Cela faisait 2 ans que le jeune Hugo planifiait son voyage à Pétra et dans le désert jordanien, mais à cause de la pandémie, tout était tombé à l’eau. Hugo était fasciné par la beauté de l’Orient mais aussi par la virilité des hommes Arabes. N’ayant pas froid aux yeux, il avait déjà donné son cul à plusieurs Marocains lors des précédentes vacances d’été. Blond, avec un cul rond et rebondi, cela ne passe pas inaperçu dans un short moulant déambulant dans les rues bondées ! Mais cette fois, Hugo voulait sortir des sentiers battus, partir à l’aventure, la vraie...
Arrivé à Pétra, Hugo rencontre son guide Ahmed, une jeune jordanien de 27 ans qui maitrise l’arabe, le français et l’anglais, un gros plus pour bien se faire comprendre avec les locaux (Arabes et Bédouins du désert). “Cette nuit, on dort à l’hôtel”, lance Ahmed à Hugo, “car demain la nuit se fera en plein désert et tu dois te reposer pour la journée épuisante de demain”. Hugo le questionne : “pourquoi épuisante ?”. “Parce qu’il faudra marcher 5 heures pour visiter Pétra et ensuite arriver dans la tente bédouine”, explique Ahmed. “Très bien, je vais me doucher puis me coucher dans un instant”, dit Hugo. “Comme tu veux”, répond Ahmed. Hugo, qui n’est pas très pudique, sort de la douche entièrement nu, exhibant ses deux fesses blanches et volumineuses sous les yeux d’Ahmed qui s’écarquillent et ne décrochent plus d’un millimètre ce cul pendouillant dans tous les sens. “Très beau!”, lui lance Ahmed. “Ah oui ? Eh bien, c’est-à-dire que je suis fatigué ce soir, j’espère que tu ne m’en v...”, Hugo n’a pas le temps de finir qu’Ahmed se lève d’un coup et agrippe fortement les deux fesses d’Hugo pour les claquer violemment avec ses grandes mains. “Je connais bien les kahba comme toi mon petit Hugo, tu ne verras pas que des trésors archéologiques demain, tu verras... Maintenant, dors si tu le veux, je te laisse, mon boss m’attend pour aider des touristes en partance...”.
Le lendemain matin, pas le temps de faire la grasse matinée. Ahmed est déjà dans la jeep tout-terrain, fumant cigarettes sur cigarettes, quand Hugo sort de l’hôtel pour le rejoindre. “Et tu comptes venir dans cette tenue ?!”, lui lance Ahmed. “Il fait 35 degrés à l’ombre, c’est un problème ce short moulant ?”. Ahmed lève les yeux au ciel : “je t’aurais prévenu”, s’amusa-t-il.
La journée exténuante de marche avait eu raison d’Hugo qui ne cessait de transpirer sous la chaleur écrasante du désert jordanien. Les somptueux vestiges l’avaient ébloui, mais aussi les jeunes bédouins vendeurs de souvenirs en tout genre. Ces tenues traditionnelles étaient charmantes et mystérieuses à ses yeux.
“J’imagine que tu vas encore prendre une douche dès ton arrivée ?”, lança Ahmed. “Mais sache que dans cette tente, c’est zéro intimité et très rudimentaire”. Hugo acquiesça. “Et à part l’hôte de la tente, qui sera là ?”, demanda Hugo. “Ah ça, bonne question, d’habitude il n’y a que lui, mais avec la pandémie, très peu de touristes sont présents, du coup il se peut qu’il partage la nuit avec son frère le cuisinier et son cousin chauffeur de taxi. Tu sais, l’esprit familial est très ancré là-bas. Tu es aussi ici pour découvrir de nouvelles choses”, expliqua Ahmed.
Arrivé dans la tente, Hugo senti son anus se contracter, des spasmes violents. En cause, la présence de trois vieux Bédouins qui l’impressionnent directement au premier regard. Un vent de virilité rendit le jeune Hugo soudainement servile et docile. “Viens t’asseoir ici, sur le tapis, car nous les Bédouins on mange par terre, tu devras t’y faire ! Moi, c’est Mohamed, et toi ?”. La voix tremblotante, Hugo dit son nom timidement. “Ah ! Hugo, très joli. Moi je vis ici toute l’année, et en face de toi c’est Hakim et Walid, mon frère et mon cousin. Tu gouteras leurs excellents plats, cela fait longtemps qu’ils n’ont pas vu de français avec ce foutu virus, haha !”. “Eh bien je suis très friand de nouvelles découvertes”, dit Hugo à Mohamed. Suite à cette remarque, Mohamed cacha difficilement l’encombrante bosse qui ne faiblissait pas d’intensité sous sa djellaba, pendant toute la soirée.
19H30, le repas est prêt. Hugo de délecte de ces plats copieux et délicieux préparés avec passion par ses hôtes bédouins. Ahmed joue son rôle de traducteur et n’hésite pas à en rajouter, lorsque Mohamed place quelques discrets compliments en arabe, à Hugo. “On peut dire que Mohamed t’apprécie, Hugo”. “Ah oui ? J’en suis ravi”. Après le dessert, de grandes vasques de feu sont allumées par Hakim et Walid pour contrer l’obscurité du désert. Hugo demande à Hakim : “cette tente est vraiment spacieuse, le reste de votre famille n’est pas avec nous ce soir ?”. “Ce soir, nous préférons rester avec toi, tu sais, les enfants et les femmes, on a vécu avec eux toute l’année écoulée...”. “Je vois”, dit Hugo, “et que connaissez-vous des français ?”. Un sourire gêné, Mohamed dit à Hugo, “ce sont des mecs qui ne disent jamais non pour s’amuser !”. Ahmed intervient. “Peut-être que Hugo a envie de s’amuser lui aussi ?”. Hugo dit à ses hôtes qu’il avait une petite surprise pour eux. Il ôta son short pour laisser apparaître un string qui dessinait à merveille son énorme fessier. “WAOW ! Ca c’est du cul de chienne !”, lança Mohamed, qui n’en croyait pas ses yeux. Hugo n’avait pas encore eu le temps de se remettre de la journée que l’imposant zeb arabe de Mohamed était profondément enfoncé dans sa gorge. “Allez, bonne kahba, tu vois ce que c’est une grosse bite de bédouin maintenant ?”, cria Mohamed, qui continuait de faire des vas et viens dans la petite bouche d’Hugo. “Je... c’est.. gros ufff”, Hugo tentait de parler mais ses hôtes étaient désormais à l’assaut de tous ses orifices. Son anus déjà bien élargi par son excitation fut pénétré sans prévenir par Walid, doté d’une très large queue circoncise. “Un an qu’on a pas sauté de salope française, tu vas prendre cher ma kahba !” lança Walid. Ahmed et Hakim se branlaient en admirant ce spectacle, quand Mohamed cracha un jus épais et abondant dans le fond de la gorge d’Hugo, qui manqua de s’étouffer. Le foutre lui était ressorti par les narines et il dégoulinait sur son menton. “Et de une !”, s’exclama Mohamed. “A votre tour mes frères, cette chienne est assoiffée de bite arabes, il faut en profiter ha ha ha”, dit-il d’un ton vicieux. Hakim et Walid alternait chacun leur tour avec la bouche d’Hugo qui pompait à une vitesse de dingue, pendant que Walid allait de plus en plus fort dans son cul rougi sous le coup des nombreuses claques. “Ouvre, ouvre bien, ça vient ! Je vais te remplir salope !”, hurla Walid. Hugo cria tellement la douleur était intense mais plaisante à la fois. L’épais zeb de Walid se décharga au fond de son cul. Hakim et Ahmed n’en avait pas fini avec Hugo. “Tu dépasses toutes mes attentes, tu sais ?”, dit Ahmed à Hugo. “J’aime satisfaire mes hôtes”, lui répondit-il. Hugo agrippa les deux paires de boules de Walid et Ahmed afin de les sucer plus sauvagement. Soudain, les deux zebs durs comme de la pierre déchargèrent leurs puissants jets de foutre dans la gueule d’Hugo, qui était bouche ouverte et langue tirée pour n’en perdre aucune goutte ! “Ah ça, on peut dire que tu es un vrai trou à jus maintenant !”, s’exclama Ahmed. Bien vidés, ses hôtes préparèrent le lit d’Hugo qui s’effondra en cinq minutes.
Le lendemain matin, il était déjà temps de plier bagage pour la suite de son périple jordanien. Ahmed devait conduire Hugo au nord, dans la capitale, pour une nouvelle journée de découvertes sans doute intéressantes...
Nicolas Kahba
nicolas.sakis@gmail.com
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