Depuis un an je suis dans cette nouvelle région. Je profite du soleil du sud et je l'ai connu en consultant des sites de rencontres. Nous avions communiqué, via e-mail, durant plusieurs jours.
Puis nous avions convenu de se rencontrer dans un café du centre-ville. " Pour se connaitre m'va-t-il écrit ".
Je fus plutôt étonné de sa démarche, car en général des rencontres sur ces types de sites sont des recherches pour un plan sans lendemain.
Donc aujourd'hui je suis attablé à la terrasse de ce café, j'attends sa venue.
- Bonjour... Vous êtes bien Michel-- ?
- Lui-même. Bonjour.
Je ne l'ai pas vu arrivé.
Le type est aussi maigre que moi je suis bien portant. Il me dépasse d'une tête et je nous vois dans le reflet de la vitre du café. " Pas possible ! On dirai Laurel et Hardy inversés ", Normalement le gros est grand et le maigre est plus petit, non ?
Après une bonne demie heure à parler de tout et de rien et où j'attends qu'il ouvre les hostilités il me dit :
- Tu habites loin d'ici ?
- Non... À moins de mille mètres. Mais je t'ai dit que je ne pouvais recevoir !
- Non, non c'était seulement pour savoir si tu étais en voiture ou à pieds... Au lieu de boire ici, nous pourrions aller chez moi... J'habite à moins de 400 mètres et je n'aime pas parler de certaines choses dans la rue.
Je le regarde avec insistance et lui réponds " il n'était pas question d'un plan aujourd'hui ! "
- Non, non ce n'est pas un piège. De toute façon tu n'es pas travesti.
- heu, hormis ma chemise, tous mes autres vêtements sont féminins.
- t'as des dessous ?
- Oui. Bas, porte jarretelle, string, pantalon, pull et les chaussures.
- ouah ! Je vois que ton sac aussi est féminin.
- Oui... Il me suit partout. C'est mon sac à malice.
- Tu excites ma curiosité... Alors, on va chez moi ?
- Ok pour visiter ton appart seulement !
En cinq minutes nous sommes dans son appartement. Et là il me propose une boisson. J'opte pour un " Orangina " et lui il prend une bière. Nous nous asseyons sur le canapé et reprenons le fil de notre conversation du café.
- Alors tu n'as que des vêtements féminins sur toi ?
- À part la chemise, oui. Dalleur si tu regardes d'un peu plus près, le pantalon l'ouverture de la braguette n'est pas dans le bon sens.
- Mais oui !
Et le voilà qu'il porte sa main sur le zip de ma braguette et l'ouvre jusqu'en bas.
- Hé ! Pas de plan aujourd'hui. C'est bien ce que tu m'as dit ?
- Je voulais voir si tu as vraiment des dessous de femelle. Je peux bien voir ça ?
Je vois bien où il veut en venir et moi je n'ai pas envie d'un simple Orangina. Alor je dégrafe le haut du pantalon et le descend à mi-cuisse.
- Putain ! Mais c'est vrai t'as un porte-jarretelle et des bas ! MONTRE c'est trop bandant.
Au moment où je me lève il tire sur le pantalon qui se retrouve à couvrir mes chaussures. Je vois une belle bosse se former sur son short et voyant cela je sens que je vais lui céder à la première proposition. Mais il ne dit rien. Il me prend simplement la main et m'attire à lui. Comme j'en avais le pressentiment, je lui obéis.
- Tournes toi. Que je puisse voire.
Alors que je sais qu'il m'est encore possible de tout stopper je n'en fais rien et je tourne sur moi-même. Comme une aguicheuse je cambre même le bas du dos pour le faire baver.
- Houai... Fais la dance du ventre, montre-moi ton cul.
Et moi je tortille des fesses et mets en manoeuvre mon bassin. Tout ça m'émoustille autant que lui et des envies inavouables commencent à germer en moi.
Je crois que j'ai autant envie de gouter au fruit défendu qu'il a envie de me le donner.
Quand j'arrête de faire le guignol, je m'aperçois qu'il a baissé le short et le slip. La trique qu'il porte en entre-jambes n'est pas pour me freiner. C'est même le contraire.
Il porte un braquemard bien au-dessus de la moyenne. Pas très longue, environ deux largeurs de mains. Mais d'un diamètre qui le classe parmi les sommets. Je dirais trois doigts, peut-être plus. Il me tire à lui et me prend par les hanches.
Il me force à me baisser. Je ne devrais pas lui céder, nous avions convenu pas de plan cul aujourd'hui.
Mais voilà, j'en ai tout autant envie que lui et je me retrouve à genoux entre ses jambes.
- Allé ma belle, montres-moi que t'es une vraie cochonne.. J'aimerais que tu me la suce.
Alors je le regarde avec beaucoup d'envie et prend en main son sexe.
Il est vraiment gros. Je ne parviens même pas à en faire le tour, il me manque au moins quatre centimètres. Le touché en est tout doux et chaud.
Ce touché déclenche en moi des sensations de désirs. Je me la voie entrer au plus profond de mon intimité.
Dès cet instant je sais ce qui va être la suite de notre rencontre.
Mais là, à présent, je caresse son gland avec la paume de ma seconde main. La bête aime ma caresse et le montre en prenant de la raideur. Je lui fais des va et vient puis il pose sa main sur ma tête.
Il n'a même pas besoin d'insister, je m'approche, les lèvres déjà entre-ouvertes. Comme pour me dire " allé, commence à me sucer " il a avancé son bassin sur le bord du canapé et a basculé le corps en arrière pour prendre appui sur le dossier.
Placé ainsi j'ai son sexe juste sous le nez. Il est en bonne place pour ce qu'il attend de moi et moi je le regarde dans les yeux. Ce que j'en vois c'est qu'il est impatient que je commence au plus vite.
Mais c'est que la bête est hyper grosse pour les capacités de ma bouche. Je la regarde, je la jauge. Mais elle ne pourra pas entrer.
Pourtant le désir fini par devenir impératif. Je veux absolument la gouter, en connaitre les arômes, il faut que je fasse quelque chose. Je regarde son visage alors que je lui dépose un doux baiser sur le gland. Il sourit. Je parcours de ma langue le long de sa couronne pour finir sur le frein, que je titille.
Sursaut et son bassin part en avant alors que sa tête bascule à l'arrière et après un gémissement il dit " Oh putain ! Continu c'est trop bon ".
Donc petites lichettes entre le frein et la petite fente. La réaction ne s'est pas fait attendre. La bête prend de la raideur. Dans un souffle il lance un petit crie qui se termine en gémissement et me plaque la tête sur sa pine.
J'essaie de prendre en bouche son gland mais il risque de se faire mal sur mes dents. Je ne peux pas prendre ce risque, alors je le sucer quand même et lui procurer du plaisir qu'il attend de moi.
Je parcours de ma langue toute la longueur de sa hampe en la mouillant au maximum. Puis je lui suce toute la surface du gland pendant que d'une main je le masturbe et de l'autre lui masse les burnes, plus deux doigts qui lui caressent le périnée. Il se tend, bascule la tête en arrière, place ses mains sur ma tête et appui au moment où j'attaque les burnes. Le nez prit dans les bourses j'étouffe, je tourne un peu la tête sur le côté et continu mon travail de mise en forme.
Voilà plusieurs minutes que je le travail au corps et ce n'est plus une bite que j'ai en main, mais une trique raide comme une barre de fer. C'est l'instant qu'il choisit pour me tendre un préservatif. Il me sourit et me dit " Je ne tiens plus, tu m'as trop excité je vais te défoncer l'anus ".
- chiche !
- Met-le.
Alors je déroule la gaine de latex le long de son phallus droit comme un menhir, bien sûr tout en continuant mes gâteries.
Il me repousse doucement et se lève.
Il n'a pas dit un mot et pourtant je prends sa place et me met à quatre pattes sur le canapé. Tout en me caressant les fesses, il me descend le string et je sens sa main s'orienter vers ma raie.
Son doigt pointe sur l'entrée de mon petit trou intime et fait des ronds tout autour de plus en plus serrés et de plus en plus appuyés. Je prends tellement de plaisirs à ce petit jeu que je suis surpris et déçus quand brusquement il s'arrête et se retire.
La déception est de courte durée. Son doigt retrouve sa place mais il est tout froid par l'ajout d'un gel lubrifiant. Alors que son doigt s'enfonce énergiquement, avant l'irréparable, je proteste " Nous avions dit pas de plan aujourd'hui ".
- alors j'arrête là ?
Je n'ai même finis de comprendre sa phrase que je m'entends lui répondre " Ah NON ! " Et là je réalise que je viens de perdre tout contrôle. Il y aura bien un plan cul aujourd'hui.
Il me masse depuis quelques minutes l'intérieur de mon anus, ajoute du gel et un second doigt prend place. Bientôt suivi d'un troisième. Encore du gel et les quatre doigts sont en moi. Ils entrent puis ressortent pour replonger à nouveau. J'ai le sphincter complètement ouvert.
- Ma salope tu es prête pour une bonne défonce.
- Oui, mais elle est grosse... Elle est même très grosse.
- Mais non... je vais y aller doucement.
" oh putain ! Il va me déchirer. Elle est bien trop grosse... Comment va-t-il faire ? "
C'est là que je comprends qu'il sait s'y prendre. Je sens son gland se promener le long de ma raie. À chaque passage devant mon anus il s'arrête et appuis. À chaque passage l'appui est un peu plus fort que le précédent. Contrairement à la peur que j'aie, je ne ressens aucune douleur.
Ma corole s'ouvre doucement comme une envie d'en recevoir plus.
Le gland est entré et là il s'arrête tout en maintenant la pression. Puis il ressort et s'enfonce à nouveau.
Les dix premiers centimètres de son membre sont un vrai régal. C'est tellement bon que moi-même je me plante en entrant de plus en plus profondément et ressortant très peu.
Voilà bien cinq ou six minute que je me baise tout seul quand il reprend le flambeau.
- Et bien, ma salope t'es une sacrée gourmande.
J'ai le fion complètement distendu et pourtant j'en veux encore plus.
- Baiiseee moa plu's fooonnd.
Et là il met le turbo. Il me pilonne... je sens à présent ses burnes me frapper les fesses.
Ma respiration est bruyante et se module au rythme de ses coups de reins. Je gémis sur le même rythme, qui devient ensuite des plaintes.
Non... Pas de douleurs, bien au contraire. Tout dans mon délire, je ne me souviens plus ce que j'ai pu lui sortir. Mais apparemment cela l'excitait un max.
Après un temps qui m'a paru un peu court, il se retire et me demande de me mettre sur le dos. Il prend mes jambes pour les placer sur ses épaules et de nouveau, entre dans mon intimité.
Mais, je ne sais pourquoi c'est sans brutalité. La pénétration se fait tout en douceur, même si elle est toujours à fond. D'ailleurs il va bien plus loin. Au point où cela devient pour moi un régal. Il me regarde puis sourit.
- Tu aimes ça hein ?
- Oh ouuiii.
- T'es une bonne salope, mais t'as un cul serré et je vais t'arroser les boyaux.
" Du latex surement. Il a oublié qu'il a son préservatif ".
Mais il n'est pas seul à prendre son pied. Je ressens les prémisses de la jouissance qui me travaillent la rondelle et le bas ventre. Chose qui ne m'était plus arrivé depuis des années JE BANDE !... HOUAI, JE BANDE !
De nouveau, il sourit. Puis m'attrape par ma petite verge et, tout en me baisant il me masturbe. Il le fait sans aucune brutalité... Il ne me sodomise pas... Il me fait l'amour et nous jouissons de concert... Avec les mêmes râles, les même soubresauts et il s'écroule sur moi comme terrassé.
Je n'ai plus de force et je m'écroule sur le canapé avec grande difficulté à respirer.
Nous restons ainsi un certain temps. Lui toujours avec sa verge dans mon intimité. Même si elle s'est ramollie elle me remplit bien l'ampoule rectale.
Enfin arrive le moment de se dissocier et finit par me dire merci.
- Tu rigoles ! C'est moi qui te remercie de ne pas t'être comporté comme la majorité des types. Tu m'as baisé tout en douceur... J'ai pris un plaisir incroyable... Tu m'as fait bander alors que je ne connaissais plus ce plaisir depuis des années.
- A moi aussi tu m'as procuré bien du plaisir. J'aimerais que l'on remette ça une prochaine fois... Si tu es d'accord bien sûr.
Nous avons encore discuté pendant plus d'une heure sur nos goûts
Cette journée s'est passée au début du mois de juin. Les trois semaines qui ont suivi ce fut le silence complet et j'en ai conclu que l'aventure s'arrêtée là.
Et non ! Le lundi matin suivant il me contacta pour me demander de venir dans l'après-midi.
Je l'acceptai avec grand plaisir.
Depuis deux à trois fois par semaine nous nous rencontrons. Il me fait toujours l'amour avec la même délicatesse pour ma plus grande joie. J'ai laissé tomber toutes mes rencontres pour être à son entière disposition. Il peut tout me demander, je suis à son entière disposition.
Mimi83
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