Chapitre 1
Moi c’est Lionel
Ca fait 3 jours qu’on rentre du taf avec l’iveco qui est en panne de chauffage.
pour ceux qui ne connaissent pas l’ivéco c’est un gros utilitaire. 3 places .
Jérémy est toujours le chauffeur.
Quand on rentre, Il passe son temps au téléphone avec notre patron pour se caler sur les chantiers du lendemain.
Benoit et moi on est donc les passagers. On passe notre temps à nous chambrer.
Ca fait plusieurs semaines qu’Il me questionne. Le genre : « alors t’as baisé hier ? », tu t’es paluché ou la bouche était chaude ?
Je crois qu’il me teste pour savoir si j’aime la chatte ou la queue. Un jour, J’ai eu le malheur de lui dire qu’il fallait tout tester dans la vie.
En fait j’ai déjà testé. J’aime le cul sous toutes ses formes. J’ai gouté à la bite depuis pas mal de temps et j’aime beaucoup. Je suis assez débridé en la matière.
Lui est en couple depuis 10 ans avec une meuf. Depuis qu’il me teste il m’a laissé entendre qu’il ne baisait pas tous les jours.. loin de là…
Il m’a même dit que lorsque sa nana était au sport un soir dans la semaine il se paluchait deux ou trois fois de suite.
Ca m’a bien excité et moi aussi je me suis paluché en y pensant
Depuis ces quelques jours où il me branche avec ses questions, je me laisse prendre au jeu. Je l’allume un peu. Je le regarde pendant qu’on bosse. On déconne sur le cul. Ce matin en arrivant sur le chantier je lui dit : «tiens t’as mis ton survet poutre apparente ??!!! ». A croire qu’il l’a fait expres. Il a un putain de morceau dans le calbut. Soit il a un caleçon large soit il ne porte rien… excitant…
je passe la majeur partie de ma journée, dès que je peux, à mater son entre jambe. Je crois qu’il s’en aperçoit. Je m’en fout.
Juste avant la fin de la journée. Il sort pour sortir pisser. Je meurs d’envie de m’installer à côté et mater sa queue. Je veux la voir.
Je m’allume une clope et j’essaie de me positionner pour mater. La bonne excuse… Il tourne la tête, et voit que je le regarde pisser. Et merde, je détourne pas mon regard. Il se marre à moitié. Il regarde sa queue et me regarde en suivant… Il m’allume le salop.
On part. Comme je vous disais pas de chauffage de ce p… de camion. Mais benoit a ramener un grand plaid. Marre de me geler les couilles a-t-il dit…
Sympa. Il partage le plaid. On est couvert tous les deux et bien enrobés dans cette couverture
Jérémy est vite au tel avec son oreillette à droite et en plus y’a la radio. Jérémy est à côté de lui et moi côté fenêtre, ce qui me permet de glisser dans l’oreille de Jérémy : demain tu n’oublieras pas de mettre un silp ».
Il n’en aura pas fallu moins pour qu’il saisisse l’occasion.
- Ah bon , ça t’a pas plu ? Mais à ton avis j’ai un caleçon ou rien ?
Je suis comme un con. Je sais pas quoi répondre. Je vois que Jérémy est toujours absorbé par son appel et n’a pas capté notre discussion. J’en profite et je me jette à l’eau.
- Ah mais si j’ai apprécié ! Je guette sa réaction
Il n’y va pas par 4 chemin. Directe il me rétorque
- Ah mais t’as fait ta salope !
-Ben tu t’es pas non plus caché.
Non j’ai eu l’impression que ça te plaisait bien. Je pensais même que tu aurais bien aimé mater un peu plus ma queue tout à l’heure quand je pissais. Non ?
Je continue sur ma lancée.
- Ben je sais pas comment t’aurais réagi ?
Toujours discrètement en tournant bien la tete pour que Jérémy n’entende pas, il me dit :
-Alors à ton avis, calbar ou pas ?
- A la vue, je dirais rien sous ton survet mais pas facile à deviner.Faudrait tater pour voir.
Je vais tout de suite savoir si il me fout sa main dans la tronche ou pas..
La réaction n’a pas tardé. Toujours sous le plaid, Il a simplement relevé sa jambe gauche, a posé son pied sur le fauteuil, style , trainquille, détente, en me disant : « ben vas-y !! ».
J’en crois pas mes oreilles. En prenant cette position il a fait en sorte que je puisse lui tâter le paquet sans que Jérémy puisse voir quoi que ce soit.
- tu déconnes ?
- Ben tu veux voir si j’ai quelque chose ou pas ?.. Comme ça tu verras
Et ben c’est parti. Trop excité. Doucement je fais faire mouvement à ma main gauche vers sa cuisse. Pas de mouvement.. je continue.. J’arrive au paquet. J’y vais doucement, et j’arrive sur cette bosse qui me mets direct dans un état de trans..
Il écarte même encore légèrement les cuisses, ce qui me permet de tâter sa queue. J’en reviens pas. Il me laisse le palper.. Je continue et essaie de palper les couilles. Pas facile . Je ne veux pas que ça puisse se voir.je sens qu’il déglutis et il me demande discrètement : « alors ca te plait ? Le matériel te plait ? »
- Ouais ça a l’air d’être du bon matos. J’ai l’impression que le matos gonfle non ?
- Oui j’ai l’impression que tu as la main verte. La plante commence à pousser.
Manque de bol j’entends Jérémy qui dit à notre patron. OK et à demain alors..Putain il raccroche..
je retire ma main directe car il commence à nous parler du programme du lendemain et évidement il nous regarde en nous parlant.
Je suis déçu.. j’ai une gaule d’enfer…
Quelques minutes plus tard on arrive.. on descend du camion. Je vois que benoit n’est pas retombé en pression. La bosse est toujours en mode demi molle. Elle a l’air très lourde, rien qu’aux mouvements lorsqu’il marche.
on se quitte mais juste avant de monter dans sa voiture. Il m’appelle…
- Nathalie (sa femme), elle est au sport ce soir jusqu’à 23h30.
Il me fait un clin d’œil. : si tu, peux te dégager du temps, j’ai envie que tu continues ce que tu as commencé »
-envoie moi un sms pour me dire.
Youg2002
slcpas@gmail.com
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