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L'après-midi, je ne pouvais m'empêcher de mater le torse sublime de mon père, je pouvais voir ses muscles en action, son corps transpirant, je n'arrêtais pas de bander surtout que son visage me faisait penser à celui de Thomas. Mon frère me manquait, sa queue me manquait et sa façon de me faire l'amour aussi.
À 17 heures, nous avons terminé la journée, les collègues de mon père sont partis pendant que nous finissions tous les deux de ranger le matériel car nous étions vendredi. Une fois terminé, mon père est allé torse-nu dans l'algeco. Nous avions pour habitude de remettre un short propre avant d'entrer dans la voiture et de mettre notre t-shirt une fois le travail terminé. Je l'ai suivi et je le matais changer son short, je pouvais voir son dos musclé et ses fesses rebondis sous son caleçon. Même son dos était super développé, une fois le short changé, je me suis approché de mon père avant qu'il ai le temps de remettre son t-shirt.
"Papa ?" J'ai demandé tout en avançant vers lui.
"Oui, Théo ?" M'a-t-il répondu en se retournant vers moi, le t-shirt à la main. Je me suis jeté doucement contre lui pour lui faire un câlin. J'ai entouré mes bras autour de son torse, pour les croiser en bas de son dos, puis j'ai posé ma tête sur ses pecs.
"Je voulais juste te dire merci" Mon père était surpris, il est resté figé comme un piquet. Depuis mon adolescence, j'avais arrêté de faire des câlins à mes parents, mais à ce moment-là, j'espérais bien plus. J'étais littéralement en manque de sexe, et je repensais encore à mon rêve du midi. Je profitais de cet instant, je sentais la sueur du corps de mon père se mélanger à la mienne et je pouvais respirer son odeur chaude et masculine.
"Merci ?" Me demanda-t-il.
"Oui, grâce à toi, je peux travailler, puis ça me permet de passer du temps à tes côtés" Mon père a souri alors que je le serrais contre moi un peu plus fort. Il est venu poser ses bras autour de moi, l'un serrant mes épaules contre lui, l'autre laissant reposer sa main sur ma tête pour la caresser, j'étais aux anges, les câlins me manquaient.
"Je suis fier de toi mon fils, tu travailles comme un chef" me dit-il en posant sa tempe sur la mienne "Ca fait longtemps que tu n'as pas pris ton vieux père dans tes bras !" Continua-t-il en souriant.
"C'est vrai, ça m'a manqué" Lui ais-je dit alors que j'avais la tête prise entre son torse et sa tempe, je pouvais entendre son cœur battre. Mon père continuait de me caresser les cheveux, je ne sais pas si c'était la fatigue de la semaine, ou le manque de sexe, mais j'étais littéralement au paradis.
"Je t'aime mon papa" lui ais-je chuchoter en restant blottit contre ses bras "Tes câlins m'ont manqué."
"Moi aussi, je t'aime mon fils" m'a-t-il répondu en m'embrassant doucement la joue, lentement, plusieurs fois de suite. Je sentais ses lèvres se refermer pour déposer sur ma peau plusieurs délicats baisers.
Nous sommes resté comme ça plusieurs minutes, j'adorais sentir la chaleur protectrice du corps de mon père, alors qu'il continuait de me caresser la tête en y déposant de petits baisers. À un moment, j'ai relevé la mienne lentement, tout en la gardant collée contre son torse. Grâce à ce mouvement, je pouvais maintenant sentir les lèvres de mon père m'embrasser doucement le coin de la bouche. J'ai été surpris de voir qu'il ne s'est pas arrêté, je suis donc resté comme ça, je profitais de la chaleur de son haleine qui commençait à me pénétrer lentement par la bouche. C'était très chaud et surtout très bon, mon pénis commençait peu à peu à gonfler dans mon caleçon. J'ai doucement ouvert ma bouche pour aspirer de plus en plus fort la chaleur que m'offrait mon père. Dans un mouvement de bascule, j'ai déplacé mon visage, ce qui a permis aux lèvres de mon père de venir se refermer sur les miennes, une seule fois. Il s'est stoppé net, il ne bougeait plus. Mon cœur battait de plus en plus vite. Nous sommes restés là, un instant, l'un contre l'autre, sa bouche était ouverte contre la mienne, ce qui lui permettait de me transmettre sa chaleur lors de nos corps.
"Je t'aime papa" lui ais-je murmuré pour briser le silence, puis je suis venu l'embrasser, en utilisant doucement ma langue pour lui lécher les lèvres. À ma grande surprise, il a lentement sorti la sienne pour m'embrasser à nouveau 2 ou 3 fois. J'étais en trans, je frissonnais, des papillons s'envolaient dans mon ventre, j'étais dans les bras de mon père, contre son corps musclé, je sentais la chaleur de ses muscles contre ma peau, nos corps humides se mélangeait l'un contre l'autre, et je pouvais maintenant sentir sa langue contre la mienne. Il a continué à m'embrasser légèrement 2 ou 3 fois, timidement. Ses mains sont venues se loger contre mes omoplates, puis elles sont descendues le long de mon dos tout en me caressant légèrement, avant de venir se loger sur mes fesses. À cet instant, mon père s'est arrêté, avant de se reculer tout en toussant, je pense qu'il venait de reprendre ses esprits.
"Il faut y aller" me dit-il en mettant son t-shirt "Il va se faire tard" Il était gêné, je pouvais le voir, il est parti en baissant la tête, je suis resté là un bon moment, j'avais du mal à me remettre de cette scène, c'était tellement bon, et cette fois-ci, bien réelle. J'ai finalement rejoint mon père dans la voiture après m'être habillé à mon tour. Le retour a été très silencieux, tout comme le repas, mon père ne parlait pas beaucoup, et moi non plus.
Ma mère est allée passer la nuit chez sa sœur comme à son habitude, elle le faisait de temps en temps. J'étais fatigué de ma semaine, j'ai décidé d'aller me coucher après avoir mangé mon dessert. Avant de monter dans ma chambre, j'ai aidé mon père à débarrasser la table, une fois terminée, nous nous sommes retrouvé l'un face à l'autre, je lui ai tendu les bras en baissant la tête, pour lui faire comprendre que je voulais un câlin. Il n'a rien dit, il m'a juste tendu les bras à son tour, et je suis venu me blottir contre lui une nouvelle fois. J'adorais cette sensation, je frissonnais littéralement de plaisir, je me sentais partir dans un état second lorsqu'il me serrait contre lui.
"Je t'aime papa" lui ais-je dit tout en levant ma tête pour lui déposer un bisou dans le cou.
"Je t'aime mon fils" m'a-t-il répondu en m'embrassant sur le sommet de mon crâne, puis il est parti regarder la TV. De mon côté, je suis allé me coucher, avec cette étrange sensation de bien-être. Une fois arrivée dans mon lit, je me suis surpris à me branler en pensant à mon père, lorsque j'ai éjaculé sur mon torse, un frisson de bien-être m'envahit, puis je me suis endormi.
Le lendemain, tout était redevenu comme avant, dans la journée mon père a reçu un appel de son collègue de travail Benoît, il venait de se prendre la tête avec sa femme enceinte de 7 mois, qui la mise dehors. Benoit n'ayant pas de famille dans le coin, il a appelé mon père qui a accepté de l'héberger le temps que tout aille mieux, il prendrait la Chambre de Thomas étant donné qu'il était en déplacement. Benoit nous a rejoints dans l'après-midi tout gêné. Benoit est un garçon de 26 ans, adorable et timide à la fois, il est assez beau mec, brun rasé de prêt le visage assez fin, et mat de peau. Il mesure 1m85, il est assez sec mais bien musclé, un ventre mince avec des abdos très larges et bien dessinés. Il a des pecs de dingues, il n'était pas bodybuilder, mais son corps était super sexy, ses pecs sont monstrueux et super développés avec de petits tétons. Au niveau pilosité, il avait seulement un filet de poil qui courait de son nombril jusqu'à son pubis.
Pour le d'étendre, mon père lui a proposé de se baigner dans la piscine autour de bières pour passer une bonne après-midi. Nous étions tous les 3, Benoît s'est mis torse-nu et nous a rejoint.
Nous avons passé toute l'après-midi à la piscine avant de commander des pizzas pour le soir. Ma mère n'était toujours pas revenue, elle ne rentrait que le dimanche. Au cours de la soirée, nous avons bu plusieurs bières et bien entendu l'alcool me montait déjà à la tête, nous étions tous les 3 torse-nu et je ne pouvais m'empêcher de mater le beau torse de mon père et celui de Benoît. De temps en temps, en passant devant mon père, je me frottait doucement contre lui, je n'étais plus conscient de ce que je faisais. À un moment de la soirée, Benoît est allé prendre sa douche, nous en avons profité pour débarrasser la table avec mon père. Une fois terminée, je suis à nouveau venu me blottir contre lui.
"Encore un câlin ?" Me dit-il.
"Oui papa, ça m'avait manqué" lui ais-je répondu complètement bourré.
"Tu n'es plus un enfant pour faire des câlins" m'a-t-il répondu.
"Je suis encore ton grand enfant" lui ais-je dis.
"C'est vrai que tu as bien grandi" a-t-il dit "Tu es en âge de me faire du bien maintenant" a-t-il continué en se rapprochant de mon oreille pour me chuchoter "Suces-moi maintenant."
Un frisson m'a immédiatement parcouru, je suis resté contre lui sans bouger, comme si je n'avais rien entendu ou mal compris. Est-ce que mon père venait réellement de me demander de le sucer ? Au bout de quelques instants, mon père a repris la parole.
"Qu'est-ce que tu attends, Benoît va bientôt revenir, tu t'es frotté contre moi toute la soirée, mets toi à genoux maintenant" J'étais à la fois tétanisé, à la fois excité par son ton autoritaire. Mon père me demandait de le sucer et ce n'était pas un rêve, je ne savais pas s'il disait ça pour rigoler ou s'il était sérieux. J'ai compris qu'il ne plaisantait pas quand ses mains ont appuyé sur ma tête, comme pour me dire de me mettre à genoux. J'ai alors exécuté, je me suis mis à genoux face à mon père, il était en short, son torse-nu sous mes yeux, et il attendait les mains sur les hanches. Je pouvais voir face à moi ses abdos musclés et sa braguette que j'ai commencé à ouvrir. j'étais terriblement excité, mon père se laissait faire, j'allais goûter à sa queue, ce fruit défendu qui en plus m'avait mis au monde. Une fois sa braguette ouverte, mon père a directement baissé son short de bain avec ses mains, celui-ci a glissé le long de ses jambes jusqu'à toucher le sol. Je pouvais maintenant voir sa queue, molle et rasé de prêt, je ne sais pas si c'est sous l'effet de l'alcool, mais j'étais complètement hypnotisé par cette vision. J'ai commencé à ouvrir la bouche pour gober son gland chaud, je n'en revenais pas, j'avais maintenant dans la bouche la queue qui m'avait mise au monde.
Mon père était là, debout devant moi, les mains sur les haches et il me regardait gober sa queue tout en se laissant faire "Dépêches-toi" me dit-il, je n'osais pas parler, son ton autoritaire m'excitait beaucoup alors j'ai obéi, je l'ai sucé de plus en plus vite, gobant sa queue un peu plus loin dans ma bouche. Rapidement, il s'est mis à bander, je n'en revenais pas, les centimètres de son membre gonflait peu à peu pour m'offrir 20 bons centimètres à sucer, sa queue était super large, plus large que la mienne et celle de Thomas, son gland était énorme et je prenais plaisir à le sucer. Visiblement, mon père aimait ça, je l'entendais gémir alors qu'il continuait de me regarder le sucer, il avait son fils, à ses pieds pour lui procurer du plaisir.
À un moment, la douche s'est arrêté de couler "On a plus le temps" dis mon père, sans que j'ai eut le temps de comprendre quoi que ce soit, il a m'a plaqué la tête entre son bassin et le mur de la cuisine, ses mains sont venues se positionner sur ma tête, mon père a ensuite fléchi les genoux pour commencer à me baiser la gorge. Sa queue était énorme, elle avait du mal à entrer, à force de me pilonner dans cette position, elle a fini par ouvrir ma gorge en la déchirant d'un coup sec. Mon père ne s'arrêtait plus, sa respiration avait augmenté, il donnait de gros mouvements de bassin pour me démonter violemment la bouche.
"Putain, c'est bon ça vient" me dit-il sans arrêter ses mouvements "Vas-y avales mon foutre" Je ne pouvais ni bouger, ni répondre. Mon père me limait avec son corps musclé tout en me déversant son jus directement au fond de ma gorge. Il éjaculait beaucoup, c'était interminable, j'avais l'impression de m'étouffer alors que mon père vidait sa semence en moi. Une fois bien vidé, il s'est rapidement habillé puis il m'a aidé à me relever, une fois debout, il m'a serré contre lui, j'étais son jouet, je sentais son cœur battre et sa transpiration se mélangeait à la mienne. Tout en me tenant fermement contre lui, il est venu m'embrasser en enfonçant sa langue au fond de ma bouche, j'étais à lui, je sentais sa salive se mélanger au reste de jus qui n'était pas directement entré dans ma gorge. Nous nous embrassions alors que ses muscles me tenaient fermement conte lui, une de ses mains est venue se glisser dans mon short de bain, pour longer le long de ma raie. Rapidement, un de ses doigts est venu s'insérer en moi suivi d'un second puis d'un troisième, je gémissais de bonheur, mes cris de plaisir étaient étouffé dans la bouche de mon père qui continuait de me rouler des pelles. C'était trop bon, nous sommes resté comme ça jusqu'à entendre la porte de la salle de bain s'ouvrir, mon père m'a lâché pour aller prendre des bières dans le frigo, et nous avons continué la soirée.
Théo3869
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