Avec mon pote Kamel on était tranquille en train de jouer à la Switch, ptit apéro chez lui oklm. On se connaît depuis des années, on a grandit dans la même cité. Moi jle trouve hyper bogoss, avec ses cheveux à ras, ses yeux verts profonds et ses joggings qui lui font un énorme paquet. Enfin bref, on joue, Mario Kart la base, on fume des bédos entre deux courses, on bien quoi. Kamel la fume ça le détend mais ça lui donne chaud, alors comme d’hab il se met torse nu, mais ça va j’ai l’habitude, ça m’excite un peu mais je reste concentré. Je joue pour gagner moi, et ça il le sait, et il sent bien que c’est le moment où je commence à lui mettre la misère et prendre un peu trop de point d’avance. Kamel est bon joueur, mais je sens qu’aujourd’hui il est un peu plus tenace. « Hé dis donc, tu te défends bien, normalement tu devrais plus être trop en état ! T’es à cran ? », je lui demande. « Ouais ça fait deux semaines que j’ai pas baisé, si tu veux tout savoir ! », qu’il me lâche. Je lui en demandais pas tant, mais effectivement ceci explique cela. « Toi aussi tu joues encore très bien, t’es pas encore défoncé ? », « Si si c’est monté mais je reste concentré, je vais pas te laisser gagner comme ça haha ! », je lui réponds avec un ait de défi. « Ah ouais, c’est ce qu’on va voir ! ». Et là, il profite que la course n’aie pas encore commencé pour se lever, et baisser son jogging, et le caleçon avec. Oh. mon. dieu. Une bite énorme, probablement un peu demi-molle mais pas plus, qui repose sur deux couilles géantes. Au niveau de mon visage, puisqu’il est resté debout. Je rate le départ de la course. J’essaye de me focus à nouveau sur la game, mais il commence à parler. « Allez, regarde ma bite. Regarde ma gosse bite comme elle est belle. », ça me déconcentre, je fonce dans le décor, je sors du circuit à chaque virage. Il pivote vers moi, continue de jouer de profil mais maintenant je vois sa bite bien en face dans le coin de mon champ de vision. « Allez Lucas, tu veux regarder ma bite, tourne tes yeux sur ma grosse bite ». Je jette de plus en plus de coups d’oeil, de plus en plus longtemps. Je détaille le circuit de ses veines, plus intéressant que le circuit en cours. « Oui c’est ça, regarde bien ma bite, fixe ma bite ». Il commence à bouger ses hanches, à faire balancer ce long morceau de chair… le mouvement, ça me captive. Je finis tant bien que mal la course, bon dernier. Il se place entre l’écran et moi, victorieux, toujours nu. « Aha ! J’ai enfin réussi à te déconcentrer ! Alors t’aimes ça mater ma bite ? Bah tu vas la mater encore, salope ». Il continue de la faire bouger devant moi, et se rapproche de mon visage. « Arrête Kamel, c’est bon t’as gagné... », j’essaye de protester mais avec le bédo mes envies de cul prenne de plus en plus de place. J’ai chaud. Je n’arrive plus du tout à détourner le regard de sa teub qui est définitivement bien raide. « T’es à moi maintenant, je fais ce que je veux de toi. », dit-il en écrasant son gland circoncis chaud et humide sur mon front. Il étale son précum partout, entre mes yeux, sur les joues qu’il biffle au passage, et sur mes lèvres. Il prend ma tête entre ses mais, « Ouvre la bouche », j’ouvre la bouche, mécaniquement. Sa vingtaine de centimètres s’engouffre sans aucun problème. On est sur le plateau de beuh, je suis complètement détendu, il fait ce qu’il veut de ma gorge. Il me plaque le visage contre son torse, et sans lâcher ma nuque il me lève penché, me retourne, s’assoit à ma place et me met à genoux entre ses cuisses pour le repépom de plus belle. « Voilà, là on est bien ! ». Et il lance la course suivante, sans moi qui continue de le sucer pendant qu’il marque tous les points. « Alors ma pute, tu vas perdre je sens ! ». Il me nargue, j’essaye de me relever pour aller jouer mais il coince ma tête avec ses jambes. « Non non non, tu restes là, j’arrive bientôt t’inquiètes. ». Il parle de la course où… ? Sur le dernier tour, il bouge ses hanches plus vite, et une fois la ligne d’arrivée franchie, il se lève, me prend à nouveau la tête entre ses mains, et me baise la bouche bien à fond. Il se retire, se branle au-dessus de moi. « Garde les yeux ouverts, lâche pas ma bite des yeux » qu’il m’ordonne. Et il me lâche une cascade de sperme sur le visage, j’en ai partout, dans les yeux, les cheveux, la bouche. J’avale instinctivement, toujours sous le choc. « Hé hé, je t’avais bien dit que ça faisait deux semaines ! ». Je m’essuie tant bien que mal, la honte. « Allez rentre chez toi maintenant, et envoie-moi un message quand tu voudras prendre ta revanche ! ».
Et revanche il y a eu, mais c’est une autre histoire...
Lucas
spacemizu@hotmail.fr
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