je secrète un max de pré-cum. Et ça se voit, je suinte littéralement. Et ne parlons pas de mon cul... Une vraie pataugeoire !
À cause de ça, je n'ai pas le droit de jouir, car sinon mon excitation retombe aussitôt et je deviens un vrai glaçon après. Pour le bien de notre relation et pouvoir répondre à ses gros besoins, il a été décidé dès les premiers jours que je ne pourrai plus éjaculer dorénavant. Je peux me masturber, mais je ne dois pas jouir. Vous n'imaginez pas la frustration, un vrai supplice. Surtout quand c'est lui qui me demande de me masturber, qu'il me regarde avec ses yeux lubriques, la pression monte, comme un soufflé au fromage, si vous voyez l'image, et là, mon maitre ouvre le four en grand brusquement !!! J'étais au bord, prêt mais je m'arrête net, la cocotte-minute encore sous pression. Les seuls orgasmes autorisés sont : l'orgasme anal et l'orgasme ruiné. Cette pratique me permet de rester excité après éjaculation et de vider accessoirement mes bourses pour des questions d'hygiène.
Alors qu'il me bourrine toujours dans la cuisine durant la préparation du petit-déjeuner, frappant ses bourses contre les miennes, une main sur mes hanches, l'autre tirant mes cheveux, ce qui me fait incliner la tête en arrière, il me dit d'un ton salace :
- Je vais te remplir les boyaux, tu garderas en toi ma semence pour la journée, tu mettras ton gros plug qui te fait tortiller du cul. Je vérifierai ce soir si elle est encore en toi en rentrant.
Aie, je vais avoir du mal à m'assoir aujourd'hui avec ce truc dans le cul, et au boulot on va encore me regarder bizarrement. Mais le plus dur sera de ne pas manger de la journée. Et oui, quand il veut checker le soir, cela signifie que je dois être propre, or, je ne peux pas faire de lavement si je dois garder sa semence !
Cette sauterie qui s'annonce a démultiplié son sadisme. J'ai dégusté toute la semaine.
Après avoir éjaculé plusieurs jets en moi, il s'est retiré et s'est assis sur un tabouret de la table haute, j'ai serré les fesses et je suis immédiatement monté chercher le dit plug. Je suis redescendu, me suis mis à quatre pattes sur le sol de la cuisine, cul face à lui et j'ai introduit le plug. Je dois toujours avoir le cul cambré face à lui quand quelque chose entre ou sort de mon cul. S'il n'est pas dans la pièce, je dois alors me filmer et lui envoyer la vidéo. Peu importe qu'il me regarde ou non pendant ce moment, je dois toujours m'exposer durant ces actes, cela me permet de développer mon esprit grivois comme il dit. Ensuite, je me suis retourné, toujours à quatre pattes, je me suis rapproché de lui, et j'ai pris sa queue en bouche pour la nettoyer. C'est un rituel, je dois toujours nettoyer sa queue après qu'il m'est baisé car s'il avait un sous-vêtement, il ne faudrait pas qu'il le salisse, et s'il n'en a pas il ne faudrait pas qu'il mette du sperme de partout dans l'appart ou sur les meubles.
Ce matin-là, il était particulièrement en forme et alors que j'avais sa queue en bouche pour la nettoyer sous toutes les coutures, cette dernière repris de la vigueur. Il plaça ses mains derrière ma tête pour me faire comprendre qu'il ne serait pas contre une petite fellation improvisée. Comme toute action qui m'est assignée, toutes ont leurs règles propres. La fellation n'y déroge pas. Pour qu'une fellation soit réussie d'après mon homme, je ne dois pas mettre mes mains sur sa hampe. Seules mes lèvres et ma langue doivent toucher sa chair. Mes mains sont seulement autorisées à jouer avec ses bourses. Ayant déjà éjaculé et le petit déj refroidissant, il entreprit une baise en règle de ma bouche alternant gorge profonde et sucions du gland pour accélérer sa jouissance. À peine 5 minutes et il me remplissait la bouche. Je nettoyai sa bite tout en gardant son nectar en bouche. Ses bijoux propres, je dus ouvrir en grand ma bouche pour lui montrer sa semence tapissant ma langue. Il me demanda de faire rouler son sperme en bouche pour imprégner les moindres recoins de mon palet et dégager toutes ses subtilités. Il me demanda ensuite de décrire la texture, la robe, le goût de son nectar comme si c'était un whisky ou un bon vin.
Il était à peine 7h du mat'que j'avais déjà été dosé deux fois, de surcroit un dans chaque trou. Je suis un soumis comblé.
Orly
orly33@vivaldi.net
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