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Premier épisode | Épisode précédent

L'étude anatomique

Chapitre 6 | L'orgueil

Pour la première fois depuis une semaine, j’avais dormi sereinement. L’idée de retrouver ma liberté et d’oublier Lucas ne pouvait pas me rendre plus heureux. J’étais prêt à lui rendre visite avec mes deux nouveaux amis.

Cela devrait attendre puisque la journée devait être consacrée aux révisions. Je m’étais levé tôt exprès et je n’étais pas déçu. Nous avons bien travaillé jusqu’à midi.

-       C’est tout pour ce matin, dit Romain. On fait une pause pour manger et on y retourne.

Félix disparu dans sa chambre jusqu’à ce que Romain l’appelle pour déjeuner. Il avait réussi à préparer un repas très appétissant à base de fruits et de légumes.

-       Où est-ce que t’as appris tout ça ?

J’étais curieux.

-       Mon ex ne mangeait rien d’autre. Il a fallu que je m’adapte, dit-il en m’adressant un clin d’œil.

Le repas se déroula très calmement. J’appris que Félix voulait devenir pompier après sa licence tandis que Romain ferait surement un master pour finir kinésithérapeute. Tous les deux savent ce qu’ils veulent. J’aurais aimé les rencontrer plus tôt.

Après une seconde partie de journée tout aussi studieuse, je les quittais.

La soirée passa vite et je me couchais tôt avant d’attaquer une nouvelle semaine.

La journée du lendemain se déroulait sans accroc jusque-là. Les cours étaient terminés, j’avais déjeuner avec mes deux acolytes. Bref, rien à signaler.

C’était sans compter sur l’entraînement de tennis où je retrouvais Lucas. Avant de quitter les vestiaires, il m’ordonna de l’attendre sur le terrain après l’entraînement.

Naturellement, il me « supervisa » pendant toute la séance et bon sang, il est vraiment doué ! Malgré mon niveau, plutôt bon, Lucas est un adversaire que je ne peux pas égaler pour l’instant.

La séance touchait à sa fin et les mecs partaient se changer pendant que le coach nous saluait avant de disparaître à son tour. Nous étions seuls, assis dans les gradins. Je n’osais pas le regarder en face maintenant qu’il était si proche. Je fixais mes genoux, ne sachant pas vers quoi tourner mon attention. Je remarquais sa jambe à côté de la mienne. Il portait un short, je vous donc distinguer les détails de sa peau de là où je me trouvais. Elle semblait douce et recouverte d’un léger duvet de poils clairs. Le muscle de son mollet était particulièrement saillant. Un léger film humide recouvrait sa peau, créant des reflets, accentuant encore le contour de ses muscles.

J’entendis un claquement et sursautais. Il me rappelait à l’ordre en claquant des doigts sous mon nez.

-       Tu materas plus tard, je veux que tu m’écoutes.

Je restais silencieux.

-       Bien. Samedi, j’organise un truc et tu vas servir d’animation. Viens pour vingt heures, t’as compris ?
-       Oui, je serai là.
-       T’as intérêt. On a un autre problème à régler tous les deux.

La tension montait brutalement d’un cran.

-       La semaine dernière, je t’ai demandé un truc.

La photo de Romain ! Je l’avais totalement oublié. Je pensais qu’il allait laisser couler…

-       Je t’ai dit que tu pouvais te reposer mais je me souviens pas avoir annulé mon ordre. Donc on a un problème.

Je le fixais, paniqué, tentant de ma calmer. Il avait son air de faux calme prêt à me tuer d’un seul regard. La tempête n’était pas loin. Il fallait que j’improvise.

-       Je peux te l’envoyer ce soir ! J4avais pas compris que tu la voulais toujours. Je suis désolé. Laisse-moi du…

Il se leva et pris la direction des vestiaires. Je ne savais pas si je devais le suivre.

-       Bouge !

Sans un mot de plus, je lui emboitais le pas. Les vestiaires étaient déserts.

-       À genoux, vite.

Le ton de Lucas était glaçant. Des mots simples dans des phrases courtes et aucune opportunité de négocier. J’allais passer un mauvais moment.

-       Je vais te punir.

J’étais comme paralysé. De quel genre de punition parlait-on exactement ?

Lucas sortit son téléphone de sa poche et le positionna comme pour prendre une photo.

-       À poil, tout de suite !

Sans réfléchir, je me déshabillais. J’étais nu, ma transpiration avait séché et je me sentais misérable à ses pieds.
Il toucha l’écran de son téléphone et m’indiqua les douches d’un mouvement de tête. Sans vraiment comprendre, je pris cette direction et me plaça sous l’un des pommeaux. Lucas appuya sur le bouton au mur et l’eau commença à ruisseler le long de mon corps. Son téléphone n’en perdait pas une miette. Étrangement, je ne trouvais pas la situation gênante.

-       Caresse-toi.

Je commençais à comprendre ce qu’il voulait. Tout en m’exposant face à la caméra, j’entamais de me caresser aux endroits stratégiques. C’était mon moment, ma « punition ». Lucas me regardait, il me désirait et ça n’avait rien de si terrible. Il était plutôt mignon d’ailleurs et j’étais heureux de ne pas me faire taper dessus pour une fois. Je devais lui montrer de quoi j’avais vraiment envie.

Je passais mes doigts dans mes cheveux, mon cou puis je glissais vers mes tétons qui pointaient fermement. Tout en continuant la caresse d’un de mes tétons, je libérai ma main droite qui se dirigea vers ma bite.

J’adorais l’idée qu’il me regarde.

-       Tourne toi, les mains contre le mur et les jambes écartées.

Je m’exécutais immédiatement. L’eau ne coulait plus et les douches étaient de nouveau silencieuses. Qu’est-ce que Lucas avait en tête ? Allait-on… le faire ici ?

Son souffle parvint jusqu’à ma nuque. Un frisson parcourut mon corps de haut en bas. Je distinguais ses pieds en du coin de l’œil en fixant le sol carrelé.

Un claquement perçant raisonna dans l’espace humide. Ma fesse gauche semblait soudain en feu avant que la douleur ne me parvienne complétement.

Il venait de me claquer le cul et tenait ma fesse fermement dans sa main.

Je réalisais soudain que j’avais arrêté de respirer. Je laissais l’air s’échapper de mes poumons lorsqu’un second claquement retentit.

Le douleur était nettement plus forte cette fois. Je vais serrer les dents pour ne pas faire de bruit.

Il continua de me claque le cul pendant de longues minutes. Ma peau était en feu, il fallait absolument qu’il s’arrête !

-       Lucas, osais-je faiblement.

Il continua, redoublant de vigueur.

-       S’il te plaît… Lucas, dis-je avec une certaine urgence.

Il accéléra encore, je n’en pouvais plus. Mes jambes allaient flancher.

-       Pitié ! Stop !

Je criais finalement, n’en pouvant plus. Il s’arrêta. J’avais l’impression qu’on m’avait brulé la peau tant c’en était douloureux.

-       Tourne-toi, dos au mur, jambes écartés, les bras le long du corps.

Péniblement, j’obtempérais. Son téléphone filmait toujours.

-       Tu me donnes envie de te baiser quand tu fais cette tête-là.

Il avait dit ça comme un constat, sans y mettre aucune intention. Il aurait sûrement employé le même ton pour parler d’un objet banal du quotidien.

Mon souffle était court, je tenais difficilement debout.

Il m’empoigna la bite, je réalisais que j’étais tendu et dur comme jamais.

-       Quelle pute. Plus je te cogne et plus ça te plaît.

Sans prévenir, il me colla un pain monumental. Je manquais de m’effondrer au sol. Ma tête vacillait.

-       Je n’aurais aucune pitié pour toi. C’est moi qui décidé quand on s’arrête.

Il me fixait avec intensité, comme un prédateur sur le point de tuer sa proie. Son téléphone continuait d’immortaliser la scène.

-       Astique un peu ta queue.

J’étais surpris de son ordre mais j’obéis. Je me branlais rapidement et j’étais prêt à venir. Malgré la douleur, je trouvais la situation très excitante sans que je ne sache vraiment pourquoi.

Lucas s’accroupit et filma ma queue d’un peu plus près.

-       Tu veux que je te fasse jouir grosse salope ?

Je continuais de me masser la bite rapidement.

-       Ou… Oui, parvins-je à dire entre deux respirations.

Il me regardait de là où il se trouvait, je voyais sa tête en face de ma queue. Nos regards se sont croisés.

-       Vire ta main et regarde.

Je plaquai ma main contre le mur, sentant le jus au bord de mon gland enflé.

Tout en continuant de filmer, Lucas approcha sa main de ma queue. Il laissa filer un doigt de la base de verge jusqu’au bout de mon gland. Ma bite tressauta.

Du plat de sa main, il écrasa mes boules contre le mur de la douche.

Je hurlais à gorge déployée.

-       Ferme ta grande gueule ou je te les fais bouffer !

Mes jambes tremblaient, ma cage thoracique se soulevait puis s’affaissait rapidement. Je sentais la paume de sa main maintenir la pression sur mes couilles. Le bout de mes ongles frottait contre les interstices des carreaux de céramique au mur.

J’avais réussi à rester pratiquement silencieux mais je couinais et m’agitait sans relâche. Je n’allais pas tarder à hurler de douleur.

Mes couilles semblaient avoir implosées et mon abdomen me paraissait se déchirer de l’intérieur.

-       Crache ton foutre sale merde !

Sa voix résonna dans mes oreilles et je sentis de multiples spasmes m’envahir accompagnés de violentes vague de plaisir. Mon sperme jailli dans toutes les directions comme si j’étais possédé. Les jets n’en finissaient pas, mon jus semblait très épais et chaud.

Lucas relâcha finalement sa prise, je m’effondrais. Il fit de nouveau couler l’eau avant de ranger son téléphone puis de quitter les douches.

Après un moment qui m’avait paru durer une éternité, j’étais finalement chez moi, au fond de mon lit, dans le noir.

Je pleurais.

Pourquoi Lucas me faisait-il subit tout ça ? Les humiliations, la douleur, la peur. Ce qui s’était passé dans les douches, c’était ma limite. Je ne pouvais plus continuer comme ça. D’une façon ou d’une autre, il fallait que cette histoire se termine.

Si seulement Romain avait pu être présent tout à l’heure. Lucas n’aurait rien pu faire. Il ne l’aurait pas permis.

Je n’avais envie de voir personne. Me lever pour manger semblait impossible. Je tentais de dormir, en vain.

Après m’être tourné et retourné, avoir pleuré toutes les larmes de mon corps, donné des coups dans les murs et hurlé dans mon oreiller, je quittais péniblement mon lit.

Je ne regardais pas l’heure. Il faisait nuit noire. Je trouvais quelques bières dans le réfrigérateur.

Avachis sur mon petit canapé, je décapsulais la première. Qu’est-ce que Lucas comptait faire de ce qu’il avait enregistré ? Allait-il continuer de me filmer à partir de maintenant ? Peut-être que d’autres ont déjà vu la vidéo.

Après tout, il aurait pu me surveiller depuis le début. Il a surement déjà pris tout un tas de photos et de vidéos de moi pour en faire… pour en faire quoi ?

Les poster sur PornHub et montrer ça à toute la fac. Il avait eu mon téléphone entre les mains. S’il a copié mes contacts, il pourrait aussi leur envoyer.

Mes parents seraient dévastés de voir ça. Ce serait horrible !

Et Romain ? Félix ? Ils ne voudront plus jamais me parler après ça …

Le pire, ce serait Raphaël… Je pourrais plus jamais le regarder en face. C’est impossible.

Mais ce n’est pas grave, parce que je suis plutôt bien là.

Je pourrais même dormir ici. Tout de suite.

Il faut que j’explique à Romain. C’est important.

Une, deux, trois… Il y en a aussi sous la table. J’ai bu combien de bouteilles exactement ?

Le mieux c’est de dormir. On verra demain.

Quand je rouvrais les yeux, il faisait jour. Ma tête me lançait et mon ventre était dans un état catastrophique.

Autour de moi, de nombreuses bouteilles de bières jonchaient le sol. JE me souvenais avoir bu hier mais je ne pensais pas me saouler à la bière. Je suis vraiment pathétique.

Je bougeais ma carcasse jusqu’à la salle de bain. Mon corps sentait la sueur et la bière bon marché. D’un coup d’œil, dans le miroir, j’aperçu mon teint blafard, mes cernes et mes yeux rougis.

Tout en sachant qu’une douche n’y changerait rien, je me lavais lentement. Bouger était une véritable épreuve et je savais que je ne me relèverais pas si je tombais maintenant.

Je me séchais, m’habillais, avant de m’échouer de nouveau sur mon canapé.

Il était 14:52. La journée était foutue.

Après avoir réuni la motivation qu’il me restait, je partais en quête de mon téléphone.

Dessus, un message d’un expéditeur inconnu avec un numéro à rallonge. À l’intérieur se trouvait un unique lien vers un service de partage de fichiers étranger.

Je téléchargeais le fichier, une vidéo, en sachant très bien de quoi il s’agissait.

En l’ouvrant, je découvrais les images capturées par Lucas la veille. On me reconnaissait parfaitement bien. Il avait pris soin de couper le son chaque fois qu’il avait parlé et il n’apparaissait jamais face caméra. On distinguait bien sa main qui me claquais le cul et me broyais les noix mais ça ne prouvait rien.

Il avait donc bien filmé et disposais d’un lien de partage. Il fallait que je me tienne à carreau si je ne voulais pas que la vidéo finisse dans la nature.

Sur les coups de 18:00, je débarquais chez Romain et Félix. Ils semblaient surpris de me trouver là. J’entrais et ils m’assaillirent de question instantanément.

-       On t’as cherché partout hier, t’étais où ?

Romain semblait vraiment inquiet. Je leur expliquais dans les grandes lignes ma mésaventure d’hier.

-       Désolé de demander, commença Félix, mais est-ce que tu as visionné la vidéo ?

Je lui indiquais clairement qu’on pouvait me reconnaitre dans une situation inappropriée.

-       C’est beaucoup trop grave Adrien, tu dois aller voir la police !

Romain avait un air concerné. Il réfléchissait à une stratégie.

-       Carrément, rechérit Félix ! Si tu vas le voir ce week-end, ce sera peut-être pire.

Romain me fixait, attendant que je réponde.

-       Ton pote que tu devais voir samedi, il a dit quoi ?

Je n’en avais pas parlé à Raphaël. À vrai dire, nous n’avions parlé de rien ce jour-là. Je me sentais tellement fort sur le moment. Je suis définitivement stupide.

-       Il partage votre avis : aller voir la police. Sauf que je n’ai pas envie d’y aller. Si Lucas l’apprend, la vidéo va faire le tour du monde.
-       Mais si tu n’y vas pas, qu’est-ce qui te dis qu’il ne la partagera pas de toute façon ?

Félix marquait un point, mais j’y avais déjà réfléchi.

-       Lucas veut continuer de s’amuser avec moi. Dans les vestiaires hier, il considère qu’il m’a puni parce que je n’ai pas suivi ces ordres.

Je marquais une pause en regardant Romain et je vis qu’il avait compris.

-       Concrètement, tant qu’il mène le jeu, il ne fera rien qui pourrait l’empêcher de continuer parce qu’il ne veut pas que tout ça s’arrête. Diffuser la vidéo, me faire passer pour un drogué, voler mon identité en ligne. Tout ça lui permet simplement de se couvrir.

Félix et Romain semblaient avoir du mal à me suivre. Point par point, j’expliquais ce que je pensais avoir compris.

Si je porte plainte contre Lucas, il y aura une enquête et donc des preuves, des témoignages.

Les messages insultants que j’ai envoyé à Lucas depuis un nouveau compte. Mes profs qui me surveillent parce que je me drogue en plus de sécher les cours. Mon passage éclair à l’hôpital sans justification. Il y avait trop d’éléments contre moi et pas une seule preuve contre Lucas.

Je me résignais.

-       Les mecs, vous voulez toujours m’aider ?

Ils acquiescèrent.

-       Samedi, on va chez lui et fout tout en l’air.

Éros

plumederos@outlook.fr

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