Je me présente, je m’appelle Stéphane j’ai 35 ans et j’habite Toulouse. Je travaille dans une agence immobilière du centre-ville. Je suis marié depuis plus de 15 ans avec une femme charmante de mon âge. Côté physique, 1,78m 72 kg brun, les yeux bleus cheveux courts. Pour ma vie intime du banal, jusqu’à l’été dernier ou à l’occasion d’une sortie en boite entre copains, je me suis fait carrément draguer par un petit jeune et pourquoi je ne saurais jamais, sans doute la boisson alcoolisée aidant je me suis laissé entrainer dans une relation régulière avec Bruno qui est étudiant à l’université Paul Sabatier à Toulouse. Jamais je n’aurais pu penser prendre autant de plaisir avec un garçon.
J’étais sorti avec des pots, ma femme de son côté était partie chez sa mère, nous étions allés boire un coup dans une boite à la mode sur Toulouse. Après pas mal de verres la soirée commençait à s’éterniser, quand du coin de l’œil je remarquais un jeune garçon qui me matais en douce, je ne sais pourquoi je lui adressais un sourire discret qu’il me rendit aussitôt. Puis je le vis se lever et s’approcher du bar ou j’étais accoudé et les yeux dans les miens il me dit,
« J’ai soif et j’ai plus un rond tu me payes un coup ? »
« Si tu veux lui répondit-je »
En s’adressant au barman il claironne « un gin kas »
. « Excuse-moi d’être indiscret mais je ne t’avais jamais vu ici et si je t’avais vu je m’en serais souvenu
« Et pourquoi donc lui répondis-je ? »
« Tout simplement je remarque toujours les mecs mignons »
« Hey, là tu fais fausse route je ne suis pas gay mec »
« Qui te parle de gay toujours les grands mots, moi je te parle de plaisir, tu n’as rien contre non ? »
« Oh ça non mais je ne vois toujours pas ou tu veux en venir »
« Je vais être direct j’ai envie de te sucer »
« Alors là c’est la meilleure »
« Je te fais un deal si je n’arrive pas à te faire bander j’arrête de suite au moins tu prends pas de risque »
« Tu ne doutes de rien toi »
« Non c’est vrai »
Il passa sa main sur ma cuisse et remonta jusqu’à frôler mon paquet, je ne sais ce qui m’a pris en lui répondant,
« Pas ici quand même ? »
Il descendit de son tabouret de bar en me disant
« Vient-on sort »
Je ne sais où j’allais sans doute l’effet de l’alcool me désorientais, une fois dehors je pus le détailler, dans les 1m75, petite soixantaine de kilos, un léger petit bouc, des grands yeux marrons il portait sans doute des lentilles, il portait un tee-shirt gris clair et un pantacourt moulant rose et des baskets blancs, en somme un physique passe-partout si ce n’est son magnifique sourire et ses yeux très coquins.
« Tu veux aller où lui demandais-je, »
« En bord de Garonne je connais un endroit sympa et discret, t’a une bagnole ? »
« Ok je suis garé non-loin d’ici, suis-moi »
Arrivé à l’auto il monta rapidement, il semblait pressé et moi un peu dérouté et inquiet, pensez-donc à 35 balais et hétéro de surcroit partir avec un petit jeune de tout juste 20 ans pour me faire sucer et même si le mot peut paraitre cru c’était la réalité. Il me guida et nous nous garâmes dans un parking isolé non loin d’un petit bosquet en bord du fleuve Garonne. J’avais les mains moites et la gorge sèche, lui paraissait plus détendu il avait sans doute plus l’habitude de ce genre de plan. Il s’enfonça dans le bosquet en me faisant signe de le suivre, arrivé à un endroit plus clair il me prit de m’appuyer à un saule ce que je fis sans discuter. Aussitôt fait il s’agenouilla à mes pieds dégrafa la ceinture du jeans descendit la fermeture éclair et tira sur le vêtement pour le laisser tomber sur les chevilles, mon shorty prit le même chemin, je sentis ses doigts en particulier le pouce et l’index se positionner à la base de ma teub pour la décalotter et là sa bouche vint prendre mon gland et l’aspirer doucement mais fermement pendant que sa langue excitait le frein et je sentais ma bite se tendre irrémédiablement, il paraissait satisfait de sa taille il la faisait coulisser entre ses lèvres voraces, tantôt il l’avalait entièrement tantôt il gobait juste le gland pendant qu’il me caressait lentement les boules. Quand il ne suçait pas il appuyait sur sa base vers le bas pour la faire durcir encore plus, j’étais tendu au maximum, ensuite il la prenait dessous pour la coller contre mon ventre et la lécher tout du long, il partait des couilles j’jusqu’au gland en suivant la grosse veine avec le bout de sa langue. Ensuite il passa ses deux mains sur mes fesses pour me faire comprendre de limer sa bouche, c’était trop bon, jamais je n’avais été sucé de la sorte et lui prenait apparemment autant de plaisir que moi, il s’activait de plus en plus sa bouche devenait de plus en plus vorace il me bouffait littéralement la queue avec une énergie à peine croyable. Je sentais irrésistiblement le jus monter le long de ma pine je finis par lâcher
« Attention je vais venir »
il ne la lâcha pas pour autant, au contraire il bloqua le gland entre ses lèvres pour l’aspirer dans une succion démoniaque, j’en pouvais plus et soudain j’explosais dans sa bouche, les jets me semblais interminables et lui de son côté avalait mon sperme avec application il n’en perdait pas une goutte il garda mon membre encore dur dans la bouche comme s’il n’en avait pas eu assez il passait sa langue autour de mon chibre encore luisant de sa salive et il le laissait tranquillement mollir dans sa bouche, puis il se leva.
« Alors mec ça valait pas le coup ? »
« Franchement tu m’as donné un moment de plaisir rare, tu es un vrai démon de suceur de bite »
Discrètement je jetais un coup d’œil sur son entre-jambe, son paquet avait doublé de volume, il bandait comme un âne, et sans aucune gêne, joignant le geste à la parole
Attend-il faut que je me tape une queue »
Rapidement il fit descendre la fermeture éclair de son pantacourt baissa son boxer cala l’élastique sous les boules, son membre jaillit bien droit et ma fois de taille plus que respectable et il entama une branle rapide et énergique qui je dois dire était assez sexy, j’ai même pensé à un moment me saisir de cette queue pour lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné. Au bout d’une à deux minutes son visage se crispa sa respiration se fit plus rapide et quatre ou cinq jets de sperme chaud vinrent se perdre dans la végétation, prestement il remballa son matos ferma la braguette me fit face pour me dire,
« Ça ne te dérange pas de me ramener au bahut ? »
« Quel bahut ? »
« Université Paul Sabatier »
« OK on y va monte »
Il monta dans l’auto accrocha la ceinture de sécurité et l’on démarra.
« Alors comment tu as trouvé cette première expérience ? »
« Pas mal je dois même te dire, pas mal du tout »
« Moi personnellement j’ai beaucoup aimé, tu ne dois pas ignorer que nous les PD notre rêve c’est de se faire un hétéro, malheureusement ça n’arrive pas souvent »
« Et pourquoi c’est mieux avec un hétéro ? »
« En premier ils ne se font pas sucer souvent, et avec eux tu es sûr d’avoir la raideur qui convient et dieux sait si ça compte rien n’est plus décevant que de sucer une bite molle, de plus pour faire une bonne pipe il faut être deux, faire plaisir au sucé et que le suceur se régale, regarde-moi j’adore sucer une bite et bien avec la tienne je me suis éclaté et je crois que toi aussi non ? »
« C’est vrai je dois même t’avouer que c’est la première fois que je jouis aussi fort ».
Le voyage pour le raccompagner à son université c’est passé sans encombre hormis qu’en me parlant il a posé deux ou trois fois sa main sur ma cuisse, mais rien d’indécent. Je le quittais et aussitôt je pris le chemin de la maison, j’étais en train de garer ma bagnole dans le garage quand l’alarme SMS de mon portable retentit, je me dis qui peut bien me tweeter à cette heure tardive et là à surprise
« Salut mec, si t’as envie un autre jour fais-moi signe, Bruno »
« Hey mec comment t’as eu mon tél ? »
« Il ne faut pas laisser trainer tes cartes du boulot n’importe où dans ta caisse »
« A OK j’aime mieux ça, pour le reste c’était un coup de folie n’y compte pas trop »
« Bonne nuit quand même Stéphane ».
Le lendemain j’ai repris mon boulot de prospection immobilière, vers 13 heures alors que j’étais en train de déjeuner quand le tut si caractéristique des sms retentit
« Salut Stef ça va ? »
Moulbox
dupeyron_guy@yahoo.fr
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