Premier épisode
2 | La piscine
Après une seconde trace et un deuxième verre de Jack avalé d’un coup sec. Alex et moi sommes partis en direction de la piscine située sur le toit de l’hôtel. En chemin vers l’ascenseur, je repensais à la lueur dans ses yeux au moment où il avalait mon foutre à peine 10 minutes plus tôt. Il devait encore en avoir le goût en bouche.
Arrivé dans l’ascenseur, je remarquais qu’il bandait de plus belle. Son short de bain était tendu comme une tente 4 places. Ça m’excitait de nouveau. Avant même que les portes ne se referment, je m’approchais de lui pour caresser sa queue et lui rouler une pelle. Mais au moment où ma main s’apprêtait à glisser à l’intérieur de son short, les portes s’ouvrirent et une femme entra dans l’ascenseur. Plus amusés que gênés, nous nous séparâmes innocemment. N’importe qui dans cette situation aurait compris qu’il aurait mieux valu prendre l’ascenseur suivant, pas elle. Peu importe, nous arrivions sur le rooftop et la femme était descendu à l’étage inférieur.
La piscine qui se dévoilait sous mes yeux ne payait pas de mine, c’était un vulgaire carré surmonté d’une échelle métallique branlante et un peu rouillée. Mais le soleil qui brillait de ses derniers rayons et la chaleur étouffante qui nous enveloppait encore donnait un charme tout particulier à l’endroit. À l’exception d’un jeune surveillant assis sur une chaise, il ne restait plus personne sur le rooftop. Alex se jeta dans la piscine, je le suivais.
L’eau bien fraîche, ajoutée à la trace que je venais de prendre me donna un regain d’énergie que j’eue besoin de partager avec Alex. Sans qu’il s’y attende, je lui envoyais une grande vague d’eau dans la gueule et nous commencions à nous chamailler dans la piscine. Il arracha mon short de bain et le jeta hors de l’eau. Le surveillant attentif ne réagissait pas. À mon tour, je plongeais pour retirer le short d’Alex et dévoiler sa queue qui paraissait encore plus grosse sous l’effet de l’eau. Je m’en saisis et commençais à prendre ma respiration pour aller le pomper. Je pouvais sentir ses couilles toutes rétractées par le froid. À force de rester en apnée, je devenais de plus en plus essoufflé mais j’y retournais derechef car l’excitation était trop grande. Au bout de la 3e fois, il bloqua ma tête sous l’eau et enfonçait son énorme sexe au fond de ma gorge. Ne pouvant plus remonter sans son accord, je me donnais jusqu’au dernier souffle à cette tâche aquatique.
Quand je remontai enfin à la surface, j’étais complètement à bout de souffle et désorienté. Mais Alex qui avait pied, en profita pour me retourner et me soulever sur la margelle de la piscine. J’étais alors sur le ventre, les jambes encore dans l’eau et le séant dressé vers le soleil couchant. D’un seul coup, Alex fourra sa langue brûlante dans mon cul chloré. Une sensation d’extase parcourut tout mon corps. J’étais comme paralysé de plaisir sur le sol chaud de la terrasse. Sa langue s’enfonçait sans prévenir, puis un doigt, puis deux. Et dans un gémissement de plaisir qui me fit redresser la tête, je pu voir le surveillant qui se masturbait en nous observant. C’était un jeune Espagnol d’environ 19 ans, trapu mais musclé et poilu comme un homme. Sa bite avait l’air épaisse et tordue. Il ne nous quittait plus des yeux.
Je mourrais maintenant d’envie qu’Alex me pénètre. Ma position était mal choisie mais l’échelle de la piscine était toute proche. Sans perdre de temps, je m’en saisissais pour qu’Alex s’y accroche et puisse m’enculer. D’abord en levrette, je poussai un cri de douleur au moment où sa queue me pénétra entièrement. Le jeune surveillant s’était rapproché pour mieux voir et se branlait encore plus vite. « Holà » me dit-il en voyant que je levais les yeux pour l’observer. À cet instant, la douleur avait laissé place au plaisir et à l’excitation. Je me retournais sur le dos et Alex enfourcha mes jambes sur ses épaules et me pénétra à nouveau. Le surveillant m’avait carrément enjambé et Alex le suçait en m’enculant. C’était lui qui s’occupait de tout le monde. La vue que j’avais sur le cul bien poilu du surveillant était exquise.
Alex fut le premier à jouir. Son foutre coulait le long de mon cul et se déversait dans l’eau de la piscine. Son visage était à nouveau couvert de semence, mais cette fois c’était celle du jeune surveillant. Elle coulait jusqu’à son torse et se mélangeait à la mienne venue d’en bas. Sur cette extase avec le jeune Espagnol qui, nous l’apprîmes plus tard, s’appelait Serge en hommage à Serge Gainsbourg que ses parents adoraient tout comme la France, nous nous laissâmes couler dans la piscine frottant nos corps nus et souillés de foutre les uns contre les autres.
Serge partit tandis qu’Alex et moi décidions d’aller explorer les Ramblas…
Affaire à suivre
Henry Wotton
miettedecul@gmail.com
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