Bonjour à tous !
Je vous épargne les petites lignes pour vous expliquer que moi aussi je me mets (enfin) à écrire des histoires, car je pense et suis presque sûr que vous n'êtes pas ici pour lire ça ?
Voici donc ma première histoire qui est le fruit d'un mélange entre fantasme et imagination.
Cette histoire va relater les aventures de Julio. Chaque chapitre se rapportera à l'une de ses histoires.
Il se peut que chaque chapitre ait une suite : à vous de me dire.
N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de mes histoires : toute critique constructive est bonne à prendre ! Bonne lecture ?
Préambule
Julio que l'on prononce " Rulio " a 19 ans et se défini comme bisexuel.
Il est doté d'un sublime bronzage doré. Il porte une coupe de cheveux moderne, les cheveux châtains, les yeux en amande de couleur marron.
Du haut de ses 1m70, Julio n'est ni maigre, ni obèse : il ne pratique pas de sport. Il estime que marcher 15 minutes pour aller à la fac ne le dérange pas. C'est vrai que si on compte tous ses allers-retours quotidiens, ça passe !
Comme vous le voyez, on remarque déjà que Julio est très calculateur, très intelligent.
Devant les gens en générale, il fait le rigolo. Une qualité pour trouver l'amour me direz-vous ? Pas forcément, il a été en couple que deux fois. Il a du mal à s'accrocher aux gens : il faut qu'il soit stimulé mais pas trop, car tout peut le gonfler si vite.
Cependant, quand Julio pause ses yeux sur quelqu'un, il s'avère déterminer.
Chapitre -01 : Quentin
Retour au lycée, en seconde plus particulièrement.
Julio aime retrouver ses amis au lycée, il aime y passer du temps car chez lui il se fait chier. Mais c'est vrai que les cours sont parfois longs et qu'il rêve d'une bonne sieste dans son lit, son lit qui d'ailleurs est la seule personne en qui il fera toujours confiance.
L'histoire se déroule un beau jour de printemps, en plein mois de mai. Ce jour-là, Julio a une heure de trou. Il suit donc son groupe pour aller profiter du soleil qui tape déjà.
Son groupe rejoint un autre groupe pour aller fumer. Lui ne fume pas mais aimerait bien fumer autre chose de l'un de ces gars de terminale si beaux et si populaires au lycée.
Quand Julio s'assied, il tombe nez à nez avec Quentin, sapeur-pompier volontaire. Il ne sait pas ce qu'il lui arrive, il n'a jamais ressenti ça avant : il ne le quitte pas du regard, et son corps pétille.
Quentin fait 1m76. Il est parfait : les manches de son tee-shirt se collent parfaitement sur ces gros bras. Ses yeux en amandes sont si charmants, son regard et son sourire blanc eux sont envoutants.
Son tee-shirt moulant au gros col rond laisse deviner don torse garni de poils de portugais. La dose est parfaite. On voit bien aussi ses pecs dessinés tout comme ces abdos. Sa musculature est parfaite : ni pas assez, ni trop.
Les jours passent et chaque fois que je croise Quentin quelque part, mon attitude change.
Au fil des jours, je réussi à me renseigner délicatement sur lui tel un psychopathe et j'apprends que Quentin est en couple avec l'une de ces nombreuses morues du lycée. Au lieu de me refroidir, et bien cette révélation me chauffe encore plus.
Je prends donc les devants et me lance : Je commence par le demander en ami sur Facebook juste avant de partir au cinéma un vendredi soir à la séance de 23h30. Une fois l'invitation envoyée, je pars au cinéma en pensant fort à lui. Je rejoins une copine, nous prenons nos places et nous installons au fond de la salle. C'est une petite salle, car le film ne fait plus beaucoup d'entrées du fait qu'il soit sorti il y a déjà longtemps.
Nous sommes 3 dans la salle. Nous échangeons d'ailleurs sur Quentin. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai un présentiment.
(Moi) Imagine y'a Quentin qui vient *mdrrr*
(Elle) Ça serait une putain de coïncidence !
Nos échanges continuent sur tout et n'importe quoi, quand soudain, Quentin rentre accompagné de... sa morue ! Je regarde alors ma pote d'un air joyeux et choqué qu'il soit là !
Le beau portugais monte les escaliers et vient s'asseoir devant nous. Je suis aux anges, rien que de le voir je suis émoustillé.
Bref de toute manière je suis venu ici pour regarder un film, donc je reprends mes esprits.
Après cette bonne sortie, ma pote et moi rentrons chez nous séparément.
Moi je rentre avec les hormones en chaleur : Pris dans cet élan, j'envoie un message à Quentin sur facebook.
(Moi) Salut !
Ce petit con me lâche un vu. Je ne démords pas !
(Moi) Tu n'étais pas au cinéma tout à l'heure ?
Il me répond enfin, mais froidement ! A se demander si sa morue n'a pas vu quelque chose dans mon jeu et si ce n'est pas elle qui répond.
Mais bon il ne m'a pas mis de point, comme s'il était gêné mais qu'il voulait continuer à parler. (Oui, quand je suis sur quelqu'un, j'analyse tout. Un point veut tout dire)
(Lui) Si
Je lâche ensuite l'affaire et n'y pense plus pendant une semaine. J'essaye de l'éviter au lycée car je me sens ridicule. J'ai quand même peur que sa copine ai vu et que sa copine balance que j'ai une attirance pour les gars. En particulier pour le sien.
Le samedi de cette semaine, c'est l'anniversaire de ma voisine. Elle fait naturellement une soirée chez elle. Je m'y rends vers 19 heures. Quand j'ouvre la porte, devinez sur qui je tombe... Sur Quentin !
Quelle gêne, je ne vous explique même pas. Il a dû comprendre mon petit jeu. En même pas mes regards insistants et tout, c'est chelou et ça peut faire peur ! En tout cas je relève qu'il est habillé très classe, et que sa barbe bien garnie est super bien taillée.
Bref la soirée se passe tranquillement. Quentin est fin plein, moi un peu moins que lui.
En fin de soirée, certains rentrent chez eux. J'ai appris que Quentin dormait ici.
Je fais donc exprès de jouer " les fin pleins " lorsque ma voisine me demande quand je rentre. Elle connaît bien mes parents et sait très bien que si je rentre fin mort je vais faire un bouquant : mes parents me tueraient alors le lendemain matin.
(Elle) Tu vas rester ici cette nuit Julio ! -me dit-elle
(Moi, très conscient, mais toujours en train de jouer un rôle), je répondit Ouai ouai..
Pendant notre discussion je vois Quentin monter dans la chambre d'ami.
Ma voisine elle fait le tour pour savoir qui va rester dormir ici. Il s'avère que ses calculs sont mauvais. Elle sait que je déteste dormir avec quelqu'un, que j'aime bien m'accaparer un lit double. Seulement il n'en reste plus de libre. Le dernier lit pris est celui de Quentin.
(Elle) Le dernier lit double est pris : Quentin est allé s'installer je crois, et je vais pas le virer... Je vais dormir avec lui si tu veux ça ne me dérange pas !
(Moi) Oh bah non t'inquiète c'est chez toi ici, je ne vais pas te virer de ta chambre.
(Elle) Ok, bah tu sais ou c'est !
(Moi) Oui merci, bonne nuit.
A ce moment-là, je ne sais pas comment la nuit va se passer, mais je suis excité intérieurement. J'ai envie de sauter partout. Pour moi c'est un truc de ouf de pouvoir dormir avec Quentin.
Je rentre alors dans la chambre en tombant sur Quentin. Il est en train de se déshabiller.
(Moi) Oups désolé je ne regarde pas... (mon cul ouai que je scrute pas grâce à la vitre)
(Lui) Euh tu fous quoi là toi ????????
(Moi) Y'a plus de place pour dormir, elle m'a dit de venir ici.
(Lui) Ah ok... (Son intonation montre vraiment qu'il est déjà saoulé, mdr)
Bref, on se déshabille les deux : on se met en caleçon. Ce petit con profite de l'instant ou je me change pour s'introduire dans le lit. Et oui... histoire que je ne vois rien de son beau bronzage...
Quand je me mets dans le lit, silence radio. Encore une fois, je ressens de la gêne.
Bref je ne l'entends pas, et me couche en me consolant. En effet, je me dis qu'au moins j'aurais dormi dans le même lit que lui.
Alors que je tape une insomnie, vers deux heures du mat' je sens ses pieds froids toucher ma jambe. Je sens aussi son corps se coller à mon dos. Mon dieu, son torse est tout chaud, il sent bon et son souffle m'excite. Ses petits poils de portugais me chatouillent.
Cette situation me rend dingue et je n'arrive pas à contrôler mon évidente érection.
Je bande de plus en plus dur quand Quentin passe son bras droit musclé jusqu'à mon téton.
Je ne bouge plus pendant 10 minutes. Ma bite toujours pas redescendue commence vraiment à me faire mal...
Et je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression que quelqu'un prend possession de moi quand tout à coups, je remets délicatement Quentin couché sur le dos.
J'entrevois enfin tout son corps : lui aussi bande... Il doit être en phase de sommeil profond, tant mieux !
Comme Cupidon est en moi à ce moment, je me lève du lit et vais jusqu'à sa table de chevet pour allumer la petite lumière. Je prends ensuite ses fringues et les renifles comme un chien renifle de la bouffe.
Son odeur corporelle est vraiment envoutante...
D'un coup, me vint une idée ! Je prends son tee-shirt et délicatement vient lui bander les yeux.
Je me remets ensuite dans le lit dos à lui qui entre temps s'est tourné une nouvelle fois en ma direction.
J'en profite alors pour reculer mon beau petit cul bombé vers sa bite. Je fais exprès de la caresser. J'enlève ensuite mon caleçon car ma bite me fait vraiment trop mal, et reprends mon activité.
Lui-même bande à fond. C'est alors que je le recouche sur le dos.
Je commence à effleurer son caleçon avec mon nez : ça sent l'homme !
A ce moment-là, j'ai tellement les hormones en feu que je suis incontrôlable. J'ai le démon en moi, une vraie petite chienne assoiffée.
Quand j'enlève son caleçon avec mes dents, son grand 18cm me fou une grosse biffle sur le front. Sa bite est très belle, encore plus belles que ce que j'ai pu voir sur les sites de cul. Elle est bien symétrique, son gland est bien rond, fin quand tu la voie t'a vraiment envie de la bouffer quoi.
Je ne sais pas pourquoi mais son souffle commence à s'accélérer. Il est différent de son sommeil profond. C'est vraiment bizarre, mais je ne me pose pas plus de questions que ça.
Bref, je commence à engober sa bite et à la sucer comme si c'était une sucette. Je crois que je ne me suis jamais aussi bien appliqué à sucer. J'essaye d'extraire le jus en pompant vraiment bien, mais rien ne sort.
D'un coup Quentin bouge. MERDE ! Il se réveille et commence à gémir. Moi je me retire délicatement comme si je n'étais pas dans la pièce. Je ne bouge plus et ne fais plus de bruit. Lui ne voit rien grâce à ses yeux bandés.
20 secondes après, il s'adresse à quelqu'un en donnant un ordre :
(Lui) Vas-y !
Il parle forcément à moi puisque que je suis le seul ici et qu'il est réveillé. Mais sait-il que c'est bien moi ? Il commence à remonter son dos contre le mur, et met ses bras en arrière en s'étirant contre sa tête. Cette position est excitante ! Bref je m'en fou, et m'exécute après m'être légèrement réavancé sur le lit. J'englobe tout et continue de m'y prendre bien.
D'un coup je sens des vas et viens jusqu'à ma gorge. Euh il est en train de faire une gorge profonde !! J'adore !! Ses vas et viens sont de plus en plus fréquent, et la vitesse de plus en plus forte.
Il s'arrête et se repose. Je continue de le pomper. Je pose les mains sur son torse pour le toucher car ça m'excite.
D'un coup je sens sa bite remontée. Comme quand on a des hauts le coeur. Je goûte en même temps un léger liquide bien amère et bien chaud. Bref, il est sur le point de jouir quand il enlève le tee-shirt. Il tombe nez à nez avec moi. Je n'ai pas le temps de le fixer qu'il me gobe mes lèvres avec les siennes si pulpeuses.
Je me réavance jusqu'à lui pour me mettre à genoux et mieux l'embrasser. Ma bite se frotte vers son nombril. J'en profite d'ailleurs pour lécher son beau corps.
Au fil de nos langoureuses galoches, il me rentre d'un coup sa belle bite.
Ou, quel mal de chien ! Je vous l'ai pas dit, mais c'est la première fois ! Ce petit con me rentre sa bite en me mordillant les lèvres pour répartir la douleur et ainsi penser à quelque chose d'autre.
Bref j'enlève mes lèvres des siennes et la pose sur l'une de ses épaules quand soudain le marteau piqueur se met en marche. J'ai l'impression qu'on est en train de creuser un trou à l'intérieur de moi.
Du coup je commence à gémir moi aussi, mais, pour ne pas éveiller la curiosité des autres fêtards, il pose la grosse main sur ma bouche.
Entre temps, il ne chôme pas, s'amuse à tourner, faire des pirouettes en moi et toute sortes de jeux d'hétéros débile.
Moi tout ça me plait, je n'hésite pas à changer de positions pour que sa virilité se confirme. Je me mets vraiment dans des situations où il peut se sentir supérieur à moi, cela à l'air de lui donner de la niaque !
Puis arrive le moment où il veut juter. Moi je suis assis comme une chienne mes mains agrippées à ses pecs.
(Lui) Je peux faire ça en toi ?
(Moi, n'ayant jamais fait et pris de peur) Euh, bah je sais pas j'ai jamais fait ça.
(Lui, très doux et très rassurant, en me caressant sensuellement comme si j'étais un bébé) C'est comme tu veux mon chat
(Moi) Dans ma bouche !
Il se retire et s'exécute.
Mon dieu, depuis quand n'a-t-il pas fait quelque chose ? Au moins 10 giclées de foutre bien blanc et bien amère finissent dans mon oesophage.
Ses râles en gémissant me font peur : j'espère qu'il n'a réveillé personne.
Une fois tout terminé, ce petit con se barre à la salle de bain de la chambre d'ami prendre une douche le moins bruyamment que possible.
Moi je m'allonge sur le lit car je suis crevé !
Quand il revient, il me dit dis d'aller à la douche puis m'embrasse.
J'y vais sur le champ, mais quand je reviens cette bête dort déjà !
Comme j'ai eu ce que je voulais, je peux m'endormir tranquillement. Mon insomnie est terminée.
Le lendemain je me réveille sans Quentin qui est déjà rentré chez lui. Je suis un peu déçu de ne pas remettre ça au réveil, mais c'est comme ça !
Comment ça va se passer la prochaine fois qu'on se verra ?
Sa copine sera-t-elle au courant ?
Julio
aventures.julio@gmail.com
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