Premier épisode | Épisode précédent
Thomas est resté allongé sur le dos, les pieds posés au sol et ses genoux pliés en l’air, il reprenait doucement ses esprits, il a fini par se relever tout comme Lucas. Thomas restait là, debout, sans un mot pendant que son pote le regardait, il avait le cul bien ouvert, et le jus de Bastien commençait à couler le long de sa raie.
« Putain l’enfoiré » dit Thomas « Il m’a craché dans le cul » Lucas est venu se positionner derrière lui sans rien dire, il a récupéré la semence qui s’échappait de trou de Thomas avec son doigt, pour venir lui apporter à la bouche. Thomas l’a léché délicatement, Lucas a reproduit l’opération une seconde fois, cette fois-ci en venant enfoncer 2 doigts. Il a raclé les contours du trou de Thomas pour récupérer un maximum de jus, pour ensuite lui donner une seconde fois en bouche, puis une troisième fois.
Une fois tout le jus récupéré, Lucas s’est approché de Thomas, il tenait sa queue d’une main pour la poser contre le trou encore ouvert de son pote, celui-ci est resté droit comme un piquet sans bouger.
« Qu’est-ce que tu fais ? » Demanda Thomas, alors que Lucas venait de faire entrer son gland à l’intérieur de son cul.
« Hum ce cul » Gémit Lucas en enfonçant sa queue un peu plus profondément, celle-ci a glissé facilement pour venir s’introduire au fond du trou de Thomas qui se laissait faire. Une fois bien au fond, Lucas est venu se coller contre son pote, il lui a posé ses mains sur ses abdos et il a mis sa tête sur son épaule.
« Je veux moi aussi ton cul Thomas », murmura Lucas tout en lui caressant le ventre « J’ai plein de jus à te donner moi aussi »
Thomas respirait fort pendant que Lucas bougeait son bassin, pour faire naviguer sa queue dans ce trou serré, il est resté là sans bouger, pendant quelques minutes, avant de s’avancer, faisant ainsi sortir la queue de Lucas.
« Sérieux, tu vas où ? » Demanda Lucas dégouté.
« Faut que je baise, je vais voir Théo » Répondit Thomas tout en montant l’escalier pour me rejoindre dans ma chambre.
J’ai vu Thomas arrivé dans ma chambre, nu et en érection, j’étais allongé sur le dos et je le regardais entrer. Il m’a souri, puis il m’a rejoint sur le lit, il est venu s’allonger sur moi, pour m’embrasser. Pendant qu’il me roulait des pelles, sa queue se frottait entre mes jambes, j’ai posé mes mains autour de son cou, et j’ai levé mon bassin, son gland est venu se loger contre mon trou, il l’a d’abord pénétré, puis sa queue est entrée en moi lorsque Thomas a commencé à donner des coups de bassin.
Je sentais que Thomas avait besoin de tendresse, je lui caressais le dos, pendant qu’il me baisait tendrement tout en m’embrassant le cou. J’ai vu Lucas entrer dans la chambre, nu lui aussi et en érection. À ma grande surprise, il est venu s’installer derrière Thomas, il s’est assis sur ses propres genoux recroquevillés, il a pris sa queue d’une main pour que son gland atterrisse sur le trou de Thomas, celui-ci est entré rapidement dans son trou pendant que Thomas me baisait toujours.
Lucas s’est basculé en arrière, le torse penché reposant désormais sur ses bras tendus, il pouvait mater sa tige entrer doucement dans le cul de Thomas alors qu’il me pénétrait encore. J’ai vu Thomas lever son torse en prenant appui sur ses bras maintenant tendus, il a commencé à donner des coups secs avec son bassin. À chacun de ses mouvements, la queue de son pote s’insérait de plus en plus en lui, je le voyais ouvrir la bouche pour finalement pousser de petits gémissements.
« Continu, tu y es presque » Disait Lucas pendant que mon frère continuait ses vas et viens « Ton cul est trop bon, j’ai envie de le sentir bien au fond. »
Je n’en revenais pas, mon frère était en train de s’empaler sur la queue de son pote, tout en me baisant, ça m’excitait terriblement. Après quelques instants, Thomas s’est mis à gémir « Huuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmm, putain, j’la sens bien là » le membre de Lucas venait de glisser jusqu’au fond de son trou. Thomas m’a donc baisé plus vite, plus fort, il gémissait au rythme de ses mouvements, lorsque sa queue sortait de mon trou, celle de Lucas le pénétrait plus profondément, et inversement. Avec Lucas, nous restions spectateurs de ce spectacle, nous l’avons écouté prendre son pied grâce à ce double plaisir.
Après plusieurs minutes, Lucas s’est redressé pour s’approcher de son pote, avec ses mains il l’a tiré contre lui en lui caressant les abdos, dans son mouvement de recul, Thomas a tourné la tête et les deux amis ont commencé à s’embrasser. Sans se parler, ils ont continué en se roulant des pelles, je matais cette scène, c’était chaud, voir deux hommes si virils s’embrasser sous mes yeux, et surtout mon frère devenir la femelle de son pote. Thomas s’est à nouveau collé contre moi pour m’embrasser à mon tour, il offrait son cul à Lucas qui est venu poser ses mains sur chacune de ses fesses, il a commencé par les palper, pour ensuite le saisir par les hanches en lui donnant des coups de reins « Putain t’es trop bonne » Disait-il en accélérant sa sodomie, Thomas gémissait de plus en plus dans ma bouche à mesure que Lucas le limait.
Je pouvais entendre les cuisses de Lucas claquer contre le cul de mon frère, il le baisait littéralement, sans retenir ses coups. Cela faisait bien entendu bouger le bassin de Thomas et par la même occasion sa queue toujours en moi. Lucas nous donnait du plaisir à tous les deux, sous ses coups, les abdos de Thomas étaient en mouvement et me branlait ma queue, j’ai commencé à éjaculer le premier.
« Putain, c’est bon », ai-je crié en éjaculant, Lucas, qui ne s’arrêtait pas de piner son pote, a craché le second.
« Putain t’es trop bonne » criait-il essoufflé « Je sens que ça vient » Disait-il tout en baisant Thomas de plus en plus vite « Je vais te remplir ton cul de salope, putain ça vient, pu… tain… ça… vient… hum »
Lucas continuait de déboîter son pote alors qu’il était en train de lui vider sa semence dans le cul, à ce moment-là, j’ai senti la queue de Thomas se contracter en moi, il était lui aussi en train de me remplir de jus. Une fois terminé, Lucas s’est retiré du trou de Thomas pour s’asseoir sur le lit, en reprenant son souffle. Mon frère lui, s’est relevé en sortant lui aussi de mon anus, en se redressant, il a vu mon jus étalé sur mon torse, il est venu le lécher pour tout avaler, je l’ai aussi vu récupérer ma semence qui coulait sur son torse avec les doigts, pour l’avaler aussi. Une fois fini, Thomas est parti rejoindre Bastien qui l’attendait dans sa chambre, Lucas s’est allongé à côté de moi, sur le dos, basculant ses bras derrière sa tête, libérant ainsi ses aisselles dégoulinantes de fluide, je suis venu les lécher, l’une, puis l’autre, avant de me coucher contre lui pour m’endormir.
Dans la nuit, j’ai été réveillé par un bruit sourd, je pouvais entendre les gémissements de mon frère, il criait de plaisir alors que je pouvais aussi entendre les cuisses de Bastien claquer brutalement et rapidement contre son corps. Lucas lui aussi était réveillé, il se branlait tout en écoutant ses deux potes baiser. Lorsqu’il a vu que j’avais les yeux ouverts, il m’a retourné sur le ventre, pour venir me baiser violemment.
Le lendemain, mes parents sont rentrés tôt, Lucas et Bastien encore un peu sous de la veille sont partis peu après leur arrivée. Thomas et moi, nous avons mangé avec les parents, puis nous sommes rapidement allés nous rendormir. Thomas m’a suivi dans ma chambre, qu’il a fermée à clef derrière lui. Il est venu s’endormir à mes côtés, en se blottissant dans mes bras, tout en m’embrassant le cou. J’étais aux anges, nous dormions, l’un contre la chaleur de son corps me berçait peu à peu, je me sentais protégé. Avant de sombrer, Thomas s’est glissé sous la couette pour me sucer, je n’en revenais pas, c’est la première fois qu’il venait me tailler une pipe. Je me laissais faire et j’adorais me faire pomper par mon frère. Sous l’excitation, j’ai rapidement éjaculé, j’ai prévenu Thomas que j’allais cracher, mais il a continué à me sucer jusqu’à tout avaler. J’étais détendu, il est sorti de la couette pour se remettre contre moi, nous nous sommes roulés des pelles avant de nous endormir.
Thomas a continué de me baiser toute la semaine, il venait dormir le soir avec moi pour me garder contre lui. Lucas venait de temps en temps pour me limer, lorsqu’il avait le temps entre les meufs qu’il baisait via des sites de rencontres. Il a essayé de pénétrer une nouvelle fois mon frère, mais sans les effets de l’alcool, celui-ci a refusé. Il a juste accepté de le sucer de temps en temps pour pouvoir avaler sa semence. La semaine suivante, Thomas et Bastien sont allés travailler en déplacement avec Bastien, ils ont commencé par une longue mission de deux semaines dans le sud, le chantier était assez gros, il devait rester là-bas le week-end pour avancer plus vite.
À partir du dimanche après-midi, je me suis donc retrouvé seul, avant de partir, les trois potes m’ont baisé une dernière fois, pour bien se vider les couilles. De mon côté mon contrat était fini, mon père m’avait trouvé un job à ses côtés. Il était maçon, j’allais pouvoir me faire un peu d’argent en l’aidant. Le lendemain, j’ai donc commencé à bosser avec mon père, nous travaillons sur les chantiers torse nu, et je commençais déjà à mater du coin de l’œil ses collègues de travail, plus la semaine passait, plus j’étais en manque. Je me suis même surpris à mater mon père de temps en temps, il était complètement mouillé de transpiration, ça m’excitait énormément.
Je ne vous ai jamais parlé de mes parents, mais ils ont tous les deux 36 ans, ils nous ont eu très jeune mon frère et moi. Mon père est un homme mesurant 1m85, son torse est carrément sexy, assez mince, mais tout en muscle, des pectoraux fins, mais très larges, son torse est légèrement poilu, ses tétons sont énormes, plus gros qu’une pièce de 2 euros et plat, ses épaules sont bien gonflées et bien dessinées, il a des abdos fins, mais très larges, il est tout en muscle, mais pas gonflé comme avec de la musculation. Je n’en revenais pas, je me suis mis à bander direct en le regardant, mon père me regardait en souriant. Il fallait vraiment que je me fasse baiser.
À ma pause de midi, je suis retourné dans notre algéco pour me reposer, tout le monde faisait la sieste entre midi et 2, mon père était seul dans celui-là, allongé sur un lit de fortune qu’il avait fait grâce à une table et quelques moellons. Il dormait déjà, allongé sur le dos et les bras en arrière pour que ses mains puissent servir de coussin pour sa tête. J’étais trop en manque, étant donné qu’il était torse nu, je pouvais voir ses aisselles en sueur, ça m’excitait encore plus, je bandais sous mon caleçon. Je me suis approché de lui, il dormait la bouche ouverte, je me suis mis à genoux pour venir sentir l’une de ses aisselles, elle sentait tellement bon, je voyais tout ce fluide qui coulait sous la chaleur de notre algeco.
Je me suis doucement approché de sa bouche pour respirer son haleine, elle était tellement chaude et virile, son visage me faisait penser à Thomas, il se ressemble beaucoup. J’ai lentement baissé ma tête et j’ai lentement collé mes lèvres sur les siennes, pour lui faire un petit bisou, j’ai été surpris de voir qu’il m’a embrassé la lèvre lui aussi. Je me suis redressé rapidement, j’avais le cœur qui battait à fond, mais il dormait toujours, j’ai attendu quelques instants, mais il ne bougeait pas, je l’ai alors embrassé à nouveau, délicatement, en sortant ma langue. Dans son sommeil, mon père a ouvert sa bouche, en m’offrant lui aussi sa langue, j’ai plongé la mienne dedans, nous nous sommes roulés des pelles, j’embrassais mon père et ça m’excitait à fond, il embrassait super bien.
Je ne sais pas comment j’ai fait pour en arriver là, mais je me suis retrouvé à lui lécher les aisselles, je me nourrissais maintenant de ses fluides, il gémissait « Vas-y chérie c’est bon » tout en continuant de dormir. Je pense qu’il rêvait de ma mère. Une fois avoir avalé toute sa transpiration, il m’en fallait plus, je voyais une bosse sous son jean, j’ai décidé de me rapprocher, j’ai déboutonné son bouton puis ouvert sa fermeture éclaire, sa queue était dure sous son caleçon, je lui ai retiré doucement pour le mettre au niveau de ses couilles. Sa queue était comme je l’imaginais, comme celle de Thomas, 18 cm, je dirais, large et plus fine sur le gland. Celui-ci avait d’ailleurs évacué un peu de sperme, j’avais le cœur qui battait, il fallait que je goûte cette semence qui était le fruit de ma naissance, j’ai approché ma bouche et j’ai commencé à sucer son gland.
« huuuuuummmmmmm emma » a-t-il gémi, c’était le nom de ma mère « J’ai envie de toi » a-t-il soufflé, j’étais terriblement excité, je n’en pouvais plus, je me suis levé pour discrètement me mettre à poil, et je suis venu le chevaucher. J’étais à la limite de l’éjaculation tant la situation me faisait perdre mes moyens, j’étais sur mon père, il était là devant moi, m’offrant son corps, son corps était imbibé de transpiration, il respirait fortement alors que son gland caressait mon trou. Je ne pouvais plus faire marche arrière, je me suis assis sur sa tige qui m’a pénétré d’un seul coup, centimètre par centimètre, je la sentais entrer en moi.
« huuuuuuuummmmmmm » a-t-il gémi, j’étais aux anges, enfin je pouvais satisfaire mon envie de sexe, j’avais en moi la queue qui m’avait permis de naître, je ne faisais plus qu’un avec l’homme qui m’a mis au monde. Il fallait maintenant que je la sente me limer, j’ai commencé à bouger mon bassin pour me donner du plaisir dessus, quel bonheur, j’avais l’impression d’être dans un rêve.
Celui-ci s’est arrêté lorsque mon père a ouvert les yeux, je l’ai vu se redresser et me prendre les épaules avec ses mains. « Réveille-toi, Théo, c’est l’heure », me disait-il en me secouant « Réveille-toi, on va prendre un café et on recommence la journée ».
J’ai ouvert les yeux, j’étais assis dans un coin de l’algeco, en sueur, je venais de rêver que mon père me baisait et c’était très bon. J’étais totalement déboussolé et encore plus en manque qu’avant ma sieste. Je suis allé discrètement aux toilettes pour me vider, pour ensuite retourner bosser avec mon père et ses collègues, je n’avais qu’une seule envie, que la journée passe. J’étais entouré de mâle en sueur autour de moi, et je n’en pouvais plus, surtout que je n’arrivais plus à regarder mon père dans les yeux.
Théo3869
theoetseshistoires@gmail.com