Je me présente Guillaume, 40 ans, petit gabarit d'1,68m pour 57 kg. Mon récit relate un bon plan vécu hier après-midi.
Etant en repos, je décide d'aller faire une promenade dans un bois où j'avais déjà fait quelques rencontres. Mais cet après-midi, déception... J'avais oublié que nous sommes, fin avril, en période de ramassage du muguet. Beaucoup de voitures sur le parking, certes, mais surtout des ramasseurs et ramasseuses... Je poursuis tout de même mon projet : me promener.
Je m'éloigne des personnes lesquelles le dos courbé, le nez à terre ramassent le muguet que je maudis car j'ai bien envie d'un bon plan... Je marche, maugréant malgré moi contre les présences féminines que je considère comme des intruses en ce bois...
Je m'enfonce un peu plus quand je croise un couple de ramasseurs. Mon regard ne s'attarde pas sur la femme mais sur l'homme... Il a la cinquantaine, plutôt viril, plus petit que moi mais trapu. Il porte un bermuda qui laisse voir des mollets musclés et poilus... Son regard croise le mien qui dans ces conditions doit être particulièrement vicieux car l'homme baisse les yeux... Je m'arrête tandis que le couple continue son chemin. L'homme ne peut s'empêcher de se retourner pour me regarder... A-t-il mordu à l'hameçon de mon désir?
Je regarde le couple s'éloigner puis s'arrêter. L'homme parle à sa femme, je ne comprends pas, ils sont trop loin... L'homme se sépare de sa moitié pour s'enfoncer dans le bois. Qu'a-t-il prétexté? J'y vois surtout l'occasion de saisir ma chance et décide de suivre l'homme à bonne distance...quand, mince, il a disparu de mon horizon... J'entends tout à coup une toux, je m'approche et de dos reconnaît l'homme. Il est en train d'uriner...
Je me pose non loin de lui pour faire la même chose... La situation m'excite... L'homme prend son temps. Je finis d'uriner. Je me retourne, l'homme a un peu baissé son bermuda pour laisser voir le haut de ses fesses. J'ose y lire une invitation...
Je m'approche, il ne bouge pas, je devine, au mouvement de son bras, sa main qui secoue son sexe. Hardi, arrivé à son niveau, je me saisi de ce sexe. Il est épais, mi-mou, mi-dur... Je me plaque contre son cul, je bande. Il commence à remuer contre moi et se frotte. Il se retourne, me tend ses lèvres...
L'homme s'est lubrifié avec sa salive. Il me présente son cul, je présente ma queue bien dure à l'entrée. L'accès est aisé, il doit être très excité.
Mes pensées vagabondent quand je me souviens que l'homme est accompagné. Que fait sa femme ? Sans doute trop absorbée par le muguet ? Cette fois je me dis "Béni soit le muguet!"
Et pourtant, si Madame cherchait Monsieur. La situation augmente mon excitation. Comment réagirait-elle si elle découvrait son mari en train de se faire sodomiser en y prenant du plaisir. En effet de petits gémissements me suggèrent que ma queue fait du bien à Monsieur.
Sa respiration s'accélère et soudain je comprends qu'il a joui : son anus se contracte et me sert davantage la queue. Je maintiens la position car je n'ai nulle envie de déculer. Je renforce le va et vient car c'est à moi de jouir. J'envoie la sauce...dans le condom. Je décule.
L'homme se relève et ajuste boxer et bermuda. Il s'en va après un rapide "Merci, c'était bon." De mon côté, j'allume une cigarette plaisir que je m'offre après chaque jouissance. Je peux continuer ma promenade.
jrmec1385
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