Après le diner chez mon patron

Les vacances sont finies et nous sommes rentrés sur Lyon. Dimitri a repris le boulot le premier car moi, j'avais encore une semaine. J'en ai profité pour prendre soin de lui, ranger son appart, faire de la bouffe, des lessives, tout ce qui fait le quotidien et qui ne m'a jamais dérangé.

Pour ce qui est du sexe, il est toujours aussi demandeur et je dois dire que j'aime de plus en plus ça. Je pense que, non seulement ça m'excite, mais également que ça flatte mon ego. Je me tiens à sa disposition et même la semaine dernière où je travaillais à nouveau, je m'arrangeai pour être toujours prêt. Le matin, il aime que je lui vide les couilles au réveil et, en général, je le suce et j'avale tout car il traîne un peu au lit avant de se doucher et de prendre son petit déj. En général, nous partons ensemble car nous commençons vers 8 H. J'adore partir avec lui. Il me dépose au travail et je n'ai pas à prendre le métro pour un arrêt.

Le soir, je finis vers 17 H et je passe à mon appartement relever le courrier et faire un peu de ménage. Il va falloir un jour ou l'autre que je me décide à donner ma dédite, mais bon, des vieux restants d'indépendance me font continuer de payer mon loyer.

Ensuite, je rentre chez lui, je me douche, fais ce qu'il y a à faire pour que le " pacha " n'ait à s'occuper de rien et je l'attends, le plus souvent à poil, en bouquinant où en regardant la télé. Étant donné qu'il dirige son entreprise, il lui arrive de ne pas rentrer tôt (le plus souvent vers 20 h). Il fait des journées un peu harassantes et je sais qu'il aime me trouver à sa dispo quand il rentre le soir, mais je vous l'ai déjà dit.

Il me semble avoir déjà mentionné qu'il était très ami avec mon patron. Finalement, Lyon est une petite ville et tout le monde se connait. J'avoue que ça me dérange un peu. Je m'entends très bien avec lui dans le boulot, mais je n'entretiens aucune relation extra-professionnelle avec lui et je n'y tiens pas. Il s'appelle Bertrand, il doit aussi avoir entre quarante et cinquante ans, il est du même gabarit que Dimitri et je pense qu'ils ont fait du rugby ensemble quand ils étaient plus jeunes. Il est très sympa et je n'ai aucun soucis à aller bosser avec lui, mais le boulot est le boulot et ma vie privée doit rester privée. Pourtant, la semaine dernière, Dimitri m'a annoncé qu'il était invité chez Bertrand pour diner. Je savais que ça arriverait et je me suis dit que j'irai au cinéma où boire un verre avec des copains avant qu'il ne rentre. Ce n'était pas un problème, nous passons toutes nos soirées ensemble et nous nous retrouverions après de toute manière. Il lui suffirait de m'appeler ou de m'envoyer un SMS pour que je sois rentré.

Le jour même, la journée s'est déroulée comme d'habitude, j'ai travaillé puis, vers 17 H, je suis allé prévenir Bertrand que j'avais fini ce que j'avais à faire et que je rentrais. Quelle ne fut pas ma surprise quand il me répondit :
" Ok, à ce soir. "
Dimitri qui sait que je n'aime pas trop fréquenter mes collègues de boulots en dehors ne m'avait rien dit et je me suis retrouvé comme un con à acquiescer à ce que me disait mon patron.

J'avoue que la situation ne me mettait pas du tout à l'aise. Je m'empressai de rappeler mon homme pour lui reprocher gentiment de m'avoir embarrassé. Ce à quoi Dimitri répondit que s'il m'avait dit que j'étais invité, j'aurais trouvé une excuse pour ne pas y aller et que, vu que nous étions maintenant un couple, il était normal que je l'accompagne.

Je fulminai un peu, mais je rentrai chez moi pour aller me doucher et me changer. Il était convenu que je retrouve Dimitri à son bureau et je proposai, bon gré, mal gré d'amener une bouteille de vin. Je n'y connais rien, mais le caviste près de chez moi me conseillerait. Je sentais Dimitri un peu hilare et content de son coup ce qui me mit de fort mauvaise humeur. C'était la première fois depuis que nous étions ensemble que j'avais du mal à me plier à ses exigences.

J'arrivai au bureau de mon homme à 19 heures précises comme il me l'avait demandé (je devrais dire ordonné) car je sais qu'il n'aime pas attendre. Il avait prévu le coup et s'était changé pour la soirée. Ma colère s'effaça lorsque je le vis souriant, en jean et t-shirt, avec les baskets que je lui ai offerts pour son anniversaire. Il s'était un peu rafraichi, car il n'avait pas pu se doucher, mais il était prêt. Il me roula une pelle et commença à me tripoter un peu le cul.
" Pas maintenant, mais tu ne perds rien pour attendre ! "

C'était malin, je bandais comme un malade et nous allions diner chez mon patron. J'essayai de me calmer. J'étais un peu stressé par cette soirée, mais elle se déroula plutôt agréablement et la femme de Bertrand est également plus jeune que lui-même si elle a quelques années de plus que moi et elle est drôle et pleine d'esprit. Elle m'a tout de suite mis à l'aise. Nous prîmes congé et remontâmes en voiture. Dimitri ne boit jamais plus de deux verres lorsqu'il conduit et il était parfaitement clair. Je le regardai et ne lui en voulais plus du tout. J'avais envie de lui.

Dans l'ascenseur, il commençait à m'embrasser et à me caresser. Je le connais, je sais qu'il avait envie de baiser. Je me fis donc un peu provocant en me collant à lui. Aussitôt rentré dans l'appartement, il me débarrassa de mon t-shirt et me colla contre le mur. Je sentais son immense et puissant corps contre le mien et bandais comme un malade dans mon jean.
" Je vais te défoncer le cul ! "
Je lui enlevai également son t-shirt. Nous étions tous les deux l'un contre l'autre, torses nus, collés, un peu en sueur.

Il m'embrassa et m'entraina jusqu'à la chambre. Il me poussa sur le lit et enleva mes baskets et mes chaussettes puis mon jean et mon boxer. J'étais à poil face à lui et il me releva les jambes pour me bouffer le cul. Il termina de se déshabiller et reprit. Je sentais sa langue entrer en moi de plus en plus profondément. J'adore ça et je gémissais. Je sais que ça l'excite bien.

Il me redressa et me fis mettre assis sur le bord du lit. Il était debout devant moi, sa bite d'une raideur terrible et il m'ordonna :
" Bouffe ! "
Je ne me fis pas prier. Je le décalottais, pris son gland dans ma bouche, commençais à passer ma langue comme je sais qu'il aime. Il me tenait la tête avec ses mains et gémissait à son tour. J'adore quand je sais qu'il aime ce que je lui fais. Je cessai et commençai à le lécher sous les couilles. Il aime ça énormément. Puis ma langue passa sur les poils de ses bourses, lentement, en prenant mon temps. Il me repoussa à nouveau et remonta mes jambes sur ses épaules.

Je le sentis s'enfoncer en moi très lentement, faisant durer le plaisir, me provoquant des gémissements.
" J'adore ton cul ! "
Je m'accrochai à lui et enfonçai ma langue dans a bouche. Quand je sentis son pubis contre moi et ses couilles contre les miennes, je me collai contre son torse et le laissais faire des va-et-vient lents et profonds. Je ne voulais pas ameuter les voisins, mais j'aimais tellement ça que j'avais envie de crier. J'avais bien du mal à me contrôler donc je plongeai la tête contre sa poitrine. C'était top. Il accéléra. En général, il me saute surtout à quatre pattes, mais j'aime bien aussi cette position.

Je sentais ses coups de bite profondément en moi. Je me laissai aller sur le lit et commençai à me branler. Il m'immobilisa les bras.
" Pas tout de suite ! "
Il commença à me pilonner (il n'y a pas d'autre mot).
" C'est ça que tu voulais ! "
Je gémissais en essayant de ne pas crier, mais vraiment je perdais le contrôle de mon corps. Je le sentis me relâcher les mains et c'était le signe qu'il m'autorisait à me branler. Je ne fus pas long à éjaculer, mais j'étais encore excité de le sentir en moi. Il sait qu'il ne faut pas que ça dure trop longtemps sous peine de me faire mal et il se retira. Je sentis son sperme couler sur moi une seconde après.

J'en avais partout, sur le sexe, le torse et même le visage. Il retomba lourdement sur le pieu et m'attira contre lui. La sueur et nos spermes nous collèrent l'un à l'autre pendant plusieurs minutes avant que nous décidions d'aller nous doucher. J'étais crevé et l'eau chaude me fit du bien. Je me séchai, je fis de même avec lui et nous nous endormîmes comme des masses.

Le lendemain matin, je lui vidai les couilles à nouveau avant d'aller bosser. Bertrand était comme d'habitude. Il ne fit aucune allusion à la soirée de la veille jusqu'à ce que nous soyons seuls avant que je parte. Il me dit que sa femme m'avait beaucoup apprécié, qu'il savait que je n'aimais pas trop fréquenter les gens du boulot, mais qu'il espérait que nous recommencerions. J'ai souri et dit que moi aussi. Il va falloir que je m'habitue à fréquenter les amis de mon mec de toute manière.