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Premier épisode | Épisode précédent

Aym-rick

Chapitre 18

J’aime bien l’idée de m’occuper d’un homme beaucoup plus vieux que moi. Greg n’a pas perdu de temps pour se désaper, à en voir ce qu’il exhibe entre ses grosses et larges mains. Il y a de quoi être fier avec une telle preuve de virilité. Je devine qu’il n’est pas seul car son alliance scintille dans le clair-obscur, mais cela ne l'empêche pas d'admirer mes fesses glabres et musclées depuis tout à l’heure. A tous les coups c’est encore un hétéro qui trompe secrètement sa femme avec un mec gay. Il me regarde droit dans les yeux. Intensément. J’en ai des palpitations et des frissons. D’un seul coup, une bouffée de chaleur m’envahit. Je suis complètement troublé par Greg. Il est bien conservé pour son âge. Il affiche un corps saillant. Il remarque mon agitation et se plaît à se masturber vigoureusement ce qui accentue mon excitation. Je me retrouve à genoux devant lui.

- Rick m’a garanti que tu suçais mieux qu’une femelle. Tu me fais voir ? dit-il d’une voix salace.

J'hésite un bref instant à me pencher vers le bel objet de mon violent désir de jeune affamé, mais c'est encore trop de temps perdu au goût du despote qui m'attrape fermement par le cou pour avoir le bonheur de sentir mes lèvres humides et ma langue sur sa longue odorante colonne de chair palpitante. Je ne résiste pas à l'appel des sens. Greg, du haut de ses 24 centimètres à vue d’œil de queue turgescente, ne veut voir en moi qu'une bouche avide capable d'éponger ses lubrifications abondantes. Elle est aussi longue que celle de mon Maître, mais elle m’a l’air bien plus épaisse. Je me plis à ses directives et consignes sous une bordée d'insultes. Il me traite de "délicieuse petite pute" et de "bonne bouche à pipe". Ces jolis compliments m'incitent à faire de mon mieux pour donner entière et pleine satisfaction à ce pervers qui semble beaucoup apprécier mon entrain. Mon travail de bouche s'éternise et je commence à ressentir une douleur lancinante à la mâchoire, mais ma jouissance est telle que l'excitation de Greg est également la mienne. J'ai l'impression que plus rien d'autre n’existe autour de moi, que cette douce et suave besogne pour laquelle je suis fais. Il ne se gêne pas, par moments, pour me baiser l'orifice baveux, ses paluches en étau sur mes tempes. Je l’entends qu’il lâche des jurons étouffer et je le sens frémir sous les caresses répétées de mes muqueuses enflées. Greg à l’air d’une bête en rut. Sans vergogne, je le regarde avec insistance en surjouant mon côté salope. Visiblement, il kiffe grave. Il n’a pas pu se retenir davantage. Greg m'expédie plusieurs geysers puissants de son foutre épais dans la gorge sans prévenir et en râlant comme une bête à l'agonie, ses doigts agrippent mon visage comme des serres. J'ai failli m'étrangler, mais j'ai pu, avec difficulté, tout digérer en prenant bien soin de ne rien recracher. C’est le meilleur lait de couilles qu'il m'ait été donné d'ingurgiter après celui de mon Maître naturellement. Il s’abaisse vers moi pour m'embrasser. C’est sa façon à lui de me remercier. Je réponds passionnément à ses baisers. Greg me claque les fesses et se redresse.

- Bonne salope, t’es vraiment parfaite ! Allez, va t’occuper de mes potes, ils attendent leur tour !

Il enfile ses vêtements, tourne les talons aussitôt et je me retrouve seul au milieu de ces lascars affamés. J’aperçois mon Maître qui se branle non loin car ça l’excite aussi terriblement que tous ces hommes me désire. Je sens les regards se poser sur moi avec de plus en plus de gourmandise. Hmmm ! L’un d’eux s’avance vers moi, un beau black. Il retire son polo et je sens le parfum boisé qui émane de son corps de Dieu Africain. Je remarque sa musculature parfaite jouer sous sa peau noire. Waouuuh ! Il se colle à moi et là son visage change passant d’un ange à un démon… du sexe…

- Je vais te faire connaître les joies de la débauche sale pute ! dit-il d’un air satanique.

Il a une voix grave et envoûtante, avec un accent très prononcé ce qui lui procure un charme fou. Il tend sa main vers moi et son doigt vient se déposer méticuleusement sur mon cou. Je frissonne comme touchée par une décharge électrique. Il sourit, j’aime trop son sourire, il a de belles dents blanches. Il est grave séduisant, avec cette lueur espiègle au fond de l’œil. Je suis déjà en train de m’imaginer les morsures que cette belle dentition pourrait laisser sur mon corps. Il n’hésite pas une seule seconde, et fait descendre son doigt le long de mon cou, puis sur mon torse. Les boutons de ma chemise sautent je ne sais trop comment pour laisser le passage libre alors qu’il trace un chemin de feu sur mon corps. Il m’attire contre lui et je sens sa chaleur et son odeur entêtante. Je m’occupe de ce corps bien taillé qui me fait tellement rêver. Il me fait parcourir son torse passant par ses tétons, ses pecs, ses abdos et son nombril. Mes mains jouent sur ses muscles. Je me sens pris de vertige quand il me soulève sans effort pour m’allonger sur l’un des fauteuils. En l’espace d’un instant, il me déshabille, tous mes vêtements gisent en tas de merde sur le sol. Il fini par retirer son pantalon en lin et se retrouve en boxer debout face à moi, avec son paquet proéminent au niveau de ma figure. C'est alors qu'il m'attrape la tête et me la plaque contre sa troisième jambe, je ressens une légère odeur de sueur mais rien de repoussant, bien au contraire, ça me stimule. Il me relève le visage et me fixe avec un énorme sourire qui en dit long.

- Envie de goûter aux saveurs d’Afrique ?

Je hoche la tête en guise d’approbation. Je suis totalement soumis à lui. Ni une ni deux, je baisse son sous-vêtement et libère le monstre qu’il contient. Son arbalète est désormais tendue hors de son boxer. Il prend ma main et la place dessus. Je le caresse distraitement, fasciné par la taille. Je m’assois confortablement sur le fauteuil et je mets ma tête à hauteur de son énorme gourdin.

- Ohhh je n’en reviens pas ! Elle est encore plus grosse que celle dont je viens de m’occuper !

- Et encore je ne bande qu’à moitié là !

- Ce n’est pas un mythe selon lequel les hommes noirs ont d’immenses bites !

- J’en suis la preuve vivante ! Elle est si épaisse que j’ai besoin de la tenir à deux mains pour aller pisser. Bon allez ! Assez parler ma jolie… Tu es là pour goûter au plat typique de la Côte d’Ivoire !

Je m’exécute et pose délicatement mes lèvres sur son gland que je sens grossir encore plus, son bangala a un très bon goût, toujours cette fragrance boisée, un peu comme la forêt après la pluie. J’aspire avec une grande difficulté son chibre dans ma bouche, j’essaie d’ouvrir au maximum mais il est vraiment hors-norme. Je léchouille son dard et gobe ses couilles puis je ressens ses mains sur ma tête. Et là il commence a me défoncer littéralement la cavité buccale avec sa matraque, pendant longtemps en altérant avec quelques crachats sur le visage. Oh... j’adore ça ! Je suis sa pute et cela ne me déplaît absolument pas, je me sens si bien avec ce membre démesuré dans la bouche, satisfait de lui apporter du plaisir. Je ressens des palpitations le long de sa tige et des bourses que je caresse consciencieusement. J’entends sa respiration s’accélérer et ses râles de plaisir se joignent aux miens. Je ne pensais pas qu’il était aussi endurant, mais je n'en peux plus, ma mâchoire est ankylosé. Après de longues minutes interminables, il se retire de mon gosier. Il est au bord de l’explosion, transpirant comme un fou. Il dégage une forte odeur animale. Mmhhh.

- Eh bé ! Tu m’avais caché ça que tu sucer comme une déesse ! Maintenant je vais voir si tu es aussi habile avec ta chatte qu'avec ta bouche de salope !

Oh Doux Jésus ! Rien qu’à l'idée de me prendre son énorme anaconda dans le cul, j'en ai déjà mal.

Mais il m’hypnotise, je suis sous son emprise. Ne voyant aucune réaction de ma part, il me pousse sur le fauteuil, je me retrouve sur le dos, il me retire mon string et écarte mes jambes. J’expose avec excitation mon anus face à lui, il crache un gros mollard sur mon fion et tente de rentrer un doigt dedans. Il réussit à l'introduire facilement, puis il rentre un deuxième et commence à faire des va-et-vient rapide avec ses gros doigts. Je suis en feu, et je ne peux m’empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être. D'un coup, il les retirent, et se dirige vers son pantalon. Il récupère un préservatif, le glisse sur son arbre de vie et s’approche en direction de ma rondelle. Il crache dans ses mains et se met à enduire son tuyau de salive. Je sens son gland chaud à l’entrée de ma grotte qui tente de me pénétrer ce qu'il réussi en forçant un peu. La colossale tête de son sexe écarte mes chairs et s’insinue peu à peu en moi. J’ai l’impression que l’on m’ouvre l’abricot en deux. Je pousse un cri de douleur et me redresse pour soulager le mal qui se développe dans mon corps.

- T'a pas fini de gueuler, ce n'est que le début petite pucelle ! dit-il en rigolant.

J’ai la sensation qu’un fer porté au rouge est planté au fond de mes entrailles. Je serre les dents pour ne pas crier. Des petites larmes coulent sur mes joues. Il commence à s’activer en enfonçant son outil de plus en plus dans mon anneau. J’ai la pastille complètement défoncée, mais en glissant mes mains en dessous je me rends compte que sa béquille n’est pas rentrée à fond. Je gémis fort à la fois de douleur mais aussi de plaisir. Je remarque que des individus se rapprochent vers nous. Ça m’excite au plus haut point de les voir se branler sur moi. Plus les secondes passent, plus il me pénètre profondément, je hurle de plus en plus fort. Puis au bout d'un certains temps, je sens sa fine toison contre mes fesses. Il a réussi à rentrer son bâton qui rend fou entièrement dans mon cul. Jamais de ma vie, je ne m’étais senti aussi rempli. Un vrai garage à bites Aymeric désormais !

- Hmmm… Les choses sérieuses vont enfin commencer ! Prépare toi à ne plus pouvoir marcher pendant des jours ! Tu vas t’en souvenir à vie du gros braquemart à Moussa, je te le promets !

Nous restons un moment immobile, je sens ma rondelle céder peu à peu, et la douleur commence à laisser place à une douce langueur. Il me baise comme un sauvage, en de longs mouvements de va et vient m’arrachant à chaque passage des couinements de douleur. Au bout de quelques instants, mon derche cède complètement et la gigantesque pine coulisse en moi sans aucune gène. Je sens le désir m’envahir, et je demande à Moussa de me défoncer comme je le mérite. Il ne perd pas de temps pour me limer comme une pute. Il m’explose l’oignon comme une bête, je hurle de plaisir et lui aussi. Je n’ai jamais ressenti ça auparavant, il me baise superbement bien, c’est trop bon de sentir ce superbe phallus d’ébène me ramoner le fion chaque fois qu’il plonge jusqu’à la garde. Le plaisir que je sens monter est si puissant que j’ai l’impression de jouir du cul. Sa pénétration est tellement profonde que mes pertes anales lubrifient mon anus et souillent sa grosse barre noire. Mon Maître est fou, il ne perd pas une miette devant ce joli spectacle. C’est alors que deux mecs se placent de chaque côté de moi, et m’enfoncent franchement tour à tour leurs verges de belles dimensions dans mon avaloir. Je vais devoir subir l’assaut de ces gaillards affamés. L’un d’eux me force la bouche avec sa queue circoncise en me tenant la tête, il me nique la gorge, de plus en plus profond, je suis à deux doigts de vomir mais je suis tellement dominé par cette passion exclusive. Le gars se retire de mon orifice, j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que le deuxième abuse de ma bouche violemment. Les deux étalons continuent à me baiser a tour de rôle pendant ce temps-là je savoure les coups de boutoirs puissants de Moussa dans mes fesses. Que les Dieux du sexe sont pervers et qu’est-ce que j’aime ça ! Je suis comblé au-delà de mes espérances les plus folles. Il sort totalement son membre viril de mon trou de balle et le réintroduit en entier, d’un coup sec. Ma petite chatte est devenue un véritable trou béant, un vrai fond avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là, c’est la première fois de ma vie. Sous les assauts répétés de Moussa, le désir ne fut pas long à prendre possession de tout mon être. Son madrier coulisse aisément dans mon tunnel et chaque poussée me fait chouiner, je me cambre pour offrir encore plus mon croupion à ce merveilleux zob qui me ramone. Le plaisir monte en moi par vagues successives, je rejette la tête en arrière, avec une bite dans le cul, une autre dans la bouche et une que je branle dans ma main. Les yeux clos, je ronronne de bonheur chaque fois que son pénis se plante au plus profond de moi. Moussa me tringle de toute la longueur de son manche le faisant sortir intégralement de mon fion pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante. Il continue fortement à me remplir, m’écarteler… Je commence à y prendre goût, et j’ai un premier orgasme. A brûle-pourpoint, l’un des lascars gicle au fond de ma gorge, son sperme est abondant et épais. Je n’ai même pas le temps de dire ouf, qu’aussitôt le deuxième homme envahie la place laissée libre. Quant au puissant Moussa il est toujours en train de m’enculer de plus en plus fort en m’insultant de « sale pute blanche ». L’euphorie ne me quitte plus. Je ne sais pas vraiment depuis combien de temps il me besogne, mais le bonheur qu’il me procure est tel que je souhaite qu’il me laboure à l’infini... J’ai perdu le sens des réalités, ce qui compte uniquement pour moi c’est ce magnifique Dieu Africain qui me forent les reins, j’ai les fesses en fusion et l’anus totalement dilaté. Soudain une boule de chaleur se forme au creux de mon estomac et remonte vite vers ma figure, toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passe m’envahissent pleinement. Mon être tout entier est empli par un spasme foudroyant, et j’obtiens un second orgasme. Un cri de volupté pulse de ma bouche, m’obligeant à retirer le morceau circoncis de ma gorge et sans m’en apercevoir je perds connaissance quelques secondes. Quand je reviens à moi, Moussa me pénètre encore, son ventre musclé claque contre mon fessier en feu, tout mon corps brûle littéralement. A nouveau je pompe par-à-coups le type à la bite circoncise. Sa hampe à un bon goût salé. J’aime ce gland rose et cette peau bronzée que je fais passer dessus dessous. J’enfonce au fur et à mesure ce magnifique instrument dans ma gorge tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible. Je sors son sexe raide d’entre mes lèvres et le lubrifie de salive puis je l’engloutis dans mon bec. Il était très excité par ce que je faisais. Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant. Je caresse ses burnes bien mouillées de mon écume et le pompe encore à fond. Au bout de quelques instants, je sens son engin tressauter sur ma langue, et dans un râle langoureux il éjacule. Je reçois un flot de purée ultra-crémeuse au fond de mon entonnoir que j’avale avec délice. Dès lors je me retrouve uniquement avec Moussa. Je le saisis par la taille et le tire contre moi, pour qu’il s’immerge plus profondément encore. Mes mains se resserrent sur son dos musclé mais glissent dans les gouttes de sueur qui ruissellent le long de ses omoplates. Je suis parcouru de soubresauts sous ses coups de queue effrénés. Moussa prend un pied immense à en voir les grimaces qu’il esquisse. Sa respiration est saccadée et ses mouvements sont de plus en plus désordonnés. J’atteins le paroxysme de la jouissance, je plane littéralement. Il se retire vite de mon arrière-train, extirpe la capote, et s’introduit de nouveau au plus profond de mon rectum. Moussa explose en feulant, plusieurs giclées de son foutre remplit mon fondement. Un troisième orgasme dévastateur déferle en moi. Je tends ma croupe vers la source qui continuer de couler entre mes fesses, un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge. J’ai les yeux clos, cuisses écartées, je flotte dans l’univers cotonneux de la jouissance. Je refais surface peu à peu. Moussa me regarde en souriant, en tenant son sexe souillé de notre étreinte. Je relève la tête et lui dit :

- Qu’est-ce que tu m’as mis Moussa, jamais au cours d’une partie de jambes en l’air, je n’ai obtenu autant d’orgasmes ! J’ai cru devenir fou !

- Je te l’avais promis, non ? Mes conquêtes m’appellent le donneur d’orgasmes !

- Oui, tu as été au-delà de mes espérances. Je confirme, tu es vraiment un baiseur fantastique !

Avant de partir se rhabiller, Moussa me roule une grosse pelle et me susurre à l’oreille :

- Ta bouche et ta chatte m'ont fait kiffer, j’espère te revoir bientôt. En attendant, je t’envoie toute ma force et mon courage pour satisfaire le reste de la tribu !

Mon cul était rester grand ouvert. On pouvait y voir le sperme tout blanc. Les autres hommes présents, la queue bien raide, étaient prêts à prendre le relais. Je suis tellement épuisé, qu’un court instant je pense à utiliser le safeword. Le petit mot magique qui permet de faire stopper une pratique quand on sent que l'on a atteint nos limites. Mais au fond de moi, je n’ai pas envie de décevoir mon Maître alors je me tais et leur fais signe de venir me rejoindre. Show must go one...

Flok

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