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Éveilleur

Chapitre -10

Ma queue en main, je tapotai lourdement ce trou palpitant. Dimitri ronronna. Sa croupe frétilla. Il ondulait, me suppliant de le prendre telle une femelle. Après tout, les animaux se prenaient de cette manière. Pourquoi pas nous ? Je pressai mon gland sur l’œillet plissé.

Soudain, mon rouquin bougea. D’instinct, je reculai. Je vis alors Benjamin se dégager. Alors que j’étais à genoux sur le lit, je le regardai descendre du lit, se mettre sur ses pieds et me dominer de toute sa hauteur. Avec un geste des plus sexy, il se passa une main dans ses cheveux noirs, collés par la transpiration. Il me fixa de son regard marron. Je fus électrifié.

Dimitri se retrouva donc à quatre pattes sur le lit, les fesses en l’air. Il attendait. J’étais concentré ailleurs. Benjamin grimpa à nouveau sur le lit et se mit à mes côtés, silencieux, s’asseyant sur ses mollets. À nouveau, il faisait ma taille. Je fus irrémédiablement attiré par sa bouche et enroula ma langue à la sienne. Il n’en fut pas surpris. Il fut même satisfait.

J’en bandais encore plus dur.

- Théo … entendis-je d’une supplique.

Dimitri me demandait. Or, pour l’instant, j’étais avec Benjamin. Pour le corriger, je lui mis une bonne fessée. Il en gémit. Il était vrai que ma queue pointait toujours en direction de son trou, que de temps à autre elle frôlait sa peau. Je le stimulai involontairement. Ou pas.

Oui. J’étais joueur.

J’eus une idée machiavélique. Je fis poser les mains de Benjamin sur les fesses de Dimitri et l’incita à lui écarter les fesses. Le faire participer à un tel acte me faisait bander comme un malade. Je l’embrassais encore. Qu’est-ce que j’aimais ces baisers. Ils étaient ardents.

Avec une main derrière le cou, je rompis le baiser l’invita à baisser la tête. Il ne comprenait peut-être pas où je voulais en venir. Son regard fut étonné. Je l’encourageai d’un haussement de sourcil. Nous nous méprîmes.

Il se jeta sur ma queue, en lécha la hampe. De long en large. C’était exquis, divin même, mais ce n’était pas ce que je voulais. Mes doigts enfoncés dans sa tignasse de jais le tirèrent en arrière et le collèrent au cul de Dimitri. Il ne bougea plus. Puis je vis une langue timide laper l’œillet, en découvrir le goût.

Tout était une question de découverte.

Notre rouquin gémit. Il saisit les mains de son brouteur et écarta de plus belle ses deux lobes. Moi, je regardais, astiquant lentement ma queue. Ma main dans les cheveux de Benjamin l’encourageait. Parfois, j’appuyai un peu, histoire qu’il le lèche en profondeur. À en juger par ses petits bruits, il appréciait.

Soudain, je le tirai en arrière. Il tirait encore la langue. Et je lui pénétrai la gueule. Il fallait bien humidifier. Je lui râclai le fond, sans ménagement. Plusieurs fois il s’étouffa, mais j’avais le total contrôle. Je fis ainsi plusieurs allers-retours puis le laissai reprendre son souffle.

Cette fois, j’allais me concentrer sur Dimitri.

Mon gland toucha délicatement cette rondelle offerte. Mon rouquin ronronna, se dandina comme une oie à gaver. Benjamin, malgré son traitement sans faveur, louchait encore sur ma tige veinée, avide. Ce n’était plus de lui que je m’occupais. J’appuyai. La pointe entra. La tête de Dimitri partit en arrière accompagné d’un bruit guttural.

Il m’amusait. Rien n’était encore rentré. Seulement la tête de mon gland gorgé de sang. D’un coup, je poussai et l’entièreté de ce gland le pénétra. Dimitri gémit et enfonça sa tête dans l’oreiller en soupirant. Je restai un instant comme ça, inspirant moi-même longuement, pour me calmer.

J’avais presque envie de le remplir dès le début pour ensuite ne plus être inquiété par mon éjaculation.

L’idée me plut.

Mon état d’esprit était différent, à présent. Peu importait l’éjaculation, synonyme de fin des ébats, pour moi, ce n’était qu’une réaction corporelle. Cela n’enlevait rien à mon plaisir et au plaisir procuré. Sans parler du fait que j’étais capable de tenir encore bien longtemps après cette pseudo-fin. La fin lançant le commencement.

Je m’étais arrêté à l’entrée de mon gland. Je sentis les mains de Dimitri tâter ses fesses jusqu’à son trou. Il toucha la queue, vérifia ce qu’il lui restait à endurer. Il dut prendre peur, car il posa finalement ses mains sur ses lobes et les écarta de plus belle.

J’empoignai alors ses hanches de et enfonçai progressivement ma queue. Benjamin avait bien lubrifié le conduit et ma tige. Cela glissait. Mon bonheur était croissant. Mon rouquin soufflait. Peut-être tentait-il de s’adapter. Je ne lui en laissai pas le temps et m’enfonçai sèchement. Un hoquet d’étonnement le prit ainsi qu’un cri de soulagement.

À mes côtés mon brun avait des yeux gros comme des testicules. L’idée-même qu’une queue pouvait rentrer dans un anus lui était sans doute saugrenue. Je pouvais lui montrer davantage.

Enfoncée sur toute la longueur, ou presque, car il manquait quatre petits centimètres, ma tige lui avait déformé le trou. Il était temps de m’amuser un peu. De profiter. Lentement, je la retirai. Un bruit d’air se fit entendre et, d’un coup, la réenfonça sur les acquis. Dimitri beugla. Et je repris, enchaînant cette fois plusieurs allers-retours sans lui laisser de répit.

Mes mains tenaient fermement ses hanches. Elles me permettaient d’entièrement le contrôler. Même s’il l’avait voulu, ce qui m’étonnerait étant donné ses couinements délicieux, il n’aurait pas pu fuir. Il était mien.

Littéralement, je le bourrinai. Les quatre centimètres furent rapidement avalés. Mon pubis était le seul rempart. Ma queue disparaissait entièrement dans son cul de salope. Et quelle salope il faisait ! Il couinait. Il gémissait. Il se trouvait ailleurs. À ce rythme, il allait alerter toute la rue.

- Va le faire taire, ordonnai-je à Benjamin.

Moi-même j’étais différent. J’étais une grosse queue baisant un cul.

Mon brun fut désemparé. Il voulait continuer à regarder mon gourdin coulisser dans ce conduit. Je le comprenais, mais Dimitri devait apprendre à se taire. D’une main, je lui pris l’épaule et je le jetai hors du lit. Il bandait encore, cela n’était pas si compliqué de fourrer une queue dans sa bouche vorace tout de même !

À peine notre rouquin eut-il senti une présence à ses côtés qu’il tourna la tête. Il avait la bouche ouverte, prête à engloutir n’importe quelle queue. C’était fou comme une simple bite dans le cul pouvait le changer. Lui, d’ordinaire si sage. Il attrapa Benjamin par sa tige et l’attira à lui, affamé.

Le brun ne rechigna pas. Il était certainement confus par la tournure des choses, mais se laissa avaler la tige sans râler. Lorsque notre rouquin prit un sérieux coup de reins, l’enfonçant totalement sur le pieu, l’expression de Benjamin changea. Ses yeux se plissèrent et il se laissa aller.

Je prenais un malin plaisir à savoir qu’à chaque violente pénétration, Dimitri avalait profondément la queue de notre compère. Si j’y allais lentement, il ne faisait que le suçoter. Grâce à moi, il était pris par tous les trous. Et bien comme il fallait. Je continuai de le prendre sur toute ma longueur quand je vis une main s’approcher de mon épaule.

Benjamin s’approchait. Son visage était tordu par l’extase. Il respirait comme un animal, suait comme un bœuf. L’une de ses grosses mains maintenait Dimitri sur sa queue. L’autre, venait à moi. Je me sentis attiré. Je le laissai m’attraper, me guider à lui.

Et d’un coup il m’embrassa.

Pas n’importe quel baiser. Un de ces fougueux, rempli de désir, où les lèvres s’écrasent les unes contre les autres, où les morsures sont synonymes de sensualité. Un de ces baisers qui fait durcir comme jamais ceux qui y sont sensibles.

Mes coups de reins se firent plus secs, sans le moindre ménagement. Je baisais un cul. Je me retirai de plus en plus loin, et, avec force, m’enfonçai toujours plus loin. Je n’entendais plus les gémissements, ni les couinements. J’étais une queue, mais pas réellement. Car j’étais embrassé avec passion.

Mes sens se troublèrent. J’étais partagé entre deux exquises situations. Je ne savais plus où donner de la langue. Ni de la queue. Je n’en pouvais plus.

Ma queue s’enfonça une dernière fois et, dans un cri étouffé par la bouche de Benjamin, je remplis le cul de mon rouquin d’un sperme visqueux. Peu importait le nombre de jets, je me vidai en tremblant. Dimitri me suivit dans un long gémissement, coi par le gourdin enfoncé au plus profond de sa gorge.

Alors que je me remettais à peine de mon orgasme, la tige toujours au chaud, je vis mon brun glisser sa main sous Dimitri et le branler. Il le suçait encore, l’avalant sur toute la longueur. Et d’un coup, Dimitri couina. Il fut pris de soubresauts. J’assistai alors à une expression de satisfaction sur le visage de Benjamin. Il nous avait tous les deux fait jouir.

Je respirai par saccades. Je m’étais lâché, mais cela ne faisait que commencer. Dimitri ne l’avait certainement pas anticipé. Je fis mine de sortir mon membre encore bien dur, luisant de sperme, et d’un coup, la lui remis, sans le moindre effort. Il gémit.

- T’as vraiment cru que j’en avais fini ? Ça ne fait que commencer, me vantai-je.

Et je repris. Je sentais que Dimitri était épuisé, mais je continuai à le bourriner. Il mettait moins d’entrain à sucer Benjamin, mais prenait toujours autant son pied à se faire dilater la rondelle.

J’invitai Benjamin à s’approcher.

Il monta à nouveau sur le lit. Je pris sa queue, toute humide en main, et le branlai un instant. J’en avais envie. La queue dans le cul distordu de mon rouquin, j’engloutis la tige qui se présentait à moi en me baissant. Elle était si bonne. Un pur régal.

Puis je sortis de Dimitri. Celui-ci se laissa tomber sur le matelas, épuisé. Pas tant que ça, car il se retourna sur le dos et nous présenta son anus bouffi auréolé d’une substance blanchâtre. Mon jus.

- Tu veux y aller ? dis-je à Benjamin.

Il bandait dur, mais doutait. Soudain, je vis qu’il avait quelque chose dans sa main. Paume ouverte vers le plafond, je vis un visqueux liquide.

- Je fais quoi de ça ? dit-il.

- Tu peux l’avaler ou …

Je pris son poignet, faisant attention de ne pas en mettre partout, et l’avançai vers le trou de Dimitri. Avec ses quatre fers en l’air, il faisait encore plus salope.

- Ou tu peux le lubrifier avec son propre jus.

Benjamin écrasa la paume contre la rondelle du rouquin qui en gémit. Il était sensible après le passage de ma grosse queue. Il glissa directement trois doigts à l’intérieur, massant la paroi de tous les côtés. Je voyais sa queue s’ériger. Droite.

Lorsqu’il en eut assez, il se redressa. Il avait encore du sperme entre les doigts. Nos regards se croisèrent. Sans doute pour me faire plaisir, il y goûta. Il ne dut pas forcément apprécier, car il prit un mouchoir pour essayer ce qu’il restait.

S’en suivit un petit moment gênant. Il regardait avec insistance ce trou défoncé, la queue bandée. Cela se sentait qu’il voulait le prendre, le marquer à son tour, mais quelque chose l’en empêchait. Sa main droite caressa ces fesses offertes. Il erra sur la queue dégonflée, sur ces boules pendantes.

- Tu le veux ? demandai-je.

Je voyais que oui.

- Nous sommes tous les deux sous PreP. Nous ne pouvons nous contaminer avec le VIH, que nous n’avons pas. Tu n’as aucune infection ?

Je lui parlais chinois, à en juger par son visage, mais c’était nécessaire.

- Je n’ai eu que Lucie et nos tests étaient négatifs …

- Bien.

Je saisis alors cette queue et pointai son gland en direction du trou distordu. Il respirait avec difficulté. Je sentais qu’il était irrémédiablement attiré par la rondelle blanchâtre, rougis par les allers-retours puissants qu’elle avait subis.

A peine son gland eut-il touché l’anneau qu’il fut aspiré, dans un long gémissement des deux partenaires. Benjamin glissa jusqu’au fond du trou très bien lubrifié. Le forage avait été bien fait, par un véritable expert. Sa tige état entièrement dedans. Je le vis rabattre sa tête en arrière, en soupirant.

Son premier cul de mâle.

Il empoigna les cuisses de notre rouquin, plaça ses mollets sur ses épaules, et sortit lentement sa queue. Il examina un instant le trou pulsant, ouvert, et y rentra à nouveau son gourdin, d’un coup. Dimitri couina. Ses orteils se contractèrent. Sa bouche se tordait.

Je me plaçai derrière Benjamin, lui stimulai le cou. Des bisous. Des léchouilles. Ma queue bandée se cala dans sa raie. Il n’émit aucune objection, et se tortilla même. J’étais perplexe.

D’une main ferme, je l’invitai à se coucher sur Dimitri. Sa tige toujours au fond, il le fit. Et m’offrit une magnifique vue sur son postérieur. J’attrapai ses deux lobes, que j’ouvris. Je voulais lui faire découvrir un nouveau plaisir. Ma langue lapa sa fesse gauche, je remontai au creux des reins, et redescendit le long de sa raie finement poilue. Seulement en surface. Il ronronnait.

Alors j’écartai de plus belle. Son œillet m’apparut. Rose, plissé, inviolé. J’humidifiai autour avec la pointe de mon muscle. Je sentais mon brun se tendre. Ses lobes se serrèrent. Etais-je allé trop vite ?

Puis il se détendit.

Ses fesses s’ouvrirent à nouveau. Il avait douté, probablement. Aucun hétéro ne songeait au plaisir anal. Et pourtant, Ô combien était-il bon. Même s’il disait vouloir connaître le plaisir homosexuel, les préjugés étaient là, tout proches. Il avait déjà dû en franchir un bon nombre en se nettoyant cette partie intime.

Ma langue se mit en action. D’abord, je touchais à peine son œillet, observant ses réactions, puis j’y mis tout mon entrain. D’une lapée, je parcourus toute la longueur de sa raie. Il en gémit. Il venait de ralentir ses va-et-vient, probablement pour apprécier ce supplice anal.

Ma main claqua violemment sur sa fesse gauche. Il ne devait pas ralentir. Il devait pilonner le trou dilaté de notre rouquin.

Tel un cheval cravaché, il s’activa, sans poser de question. À chaque fois qu’il prenait de l’amplitude, il s’empalait sur ma langue tirée. Il adorait cela, étant donné l’accélération de ses mouvements. Il tendait même sa croupe au maximum.

J’osai y mettre un doigt.

Entre ses poils collés par l’humidification et la transpiration, je trouvai facilement son trou. Je ne fis d’abord que le stimuler, profitant des passages de ma langue. Le bout de mon index le pénétra avec une facilité déconcertante. Il le sentit.

Et mon doigt fut serré par ses anneaux.

J’attendis qu’il se détende, tentant de l’amadouer de ma langue experte. Il avait cessé tout va-et-vient, pétrifié par ce doigt colonisateur. Je me souvenais encore de la sensation de la première phalange qui m’avait pénétrée. Cela n’avait pas été une partie de plaisir. Et même, encore aujourd’hui, je n’appréciais que mon propre toucher pour me préparer.

Son anus restait diablement serré malgré mes coups de langue. Je n’osais y remuer ma phalange. Sentant qu’il ne s’y faisait pas, je retirai mon doigt et la décision de le câliner, le récompenser de son évolution.

Et quelle erreur !

J’étais alors dans son dos. Remonter jusque sa nuque pour lui baiser le cou, les joues, fit inexorablement cogner ma queue encore bandée contre ses fesses. Ce geste était complètement involontaire.

- Stop ! dit-il avec force.

Je ne compris pas. Dimitri non plus, coupé dans son élan. Il nous dévisagea, la bouche ouverte, les pattes écartées.

- Pas ça … murmura Benjamin, gêné.

Soudain, je réalisais. Penaud, je m’écartai et tentai de lui faire face. Je couvris son visage de baisers.

- Je n’en avais pas l’intention. Je voulais te faire du bien, dis-je.

- Les doigts étaient de trop … avoua-t-il.

- Je l’ai senti, c’est pour cela que j’ai arrêté. Je n’avais aucunement l’intention de te pénétrer.

Je sentis que mes mots le rassuraient. Toutefois, il était inconfortable devant moi. Je pris la décision de m’écarter, ma tension sexuelle ayant chuté avec l’éjaculation et ce brutal arrêt.

- Je vais à la douche, dis-je alors.

Je les laissai alors, l’un dans l’autre. Lentement, ils reprenaient. Dimitri l’embrassait langoureusement, une main derrière sa nuque, dans sa tignasse sombre. Son autre main se trouvait sur la queue à demi-molle. Il ne demandait qu’à la ravoir dans son fondement, le cochon.

À cet instant, je me sentis de trop. J’eus presque des regrets.

Un violent sentiment de tristesse me prit. Je n’avais pas gagné. Dimitri non plus. Le seul gagnant avait été Benjamin. Il avait eu son rouquin. Et encore, peut-être qu’il ne voulait qu’amoureusement, en plus. Ce soir, il ne l’avait que sexuellement. Lorsque demain il s’en rendrait compte, se sentirait-il toujours comme un gagnant ?

Gagner, perdre … Qu’avions-nous gagné à travers cette étrange exploration ? Seulement du plaisir. Qu’avions-nous perdu à travers cette étrange exploration ? Cela, il fallait encore le déterminer.

Pourtant, je ne pouvais nier mon rôle dans cette histoire. J’avais été la passerelle, le phare qui avait guidé Benjamin. Ne l’avais-je pas aidé à s’épanouir ? N’était-ce pas mon but principal ? Cependant, malgré tout, je n’y trouvais pas de satisfaction. Que voulais-je, au fond ?

Ne voulais-je pas, finalement, Benjamin rien que pour moi ? Peut-être.

Ainsi, je les regardai faire l’amour passionnément, chez moi, sur mon lit. Leurs bouches fusionnaient, leurs langues s’entremêlaient, leurs salives se mélangeaient. Benjamin transpirait abondamment. Dimitri de même. Cela aussi, il le partageait.

Ensemble, ils partageaient plus qu’un moment. Cela pouvait se ressentir. Leurs attentions, la douceur avec laquelle ils s’étreignaient, je n’avais encore jamais assisté à un tel moment d’intimité. J’étais réellement de trop.

D’où j’étais, adossé à la porte-placard, je regardais la queue de mon beau brun entrer et sortir de ce trou que j’avais déjà ouvert. Je bandais, mon corps et mon esprit appréciaient ce moment. Mon cœur, lui, souffrait. Et sur cette scène d’amour, je rabattis les portes de mon placard-salle de bain.

Il n’y avait pas que de l’eau qui ruisselait sur mon visage, ce soir-là.

Bonjour ! Pour tout renseignement, contact privé, remarques, avis ou autre, je vous invite à m’écrire à l’adresse mail suivante : eveilleur1999@laposte.net . N’hésitez pas, j’apprécie tous messages.

J’espère sincèrement que vous prendrez plaisir à suivre cette histoire que j’en ai à l’écrire ! À bientôt.

Alex

eveilleur1999@laposte.net

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