PETIT DISCLAIMER :
j'ai écrit cette histoire suite à ma lecture de la fanfiction " L'envie d'un fils ", un inceste Goku x Gohan, une fanfiction que vous pouvez retrouver en suivant ce lien : https://www.fanfiction.net/s/9588323/1/L-Envie-d-un-fils ayant beaucoup apprécié l'histoire, j'ai pris l'initiative d'inventer une suite à celle-ci. La voici :
Plusieurs semaines ont passé depuis que Gohan a couché avec son père, Goku. Enfin, du point de vue de Gohan ce n'est pas suffisant, il n'a pas complètement couché avec son père : il lui a seulement " offert ", légèrement contre son gré, une fellation. Pas assez donc. Toutefois, Gohan a pris un plaisir monstre, le plus marquant de toute sa vie en fait. Jamais il n'a été aussi excité et satisfait avec Videl ; non, cet " incident " sexuel avec Goku est bel et bien son meilleur souvenir. D'ailleurs, Gohan commence à ressentir un manque toujours plus fort et obnubilant : celui de renouveler l'expérience avec son père. Gohan se sent toujours autant attiré par Goku, et même de plus en plus, surtout depuis qu'il a pu profiter de son corps et sucer son sexe imposant. Et c'est peu dire que de parler ainsi : Gohan a désormais ni plus ni moins que l'envie de coucher avec son père, pour de bon cette fois. Il ne désire plus qu'une chose : aller jusqu'au bout et enculer son père. Si Gohan se voit facilement polyvalent, son désir le plus grand est de dominer son père, de le prendre. Savoir que Goku est hétéro et quelque peu dominant l'excite énormément : la perspective d'enculer son père pour la première fois, lui faire ce que personne ne lui avait jamais fait le fait fantasmer. Ceci dit, ce que Gohan a du mal à s'avouer c'est qu'il a peur que ce soit, à l'inverse, son père qui l'encule. Gohan a eu le loisir de voir combien le sexe de Goku était énorme : trop long et trop large pour ne pas crier de douleur si celui-ci vient à l'enculer, pense-t-il. Si son père le domine, tout comme il l'a dominé quand il lui a offert cette fellation, il souffrirait atrocement et gâcherait le rapport sexuel qu'il espère tant. Mais au fond de lui il sait bien que l'idée de se faire enculer par Goku lui plait : son orgueil le trompe, il veut avoir le dessus sur son père pour lui prouver sa virilité, pour que son père cesse de le voir comme un jeune homme qui a besoin d'être protégé. Il veut défier par là-même l'autorité paternelle.
Malheureusement pour lui, depuis l'incident, son père est devenu plus distant, plus froid avec lui, et fuit tout contact. Ils ne s'entrainent même plus ensemble. Si auparavant Goku se baladait facilement nu devant ses fils sans être gêné, désormais il fait preuve d'une extrême pudeur en ne se montrant qu'habillé ou bien en fermant désormais les portes des pièces dans lesquelles il est amené à se dénuder.
Malgré tout, vient un jour où Goten part en vacances chez son ami Trunks et où, pour une énième fois, Chichi décide de faire une pause dans sa vie de couple avec Goku, car celui-ci ne lui donne décidément pas toute l'affection, l'attention et tout le soutien dont a besoin une épouse et mère de famille. Ah les femmes ! Ce jour-ci, Gohan sent qu'il a enfin une chance de provoquer un nouvel " incident " entre son père et lui.
Alors que Chichi et Goten sont donc partis séjourner chez la petite famille de Végéta, Goku et Gohan doivent passer plusieurs jours seuls, ensemble, dans la petite maison de la famille. Cette situation amène donc forcément les jeunes sayens à déjeuner ensemble et à discuter, ne serait-ce qu'un tout petit peu, puisque Goku évite toujours un maximum de se retrouver seul avec son fils ainé.
Un soir, à table, Gohan décide de briser la glace, de mettre les pieds dans le plat comme on dit, en amenant le sujet de discussion tabou : l'après-midi du dérapage. - " Bon... Ça devient vraiment insupportable là... Tu me fuis depuis quatre semaines déjà ! Tu ne m'adresses presque plus la parole et tu es d'une humeur exécrable du matin au soir ! C'est maman qui en paie le prix maintenant... Alors je te le demande : qu'est-ce qui ne va pas ? "
Goku, qui est assis face à son fils, redresse la tête et plonge son regard dans celui de son fils : " Qu'est-ce qui ne va pas ?! J'ai couché avec mon fils et tout devrait bien aller ?! Eh bien non ! Figure-toi, Gohan, que je n'en dors plus la nuit de savoir que j'ai eu une telle relation avec mon propre fils ! Cette histoire n'aurait jamais dû arriver ! Tu entends ? Jamais ! Ici, le sexe, ça ne doit pas être autre chose qu'une histoire privée et secrète entre moi et ta mère, c'est tout ! Je te le dis, au cas où tu n'aurais pas compris : je regrette ce qui s'est passé. "
Gohan déglutit avec peine : " Nan, mais oh ! On était consentants que je sache ?! Je ne t'ai pas forcé ! Si au début je te suçais à ton insu, tu as ensuite ouvert les yeux et tu m'as permis de te sucer à nouveau ! Et puis surtout, tu as pris ton pied autant que moi ! Tu as éjaculé je te signale ! Et assez rapidement en plus ! Preuve que tu étais excité ! Non ? C'est pas vrai ce que je dis ? "
Goku, qui est de plus en plus mal à l'aise d'avoir ce genre de discussion avec son fils, essaie de trouver une parade aux arguments de son fils : " Non je ne t'ai pas autorisé ! Tu as profité de mon trouble, du malaise pour recommencer ! Tu as très bien vu que j'ai immédiatement débandé quand j'ai vu que c'était toi qui me suçais et pas ta mère comme je le pensais ! Je suis hétéro comme je te l'ai dit, pas gay. Et pire encore : je ne veux pas coucher avec mon fils ! "
Sûr d'avoir fait du bien à son père et conscient qu'il avait moyen de troubler à nouveau Goku, Gohan rétorque : " Peut-être ! Ok ! t'es hétéro, tout ça, tout ça ! Ok, l'inceste c'est pas bien machin, machin ! Moi, tout ce que je sais, et que toi-même, au fond, tu sais aussi, c'est que je t'ai fait bander et jouir en te suçant ! Tu m'as vu le faire ! Tu as même posé une main sur ma tête pour accentuer le rythme de mes vas-et-viens ! Tu as délibérément choisi de me limer la bouche, de profiter de ce que je t'offrais ! "
Goku s'énerve. Beaucoup contre lui-même, car il sent qu'il arrive à court d'arguments et d'honnêteté. - " J'ai pris mon pied, car j'ai fermé les yeux et imaginé être ailleurs avec quelqu'un d'autre ! Tu as pu me sucer parce que j'ai fait l'effort d'oublier que c'était toi qui me faisais ça ! "
Gohan est lui aussi en panne d'arguments, alors il tente le tout pour le tout : " Ose me dire que si là maintenant je me lève, si je viens de ton côté, et si je baisse ton boxer, je trouverai ta queue molle, et surtout ose me dire que si là, maintenant, je te refaisais cette fellation tu ne pourrais pas bander ! "
Goku sait bien qu'il s'est mis à bander en se remémorant malgré lui cette après-midi où son fils lui avait offert la meilleure des fellations, mais il cherche quand même à fuir tout risque de nouveau dérapage avec son fils décidément trop entreprenant. - " Gohan, fin de la discussion ! Je ne veux plus entendre parler de cette histoire ! C'est clair ?! On devait passer une soirée tranquille alors on finit de manger calmement, et puis on va se coucher. Changement de sujet ! "
Gohan, bien déterminé à faire craquer son père, se lève de sa chaise, fait le tour de la table, et s'agenouille à côté des jambes massives de Goku. Il a fait ce déplacement avec tant d'agilité et de rapidité que son père n'a pas eu le temps de comprendre ce qui se passait. Gohan a déjà les yeux rivés sur le boxer de son père, lequel est seulement quelques centimètres au-delà de son visage. Le sexe de Goku déforme complètement son sous-vêtement noir, moulé par ses jambes et ses fesses parfaitement musclées. Une incroyable barre gonfle en effet le tissu, non adapté pour contenir un si gros engin. L'imposant gland dépasse un peu de l'élastique du boxer. Gohan a vu tout cela avec un désir extrême au bord des yeux ; il a vu tout cela très brièvement, car, l'instant d'après Goku se lève en panique. Le père a peur de ce visage indécemment proche de son entrejambe. Il s'en écarte sitôt qu'il peut réagir face à cette situation qui le dépasse désormais totalement.
Au même moment où Goku se lève donc d'un bond de sa chaise pour s'éloigner au plus vite de son fils, il crie de surprise : " Gohan ! Qu'est-ce qui te prend bordel ?! ". Immédiatement après, il réalise que son saut ne l'a éloigné que d'une cinquantaine de centimètres de son fils : la cuisine est petite et Goku n'a pu que se coller au plan de travail situé juste derrière sa chaise. Il est comme acculé : Gohan n'a qu'à tendre les bras de chaque côté pour ceinturer son père. Alors voilà : contrairement à son intention première, Goku est debout devant son fils et il a son énorme érection à hauteur de son visage. D'ailleurs, Gohan louche dessus plus qu'avidement. Seul un demi-mètre les sépare.
Goku ne veut pas se l'avouer, mais, dans cette position, il tressaille de désir. Cela fait deux semaines qu'il n'a rien fait sexuellement. Il ne s'est même pas branlé, étant constamment anxieux à cause de la tension qui régnait dans l'air, entre lui et son fils. Il est en manque. Il le sait. Et Gohan est là, immobile, les pupilles dilatées, rivées sur le sexe paternel encore dissimulé par le boxer. Goku ne peut que frémir de désir face à un tel scénario. Ses barrières tombent, une à une. Il a envie de sexe. Il a envie de se faire sucer, il a envie de baiser. Son fils est là, il désire la même chose. Peut-il résister ?
Gohan avance sur ses genoux sans s'en rendre compte. Son père ne s'était que peu éloigné. Ses yeux fixent la bosse démesurée du boxer noir. Il est en transe. Il ne voit qu'elle. Il a envie de la toucher. Il avance encore un peu. Voilà. Il est à nouveau entre les jambes de son père, les yeux, le nez et la bouche juste en face de son boxer noir, plus qu'alléchant. Gohan entend son père déglutir avec difficulté et son flux de conscience s'élargit alors un peu : il n'est pas seulement face à une queue d'étalon, il est à genou devant l'étalon lui-même, Goku, son père ! Alors il lève les yeux tandis qu'il pose doucement ses mains sur l'extérieur des cuisses de Goku, au niveau du boxer. Son regard rencontre celui de son père, toujours paralysé par le désir, par la peur de l'interdit, de la découverte. Goku déglutit avec peine encore une fois. Son sexe tressaille aussi. Il ne peut pas bander davantage. Il sait ce qu'il va se passer. Gohan va le sucer. Il en meurt d'envie, il en prend conscience.
Gohan caresse les cuisses de son père, il fait glisser la pulpe de ses doigts le long de l'extérieur des cuisses, jusqu'aux genoux. La peau est glabre et douce. Le contact est un plaisir pour tous les deux. Les mains remontent, mais par l'arrière : Gohan caresse le dos des cuisses, très sensible. Son père, toujours immobilisé par ta tension sexuelle, a un frisson, et son boxer se tend encore plus. Bientôt, les mains de Gohan palpent tendrement les fesses de son père qui, guidé par son désir seul, s'est légèrement décollé du plan de travail pour permettre la caresse. Elles sont un fantasme à elles seules. La gorge du plus jeune s'assèche quelque peu. Les muscles sont parfaitement ronds, massifs et fermes. Il en a aussi envie de ces fesses. Le désir déborde Gohan, il se sent presque s'évanouir. Il tremble énormément et son coeur s'emballe.
Les yeux incrédules de Goku fixent ceux de son fils. Ils s'échangent leur désir immense. Les caresses de Gohan le maintiennent ici, elles ont une emprise sur son corps et sur son esprit qui ruine toute espoir de fuite et de retour à la normale... Le père aussi tremble de désir. Aucun mot n'a été prononcé depuis ce qui leur semble durer une éternité, mais il n'y en a pas besoin : ils savant aussi bien l'un que l'autre ce qu'il va se passer.
Gohan prend l'initiative de saisir les rebords de l'élastique du boxer de son père, et lentement commence à baisser le sous-vêtement. " Je peux l'enlever ? " demande-t-il, pour la forme, à son père, avec un grand sourire (presque) innocent.
- " Nan, Gohan... Ne fais pas ça, s'il te plait... ", répond un Goku qui ne dit pas ce qu'il pense. C'est un résidu de sa raison qui subsiste encore, et c'est presque malgré lui. Bien sûr qu'il a envie qu'il lui retire ce fichu boxer, que Gohan puisse enfin le sucer ! D'ailleurs son corps n'en fait qu'à sa tête, il se contorsionne légèrement pour faciliter la descente du boxer qu'a entrepris son fils !
Gohan a très bien compris que la raison de son père était à présent bien faiblarde comparée à son désir. Alors, tout sourire de voir le corps de Goku s'impatienter de désir, il fait glisser le boxer jusqu'aux chevilles, libérant ainsi le magnifique mandrin, qui vient virilement heurter la joue du jeune sayen. Gohan n'en peut plus, et alors qu'il s'apprête à se jeter le mandrin de son père pour le sucer, quelque chose attire son attention : pour que Gohan retire le boxer qui ceint encore ses pieds, Goku s'appuie contre le plan de travail et lève une jambe, puis une autre ; et Gohan, étant à genou, presque sous lui, porte instinctivement son regard sur le trou de Goku que celui-ci révèle ostensiblement à chacun de ses deux soulèvements de jambe. La raie de son père est presque imberbe, et au milieu, la rondelle est dégagée, rouge et bien ronde. C'est incroyable de penser cela, mais même son trou est parfait ! La grosse barre de Gohan - celui-ci n'a effet pas grand-chose à envier à son père concernant ses mensurations - durcit encore d'un cran, alors qu'il aurait juré que ce n'était pas possible tant son désir était déjà immense. Son envie de lécher, de titiller et de pénétrer cet orifice prend place dans son esprit, et il ne pense presque plus qu'à cela ; mais son envie de sucer le lourd gourdin de son père reste tout de même plus pressante. Sa malice encore à l'oeuvre, il planifie que, lorsqu'il aura sucé son père pendant plusieurs minutes, lorsqu'il l'aura sucé à lui en faire perdre la raison, son papa sera totalement libéré sexuellement, et Gohan lui proposera la feuille de rose. Il est certain qu'aujourd'hui est son jour : il va faire craquer son père, pour le plaisir de chacun.
Goku voit les yeux de son fils (presque exorbités de désir) quitter sa queue pour venir scruter avidement sa rondelle, le temps qu'il retire son boxer qui le gêne. Son fils a envie d'autres choses comprend-il alors. Goku, qui n'a jamais couché avec un homme, prend conscience que Gohan n'a pas seulement l'intention de le sucer comme la dernière fois, mais qu'il a plutôt dans le projet de l'enculer. Hors de question, se dit-il : il est hétéro, il n'a pas du tout le désir de se faire sodomiser, qui plus est par son fils. C'est lui l'homme dominant de la maison, alors si quelqu'un doit se faire enculer ici, ce sera Gohan ! En plus c'est lui qui est là, entre ses jambes, les yeux de nouveau fixés sur sa queue ! C'est lui le gay qui a envie de le sucer, de se soumettre, et sûrement de se faire bourrer le cul par une queue de mâle dominant ! S'il le faut, il lui montrera de quel bois il se chauffe !
Gohan, qui a reposé son regard sur l'énorme sexe, est comme hypnotisé. S'il a replacé ses mains de part et d'autre des cuisses de son père, il ne bouge plus, il déglutit seulement, débordé par le désir que lui suscite la vue d'un mandrin pareil. Il sent tout à coup une main ferme se poser derrière sa tête et pousser celle-ci en avant, de sorte que sa bouche se trouve plaquée contre l'énorme gland paternel. Puis cette main se retire subitement.
Goku, qui avait plongé dans les beaux yeux son fils, a vu tout le désir qui les écarquillait. C'était presque s'ils écumaient. Son problème, c'est que cette vue a comme anesthésié le petit bout de sa raison encore vigilent, et son désir l'a alors débordé : sans se rendre compte de rien, il a forcé son fils a coller sa bouche contre son gland, gonflé au possible. C'est seulement lorsque la bouche de son fils rentre en contact avec l'extrémité de son sexe qu'il réalise tout à coup ce qu'il vient de faire, à savoir demander explicitement à son fils de le sucer. Alors il retire précipitamment sa main, comme si ce retrait allait le faire passer pour une sainte-nitouche !
Gohan sort de sa torpeur. Trop heureux que son père, un brin autoritaire, l'invite silencieusement à le sucer, il porte une main sur la base de l'énorme sexe de Goku - elle en fait à peine les trois quarts du tour - et porte l'autre sur les lourdes et volumineuses bourses qui parfont le sexe paternel. Gohan manque de s'évanouir tant cette atmosphère de sexe, de désir interdit lui monte à la tête, et tant son plaisir est grand. Jamais son coeur n'a battu aussi lourdement. Un subit éclair de lucidité le fait cependant douter : se jeter immédiatement, tel un affamé, sur cette queue sans pareille, ou bien faire bisquer et languir son père encore un instant ? C'est qu'il veut entendre son père lui dire qu'il en a envie, presque l'entendre le supplier de le sucer. - " Si tu préfères, je peux simplement te branler ? " propose-t-il à son père, tout en malaxant légèrement les bourses de Goku, ainsi qu'en branlant doucement la base de son énorme mandrin.
Goku comprend où veut en venir son fils : Gohan n'est pas dupe et a bien compris qu'il attend impatiemment qu'il le suce, mais son coquin de fils veut l'entendre formuler son envie. Goku décide alors de profiter de sa question pour clairement faire comprendre à son fils qui est l'homme dominant ici. - " À cause de ta putain de connerie de l'autre fois, Gohan, je n'ai rien fait avec ta mère, et là j'ai vraiment besoin de sexe, alors non tu ne vas pas simplement me branler, tu vas me sucer, et tu as intérêt à faire ça aussi bien que l'autre fois si tu ne veux pas que je m'énerve ! Et arrête de faire comme si tu n'en avais pas envie : je vois bien que tu es encore plus en manque que moi, alors suce-moi ! "
" Alors comme ça mon père se fait passer pour le mâle dominant ? Alors qu'il vient de clairement avouer qu'il avait pris son pied l'autre fois ? " pense Gohan. Inconsciemment ou pas, son père vient de le complimenter. L'autorité qu'il affiche n'est qu'une façade, et elle ne trompe personne ! Goku lui a exactement dit ce qu'il voulait entendre. Il le manoeuvre comme il veut ! C'est de bon augure pour la suite des opérations !
Goku, qui prend décidément un réel plaisir à jouer à l'hétéro matcho, retire la main de son fils de sa queue, la saisit à son tour et vient indécemment tapoter les lèvres et les joues de son fils avec. - " Quand tu veux, Gohan. "
Gohan est surpris de voir son père se comporter ainsi avec lui : comme un matcho ! Mais un matcho gentil : les bifles qu'il lui met sont plus des caresses qu'autre chose. Sous couvert de le traiter comme un vide-couille de secours, il lui témoigne une certaine tendresse. Son papa a lui aussi dans l'optique qu'ils prennent tous les deux leur pied.
Alors, enfin, chacun exulte de plaisir. Gohan remplace la main de son père sur le lourd mandrin, approche la tête, ouvre grand la bouche et fait rentrer le gland turgescent, avance encore un peu et fait passer quelques centimètres supplémentaires. Le gland noueux bute contre le fond de sa bouche. Goku pousse un râle de satisfaction : cette sensation de lèvres autour de sa queue et d'une bouche humide qui lui lustre le gland lui a bien trop manqué ! Si Gohan a déjà un haut-le-coeur en sentant le gland buter contre sa gorge, il n'a rentré que le tiers du gourdin, les deux autres il les branle lascivement de sa main droite, tandis que la gauche flatte toujours les lourds pruneaux. Son plaisir atteint un sommet jamais franchi, c'est encore mieux que la dernière fois : cette fois il suce son père avec son encouragement, à son rythme. Il ne donnerait sa place pour rien au monde ! Son bonheur le rend toujours plus avide, pressé, mais il fait de son mieux pour procurer à son père un maximum de plaisir : en caressant le frein de la langue, en appuyant dessus avec, en prenant soin de pas toucher la queue paternelle avec ses dents, mais au contraire de bien saliver sur toute la longueur, avec lèvres seulement. Il accélère le rythme : il avale, suce et lèche le plus possible ce mandrin, avec toujours plus d'empressement, et branle frénétiquement le reste. Son désir lui fait perdre le contrôle, Gohan prend son pied comme jamais, et Goku aussi d'ailleurs, mais c'est trop sauvage, trop frénétique justement. Goku, la bouche entrouverte par le plaisir, râle de plus en plus fort. Jamais il n'a autant aimé se faire sucer. C'est divin, à tel point qu'il sent l'orgasme bien vite arriver. Pas question de juter aussi tôt, se dit-il ! Le scénario qui se joue est dément, le plaisir indicible, il n'a nullement l'intention de déjà rompre le charme. Alors il dégage les mains de son fils de son service trois pièces, saisit sa queue d'une main, la retire de la bouche de son fils et repousse gentiment la tête de ce dernier de l'autre. - " Eh oh ! On a tout notre temps hein, pas besoin de faire ça comme des lapins ! ", taquine le père.
La voix du père ramène Gohan à la réalité : il y a un instant, il était hors de lui-même, complètement " drogué " par le plaisir qu'il prenait à sucer et branler la queue de son père ; et à présent il est à genoux dans la cuisine, la queue bandée comme un arc, entre les jambes de Goku, juste en face de son mandrin exceptionnel, complètement dressé et recouvert de bave. Il sent son trou pulser d'excitation, légèrement humide et entrouvert, sans qu'il ne l'ait encore touché. Ayant pour idée de passer à l'étape suivante, il porte à sa bouche l'index et le majeur d'une main, puis ceux de l'autre, et bave allègrement sur chaque, puis porte les premiers à son trou, qu'il tapote légèrement, caresse, recouvre de salive, avant de faire passer une première phalange, en douceur. Un soupir de pur plaisir lui échappe. Ses deux autres doigts il les passe sous les grosses bourses de Goku, en direction de la rondelle paternelle.
Goku qui a retiré sa queue de la bouche de son fils à temps pour ne pas jouir, voit ce dernier porter deux doigts recouverts de bave en direction de son trou. Hop ! Hop ! Hop ! Pas par là mon garçon ! Il saisit le poignet de son fils alors que celui-ci vient de poser le bout de ses doigts sur sa rondelle. Une étrange décharge d'excitation et de plaisir inconnu le saisi, alors que son fils, l'air de rien, ignore son geste d'interruption, et commence à consciencieusement masser son trou, à appliquer dessus de la salive pour le lubrifier et même à appuyer légèrement dessus pour le stimuler progressivement.
Goku se voit appliquer ce doux traitement pendant quelques secondes après qu'il a saisi le bras de son fils, cela dure en fait juste assez longtemps pour qu'il découvre, non sans plaisir, cette nouvelle sensation, et qu'il réalise que celle-ci est bien celle d'une préparation à la sodomie, ou au moins celle que lui procure son fils qui le doigte. Et ça fait " gay " de se faire tripoter le trou, surtout par un autre homme. Et lui n'est pas comme ça normalement, lui il est hétéro, ce sont ses partenaires qui se font pénétrer, pas lui.
- " Arrête, Gohan ! Je t'ai permis de me sucer, pas de me toucher le trou ! Si toi tu aimes ça, tant mieux pour toi, mais moi je ne veux pas que tu me fasses ça, ok ?! " ose dire un Goku qui cherche à se donner de la contenance et de la légitimité en tant que père hétéro, mais qui, dans le fond, est bien excité par ce nouvel horizon sexuel.
Gohan retire son bras ; son père est braqué, pour l'instant en tout cas. La question est maintenant de savoir quoi et comment faire pour que celui-ci accepte de faire d'autres choses. Gohan n'a visiblement plus le droit de sucer la matraque de Goku, ni le droit de toucher à son trou, et très probablement pas non plus celui de l'embrasser. Aïe ! L'atmosphère de pur désir, d'excitation débordante se dissipe un peu ; vite, il faut trouver une idée ! Gohan décide alors de s'attaquer aux choses sérieuses et de prendre le risque de chauffer son père sur le plan de la sodomie, d'une manière on ne peut plus explicite, mais sans pour autant prononcer un mot : il s'allonge à plat dos, toujours face à son père, pose les pieds au sol, replie les jambes, les ramène près de ses fesses et les écarte outrageusement. Dans cette position, son père ne peut pas ne pas voir sa rondelle : elle lui est pleinement exposée. Gohan jette un coup d'oeil à son père : celui-ci regarde fixement son trou exhibé, ses yeux sont écarquillés par une excitation nouvelle. Bingo ! Alors Gohan entreprend de porter à sa bouche trois doigts, de les recouvrir copieusement de bave, et de les amener jusque dans sa raie imberbe et lisse, située entre deux fessiers parfaitement ronds, fermes et développés ; en bref il exhibe un cul magnifique, enclin à un ramonage en profondeur. Alors, dans sa position d'éphèbe alangui, il commence à se masser l'anus, à étaler dessus un maximum de salive, à rapidement faire rentrer un, puis deux doigts - son excitation est si grande qu'ils pénètrent aisément. Ses deux doigts, il les rentre au maximum, en poussant de petits gémissements rauques, pour rendre la scène encore plus sexuelle qu'elle ne l'est déjà. Il fait des mouvements de ciseaux avec ses doigts, et les ressort. Son trou est bien ouvert, bien lubrifié ; Gohan écarte le plus possible ses jambes pour maximiser l'ouverture de son trou, et surtout pour que son père n'en rate rien. Mais bientôt il plonge trois doigts dans son rectum et entame de rapides et profonds va-et-vient, élargissant toujours davantage son trou, et ponctuant son jeu de séduction par des râles bien sentis. Quand il ressort ses doigts, son trou reste béant. La vision est aphrodisiaque. Et Goku contemple ce spectacle parfaitement hypnotisé, sans bouger, le sexe plus bandé que jamais. Son fils, son cul, son trou l'appellent au viol - bien que, s'il enculait son fils, là, tout de suite, il serait absurde que celui-ci s'en plaigne ! - " Gohan, qu'est-ce que tu fous ?! " demande Goku. Sa question est absurde, d'autant plus qu'il n'a pas réussi à mentir sur son état intérieur : il la voulait réprobatrice, mais sa question s'est avérée empreinte d'un très net désir ; on l'entendait plutôt dire " Si tu continues ton petit jeu, Gohan, je vais t'enculer sans plus de cérémonie ! "
Gohan sourit de satisfaction en voyant que son père perd ses moyens. Il le tient. - " Bah quoi, tu m'as demandé d'arrêter de te sucer, de te toucher, alors je continue à me faire du bien tout seul ! Qu'est-ce qu'il y a de mal à cela ? " répond-il, un brin goguenard.
- " Je vois bien que tu essayes de m'allumer ! Tu veux que je m'occupe de ton cul, pas vrai ? Que je t'encule, avoue ? " Goku n'arrive pas à détacher ses yeux du cul de son fils, de son trou béant et enduit de salive. Même s'il est monté comme un cheval, se dit-il, il pourrait le prendre là, maintenant, sans que son trou résiste à l'épaisseur de son engin. En fait, il ne pense plus qu'à ça, lui aussi. Machinalement il reprend sa queue en main et commence à se branler, doucement. Il n'a jamais désiré enculer un homme jusqu'ici, jamais cela ne lui était passé par le tête, sûrement parce que son ardeur d'étalon avait été jusqu'alors satisfaite par Chichi, sinon parce qu'il n'avait jamais était confronté à des situations pareillement sexuelles. Son instinct est à présent comme libéré : face à son fils qui se doigte allègrement, il lui paraît évident qu'il s'initie à la sodomie, et pas vraiment calmement disons ! Des images désirables lui montent à la tête : il se voit en train de bourrer, de limer Gohan, de lui rentrer sans ménagement son mandrin, de le prendre en levrette, comme il le ferait avec une femme. Son excitation est montée si vite et si haut que la tendresse dont il pouvait faire preuve tout à l'heure l'a quitté. Mais une petite voix lui rappelle quand même que c'est son fils, Gohan, la prunelle de ses yeux, et que, même s'il est là, dans une position indécente, à réclamer avec ses doigts et son trou que son père l'encule, il doit prendre soin de lui. C'est sûr que coucher avec son fils n'est pas manière la plus banale et la plus évidente de prendre soin de lui, mais, puisqu'ils désirent tous les deux la même chose à présent, autant faire en sorte que chacun y trouve son compte, se sente comblé.
- " Gohan, tout à l'heure je t'ai fait t'arrêter de me sucer parce que j'allais jouir, mais là c'est bon, tu peux continuer si tu veux. " C'est évidement une fausse question. Premièrement parce que si son fils ne lui propose pas de l'enculer, il a au moins intérêt à recommencer la pipe magistrale qu'il lui offrait juste avant - et ce ne serait pas une option, il l'a trop allumé pour se défiler maintenant ; et deuxièmement parce qu'il espère que son fils lui propose davantage que de le sucer.
- " Euh, papa, je ne sais pas si tu as remarqué, mais j'ai besoin de plus là... " répond Gohan d'une voix suave et tentatrice.
- " Plus ? " demande un père qui veut clairement entendre son fils lui demander de l'enculer, car il sait très bien qu'il s'agit de cela.
- " Oui plus ! J'ai envie que tu me la mettes, je veux que tu me baises, que tu m'encules ! Tu veux un dessin ? " Gohan n'est pas fier de craquer face à son père. Il se retrouve finalement en position de passif, plutôt soumis, en train de réclamer à son père hétéro de le baiser crûment. Mais ça lui va comme ça. Il n'a pas menti du tout : il a vraiment envie de se faire enculer par son père, par son énorme mandrin. Et en même temps il a peur ; il faut dire que l'engin paternel doit bien faire la longueur d'une raquette de tennis de table et l'épaisseur de son poignet ! Il va douiller. Mais son trou frémit de désir malgré tout.
A SUIVRE...
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Gribouille
gribouillecharente@gmail.com
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