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HISTOIRE

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Damien

Je déambule lentement dans les ruelles étroites. Rien n’a changé. Enfin, presque rien. Il me semble tout reconnaître parfaitement malgré le temps passé sur ces souvenirs. Cela faisait à peine deux heures que j’étais arrivé dans ce pays et j’avais encore trois bonnes heures avant mon rendez-vous. Le taxi m’avait déposé en plein centre-ville et j’ai tout de suite senti le besoin de commencer par le souk.

Des senteurs oubliées imprègnent mes narines. Fortes, prenantes, les mêmes qu’il y a quinze ans. Le fond sonore, mélange de cris, d’imprécations, de brouhaha confus, de palabres interminables pénètre mes tympans. Tout me revient en mémoire. Des bribes de souvenirs encore flous, entrecoupés d’images d’une netteté surprenante. Très vite, mon cerveau me restitue ma jeunesse. J’arrive à retrouver sans problème le chemin.

Mes pas m'entraînent vers la rue des échoppes de tissu. Les murs se rapprochent encore pour ne laisser qu’un passage étroit saturé d’une foule bigarrée. Au fur et à mesure de ma lente progression, les années s’effacent et je ne suis plus seul.

Sylvie et Khaled marchent à dix pas devant Mourad et moi et son épaisse chevelure blonde fait une tâche lumineuse au milieu des turbans blancs et rouges. Ce jour-là, je faisais un peu la gueule car j’aurai préféré être au bord de l’eau plutôt que dans ces ruelles de ce souk. Mais Sylvie voulait absolument voir les échoppes dont Khaled et Mourad nous avaient parlé et je n’avais plus le pouvoir de refuser. Je me doutais bien que ces deux-là, avaient quelque chose en tête. Il s’était passé tellement d'événements en cinq semaines que tout devenait possible avec eux. Même l’inconcevable.

Il faisait très chaud pour la saison et il y avait beaucoup de monde autour de nous. Peu d’étrangers. La saison venait à peine de démarrer.

- Nous sommes bientôt arrivés. Tu verras Damien, tu vas aimer.

Sylvie et Khaled ont franchi l’étroite porte d’une échoppe. J’ai voulu les suivre. Mourad m’en a dissuadé.

- Y a rien pour les hommes la dedans. C’est uniquement pour les femmes. Viens suis moi Damien. On va entrer à côté. C’est le même patron. Il a deux boutiques. Une pour les hommes et une pour les femmes.

Je suis Mourad à l’intérieur du magasin. Une pièce sombre, éclairée par des néons blancs. Les murs sont recouverts de tout ce dont peu rêver un touriste. Etoffes aux couleurs criardes, poteries, armes de parades, babouches. Un capharnaüm organisé pour faire un maximum de vente. Il y a déjà du monde. Le patron nous regarde, reconnaît Mourad et ne s’occupe pas de nous pour continuer à marchander avec les touristes.

Pendant un bon quart d’heure, Mourad me fait l’article et me saoule de parole. Pourtant il sait que je ne veux rien acheter. Je me demande bien pourquoi nous sommes là. Il imite les commerçants du coin avec force gestes, mimiques et jérémiades. Il est assez drôle, mais je commence à en avoir sérieusement marre de la boutique. Pourtant je ne peux rien lui dire.

Brusquement, il écarte une lourde tapisserie tendue contre un des murs et me dévoile un étroit couloir.

- Viens je vais te montrer des choses très intéressantes.

Le ton n’est plus le même. Il me regarde avec ce sourire en coin que je commence à bien connaître. Les traits juvéniles de son visage se sont légèrement durcis. Son regard devient ironique.

- Aller viens, tu ne vas pas le regretter

Je le suis d’un pas hésitant et la tenture retombe lourdement derrière nous. Les bruits de la boutique faiblissent. Le couloir n’est pas éclairé. Nous marchons en silence pendant une dizaine de mètres avant de déboucher dans une toute petite pièce sans éclairage. On y voit à peine. Mourad laisse retomber une autre tenture derrière nous.

Contre un des murs, il y a des larges marches. Des gradins, comme dans un amphithéâtre. Mourad colle sa bouche contre mon oreille.

- C’est un ancien hammam. Viens je vais te montrer quelque chose.

Il me prend par la main et me tire vers les marches. Mes yeux s’habituent à l'obscurité ambiante. Nous escaladons les larges marches. Je distingue une grille métallique au-dessus de la dernière marche, au milieu du mur lépreux.

Il y a de la lumière qui filtre de cette grille à mailles très fines. Nous arrivons sur la dernière marche. Mourad me montre la grille en me faisant signe de me taire.

Je m’approche. Mon visage se colle au treillis. De l’autre côté, il y a une pièce identique en tous points à la nôtre. Je comprends que de l’autre côté on ne peut pas nous voir.

Deux bougies éclairent la pièce. J’ai un peu de mal à distinguer correctement ce qui se passe en bas des gradins, mais je comprends parfaitement ce que je vois et mon cœur fait un saut dans ma poitrine. Ainsi donc c’était vrai. Bien sûr que je m’en doutais. Mais entre imaginer et voir, il y a tout un monde.

Mourad se colle contre mon dos. Je le laisse faire. Je n’arrive pas à détacher mon regard de ce qui se passe dans l’autre pièce. Les formes se découpent en ombres chinoises, mais il ne faut pas beaucoup d’imagination pour y mettre les couleurs.

Cette chevelure blonde, si opulente, au niveau du bassin de Khaled qui laisse faire, pantalon et slip autour des chevilles, mains sur les hanches et bassin tendu vers le visage caché par les cheveux. Sa tête qui va et vient contre le bas-ventre musclé. Des bruits légers de succion ou de déglutition.

Mes mains se plaquent contre le mur froid et humide, de chaque côté de la grille. Tout est confus dans mon cerveau. Je n’arrive pas à comprendre ce qui nous arrivent ni pourquoi cela nous est arrivé à nous.

Mourad est carrément collé contre mon dos. Son bassin pousse sur mes fesses. Impossible d’ignorer la bosse dure qui se plaque sur ma raie. Je me sens souillé et humilié.

Mais je sais aussi que je ne me révolterais pas. J’avais manqué de courage la première fois et les fois suivantes. Maintenant il était trop tard pour esquiver.

Dans l’autre pièce, Le visage a quitté le pubis. Le membre tendu brille à la lueur des bougies et me semble complètement disproportionné par rapport au corps auquel il est rattaché. La femme reste à genoux devant le pieu. Khaled la relève, la met de dos et la tire contre son torse. Elle se laisse manipuler. Je ne distingue pas assez son visage pour voir son expression. Les mains brunes du jeune arabe remontent la chemisette pour la faire passer au-dessus de la tête blonde. Elle se contente de lever les bras pour faciliter le travail. Les mains caressent le ventre plat, la taille, puis remontent sur les bonnets du soutien-gorge du maillot de bain. Elle relève sa tête en arrière pour la poser sur l'épaule de l’arabe.

Bientôt, le soutien-gorge rejoint la chemise sur le sol. Les mains aux doigts très longs, empaument les globes laiteux, pour les malaxer violemment. Khaled tire sur les tétons, écarte les globes, les serre et les presse. Elle le laisse faire, cambrée en arrière, son dos plaqué sur le torse de Khaled. On arrive à entendre leurs soupirs croisés qui résonnent dans la pièce.

Je bouge à peine quand Mourad saisi mon short et le baisse sous mes fesses et je ne fais rien non plus, pour échapper aux mains qui me débarrassent de mon slip. Les deux vêtements tombent autour de mes chevilles. Ils m’ont tellement bien soumis, que je lève moi-même une jambe après l’autre pour m’en débarrasser.

Elle a le torse nu et moi le reste. Elle le haut, et moi le bas. Elle avec Khaled, et moi avec Mourad, juste séparés par une cloison et sans qu’elle sache ce qui se passe derrière ce grillage.

Elle lui tend ses seins généreux. Moi je cambre mes fesses. Pendant que Mourad me salive la raie, Khaled lui retrousse sa jupe et la roule autour de sa taille. Puis, il l’oblige à se pencher. Elle ploie sont buste et bras tendus, prend appui sur le premier gradin. Elle reste immobile et consentante, seins pointés vers le sol. Il lui caresse les fesses à travers le fin tissu de son slip blanc. Les mains de l’arabe parcourent lentement les globes offerts et protégés par la culottes avant de se perdre dans l’entre jambes. Elles palpent, et fouillent l’intimité que je connais si bien. Je connais les plaisirs que l’on peut prendre à caresser cette peau si fine et se perdre dans cette moiteur.

Les doigts de Mourad se posent sur mes lèvres. Il presse et j’ouvre la bouche. Trois doigts fouillent mon palais. J’ouvre grand la bouche en salivant abondamment. Les doigts vont et viennent entre mes lèvres avant de me libérer le palais. Ils sont remplacés par un chiffon que Mourad enfonce bien dans ma bouche. Il ne laisse rien dépasser. Je me laisse faire sans aucune révolte, même quand il saisit mes poignets et tire mes mains en arrière pour les plaquer sur mes fesses.

De l’autre côté du grillage, Je la vois se débarrasser de son slip en se trémoussant. Khaled caresse lentement le dos bronzé. Elle se penche un peu plus. Les mains de l’arabe abandonnent un bref moment le corps offert pour se débarrasser de tous ses vêtements. Il est nu derrière elle. Son sexe pointe fièrement devant les fesses offertes. Pendant quelques secondes, il regarde ce corps, avant de le saisir par la taille et le plaquer contre lui. Il commence à frotter son sexe tendu contre les globes charnus. Le sexe très brun tranche sur la pâleur de la peau. Le bout du pieu caresse la peau satinée. Elle, reste cassée, torse ployé, seins tendus vers le sol, jambes ouvertes. Sa croupe offerte, s'agite lentement contre le sexe.

Moi aussi j’ai tendu ma croupe. Je fais même mieux puisque, c’est moi qui m’écarte les fesses dans l’attente. Je dévoile complètement ma raie. Je sens l’air frais de la pièce caresser mon anus. Mon visage est plaqué contre la grille. Ma bouche est écartelée par le bâillon. J’attends dans cette position le bon vouloir de Mourad.

Dans l’autre pièce, Khaled a empoigné les tétons bruns pointés vers le sol. Il les pince durement et cela la fait gémir. Un gémissement qui arrive jusqu'à nous et me fait encore plus mal. Il lui lâche les seins et lui tire les cheveux. Il lui caresse le dos, les hanches, les fesses. Les gémissements augmentent d’intensité pour se transformer en longs râles qui sortent du plus profonds de sa poitrine. Je serre les dents sur le tissu mais ne peut détacher mon regard de cette scène qui me fait mal.

Mourad a lui aussi dégagé son membre. A ses mouvements de mains et au bruit de sa bouche, je comprends qu’il se masturbe en enduisant son sexe de salive. Son gland est contre mon anus. Je tremble. J’ai un peu peur. Bien moins que la première fois. Mais l’angoisse noue quand même mon ventre. Heureusement le bâillon taira mes gémissements. Mourad me flatte la croupe. Je m’écarte les fesses au maximum.

Quand elle a brusquement redressé sa tête en poussant un petit cri, j’ai compris que Khaled venait de trouver le passage intime et que sa queue prenait possession du corps de mon amie. Elle a fermé les yeux, gorge tendue, tête rejetée en arrière. Khaled la tenait par les hanches. Lui seul bougeait dans un long mouvement de va et vient de son bassin. J’imaginais son gland circoncis ouvrir les parois intimes pour glisser au fond de son ventre soyeux. Aller et venir lentement dans le tunnel ouvert. Je connaissais la taille de cette queue, la grosseur du gland, l’épaisseur de la hampe. Je devinais qu’il la possédait entièrement. Que toutes les chairs intimes de mon amie devait frotter contre se sexe. Qu’elle devait mouiller comme jamais en sentant le pieu lui labourer le ventre. Khaled s’est immobilisé. Son bassin est resté collé contre les fesses de Sylvie qui haletait bruyamment.

Les larmes ont giclé de mes yeux quand mon anus s’est ouvert sous la poussée du gland de Mourad. Sa queue très dure forçait le passage bien lubrifié par la salive. Mon anus s’ouvrait lentement pour recevoir le gland et la douleur montait m’obligeant à serrer les dents sur le bout de tissu. Surtout ne pas crier pour ne pas dévoiler notre présence. La queue de Mourad s’enfonce centimètre par centimètre. Ce salaud va très lentement et prend son temps. Lui aussi regarde le spectacle au-dessus de mon épaules et il pousse au rythme des coups de rein que Khaled est en train de donner.

Comme ils me l’avaient dit, ils aiment bien enfiler. Et ce verbe était parfait. J’étais en train de me faire enfiler en regardant ma petite amie se faire enfiler aussi. Elle par devant et moi par derrière. Elle en prenant son pied et moi en souffrant.

Mourad poussait sans relâche et son gland allait de plus en plus profond. La douleur ne me quittait plus mais elle était supportable. Mon trou avait appris à s’ouvrir et était maintenant bien souple. Malgré cela, j’ai cru qu’il n’allait jamais finir d’entrer dans mes entrailles que je sentais s’ouvrir sous la pression du gland circoncis. J’avais les larmes aux yeux et mal aux mâchoires à force de serrer le bout de tissu dans ma bouche. Il a poussé une dernière fois et j’ai enfin senti les poils de son pubis contre mes fesses. J’ai plaqué mes mains contre le mur et mes fesses se sont refermées sur le mandrin du jeune arabe bien vrillé au fonds de mon cul tendu.

De l’autre côté du grillage, Khaled donne de longs coups de ventre contre mon amie. Il l’a tenait par la taille et la tirait vers lui avant de la repousser. Je voyais les seins pourtant fermes ballotter au rythme des coups de bite qu’elle reçoit. Elle a du mal à tenir la pose et ses petits cris envahissent la pièce silencieuse. La queue de l’arabe s’active dans la chatte béante.

Je sais que quand elle est excitée, mon amie mouille beaucoup. La grosse bite ne doit avoir aucun mal à coulisser de plus en plus vite dans le fourreau de chair. Elle se laisse niquer comme ils disent.

C’est le deuxième mot qu’ils m’ont appris. Ils sont en train de nous niquer tout les deux. Une queue dans la chatte de mon amie et l’autre dans mon fion. Ils m’avaient aussi dit que les français, ils aiment bien les gros zobs des arabes. Ce mot là, je le connaissais déjà.

Le gros zob de Mourad a commencé à coulisser dans mon intimité. La douleur s’est vite calmée. Je me suis laissé sodomiser en regardant ma petite amie se faire baiser. Je sentais que mon anus se moulait à la taille du sexe qui s'enfonçait de plus en plus vite et je savais que mon amie devait dégouliner sous les coups de boutoirs de Khaled.

En l’espace de trois semaines qui s'annonçaient de rêve, tout avait basculé et nous étions devenus les jouets plus ou moins consentants de ses deux étudiants arabes plus jeunes que nous.

J’avais envie de pisser et de chier. La queue dans mon fion devenait de plus en plus active. Les coups de reins de plus en plus violents. Mourad rajoutait de temps en temps de la salive.

Tout se passe dans un silence absolu. A peine le bruit de nos respirations, et les petits cris de plaisir de mon amie. La pénombre rendait la scène presque irréelle. Mon anus est maintenant complètement dilaté. Je sens mon sexe recroquevillé battre entre mes jambes au rythme de l’enculade. Je serre les poings en mordant le chiffon dans ma bouche.

De l’autre côté, Khaled aussi va de plus en plus vite. Heureusement qu’il l’a tient. Elle se laisse manipuler comme une poupée. Le zob doit lui défoncer les muqueuses.

- Tu mouilles bien ma gazelle.

Il n’a pas parlé bien fort mais dans cette pièce vide, les mots ont résonné sans problèmes et m’ont fait sursauter. Mourad s’est planté à fond dans mon cul et je me suis tendu en sentant son gland taper contre mes intestins. Sa bouche s’est plaquée contre mon oreille.

- Toi aussi tu mouilles du cul. Il est bien large maintenant.

Mon amie feulait doucement. Une espèce de ronronnement de chatte. Je savais que c’était un signe annonciateur de sa jouissance.

- Tu sens comme il est gros le zob de Khaled. Je suis sûr qu’il est plus gros que celui de ton ami. Tu vas voir comme tu vas aimer.

Khaled mentait avec un aplomb incroyable. Bien sûr qu’il connaissait la taille de mon sexe.

Mourad me défonçait de toutes ses forces et la douleur revenait. Son sexe coulissait parfaitement bien entre mes fesses. Ses couilles battaient contre les miennes.

J’ai entendu Khaled

- Attends ma petite salope. C’est pas là....

- Non!... Non!... Non Khaled.

J’ai ouvert les yeux oubliant ma douleur. Elle a tenté de s’échapper. Elle a crié, puis l’a supplié à voix basse. Déjà vaincue.

- Je t’en prie Khaled. Non. Je n’ai jamais fait. Non pas ça. Khaled. S’il te plaît.

- Vas-y ma poule, crie. Comme ça les autres vont venir te voir te faire niquer. Tu vas voir comme tu vas aimer. J’en connais qui adore. Tu en redemanderas après. Tu vas voir. Fais-moi confiance. Laisses toi faire. Attends bouges pas.

Elle a poussé un cris de douleur qui s’est transformé en sanglots. Mais elle ne tentait pas d’échapper à son amant. Elle a de nouveau crié plusieurs fois en pleurant et j’ai compris qu’il était en train de la sodomiser.

Il est resté immobile quelques secondes avant de commencer à la tringler. Il allait doucement et les sanglots continuaient. Mais cela ne lui suffisait pas. Il l’a mise à quatre pattes et à genoux derrière elle, la tenant fermement par la taille, il l’a enculée de plus en plus vite.

Mourad s’est vidé dans mon ventre. Je l’ai regardée se faire sodomiser. Elle n’avait jamais voulu avec moi. Je suppose que c’était la première fois que cela devait lui arriver. Je comprenais sa douleur. Je compatissais. Mourad a libéré mon anus qui est resté ouvert.

Khaled s’est vidé aussi dans le cul de ma petite amie qui ne disait plus rien. Elle a juste gémis car elle à jouit en même temps que lui. Ils sont resté quelques secondes sans bouger avant qu’il ne la libère en lui caressant les fesses qu’il venait de martyriser.

- Tu vois que c’est bon. Tu as bien pris ton pied aussi ma douce.

Il s’est rajusté pendant qu’elle se rhabillait. Ils se sont embrassés. Elle s’est remaquillée en lui souriant. Il lui a encore caressé les fesses. Ils ont soufflé les bougies et ont quitté la pièce. Il la tenait par la taille. Elle semblait heureuse.

Nous nous sommes reculés. Je me suis aussi rhabillé aussi.

- Attends qu’ils s’en ailles.

Nous sommes restés dans le noir, au milieu de la pièces. Il m’a saisi par la nuque pour me baissait la tête.

- Nettoies mon zob en attendant.

J’ai obéis à genoux. J’avais envie de vomir mais je bandais comme un malade.

- Ta moukère c’est une vraie salope. Pire qu’une femelle en chaleur. Nettoie bien sous les couilles. Toi aussi t’es une vraie pute. Je sens qu’on va bien s’amuser les quatre. Tète bien mon gros biberon. Tu peux te branler si tu veux. Je suis sûr que tu en crèves d’envie. Il te plaît mon zob hein?

J’ai saisi mon sexe et en quelques allers-retours mon sperme a fusé en longues saccades en même temps que Mourad jouissait une deuxième fois dans ma bouche. J’avais honte de moi. Je l’ai bu jusqu'à la dernière goutte. Lui il riait doucement.

..............

- Hé Monsieur, tu veux entrer. Viens viens, il y a des très jolies choses. T’es français ? Viens Monsieur viens, entre et fais comme chez toi.

Je suis sorti brusquement de mes souvenirs. Le patron de la boutique devant laquelle je suis resté figé, m’interpellait gentiment. Il ne devait pas comprendre pourquoi un type comme moi était immobile devant son entrée. Il me regardait avec curiosité. Etait-ce le même qu’il y a quinze ans? Non, non, celui-ci avait mon âge. J’avais envie de lui demander si je pouvais visiter le vieux hammam. Il aurait été certainement très surpris qu’un touriste de mon acabit ait connaissance de cette pièce. Je lui ai souri poliment avant de rebrousser chemin pour quitter le souk. Je laissais mon esprit guider mes pas.

Ils avaient commencé par moi. A peine une quinzaine de jours après avoir fait leur connaissance sur la plage. Sylvie et moi étions en vacance depuis trois semaines. C’était nos premières vacances ensembles et mes premières vacances hors de France. C’était aussi mes premières vacances d’adulte.

C’était deux ou trois années après soixante-huit. Libération totale des mœurs. Cheveux longs, chanvre et musique indienne. Sylvie et moi nous sommes rencontrés sur les bancs de la fac de droit en milieu d’année. Elle avait un an de plus que moi et était bien plus délurée. Elle avait plus d’expériences aussi, et j’ai étais très surpris quand elle m’a directement dragué pendant un cours de droit constitutionnel vachement barbant. Elle s’est assise près de moi et à tout de suite collé sa jambe contre la mienne.

- Salut

- Salut

- Moi c’est Sylvie et toi?

- Euh. Damien. Moi c’est Damien...

- C’est un joli prénom ça. Pourquoi tu me regardes comme ça ? T’as peur de moi ? Je vais pas te manger tu sais.

Je me suis senti rougir jusqu’aux racines des cheveux. Je ne savais plus ou me mettre ni quoi dire. Sa jambe s’est pressée plus fort contre la mienne me procurant de délicieux frissons le long de ma colonne vertébrale.

- Tu sais que tu es mignon. Surtout quand tu rougis. T’as de beaux cheveux. Presque aussi longs que les miens.

- Tu es. Tu es très belle aussi.

Je ne savais plus quoi dire, mais je voulais qu’elle reste près de moi. Elle a été au-delà de mes espoirs les plus fous.

- Viens on se casse. Ce cours ne sert à rien.

Bien sûr je l’ai suivi. Premier arrêt dans un café. Elle a continué à se moquer gentiment de moi. Elle ressentait mon trouble, et en jouait.

- J’aime bien les mecs comme toi, mince, blond, presque imberbe. Ca me change des ours qui courent après moi.

- Mer.... Merci. Je suis pas très grand tu sais.

- Faut pas que tu sois gêné pour ça. Aller viens.

Je n’ai pas osé lui demander où elle m’emmenait. Une fois que nous sommes arrivés c’était trop tard pour reculer. Je me suis retrouvé dans sa chambre, seul avec elle pendant que ses parents travaillaient. Elle a mis un disque, m’a débarrassé de ma parka et a ôté, le gros pull de laine qui lui arrivait sous les fesses.

J’étais assis sur son lit ne sachant pas quoi faire de mes mains de tout mon corps. Une appréhension me tenaillait le ventre. Elle est venu debout entre mes jambes écartées. J’ai levé mon visage vers elle. Elle souriait. Son odeur pénétrait mes narines. Mes mains tremblaient. Elle s’est avancée. Son bassin était à deux centimètres de mon visage. Elle m’a caressé les cheveux et ma tête s’est collée contre son pantalon à la toile rêche.

Je respirais son odeur. Son pantalon est tombé. Je sentais le soyeux de son petit slip rose. Ma longue a couru sur la peau satinée au-dessus de l’élastique, mes mains se sont posées sur ses fesses. J’étais dans un autre monde. Ses odeurs intimes m'enivraient. Je frottais mon visage sur son pubis poussant le plus loin possible.

Son slip devenait humide de ma salive. Elle serrait très fort ma tête contre son bas ventre et je ne sais pas comment elle s’y est pris mais son slip a rejoint son pantalon. J’avais son sexe à deux centimètre de mes yeux. Je voyais ses petits poils blonds et soyeux, le renflement de ses lèvres et sa fente rose.

J’ai sorti ma langue et me suis régalait de son goût fort et âcre. C’était la première fois que je faisais cela. Elle me laissait la lécher en écartant ses jambes autant que le lui permettaient ses vêtements autour des chevilles. Ma langue courrait le long de ses lèvres intimes. Je buvais ses sécrétions et ses poils me chatouillaient le visage. J’allais de plus en plus vite, de plus en plus loin, et je bandais comme un malade sans même me toucher.

- Attends ! Attends... Pas si vite.

Elle s’est mise à genoux. J’ai allongé mes jambes. Je sentais encore sa liqueur sur mes lèvres. Ses mains se posées sur mon ceinturon. Elle avait une habileté diabolique. Je me suis retrouvé nu à partir de la taille.

- C’est marrant t’as pas de poils sur les jambes non plus.

Sa réflexion m’a refroidi, et même un peu humilié. Mais sa main droite s’est emparée de ma hampe pour entamer un lent va est viens sur mon gland. Je l’ai laissé faire en serrant les dents. J'essayais de me contrôler. Je ne voulais pas jouir tout de suite. Je me suis reculais dos contre le mur et jambes largement écartées sur son lit. Elle m’a suivi à genoux. Je voyais ses reins et le haut de ses fesses.

D’une main elles serrait mes couilles, de l’autre elle me masturbait très lentement. Son visage s’est levé vers le miens et nos lèvres se sont soudées pour un interminable baiser. Sa langue fouillait mon palais, sa mains s’activait sur mon gland et je sentais mes couilles pleines profitaient de la chaleur de sa paume.

- J’aime bien les garçons qui se laissent faire. Je vais te faire jouir. Comme cela tu dureras plus longtemps.

J’ai eu honte de ne plus pouvoir me contrôler. J’ai inondé sa main, ses cheveux, mon ventre. Elle m’a regardé jouir en riant

- Ben dis donc t’en avais besoin on dirai. T’as pas de petite amie?.

J’ai été assez surpris de la question à ce moment de la séance. J’avais du mal à retrouver mes esprits. Je me suis essuyé avec ma chemise. Elle s’est mise nue.

- Non. Non. J’ai pas de petite amie.

- Pourquoi? T’es beau mec pourtant.

- Je sais pas. Pas eu l’occasion.

Son index s’est pointé sur mon sexe tendu vers le plafond de la chambre.

- On dirait que tu as encore la forme. T’as déjà eu beaucoup de filles.

- Euh. Quelques-unes.

- En fac?

- Non. Non.

Elle a quitté le lit entièrement à poil pour aller changer de disque. J’ai pu admirer son corps. Les jambes très fines et très longue, le ventre plat, le bas ventre à la toison claire. Elle marchait lentement et ses hanches se balançaient au rythme de la musique. Elle a des petits seins avec des aréoles larges et sombres. C’est vrai que ses cheveux étaient à peine plus longs que les miens. Elle est vraiment belle et je savourais la chance que j’avais. Elle est revenue sur le lit.

- Ça te dérange si c’est moi qui dirige les opérations?

J'ai dû la regarder d’une manière idiote car elle s’est sentie obligée de préciser.

- J’aime bien prendre les choses en main quand je fais l’amour et souvent cela ne plaît pas aux garçons. Tu veux bien me laissez faire?

Je n’ai pas su quoi lui répondre et elle a pris ce silence comme un accord. Etendu nu sur le lit, je l’ai laissé faire. Elle est venue directement chevaucher mon visage. Sa fente humide s’est collée à ma bouche.

- Vas-y lèches moi. Oui enfonce ta langue j’adore ! Oui comme ça. Loin. Bien profond.

Je lui faisais ce qu’elle demandait. Ses poils grattaient mon visage. Sa mouille devenait de plus en plus abondante et coulait dans ma bouche. L’odeur de plus en plus forte envahissait tout mon corps. Elle frottait sa chatte sur mon visage.

- Oh oui c’est tellement bon.

J’aspirais son jus, ma langue allait très loin et de plus en plus vite. Le manège a duré un bon moment et je ne sentais plus ma langue. Brusquement elle m’a libéré.

- Je ne veux pas jouir tout de suite. Tu lèches bien.

C’est fois ci elle m’a chevauché au-dessus de ma bite tendue et s’est empalée d’un seul coup sur mon sexe. J’ai poussé un gémissement avant de commencer à bouger.

- Non. Non. Ne bouge pas. Je préfère le faire...

C’est elle qui s’est fait jouir pendant que je lui pinçais les seins aux pointes turgescentes. Elle n’a même pas attendu que je jouisse. Nous nous sommes rhabillé et je n’ai pas osé lui dire que j’aurai voulu moi aussi jouir. J’ai eu mal aux couilles toute la journée.

C’est comme cela que je suis devenu son amant. On s’entendait parfaitement bien. Je ne lui demandais aucun compte et elle non plus. Les séances de sexes se multipliaient et c’est elle qui menait les jeux me demandant des trucs de plus en plus hardis. Nous appliquions tous les slogans de libération de l’époque.

Souvent à la fac, elle se penchait à mon oreille et me demandait le même truc. Je devais aller aux toilettes et ôter mon slip que je lui ramenais. Elle le gardait toute la journée dans son sac.

Je savais qu’il lui arrivait souvent de faire l’amour avec d’autres mecs. Je ne lui en voulais pas du tout, mais moi je lui restais fidèle. Je ne savais même pas pourquoi.

Un jour chez elle, après avoir fait l’amour, elle me dit que j’ai trop de poils.

- Comment ça trop de poils, je n’en n’ai pas du tout à part sur les jambes et encore. Vu leur blondeur.

- T’as trop de poils sur le pubis. C’est dommage tu serais superbe uniquement avec tes cheveux longs.

- Je sais pas trop. Je trouve que déjà je ne fais pas très mec.

- Comment ça! Tu crois qu’il faut ressembler à un ours pour nous plaire? J’aime bien ton côté un peu féminin.

- Ah bon. J’ai l’air féminin?

- Non rassures toi t’es un vrai mec. Attends je reviens.

Effectivement elle est vite revenue. Elle avait dans une main une bombe de mousse à raser et dans l’autre le rasoir de son père. Elle voulait me raser. Je n’étais pas du tout d’accord. Mais j’ai finis par abdiquer et un quart d’heure après, je me sentais plus nu que nu avec ma bite tendue sur ma peau imberbe. Mes couilles ressemblaient à deux petits abricots. On a fait l’amour ou plutôt, elle s’est servie de mon pieu pour jouir et j’ai aussi lâché ma purée sur ses seins.

A partir de ce jour, je me suis régulièrement rasé les poils, et je faisais tout ce qu’elle me demandait.

C’est elle qui m’a proposée ces vacances en Tunisie. Quatre mois au soleil dans l’appartement d’un ami à elle. Bien sûr que j’ai accepté. C’était la première fois que j’allais vivre en permanence avec une fille.

Dès la fin des classes nous sommes partis. En stop et bateau. L’appartement était minuscule. Une pièce avec un lavabo dans un immeuble décrépis. La porte d’entrée et l’unique fenêtre donnait sur une cour intérieur. Pour la baise, il fallait être super-discret car on entendait tout ce qui se passait dans cet immeuble.

Nous étions les seuls français et les autres habitants nous ont regardés bizarrement les premiers jours. Pour eux, il était incompréhensible que des touristes vivent dans cet endroit.

Nous on s’en foutait. Nous étions là pour le soleil, le pays et la plage et nous en avons bien profités. Jusqu’au jour....

Nous bronzions et ils étaient brusquement devant nous. Ils étaient un peu plus vieux que nous et parlaient très bien le français. Ils se sont assis à côté de nous. Nous avons vite fait connaissance. Sylvie les regardaient d’une façon que je lui connaissais bien. Surtout Kalhed. C’était un athlète. Un vrai. Grand, musclé, un sourire ravageur et un visage volontaire avec un regard profond. C’était un homme. Mourad était plus petit mais tout en muscle avec un regard assez vicieux.

Nous ne nous sommes plus quittés de la journée.

Au fil des jours, nous sommes devenus des amis. Ils nous faisaient découvrir des endroits superbes, inconnus des touristes. Ils savaient bientôt tout de nous. Je remarquais bien que Kalhed n’arrêtait pas de regarder ma copine et ses questions avaient toutes des connotations sexuelles implicites. Je ne m’en formalisais pas. Je connaissais Sylvie.

Ils étaient très surpris de mes cheveux longs. De ma blondeur. C’est vrai que physiquement, ils étaient bien plus costauds que moi avec des muscles lourds et une force supérieure à la mienne. Ils portaient toujours le même maillot de bain, noir assez échancré. On ne pouvait pas ignorer les bosses que faisaient leur sexes. Heureusement qu’ils ne savaient pas que je me rasais.

Au bout d’une semaine nous étions inséparables. Au cours de nos échanges, ils avaient vite découvert qu’on ne fumait par uniquement du tabac et ils nous ont proposé facilement de nous procurer des barrettes. Mon amie se méfiait un peu. Moi j’ai craqué tout de suite pour les rejoindre chez eux un soir en profitant de la fatigue de Sylvie qui ne désirait pas sortir. J’ai eu un mal de chien à trouver le chemin de leur maison. Je suis arrivé tard chez eux. Ils occupaient une pièce dans un immeuble des quartiers populaire de la ville.

J’ai frappé. De la musique arabe assez entraînante traversait la porte. C’est Khaled qui m’a ouvert. Il a été à peine surpris de me voir sur le pas de la porte. Son visage s’est éclairé d’un large sourire de connivence.

- Toi tu viens pour fumer un peu. Entre. Entre....

La pièce était petite avec deux lits jumeaux qui occupaient pratiquement tout l’espace disponible. Il y faisait une chaleur presque insupportable et une très forte odeur de tabac éclipsait toutes les autres. Mourad était couché sur un des lits. Les deux étaient uniquement vêtus d’un slip noir. Cela m’a un peu troublé et gêné. Pourtant sur la plage, ils étaient toujours vêtus d’un maillot de bain noir assez serré. Mais là, nous n’étions plus sur la plage et ce n’étaient pas des maillots mais des slips.

- Salut Damien. T’es seul?

- Oui... Oui... Sylvie est fatiguée. Elle a préféré se coucher tôt.

- Dommage. Viens assieds-toi sur le lit. Mets-toi à l’aise.

Khaled a baissé un peu la musique. C’est seulement à ce moment que j’ai remarqué que leurs slips étaient complètement transparents. Le tissu était plein de fines mailles d'où des poils noirs sortaient. On voyait pratiquement tout. C’était pire que s’ils avaient été nus. Je n’avais jamais vu ce genre de sous-vêtement. Ils étaient comme d’habitude, souriants et insouciant, complètement indifférents et absolument pas gênés de leurs presque nudité.

- T’as de la chance. On en a reçu y a pas longtemps. Mais il vaut mieux le fumer ici. Attends je vais en chercher.

Khaled est vite revenu en tenant à la main un chiffon blanc qu’il a déroulé sur le lit. Je suis resté complètement abasourdi par la quantité d’herbe. Il y avait au moins une dizaine de barrettes. D’un beau brun presque noir. Il y en avait pour une fortune. Je n’en avais jamais vu autant d’un seul coup. Je n’ai pas osé leur demandé comment ils pouvaient en avoir une telle quantité à leur disposition.

- Tu vois on ne t’a pas menti. Tu veux goûter. Tu vas voir, c’est du bon. Il vient direct du producteur.

- Vous êtes vachement sympa les mecs.

- Attends, je vais t’en préparer un ou deux.

Mourad s’est redressé et s’est mis à préparer les joints. Il le faisait avec une habileté qui démontrait une longue pratique.

Il m’a tout de suite tendu le premier. J’ai allumé le joint en forme de cône en aspirant fortement. L’odeur à tout de suite envahie la petite pièce. Je sentais la fumée remplir mes poumons. Le goût était bien plus fort que celui que je connaissais. Plus doux aussi. Je remplissais à fonds mes poumons. J’étais en manque. Mourad a fait plusieurs joints qu’il a déposés sur le chevet qui séparait les deux lits.

DAMIEN II

Ils me les ont montrés.

- Vas-y ils sont pour toi.

- C’est beaucoup. Je ne pourrai pas me payer tout ça.

- T’inquiètes pas mon ami. Pas de problème.

- Et vous vous fumez aussi ?

- Non, on se le procure pour des amis. Mais tu es aussi notre ami.

Je commençais lentement à ressentir les effets habituels, je me détendais. La vie était belle et je me marrais avec eux. Ils me répondaient. Je rigolais bêtement et profitais de l’aubaine.

Eux s’étaient recouchés et buvaient tranquillement leur limonade en me regardant tirer comme un malade sur le joint. Dès que j’ai finis le premier, Mourad m’a tendu un second joint. Je l’ai pris de bon cœur. J’avais la tête qui tournait. Leur herbe était bien plus forte que la nôtre. Il faisait chaud et je transpirais à grosses gouttes. La seule fenêtre de la pièce, était fermée.

- Mets-toi à l’aise tu vas crever dans cette chaleur. On ne peut pas ouvrir la fenêtre sinon, on risque de sentir l’odeur dans la rue.

J’ai éclaté de rire et me suis mis torse nu. Je regardais leurs slips et devinais très nettement leurs sexes au repos compressés par le tissu tendu. Leurs corps bruns tranchaient sur les draps blancs froissés. Ils transpiraient à peine et leurs peaux mates brillaient légèrement.

J’ai fini mon second joint. Khaled a augmenté le son de la radio. La musique était entraînante. J’étais heureux. Mourad s’est mis à danser devant nous. Une danse du ventre endiablée et lascive. Son bassin ondulait souplement. Les muscles jouaient librement sous la peau.

Il s’est approché de moi. Son slip était tout proche de mon visage. Je me suis levé pour danser aussi. La chambre s’est mis a tourner. J’ai vacillé.

- Doucement Damien. Tu vas tomber. On dirait que tu as trop fumé mon ami. Attends on va t’aider.

Ils m’ont couché sur un des lits. Le plafond dansait. Le lit aussi.

- Il fait trop chaud.

- Attends reste tranquille.

Je me suis laissé faire. Mourad m’a ôté mes sandales et a ouvert mon pantalon de toile. Il me l’a ôté en tirant par le bas des jambes. Je me suis vite retrouvé en slip sur le lit.

- Repose-toi un peu. Tu fumeras tout à l’heure.

Nous avons écouté de la musique en silence. Les notes tourbillonnaient dans mon crâne et je me sentais très bien. Un sentiment de joie et de plénitude. J’étais bien avec eux. Dommage que Sylvie n’était pas avec moi. Je regardais Mourad danser.

Il ondulait lentement entre les deux lits en me regardant. Son corps fin se tordait comme une liane. Le slip noir me fascinait. J’avais envie de fumer encore un joint mais je n’osais pas le prendre. Khaled s’est allongé près de moi. Je sentais son odeur malgré le goût de l’herbe dans mes narines. Mélange de sueur, de sable et sel. Le lit était étroit et il s’est collé contre moi. Sa peau était chaude. La musique est montée d’un cran. Mourad dansait toujours. De plus en plus lascif.

Après tout devient flou dans ma tête.

Je me souviens de la voix grave de Khaled à mon oreille. Son accent arabe.

- On n’a pas eu de femmes depuis au moins un mois. Toi tu as de la chance tu as Sylvie. Elle est superbe ta copine.

Je comprenais pas pourquoi il me disait cela. Il s’est collé un peu plus contre moi. Mourad est venu à son tour s'asseoir sur le même lit. Khaled jouait avec mes cheveux longs.

- T’as des cheveux de femme. Ils sont beaux. Dans notre pays les filles n’ont pas le droit de sortir avant le mariage.

Il m’a recouvert le visage avec mes cheveux. Sa main a caressé ma joue. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

- T’as les joues douces. Tu n’as pas besoin de te raser tous les jours toi. Hier, sur la plage, on marchait derrière vous. De dos, vous vous ressemblaient Sylvie et toi. En plus vous avez les deux les cheveux de la même couleur et presque de la même longueur.

Je ne me sentais pas très bien. J’étais très troublé et vaguement inquiet. Je ne devinais pas ou ils voulaient en venir et j’avais l’esprit trop embrumé par l’herbe que je venais de fumer.

Je tente de m'asseoir sur le lit pour me ressaisir, mais ils m’empêchent en posant leurs mains sur mon torse et mes cuisses qu’ils commencent à caresser.

- Tu as la peau douce. Une vraie peau de bébé. Pas beaucoup de poils. Et blonds en plus. On ne les voit presque pas. Et là, tu n’en a pas non plus?

Une des mains s’est posée sur la bosse de mon slip. Je sursaute. Elle presse et malaxe le tissu. Je n’arrive pas à m’en débarrasser. Je bande. Je ne sais pas pourquoi. Impossible de me contrôler. J’ai un peu honte.

- On dirait qu’il aime ça. Il rougit comme une gamine ma parole.

Ils se parlent en arabe et prononcent plusieurs fois le prénom de mon amie. Je les regarde.

- Khaled dit qu’il se ferait bien ta copine. Mais c’est pas grave t’es mignon aussi. Tu vas voir tu vas aimer. Beaucoup de français ne viennent chez nous que pour ça.

Nous sommes les trois couchés sur le même lit. Je suis sur le dos et eux, m’encadrent, couchés sur le côté, têtes en appuis sur leurs bras relevés. Ils me regardent. Je tente de me libérer.

- Il faut que je m’en aille

- Mais non, On a tout le temps.

- Sylvie m’attend

- Tu nous a dit qu’elle dormait. C’est pas beau de mentir à tes amis. Nous on vous aime bien. Elle et toi. On est amis à la vie.

Je n’arrive pas à articuler deux mots d’affilé. Devant mes mouvements pour me libérer, ils deviennent brutaux. Je suis complètement dans le coltard. J’arrive à me lever. Ils bondissent sur moi. Ils sont plus forts et je me débats faiblement.

Je suis couché à plat ventre. Ils m’ont mis les fesses à l’air. Je sens leurs mains sur mon derrière.

- Il a un joli cul tout blanc

- Regarde, pas un poil. Un vrai cul de femme.

- Tu crois qu’il en a à l'intérieur?

- On va voir.

Je tente de me dérober aux mains qui m’ouvrent les fesses. Ils me donnent des petites claques. J’ai la chair de poule. Ma gorge nouée, m'empêche de parler. Justes des grognements.

- Bouge pas.

- Putain, il a un joli trou. Un vrai trou tout neuf.

- Laissez-moi. Laissez-moi. Stop les mecs ! C’est pas mon truc.

Un des deux arabes se couche sur mon dos pour me bloquer.

- T’inquiète pas Damien tu vas voir. Je suis sûr que tu vas adorer.

Ils regardent mon anus. Avec leurs jambes, ils écartent et bloquent les miennes. Dans cette position, je me sens complètement à leur merci. Seule ma tête peut encore bouger. Je n’ai pas assez de force pour refermer mes jambes. J’ai la tête qui tourne et je me sens faible.

- Putain ! Mais arrêtez ! Je ne veux pas. Non, je veux pas.

Ils me flattaient les fesses comme s’ils soupesaient de la marchandise. Leurs mains me malaxaient les globes, les claquaient, les écartaient, mettant à nue ma rosette. Je n’arrive pas à me dérober à leurs doigts inquisiteurs. Et quand je tente de leur échapper en bougeant mon cul, cela les fait rigoler et les excite encore plus.

- Vas-y Damien, danse du cul.

- Ou !i Vas-y comme les putes..

J’ai la tête qui va exploser sous l’effet de l’herbe. Je suis en train de vivre un mauvais trip. Ce qui m’arrive est impossible. Pas avec eux. Je les croyais mes amis. Et très loin de ce genre de chose.

Je me rappelle avoir parfaitement sentis de la salive sur mon trou. Ils crachaient à tour de rôle dans ma raie en visant mon anus et la salive coulait sur mes couilles tellement il y en avait.

J’ai poussé un petit cri qui m’a semblait ridicule quand j’ai sentis des doigts me malaxer l’anus. Je tentais de serrer les fesses pour y échapper. Un doigt s’est vrillé dans mon fondement me faisant sursauter de surprise et de douleur. Je l’ai senti s’enfoncer.

- Il est bien serré. Tu crois qu’il nique sa copine par derrière?

- Ça m’étonnerais. C’est pas le genre.

- Eh Damien tu as déjà enculé ta copine????

Une claque sur les fesses. Le doigt reste bien planté au fonds de mes reins. Je crois que j’ai des larmes aux yeux de honte et d’humiliations.

- Réponds-nous... Je suis sûr que tu ne l’as jamais enculée.

- Moi je lui mettrai bien mon zob à sa copine.

- On a le temps. Ils sont là longtemps.

Le doigt coulisse dans mon trou. Cela m’irrite malgré la salive. Je le sens tourner. Un autre le rejoint. Il a des difficultés à entrer et force le passage. Je me débats vainement. Ils glissent dans mon fondement, tournent en m’ouvrant, vont et vient dans ma corolle qui se desserre lentement.

- Tiens regarde comme ça entre bien maintenant.

Je me tends sous la douleur. Des milliers de piqûres dans mon cul quand un troisième tente de rentrer. Le type pousse durement. Encore de la salive. Je crie de douleur.

- Ça y est. Il en a trois dans le cul. C’est en train de bien s’ouvrir.

- Mets les lui à fonds Mourad et tourne bien.

Je redresse la tête sous la douleur. Ils me la plaquent sur le lit. Je n’arrive pas à leur échapper. L’herbe me fait perdre tous mes moyens.

- Bouge pas le français. Tu vas voir comme tu vas aimer.

- Ouais ! Y-a des mecs et des nanas qui nous payent pour ce qu’on te fait là. On est sympa pour toi c’est gratos.

- Je crois qu’il est bien ouvert là, ça glisse tout seul. A toi l’honneur.

Souvenirs d’un corps nu et lourd sur le mien. Des jambes poilues et musclées entre les miennes. Souvenir d'étouffement. Souvenir d’impuissance face à ces deux adolescents plus jeunes que moi et pourtant plus fort. La musique couvre les bruits de luttes pour échapper a ce que j’ai contre mes fesses. Des doigts d’acier me serrent douloureusement la nuque.

Un truc chaud et très glissant dans ma raie. Un bâton de chair qui se colle contre mon anus. Impossible de me cabrer. Je ne veux pas. Mais je ne peux rien faire à part les supplier de me laisser. Ils rigolent.

- Tu vas être ma fatma Damien. Une bonne fatma bien obéissante et dévouée. Tu peux crier autant que tu veux. Les fatmas crient aussi quand elles perdent leurs virginités. Tu vas voir on va bien te dépuceler.

Je sens la pointe du sexe qui pousse sur mon anus. Je comprends qu’il m’est impossible de leur échapper. C’est très douloureux. Le type pousse mais rien n’y fait.

- Vas prendre l’huile, j’ai pas envie de m'abîmer le zob.

Quelques secondes de répit qui passent trop vite et bientôt je sens l’huile couler sur ma raie. Il m’agrippe aux épaules. je ne sais même pas lesquels des deux et sur moi. Le bout du sexe est bien collé contre mon anus.

- Tu ferais mieux de pousser comme si tu voulais chier.

Je n’ai pas le temps de comprendre ce qu’il vient de me dire. Une douleur terrible. Je me cambre malgré le poids sur moi en criant de douleur. L’huile fait son effet. J’ai l’impression qu’on vient de m’exploser le cul. La souffrance monte à mon cerveau. Je manque de m'évanouir. Mon torse retombe sur le lit.

- Putain! Elle est entrée toute entière du premier coup. Je te jure! Il l’a jusqu'à l’os. Je l’ai embroché comme un poulet.

Je ne sens rien, la douleur oblitère toute sensation. J’ai du mal à retrouver ma respiration. J’ai l’impression d’avoir du feu dans le ventre. Je gobe de l’air frénétiquement. Cette barre dans mon ventre casse tout mouvement de rébellion. Je retombe inerte sur les draps. Une bouche contre mon oreille.

- Cà sert à rien de te défendre. Maintenant t’es une vrai fatma. Tu ferais mieux de ne pas trop bouger et de me laisser faire. Détends-toi. Sinon tu vas avoir encore plus mal. Tu vas voir comme c’est bon après. Elles disent toutes ça après. Je vais te donner à fumer. Comme ça tu sentiras moins.

Il reste immobile en moi. Je n’ai plus envie de rien comme si, le fait d’avoir été sodomisé m’avait enlevé toute tentative de révolte. Je n’ai plus la force de crier ou de me soustraire au bâton brûlant qui est enfoncé en moi et que je commence à sentir. Je sens aussi des poils contre mes fesses.

On me met une cigarette entre le les lèvres. Je fume difficilement.

- Vas-y aspire bien. Tu vas voir comme c’est bon.

J’obéis. La douleur s’estompe un peu. Je sens mon anus se tendre autour de cette bite conquérante et j’ai peur qu’il se déchire. Les jambes s’écartent plus m’obligeant à m’ouvrir encore plus.

- Reste comme ça et tends bien ton cul. Je vais bien te niquer ton tarma. Tu vas voir comme je vais bien te casser le cul. Nous on sait que les français qui te ressemblent adorent se faire prendre le derrière.

Le bassin de l’arabe commence à bouger au-dessus de mes fesses meurtries. Il va très lentement. La douleur revient et me fait gémir. Je sens une barre dure et chaude sortir lentement avant de revenir dans mon ventre. L’huile qu’ils ont badigeonnée sur ma raie remplie parfaitement son office de lubrifiant. J’ai l’impression qu'on me vide de l'intérieur puis qu’on me remplit. C’est une sensation étrange et, ma grande surprise, la douleur d’abord violente diminue petit à petit au fur et à mesure des vas et viens. Le gland ouvre le passage et fore mes reins.

Mon anus s'assoupli rapidement. Impossible de retenir les pets qui s’échappent à chaque coup de reins. J’ai honte. Honte d'être là, de ne rien faire pour me révolter. Honte, de subir en silence cette loi du mâle. Honte de la rapidité avec laquelle mon cul s’est ouvert. Honte de sentir cette bite s’enfoncer sans aucun problème au fond de mon ventre.

Je suis un enculé. Un mec est en train de m’enculer. Un type est en train de me planter sa bite au fonds de mon ventre. Et je ne fais rien pour me défendre. Je reste inerte sur ce lit, bras et jambes en croix, à la merci de ce sexe qui peu à peu trouve sa place dans mon intimité violée.

La bite va de plus en plus vite. Je ne tourne même pas la tête pour savoir qui est sur moi. La douleur est toujours là, mais elle reste très supportable malgré l’accélération.

- Ma parole, il a le cul aussi ouvert que la chatte d’une femme. J’arrive à lui enfiler mon zob jusqu’aux couilles.

Il va de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je pète sans arrêt et j’ai envie de faire pipi. Son gland tape régulièrement au fonds de mes entrailles. Quand il retire sa bite, j’ai l’impression qu’on m’aspire de l'intérieur. Quand il l’a replante au maximum, je tressaute. Il est de plus en plus violent. Je gémis de douleur et de honte.

- Arrêtes de pleurer comme une fatma.

Je n’arrive plus à me contrôler. L’effet de l’herbe et en train de retomber lentement. Il pousse de toutes ses forces sur mes fesses et je hurle. Il reste immobile et ses couilles pressent les miennes. Cela dure quelques secondes

- Putain qu’il est bon! Je lui ai rempli le cul à ras bord.

Il reste sur moi encore quelques secondes sans bouger, son sexe toujours fiché dans mon cul avant de me libérer. Je pète très fort et ils rient de bon cour. Une petite tape sur les fesses.

- C’est bien Damien. Je t’avais dit que tu vas aimer. Tu as vraiment un super cul de salope. Des belles fesses de filles. Et un petit trou encore bien serré. TU vas te régaler avec nos zboubs mon frère.

Je ne bouge pas et reste sur le lit, jambes écartées et visage dans les draps. Je n’ai plus mal. Plus du tout. Je suis ankylosé. J’ai surtout honte. Je ne veux pas les regarder. Je ressens un terrible sentiment de culpabilité. C’est de ma faute ce qui m’arrive. je n’aurais jamais dû venir chez eux.

Le deuxième est à son tour couché sur moi. Je ne tente rien pour y échapper. Pourtant, je sais bien que lui aussi va m’enculer. Mais j’ai une impression d’impossible révolte. Son sexe est entre mes fesses pour chercher la bonne voie.

- Tends bien ton cul. Lève tes fesses. Vas-y offres toi à moi comme une bonne salope de chez vous.

Je me suis cambré, en écartant bien mes jambes, lui offrant ainsi mes fesses meurtries. Il a vite trouvé le passage.

- C’est bien Damien. Ne bouge plus. Laisse toi faire.

Il s’est lui aussi enfoncé d’une seule poussée, me faisant hurler car la douleur est revenu brutalement pour disparaître aussi brusquement quand son bas ventre s’est collé contre mes fesses tendues.

- Tu as raison Khaled, maintenant que le passage est ouvert, ça entre tout seul. Il a avalé tout mon zob.

Mourad m’a sodomisé plus brutalement encore en donnant des coups de reins très puissants, qui propulsaient son gland contre mes intestins. Je criais à chaque coup de boutoir.

- Vas-y tu peux pleurer. C’est bon une fatma qui pleure

Je ne m’étais même pas aperçu que je pleurais. Il m’a enculé de longues minutes en rajoutant de temps en temps de l’huile pour que ça glisse bien. Une odeur de merde flottait dans la chambre. Je sentais mon cul recracher du liquide malgré le sexe qui bouchait mon trou. Il me tenait fermement aux épaules et me bloquait à chacun de ses coups de reins.

- Je vais lâcher ma purée. Il est trop bon son cul.

Cette fois-ci, j’ai sentis mon trou se remplir de liquide. C’est encore plus chaud que le sexe. Tout en jouissant, il continuait à me limer. Cela a encore duré un temps interminable avant qu’il ne me libère.

Je suis resté sur le lit. Je n’osais pas les regarder. J’avais honte. Un sentiment d’humiliation. Je ne leur en voulais pas. Je m’en voulais à moi. Ils discutaient en arabe. Mon cul coulait. Les draps étaient sales sous moi. Je n’avais plus la notion du temps.

- Eh Damien. Tu comptes dormir ici. Allez viens, lève-toi. On ne dira rien a personnes, ça reste un secret entre nous. Tu veux une cigarette ?

Je me suis redressé sans oser les regarder. C’est à ce moment qu’ils ont découvert mon pubis rasé.

- Putain c’est pas vrai! Il se rase la queue.

- Il veut vraiment ressembler à une fatma.

- Je suis sûr que c’est Sylvie qui le lui a demandé

- Dommage qu’il a une bite.

- Aller Damien. Ne t’inquiète pas, chez nous c’est courant ces pratiques. Beaucoup de mecs se laissent niquer. C’est pas la fin du monde.

J’avais du mal à marcher. Ils n'arrêtaient de me consoler. J’ai encore fumé deux clops de hasch. Je me suis rhabillé en tremblant sans même me nettoyer. Je les ai quitter la tête basse. Ils ont remis leurs slips avant d’ouvrir la porte.

- Si tu veux de l’herbe tu peux revenir quand tu veux.

- Sylvie aussi si elle en veut.

- Vous nous paierez avec vos culs…

Ils ont refermé la porte en riant. Me laissant seul avec ma honte et mes remords. La nuit noire et les rues vides augmentaient mon sentiment de désespoir. Dans ma tête, le mot enculé tournait sans répit et je sentais mes fesses glissantes et mon trou coulant. J’avais l’impression qu’il ne se refermerait plus.

Je suis rentré en marchant jambes écartées. Je sentais ma raie mouillée. Sylvie dormait profondément. J’ai jeté mes vêtements sales avant de me nettoyer en touchant le moins possible mon anus irrité. J’ai pissé et chié dans les W-C à la turc.

Je me suis endormi comme une masse à côté de ma copine.

oooOOooo

J’arrive sur la plage. Il n’y a personne en cette saison. Le sable est toujours aussi fin et l’eau aussi limpide qu’il y a plus de quinze ans. Je retrouve l’emplacement exact ou nous avions l’habitude de venir et revois le corps fin de Sylvie couché à même le sable, offert aux rayons d’un soleil resplendissant. Je me revois aussi à plat ventre sur ma serviette en train de repenser avec angoisse à ce qui m’était arrivé la veille. Heureusement, Sylvie ne s’était aperçue de rien et j’arrivais à jouer la comédie du type sans aucun problème.

Mais la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n’avais rien fait pour leur échapper, et j’avais beau me dire que j’avais trop fumé, au fond de moi, je sentais bien que je me trouvais de fausses excuses.

Cela faisait une heure que nous étions en train de bronzer et, il était presque midi. En nous réveillant, Sylvie m’a fait quelques avances que j’ai fait semblant de ne pas comprendre. Je n’avais vraiment pas envie de faire l’amour. C’était la première fois que cela m’arrivait de lui refuser. Elle n’avait rien dit et s’était levée plutôt rapidement.

Sur la plage, elle a voulu savoir comment cela s’était passé la veille.

- Très bien. Ils sont vraiment très sympa

- Ils avaient vraiment de l’herbe?

- Oui et elle était fameuse

- Tu en a fumé beaucoup?

- Oui ils me l’ont même offert. Ils en ont un paquet.

- C’est la même que celle qu’on trouve chez nous?

- Non. Elle est plus forte.

- Et vous avez fait quoi?

- Ben rien. J’ai fumé chez eux c’est tout

- Eux aussi?

- Non ils fument pas. Ils m’ont dit que c’était pour des amis.

- T’as de la veine. Tu aurais pu m’en amener un peu quand même.

- Impossible, ils ne veulent pas que cela sorte de chez eux.

- Tu crois qu’ils nous en re-proposeront?

- Je ne sais pas.

- En tout cas, cette fois ci je viendrais avec toi.

- Bien sûr tu m’a manqué.

Ce qui était sur c’est que je n'étais pas prêt à retourner seul chez eux. Je me suis bien gardé de le dire. J’avais encore l’anus irrité.

Je sentais comme un malaise entre nous. Elle m’en voulait et je ne savais si c’était pour ce matin ou pour l’herbe. Nous n’avons plus parlé. Le soleil commençait à sérieusement chauffer. Je suis parti me baigner. L’eau de mer m’a fait mal à l’anus. Je n'arrêtais pas de penser aux événements de la veille. Je suis revenu sur le sable chaud. Je me suis assoupi. J’étais crevé.

Bien sûr ils nous ont rejoints en fin d'après-midi. Quand je les ai vus, j’ai une peur terrible. Mais avec un aplomb superbe, ils ont été absolument comme d’habitude. Au point que même moi, je commençais à me poser des questions.

Bien sûr Sylvie a voulu en savoir plus sur l’herbe et sur notre soirée.

- Elle a été super.

- Oui surtout pour Damien.

- Faut dire qu’il a un peu abusé des cigarettes.

J’écoutais leurs voix chaudes et encore un rien juvéniles. Ils étaient joyeux, décontractés, sympa. On leur aurait donné le bon dieu sans confession. Pourtant c’était bien leurs sexes qui m’avaient enculés sauvagement. C’était bien eux qui m’avaient sodomisé en me traitant de salope et d’enculé.

- En tout cas les mecs, il faudrait moi aussi m’en faire profiter

Quelques micro secondes de silence avant que Khaled ne réponde à Sylvie d’une voix doucereuse en me regardant.

- Pas de problème tu viens un jour et ont te fais le même trip qu’avec Damien.

- Vous êtes sympa les amis. Vous venez vous baigner?

- Vas-y on te rejoint dans cinq minutes.

Elle est partie en courant. Son maillot moulait parfaitement ses fesses rondes qui tanguaient au rythme de sa course. Nous l’avons regardé plonger dans l’eau.

Ils se sont couchés à plat ventre en face à moi, têtes et bustes redressés en appuis sur leurs avant-bras. J’ai pris la même pose. Je ne savais pas quoi leur dire. Leurs regards se sont perdus derrière moi. A nouveau un sentiment de peur et de honte m’a traversé.

Khaled a ébauché un sourire sans desserrer les lèvres.

- Tu sais que même vu d’ici, t’as un super cul.

J’ai rougi brusquement. J’osais plus les regarder. Toujours ce sentiment de honte. J’avais peur que quelqu’un entend ou que Sylvie revienne même si la voyais en train de nager lentement.

- Faut pas te faire de mouron. Ça restera entre nous. C’est notre secret.

- Oui, et puis, dans notre pays, c’est courant. On ne peut pas toucher aux femmes de chez nous. Alors on en profite entre nous ou avec des étrangers en saison.

- On préfère les étrangers.

- Et les étrangères.

- Surtout les français.

- Ouais. Ceux-là, une fois qu’ils sont partis on ne les retient plus. Ils offrent leur cul à tout le monde. C’est comme les allemandes.

- Des chaudes aussi les moukères allemandes.

- Vous. Vous êtes complètement barges

J’avais beaucoup de mal à parler. A les affronter aussi d’ailleurs. Ils me faisaient un peu peur. Je regardais obstinément le sable fin de couleur clair.

- Tu ne disais pas ça hier.

- Tu t’es laissé faire bien gentiment.

- Ouais. Tu ne t’es pas beaucoup battu pour défendre ton petit cul.

- Tu t’es bien laissé ouvrir la rondelle.

- T’as une très belle rondelle. Tu sais? Bien serrée et en même temps très souple. Une vraie rondelle de fille.

- Presque une chatte. Maintenant elle est à nous.

- On plus avec ton bas-ventre rasé, tu es super mimi comme vous dites chez vous. Je suis sûr que c’est Sylvie qui t’a demandé de le faire.

- Un mec qui se rase à cet endroit, c’est ou un saint homme ou une gonzesse.

Mon visage me brûlait. J’avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger. C’est vrai que je ne m’étais pas beaucoup défendu la veille. Je mettais mon attitude sur le compte de l’herbe que j’avais fumé et dont j’avais largement abusé. Mais ils commençaient à me mettre un sérieux doute dans mon esprit. Je regrettais amèrement ce rasage.

Sylvie est revenue. Son corps fin et bien dessiné brillait au soleil. Tout est redevenu normal avec des conversations banales entrecoupées de baignades et de fous rires. Khaled la serrait de très près. Elle ne disait rien. Moi non plus.

A midi, nous avons mangé du maïs grillé que des enfants vendaient sur la plage. Ils faisaient griller les épis devant nous sur des petits braseros, avant de nous les tendre sur les feuilles verte qui servaient de protections aux épis et qui protégeaient aussi de la chaleur. Je mangeais le mien en faisant semblant d’ignorer les très discrets regards assez équivoques que me lançaient Khaled et Mourad.

J’avais de plus en plus de mal à me contrôler. En plus, ils étaient en train de draguer ouvertement ma copine. Pour me remettre les esprits en place, je suis parti nager. Je me donnais à fonds dans une brasse endiablée. Une fois arrivé à une bonne distance de la plage, j’ai fait la planche en fermant les yeux.

Des flashs de la veille martelaient mon cerveau. Je sentais bien que je bandais et que mon maillot comprimait de plus en plus mon sexe. J’avais envie de me masturber. Mais il y avait trop de monde autour de moi. Je me suis remis à nager en direction de la plage. La situation me paraissait intenable et je ne voyais pas d’issue pour moi.

A mon retour, Sylvie et Khaled n’étais plus là!

Mourad discutait avec le môme qui nous avait vendu les maïs. Ils me regardaient venir à leur rencontre et riaient en parlant en arabe. A la manière dont le gamin me dévisageait, j’ai tout de suite compris que Mourad lui parlait de moi. Ma voix m’a paru beaucoup trop hésitante.

- Ou est Sylvie?

- Elle est partie avec Khaled.

- Ou?

- Elle avait trop envie.

- Envie?

- Elle manquait de cigarettes. Elle voulait des trucs plus forts.

Il soutenait mon regard avec une espèce d’ironie narquoise. Ses yeux brillaient d'excitation. Il ne m’était pas difficile d’imaginer Sylvie seule avec Khaled dans la fameuse chambre. Pendant un court instant, j’ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l’ai pas fait. Même aujourd’hui, il m’est difficile de reconnaître que j’avais eu peur d’affronter Khaled.

Mourad parlait toujours au jeune qui n'arrêtait pas de me dévisager en souriant. Je restais debout comme un con, le corps dégoulinant et le visage inquiet. Ils se sont levés et Mourad s’est campé face à moi, les pieds enfoncés dans le sable chaud, jusqu’aux chevilles.

- J’ai comme l’impression que ton amies va… Bien Fumer. Surtout que je suis sûr que Khaled lui plaît beaucoup. Elle a tout de suite accepté d’y aller seule avec lui… A mon avis, elle ne va pas fumer beaucoup. Rien que de les imaginer, ça me fait bander.

- Tais-toi!

- Pourquoi? Ah pour lui! Ne t'inquiètes pas, il ne comprend pas le français. Il surveille la plage et s’occupe des bungalows.

Ils ont repris une assez courte conversation dans leur langue. Le môme a éclaté de rire en me regardant. Il a sorti une grosse clef toute rouillée du sac ou il rangeait ses épis et l’a tendue à Mourad. Puis il s’est assis au milieu de nos affaires et s’est mis à dessiner des arabesques sur le sable.

- Il va surveiller nos fringues. Viens avec moi.

- Ou?

- Il veut qu’on visite un des bungalows.

Le ton moqueur qu’il employait ne laisser aucun doute sur ses intentions. Au regard appuyé que me lançait le môme, j’ai compris qu’il lui avait tout raconté. Le môme savait pourquoi je devais visiter ce bungalow.

Comme je ne bougeais pas assez vite, Mourad m’a saisi par l'avant-bras pour me tirer à sa remorque.

- Allez viens. On a tout le temps. Sylvie et Khaled ne reviennent pas avant deux bonnes heures. C’est ce que Khaled m’a dit. Moi je suis sûr qu’il y arrivera plus vite. Et toi, c’est ton petit cul que tu vas me montrer.

Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner. Nous avons traversé la plage, croisant peu de monde.

Il y avait trois petites maisons blanches accolées à l’immeuble du casino. Toutes identiques, avec trois portes peintes en bleue clair. La peinture s’écaillait laissant apparaître le bois et les couches successives des peintures précédentes. Des gamins jouaient au football dans le sable à quelques mètres de nous. Ils connaissaient tous Mourad et l’ont salué avec un entrain juvénile.

L’arabe a ouvert la porte du bungalow du milieu. Un grand trou sombre. Une odeur prenante. Il m’a poussé vers l’intérieur en appuyant fermement sur mes fesses.

Nous sommes entrés et il a refermé la porte à double tour. Je ne voyais rien. Nous sommes restés immobiles sur le seuil à attendre que nos yeux s’habituent à l’obscurité ambiante. Le seul éclairage de la pièce, provenait des raies de lumière blanches qui passaient par le bas et le haut de la porte et par quelques planches disjointes. Il y avait aussi deux petites ouvertures en haut du mur donnant sur la plage. Il faisait chaud et humide et l’odeur m’était complètement inconnue. Un mélange d’iode et de poissons séché.

- C’est ici que viennent les fatmas qui ne veulent pas se faire niquer dans leur hôtel. Au début elles ont un peu peur et il faut les amadouer. Mais après elles reviennent. Avance vers la droite. Encore...

J'avançais lentement, bras tendus en avant et en glissant mes pieds nus sur le sol rugueux. Il y avait des tas de débris sur le sol. Les mains du jeune arabe se sont posées sur mon maillot mouillé et me poussaient pour que je continue d’avancer. Il tenait mes fesses à pleines mains et les malaxait sans répit. Il a fait entrer mon maillot entre mes fesses.

Mes tibias ont heurté un obstacle et je serai tombé si Mourad ne m’avait pas retenu par la taille.

- Voilà, c’est là.

J’ai vite compris que j’avais en face de moi, une espèce de lit de camp, assez bas, collé contre un mur. Je voyais le crépi blanc et des grandes taches noires.

- C’est là-dessus qu’elles viennent se faire niquer. Des fois on est plusieurs pour la même. Elles adorent. Pendant que leurs maris sont au hammam ou jouent aux cartes, juste au-dessus d’elles au Casino. Et toi aussi tu vas aimer être traité comme ces poufiasses d’étrangères.

C’est dans cette pièce minable que j’ai abandonné toute idée de rébellion, et que cet arabe que je croyais mon ami, est devenu en réalité mon maître. J’entends encore les cris et les rires des mômes jouant au ballon, qui traversaient cette porte bleue qui nous séparait du monde extérieur. Dehors, il y avait le soleil, la plage, les vacances, du monde qui s’amusait.

Il aurait simplement suffit que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu’un aurait entendu. Serait venu. Mais cela m’était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd’hui, je ne sais pas quoi.

Je tremblais. J’avais la chair de poule malgré la chaleur. Ma peau était encore mouillée du bain de mer. Les mains chaudes au creux de mes reins m’ont fait frissonner.

- Avec tes cheveux longs, tu ressembles vraiment à une femme. Khaled il dit que tu as le corps d’une fatma. Il a tout de suite deviné en te voyant que tu es une femelle dans ta tête. On a l’habitude de vous reconnaître.

Il me parlait à voix basse au creux de l’oreille. D’un ton grave et autoritaire. Une vraie voix d’homme qui n’avait rien à voir avec son âge. Il était sûr de lui et de son ascendant sur moi malgré son jeune âge. Il devait sentir ma passivité et en profitait.

- Ta copine, c’est une belle femme. Elle a tout ce qu’il faut ou il faut. T’en as de la chance. Et nous aussi. A l’heure qu’il est, elle doit être complètement nase et Khaled doit en profiter. Elle doit avoir un abricot superbe cette gonzesses. Et un beau cul aussi. Toi aussi tu as un cul superbe et tu vas bien m’offrir ton petit cul tout blanc. Tu vas voir, avec moi tu vas vite apprendre.

Les mots me faisaient mal. Tout combat me semblait vain. Je sentais son odeur de sueur et son haleine caressait ma nuque. Son corps chaud était plaqué contre mon dos et mes jambes. La bosse que formait sa virilité se pressait contre mes fesses. J’avais envie qu’il arrête de me parler de Sylvie. Mais lui prenait tout son temps.

- Elle a le cul plus cambré que le tien. Des fesses un peu plus larges aussi. Remarques t’a aussi un joli cul toi. Tu vas bien me le montrer, maintenant qu’il nous appartient. Je vais t’apprendre à bien nous l’offrir

Il a baissé sans difficulté mon maillot mouillé sous mes fesses pour me peloter. Ses mains très chaudes me caressaient lentement. Ses doigts ouvraient ma raie et me faisaient frissonner. Je le laissais faire.

Il m’a débarrassé du tissu collant avant de reculer, me laissant nu dans cette chambre inconnue. J’ai deviné qu’il se mettait à poil lui aussi et j’ai vite senti la pointe de son sexe, dure et chaude, parcourir mes fesses encore humides. Impossible de contrôler les tremblements dont j’étais saisi.

- Tu trembles comme une pucelle. Pourtant hier on t’a niqué sans problème. Tu fais comme hier. Tu m'obéis sagement et je serai tout doux avec toi. Assieds-toi. Aller assis !

Je me suis assis sur le bord du lit et Il resté debout en face de moi. Son corps se découpait en contre-jours dans la pénombre. Il s’est approché entre mes jambes qu’il a largement écartées.

- Comment elle suce ta copine? Réponds. Pas grave... Je suis sûr qu’elle doit bien sucer. Khaled me racontera. Il adore qu’on le suce. Moi aussi j’aime ça. Aller, au travail.

Je n’ai pas vu son sexe. J’ai juste senti une grosse pointe chaude et humide me caresser les joues avant de se poser sur mes lèvres serrées. C’était très doux et brûlant. J’ai eu un mouvement de recul qu’il a vite bloqué en me tenant la tête.

- Montre-moi comment elle te suce ta copine. Vas-y... Montre-moi. Elle doit être en train de faire la même chose à Khaled en ce moment. Chez nous, les femmes elles ne veulent pas faire la fellation. C’est très sale.

Il a forcé et j’ai ouvert la bouche. Sensation étrange que ce corps étranger dans ma bouche. Impression d’avoir un animal vivant dans mon palais. C’est gros et j’ouvre au maximum. Je ne peux pas bouger la tête et c’est lui quoi s’enfonce le long de ma langue.

L’odeur est forte, musquée, animale, mélange d’iode et de sueur âcre. Je suis très troublé, et ne fais rien pour me soustraire au pal qui entre lentement dans ma bouche sèche. Il donne des petits coups de reins et me pistonne la bouche.

- Regarde. Tu la sens aller et venir. C’est comme ça qu’il faut faire. Serre bien avec tes lèvres autour de mon zob. Vas-y... Ouvre bien la bouche... Elle est grosse hein ! Essaye de la prendre le plus loin possible. Tu vois, ta bouche est moins profonde que ton cul. Vas-y suce bien ! Tête bien ma grosse sucette.

Au bout de quelques minutes, il lâche ma tête c’est moi qui le suce mécaniquement. Instinctivement, je trouve les bons gestes et le bon rythme. Lui, reste bien campé face à moi, bassin tendu et mains sur ses hanches.

DAMIEN III

- Applique toi bien on a tout le temps. Vas-y tête moi bien à fonds. Vas-y prends là au maximum. C’est bien. Tu vois que tu sais le faire. Bientôt tu vas sucer aussi bien que les putes de Tunis. Profite bien de mon zob. Tu dois être au service de nos zboubs apprendre à les satisfaire.

Le gland tape de plus en plus vite au fonds de ma gorge. Mes lèvres coulissent autour de la hampe bien droite. Je me débrouille de mieux en mieux. Je sens le membre palpitait contre ma langue. Le gland va tout au fond de ma gorge.

- Tu fais très bien la fellation. Continue comme ça. Lèche bien mon sucre d’orge. Lèche sur toute la longueur. C’est bien. Continue comme ça, tu te débrouilles très bien. Aspire bien mon zob. Plus fort. T’es né pour piper les bites toi !

Je l’ai sucé pendant longtemps. Il a utilisé ma bouche autant qu’il l’a voulu. Il s’en servait comme du sexe d’une femme et me pilonnait régulièrement le gosier de la même manière qu’il l’avait fait pour mon cul la veille.

Je le laissais faire. Je participais aussi. Son sexe me semblait d’une taille imposante. Son gland m’obligeait à ouvrir toutes grandes mes mâchoires. J’entendais les bruits de succion et de la salive coulait sur mon menton. Je commençais à avoir mal aux mâchoires.

- C’est très bien.

Il s’est reculé et m’a libéré la bouche. Je me suis essuyé le menton d’un revers de mains. Je ne voyais que son bas-ventre devant mes yeux. La masse noire de ses poils. Celle moins sombre de ses couilles et le pal enduit de ma salive tendu vers le plafond.

- Je suis sûr que tu suces mieux que ta copine. Les hommes chez vous, ça fait mieux la fellation que les femmes. On l’a souvent remarqué.

Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son sexe, dressé à quelques centimètres de mon visage, qui se découpait en ombre chinoise. Assez long, avec un gland comme un champignon, et la hampe légèrement courbée vers le ventre plat.

Il m’a semblé complètement incroyable que j’ai pu sucer une bite d’homme. Et pourtant, j’avais encore envie de la sentir dans ma bouche. Et cette fois, je n’avais plus l’excuse de l’herbe.

- Allez, ma poule, couche toi maintenant. Vas-y à plat ventre.

J’ai compris ce qu’il voulait. J’ai osé lui dire que j’avais encore mal. J’avais un tout petit filet de voix et beaucoup de mal à articuler.

- J’ai rien compris. Répète. Plus fort ! N’ai pas peur.

- J’ai encore mal.

- Ou ? Ou t’as encore mal?

- J’ai encore mal.... Au..... A l’anus...

- N’ai pas peur. Comme t’es sage, j’irai doucement et t’auras pas mal à ton cul. Tu vas voir, je vais bien te niquer et tu vas adorer. Allez mets-toi à plat ventre. Ecarte bien tes jambes. Encore plus... Laisse les pendre de chaque côté du lit. Oui comme ça. Garde la position, j’adore voir ton cul tout blanc offert. Tu dois apprendre par cœur cette position. Tu vas souvent la prendre. Et d’autres encore. Tu vas devenir notre outre à foutre.

Il s’est couché lourdement sur moi, son bassin collé contre mes fesses et surtout sa queue plaquée dans ma raie. Il a mis beaucoup de salive entre mes fesses.

- Je vais bien te préparer le trou.

Ses doigts dégoulinant de salive me massaient lentement l’anus, sans chercher à entrer. Je sentais mes chairs répondre et s’ouvrir lentement.

- T’as la rondelle bien souple. Je me demande quel effet cela te fait d'être un enculé. Tu vas voir, tu vas en redemander

oooOOooo

J’étais maintenant devant les trois baraques. Là encore, rien n’avait changé. Ils avaient dû les repeindre récemment car tout semblait neuf et propre. Comme il y a quinze ans, devant les portes closes, des jeunes jouent au ballon en criant. Ils semblent surpris de voir un touriste en costard sur cette plage pratiquement déserte en cette saison.

J’avais aussi entendu les mêmes cris de joie quand j’étais couché sur le lit de camp, fesses enduites de salive.

Le gland mouillé de Mourad s’est collé contre ma rondelle encore irritée par la séance de la veille. Mes fesses se sont refermées autour de la hampe épaisse et chaude. Ma voix m’a semblé terriblement soumise.

- Non s’il te plaît. J’ai encore mal. S’il te plaît arrête.

- Je vais être gentil avec toi. Fais ce que je te dis et tu verras, tu ne sentiras rien. Tends ton cul. Vas-y, soulève-le. Pousse comme pour faire caca. Vas-y pousse… Comme pour faire caca. Fais ce que je te dis sinon tu vas la sentir passer! Je suis gentil, mais tu dois obéir.

Au ton qu’il avait, j’ai compris qu’il n’abandonnerait pas. Alors, j’ai fait ce qu’il me conseillait, me cambrant au maximum. Je tremblais en lui obéissant. Je lui tendais mon cul comme une pute. Il m’a fermement agrippé par les épaules. J’ai poussé du mieux que je pouvais en sentant la pression du gland contre mon trou. J’avais peur et j’avais honte. Les jeunes jouaient toujours au foot. La pression a augmenté contre mes sphincters contractés.

- Vas-y pousse. Pousse. Fait caca....

Un seul coup de rein très puissant. Une douleur fulgurante qui me coupe le souffle. Une brutale envie de vomir. Mon anus qui s’ouvre. Mon cri qui se casse brusquement. La main de Mourad sur ma bouche. Mes grognements de douleur.

Puis plus rien. A peine une légère brûlure au derrière et le sentiment d’avoir du plomb dans les intestins.

- Tu vois. Je te l’avais dit. C’est passé. Ti es empalé jusqu’aux couilles. D’un seul coup. T’es un vrai enculé maintenant. Un bon petit cul français bien cassé.

C’était vrai, je sentais parfaitement les poils de son pubis contre mes fesses et ses couilles collées contre les miennes. Il m’avait sodomisé d’un seul coup de reins. Et sa grosse bite était entièrement plantée dans la profondeur de mon ventre. J’avais l’impression que mes entrailles allaient éclater. J’avais envie de chier pour me débarrasser de cet énorme suppositoire.

C’est à ce moment précis que j’ai réalisé qu’il avait raison.

J’étais devenu un vrai enculé!

Ce bâton de chair qui venait de se planter du premier coup dans mon anus sonnait la fin de ce que j’avais été jusqu’à présent, et me transformait en individu hors de la norme. Un mec venait de planter sa pine dans mon fondement. Plus rien ne serait comme avant.

Dehors, les gamins criaient toujours, pendant que moi, j’avais le cul cassé par une bite d’arabe. Ils avaient certainement entendu mon cri de douleur. Comme le petit vendeur de maïs, ils avaient dû deviner ce qui se passait dans le bungalow.

Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses.

- Cambre-toi bien le français. Offre-moi bien ton cul. Décontracte-toi, sinon tu vas avoir mal. Le plus dur est fait.

Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s’ouvrir pour épouser la circonférence de son membre qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive. J’avais de moins en moins mal.

- Tu vois, Damien comme ton cul s’est bien ouvert. Maintenant je vais bien te niquer. Tu vas en redemander poufiasse.

Le calvaire a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait mes reins. Le gland ouvrait mon conduit et l’élargissait, la douleur sourde ne me quittait plus. Je serais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements.

Au bout d’un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu’il pouvait y faire ce qu’il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s’écrouler. Il sortait tout son membre à l’exception de son gland et le replantait de toutes ses forces en mes fesses m’arrachant un cri à chaque fois que je sentais sa queue taper contre ma paroi anale.

Il me pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il m’a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m’ont remplis le cul.

Il ne s’est pas aperçu qu’aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j’avais éjaculé en même temps que lui. J’en ai été le premier surpris et complètement dérouté.

Quand il s’est retiré, j’ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L’impression d’un manque et en même temps de l’avoir encore en moi.

- Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille. On va bien te l’ouvrir. Il faudra faire tout ce qu’on veut. Si non, on dira à Sylvie que tu n’es qu’un pédé. Allez remets ton froc. Ne t’essuie pas. Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens.

Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J’ai laborieusement remis mon maillot de bain. J’avais un peu de mal à marcher. Mal au ventre aussi. J’avais l’anus irrité.

Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardés. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les autres doigts repliés. J’ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon cœur.

Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m’a traduit.

- Il a dit qu’avec la tâche que tu as sur le derrière du maillot tout le monde sur la plage va savoir que tu viens de te faire niquer.

J’ai rougi et me suis sauvé pour me précipiter dans l’eau chaude et salée.

Sylvie et Khaled nous ont retrouvés sur la plage en fin d'après-midi. Ils étaient restés absents plus de trois heures. J’étais furieux de cette absence et meurtri par leur bonne humeur et leur connivence. Je tentais de deviner ce qui avait bien pu se passer entre eux. Sylvie avait les yeux brillants et semblait très heureuse. Elle n’arrêtait pas de plaisanter et de rire. On pouvait imputer son comportement sur le compte de l’herbe qui devait encore faire son effet. C’est la seule explication que je voulais lui trouver. Refus déjà de voir la réalité.

Mourad et Khaled ne se sont parlés ni en français, ni en arabe. Tout semblait parfaitement normal entre nous. Nous étions un groupe de quatre amis profitant de cet été tunisien. Il nous restait encore six semaines de vacance.

Le soir, Sylvie et moi avons fait l’amour et cela a été une séance fantastique. Sylvie s’est totalement donnée. Moi aussi. Nos corps moites dans cette chaleur lourde se sont déchaînés l’un contre l’autre. Jamais nous n’avions baisé de cette manière.

A quoi ou à qui pensait-elle à ce moment? Je n’arrivais pas à le deviner, mais moi je pensais à cette queue qui m’avait enculé et à ces deux jeunes arabes qui s’étaient soulagés avec mon corps.

Je me demandais si mon sperme s’était mélangé à celui de Khaled dans l’intimité odorante de ma copine ou si elle l’a sucé aussi bien que je l’avais fait pour Mourad.

Et sa queue à lui, comment était-elle? Je ne savais même pas à quoi ressemblaient les deux queues qui m’avaient dépucelé le cul. Je ne les avais jamais réellement vues. Sylvie, s’était-elle laissé sodomiser aussi? Elle me l’avait toujours refusé et même cette nuit, je n’ai pas osé lui demander. Peut-être aurai-t-elle accepté de me répondre?..

oooOOooo

Un ballon de cuir tout élimé est venu mourir sur mes chaussures bien cirées. Un des jeunes joueurs est venu le récupérer. Il respire le bonheur ingénu. Mais j’avais appris à mes dépends, qu’il fallait se méfier de l’ingénuité dans ce pays. Il m’a juste remercié d’avoir récupérer le ballon et est reparti jouer. J’ai quitté cette plage. Il me reste deux bonnes heures à tuer avant mon rendez-vous.

Je remonte la rue qui mène au centre de la ville. Il y a beaucoup plus de voiture qu’à l’époque. Ca sent l’essence et les épices. Les gens sont bruyants et pressés. Personne ne fait attention à moi. J’arrive sur la petite place cerclée de cafés. Beaucoup de monde sur les terrasses.

Je sais qu’en été, tous les vendredi soirs, il y a une fantasia.

Nous avions assisté à l’une d’elle. Le spectacle se déroulait à la tombée de la nuit et il y avait un monde fou autour de la petite place avec une majorité de touristes. Le centre de la place était cerclé de torches qui s’ouvraient pour délimiter un passage au milieu de la rue principale. C’est par là que devaient arriver au grand galop, les cavaliers. Les torches étaient le seul éclairage de la petite ville et tous les autres quartiers étaient plongés dans le noir.

On entendait des cris et des coups de fusil au loin. Sylvie et moi étions côte à côte. Derrière nous Mourad et Khaled nous racontaient ce qui allait se passer.

- Regardez, ils vont venir de la rue.

La pression des spectateurs agglutinés contre et autour de nous, m’a séparé de Sylvie et très vite, je ne voyais plus que sa chevelure à cinq mètres devant moi. Mourad avait réussi à rester à côté d’elle. Khaled lui, était plaqué contre mon dos. Le spectacle allait commencer dans une dizaine de minutes. Il faisait très chaud et nous étions tous serrés les uns contre les autres.

Pour faire plaisir à Sylvie, j’avais accepté de mettre un large pantalon bouffant de couleur blanche. C’était un vêtement local que Sylvie m’avait offert. Le tissu était si fin qu’il en devenait transparent si je passais dans la clarté. Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et c’est Mourad et Khaled qui se sont joints à Sylvie pour me convaincre de sortir ainsi vêtu.

Brusquement, sous un tonnerre roulant d'applaudissements et de cris, une douzaine de cavaliers ont déboulé à cheval pour occuper le centre de la place à grand renfort de coup de feu tirés vers le ciel, et le spectacle a débuté. Nous étions de plus en plus serrés les uns contre les autres, tassés comme des sardines, à tendre le cou pour voir quelque chose.

Moi, je n’ai rien pu voir, car dès l’arrivée des cavaliers, Khaled m’a saisi par les hanches, et a pressé son bas ventre contre mes fesses.

J’ai sursauté. Il osait faire cela au milieu de cette foule compacte. Il m’était impossible de me dérober à ses avances. Très inquiet, je ne cessais de regarder autour de nous. Personne ne semblait faire attention à ce que me faisait Khaled.

Brusquement en tournant la tête à plusieurs reprise, je me suis rendu compte que j’étais le seul touriste au milieu des autochtones. Nous étions encerclés par des arabes. Aucun touriste en contact direct. Les premiers, étaient pratiquement à trois ou quatre rangs devant nous. J'étais le seul étranger au milieu d’une marée compacte de tunisiens mâles, et Khaled me pressait de plus en plus fort contre son bassin en parlant en arabe aux deux coreligionnaires les plus proches qui ont rigolé en me jetant un coup d’œil.

- Chez nous, il n’y a que les courtisanes qui portent ce genre de pantalon. Les putes quoi. C’est pour cela que j’ai dit à Sylvie de te l’offrir. Elle en voulait un aussi. Mais, je l’en ai dissuadée.

- D’un mouvement de tête, il m’a montré les deux arabes.

- Eux savent que c’est pour les putes et je leur ai dit que tu en étais une qui est là que pour offrir son cul.

J’ai violemment rougis. Je ne savais plus ou me mettre. Impossible de me décoller de Khaled qui me tenait fermement contre lui.

Je sentais parfaitement la bosse de son sexe se frotter lentement contre mon cul. J’étais troublé et désemparé. Je voulais partir, mais il n’y avait aucune échappatoire. Les deux arabes à qui Kalhed avait parlé ont commencé à s’intéresser à ce qu’il faisait. Ils m’ont regardé d’un drôle d’air, et j’ai baissé les yeux honteux et soumis. Je n’ai tenté aucun mouvement pour échapper aux caresses.

Cela faisait maintenant presque un mois que nous étions dans ce pays et après la séance de la cabane, tout s’était enchaîné sans possibilité d’échappatoire ni de retour.

Sylvie allait de plus en plus souvent fumer avec Khaled et je devinais parfaitement qu’ils ne se contentaient pas uniquement de fumer. J’avais maintenant la certitude qu’il y avait quelque chose entre eux, même si Sylvie ne disait rien.

Mourad lui, se dévouait pour me tenir compagnie et bien sûr, assouvir ses envies. Au fil des jours, ils m’ont appris à me plier à tous leurs désirs et j’étais devenu un mec aussi obéissant qu’une de leur fatma. Bien que plus jeunes que moi, ils m’avaient soumis à leur volonté autoritaire.

Au cours des séances, ils me demandaient de plus en plus de chose et j’allais de plus en plus loin dans l’abdication de toute rébellion et la soumission. C’est pourquoi, je ne me suis pas révolté le soir de la fantasia, quand j’ai sentis la main de Khaled passait lentement dans mon pantalon et baisser l’arrière de mon slip sous mes cuisses.

Je me suis retrouvé les fesses nues, à peine protégées des regards par mon pantalon bouffant et transparent, en plein centre-ville, cernés d’arabes, qui nous cachaient aux éventuels regards et formaient une barrière infranchissable autour de nous. Et parmi tous ces inconnus, deux au moins pouvaient voir ce que faisait Khaled plaqué contre mon dos avec ses mains dans mon pantalon de courtisane.

A un moment, Sylvie s’est tournée vers nous pour nous faire de grands signes de la main, bras tendu au-dessus de la foule. Khaled lui a répondu de la même manière pendant que son autre main fouillait ma raie. Il faisait de grands signes à Sylvie pendant que deux de ses doigts sont lentement entrés dans ma raie serrée pour s’enfoncer sans aucun obstacle dans mon anus.

Rouge de confusion et de honte, j’ai serré les dents et baissait la tête. Le spectacle ne m’intéressait plus. Mon anus moite de sueur s’ouvrait sous la pression des doigts vrillés dans mon fondement. Il n’y avait plus besoin de salive. Les deux autres arabes ne regardaient plus la fantasia.

Autour de nous la foule criait des encouragements aux cavaliers. Je ne savais plus très bien ce qui se passait, ni ou j’étais au juste. Un type était en train de me mettre deux doigts dans le cul au milieu de dizaines d’autres individus. C’était complètement fou.

Khaled a parlé en arabe à son voisin de droite. Un type bien plus vieux que nous, avec une fine moustache et des lunettes à monture dorée. Malgré la chaleur il portait un costume de ville avec une chemise blanche et une cravate.

La foule nous pressait les uns contre les autres. La musique lancinante et les coups de feu empêchaient toutes les discussions. Khaled devait me parler à l’oreille pour que je comprenne:

- J’ai dit à ce type que tu étais une vraie pute avec un trou bien ouvert.

Le type à moustache a regardé dans mon dos. J’ai compris que Khaled lui montrait ce qu’il était en train de me faire.

- Il ne voulait pas me croire quand je lui ai dit que je suis en train de te mettre deux doigts dans le cul. Je suis sûr que tu sens bien mes doigts dans ton cul et que ça t'excites de te donner en spectacle devant des inconnus hein Damia ?

C’est Khaled qui avait décidé de féminiser mon prénom pendant nos ébats. Il avait commencé à le faire environ une dizaine de jours après la séance du bungalow sur la plage. Mourad avait dû lui raconter ce qui s’était passé, et lui n’était peut-être pas encore avec Sylvie. C’était la première fois que nous étions seuls lui et moi. Je ne me souviens plus ou étaient les deux autres.

- Mourad m’a raconté ce que vous avez fait sur la plage. Il m’a aussi raconté tout ce que tu acceptes.

J’ai baissé la tête.

- J’ai envie de te niquer pour voir. Il parait que tu as fait des sacrés progrès.

Il ne voulait pas aller dans un des bungalows de la plage. Il voulait mieux connaître ou nous vivions.

- Je veux voir ou vous vivez Sylvie et toi.

Nous y sommes allés. L’appartement qu’on nous avait prêté n’avait rien d’une usine à touristes, trop chère pour notre budget. Il était situé dans un vieux bâtiment minable, en plein centre-ville.

Les chambres étaient disposées sur trois étages, autour d’une cour intérieure, et la nôtre était au second. Dans la journée, il n’y avait personne car les appartements étaient loués par des gens de la ville qui travaillaient.

Khaled a rapidement visité lieux. Sans aucun préambule, il a commencé à se déshabiller. Torse nu, il s’est assis sur le lit.

- Alors, c’est sur ce lit que tu la baise? T’as raison d’en profiter, c’est un super coup. A mon avis, y-en-a plus pour longtemps. Je suis sûr qu’il lui en faut plus.

Les mots m’ont fait mal par ce qu’ils sous-entendaient. Pas de doute ils avaient couché ensemble. Lui avait-il dit ce qui c’était passé entre eux et moi?

Il a levé sa jambe vers moi en pointant sa chaussure vers moi. Il portait des sandales noires.

- Approche et enlèves moi les sandales.... Allez vite, ne fais pas semblant de vouloir résister.

Je lui ai obéis. Il avait les pieds poussiéreux. J’ai été surpris de la corne qui recouvrait sa voûte plantaire. Certainement les sports de combats, et un entraînement intensif.

Il a ouvert son pantalon. Il portait le même slip noir à maille qui ne cachait rien de sa virilité encore au repos. Complètement hypnotisé par ses mouvements de félin, je l’ai vu se débarrasser de ses vêtements et se recoucher sur le lit.

Pour la première fois, j’ai réellement vu au grand jour son sexe circoncis encore au repos, avec un gland brun et des couilles lourdes plantées au milieu d’une forêt de poils noirs et très frisés. Même au repos, son sexe me semblait imposant et en tout cas bien plus conséquent que le mien.

- Alors, c’est sur ce lit que tu baises avec Sylvie?

Il y avait de la méchanceté dans sa voix, et en même temps, comme un soupçon de jalousie. Ses muscles jouaient souplement sous sa peau brune. Il avait un sourire inquiétant.

- Allez au pieux le francaoui ! A poil! Viens me montrer tes progrès.

Tête basse, je suis venu me coucher à plat ventre à ses côtés. C’était cette position de soumission que Mourad me demandait de prendre à chaque début de séance de baise. Je suis resté jambe écartée et derrière relevé, attendant que son corps couvre le mien. Mais Khaled en voulait plus.

- Prends la même position qu’une femme. Sur le dos, jambes écartées et cuisses bien ouvertes.

Je me suis lentement retourné. J’avais une boule dans la gorge. Une boule dans la gorge me bloquait la respiration. Je me sentais encore plus humilié dans cette position. J’ai ouvert mes jambes en les repliant légèrement. Exactement comme une femme qui s’ouvre pour accueillir son mec sur elle.

- Oui comme ça... C’est bien.... Si tu veux pas voir c’est pas grave. Laisse tes yeux fermés. Elle est pas très grosse ta bite. C’est elle qui t’as rasé aujourd’hui? Réponds ! C’est Sylvie ? Il m’a frappé les couilles m’arrachant un cri de douleur.

- Non. Non... Je me rase tout seul

Il s’est mis à genoux, assit sur ces talons, entre mes jambes repliées et bien écartées. Mais il en voulait encore plus.

- Ecartes tes fesses avec tes mains et montres moi bien ton trou de tapette. Je veux le voir en gros plan.

J’ai pris appui sur mes pieds pour soulever mon bassin et j’ai obéis en passant mes mains sous mes fesses. Je me suis mis l’anus à l’air. Je lui exhibais mon cul.

- Il va falloir que tu te rases aussi la raie. Tu as encore des poils autour de ton trou de salope.

J’avais les yeux humides. Kalhed a saisi sa queue dans sa main droite et s’est rapidement masturbé devant moi en crachant plusieurs fois dans le creux de sa main. J’ai vu son sexe grandir et s’ériger au-dessus de mon ventre.

Quand il a estimé qu’il était prêt, il a lâché son membre tendu devant son ventre plat. Son gland mouillé regardait le ciel. J’étais subjugué par la taille de son pieu. Je ne comprenais pas comment un engin d’une telle taille avait pu entrer dans mon cul. Cela me semblait presque impossible. J’ai compris pourquoi j’avais eu tellement mal la première fois.

J’avais maintenant très peur de la suite. Lui, il s’en foutait complètement. Il m’a relevé les jambes pour les passer au-dessus de ses épaules.

- Tiens tes fesses bien ouvertes. T’as déjà niqué Sylvie dans cette position ? Les femmes adorent cette position parce qu’elles sont bien offertes et que ça rentre bien profonds.

Il a pointé son engin devant mon anus dévoilé avant de se coucher sur moi, m’obligeant à relever mes genoux jusqu’aux épaules. Vu ma position, ma raie s’était complètement ouverte. J’ai lâché mes fesses et son sexe bien mouillé a forcé le passage pour s’enfoncer lentement en moi.

Jamais je n’avais senti une telle impression. On aurait dit que mon ventre allait éclater. Je me tortillais de douleur pendant la pénétration. Mais il était bien plus fort et me bloquait bien.

En réalité, je ne pouvais bouger que mon bas ventre et sans que je le veuille, je lui facilitais la pénétration. La douleur est rapidement montée avant de redescendre par palier au fur et à mesure des coups de reins qu’il donnait souplement. J’ai fermé les yeux, visage crispé et souffle haletant. Je devinais qu’il devait me regarder et savourer sa puissance de mâle.

- En quelques séances t’as le cul qui s’ouvre comme les putes de la rue Sidi Guêche. Dès que je t’ai vu la première fois j’ai dit à Mourad que tu devais être une sacrée salope.

J’étais stupéfait que sa bite se soit entièrement logée dans mes entrailles. Cela ne faisait même pas quinze jours que j’étais sodomisé régulièrement par Mourad. Et bien sûr, je n’avais jamais eu de relations de ce type auparavant. Pourtant, une bite aussi grosse que celle de Khaled arrivait à entrer assez facilement et sans trop de douleur.

Les amples mouvements qu’il donnait à son bassin faisaient bouger le matelas. Pratiquement couché sur moi, il m'étouffait. J’étais plié en deux, mes genoux au niveau de mes épaules. Complètement cassé est jambes repliées au maximum.

Jamais le sexe de Mourad n’avait était aussi profondément enfoncé dans mon ventre et j’avais l’impression que mes intestins allaient remonter. Je serrais les dents en gémissant et lui, continuait d’enfoncer son pieux dans mon intimité élargie sans me quitter des yeux.

Il poussait de plus en plus fort. J’étais plié sous lui à la recherche de mon souffle. Quand enfin j’ai sentis son bas ventre contre mes couilles, j’étais à deux doigts de l’évanouissement.

- Mourad t’as bien calibré ! Ton cul, il est meilleur que celui d’une femelle. Généralement les fatmas n’arrivent pas à la prendre entièrement dans leurs culs aussi facilement.

Il ne m’a pas quitté des yeux tout le temps qu’il m’a limé, et je gémissais comme une femme à chaque coup de boutoir. Son pubis tapait de plus en plus fort contre mes cuisses. J’ai serré les jambes autour de sa taille. Cela l’a encore plus excité de me voir gémir et bouger sous lui. A ce moment je me suis rendu compte que je n’avais jamais sodomisé Sylvie. Cela ne m’était même pas venu à l’esprit.

Khaled s’est brusquement immobilisé pour se vider en moi. Pour la première fois, j’ai sentis mon cul se remplir d’un liquide chaud. Il a jouis longtemps à grands jets avant de s’immobiliser.

Puis, il s’est brutalement retiré. J’ai enfin pu m’allonger sur le lit complètement pantelant. Je me sentais faible et j’avais mal au cul. Mon anus irrité me brûlait et son sperme sortait lentement de mon trou. J’avais comme la sensation que mon trou restait ouvert. Je n’osais pas le regarder.

- T’es une vraie femelle toi. C’est Damia qu’on va t’appeler. Ça te va mieux que Damien.

Il a ajouté que dorénavant c’est comme cela qu’ils m’appelleraient quand on serait seul car maintenant j’étais leur fatma.

- T’es pire que n’importe qu’elle nymphomane étrangère.

Il est resté à poil pour aller boire un verre d’eau. Son sexe lourd et à moitié tendu ballottait entre ses cuisses viriles. Il avait les jambes couvertes de poils noirs et bouclés.

Il a voulu voir nos bagages. Je l’ai laissé fouiller nos affaires. Il a trouvé les sous-vêtements de Sylvie et il les a tous sortis un à un.

Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. Les doigts ont quitté ma raie. La main est sortie de mon pantalon qu’il avait remonté, mais mon slip est resté bloqué sous mes fesses. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place ou se déroulait le spectacle.

Les mains ont fouillé dans mes cheveux et ôter l’élastique qui les retenait en queue de cheval. Khaled les a étalés sur mes épaules.

- T’es mieux comme ça. Cheveux longs et pantalon de courtisane. Ils vont aimer nos nouveaux amis.

Je n’ai pas eu le temps de réagir quand, d’un mouvement rapide, il m’a baissé le pantalon sous les fesses. Complètement paniqué, j’ai sursauté. J’avais le cul à l’air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C’était complètement dingue.

Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux arabes les plus proches de nous, ont certainement vu mon cul à l’air. Khaled m’a remonté le pantalon aussi rapidement qu’il l’avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais de peur.

- Je veux qu’ils voient ton petit cul de salope. Même dans le noir on peut voir tes fesses toutes blanches. Tu devrais bronzer à poil. Dommage que c’est interdit chez nous. C’est aussi interdit de montrer son cul en pleine ville. Trop de risques.

Le regret dans sa voix m’a paniqué. Je sais qu’il était capable de tout.

Un des mecs a parlé et l’autre a ajouté quelques mots. Khaled leur a répondu. La discussion s’est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient, mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion.

Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir.

- Ils veulent encore voir la marchandise.

- Non Khaled. S’il te plaît arrête ! On risque de se faire prendre.

- Ta gueule Damia ! Tu décides de rien ! On va encore leur monter tes petites fesses bien rondes.

Les autres ont entendu le prénom féminin et on sourit d’un air de connivence. Khaled a de nouveau baissé l’arrière de mon pantalon. Cela duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu.

Les deux arabes n’ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d’envie. Je n’arrivais plus à voir ou étaient Sylvie et Mourad. A nouveau des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle.

- Il dit que tu as de très belles fesses.... Hautes et musclées.

Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu’il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Sylvie et Mourad. Khaled me parle a l’oreille

- Ils ont envie de te niquer. Ils disent qu’avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup pour leurs zobs.

Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon cœur bat la chamade et je tremble. J’ai un mouvement de révolte. Pourtant je n’arrive pas à lui faire part de mon refus. Il me traite comme un objet, comme son objet et c’est cela qui me trouble et me rends aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit.

- J’ai bien envie de leur dire que je suis d’accord pour leur prêter ton cul.

- Non ! Non Khaled ! S’il te plaît....

- Ta gueule ! Tu fais ce que je te dis ! Et puis d’abord pourquoi je leur refuserai. Je sais que tu aimes ça, je le vois dans tes yeux.

- Non je veux pas. S’il te plaît....

- T’as rien à vouloir.

Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d’avance avec Khaled. Pour lui, j’étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j’étais sa pute.

oooOOooo

La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip dans le linge sale de Sylvie. Ce jour-là, il était de mauvais poil, agressif et dur, le geste brusque et nerveux. Il a pris le slip dans sa main et l’a serré de toutes ses forces.

- Qu’est que tu attends pour te foutre à poil.

Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. D’un air méchant, et m’a jeté le slip au visage.

- De dos avec son slip j’aurai l’impression de la baiser elle. Tu lui ressembles avec tes cheveux longs et ta taille fine.

J’ai compris qu’il se passait quelque chose entre ma copine et lui et qu’il voulait se venger avec moi. Il m’était impossible d’accepter ce qu’il me demandait et j’ai osé refuser et lui tenir tête. Il est entré dans une rage folle et m’a giflé violemment avant de se jeter sur moi.

Nous nous sommes battu, mais je ne faisais pas le poids. J’ai appris à mes dépends qu’il pratiquait couramment les arts martiaux. D’une clef très douloureuse, il m’a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et bras tordu dans le dos, à la limite de la cassure.

- Je vais te faire obéir moi. On ne discute pas avec moi. Tu n’es qu’une poule mouillée qui mérite une bonne punition. Je ne sais vraiment ce que ta copine te trouve…

Il m’a alors donné une fessée magistrale. Il avait une force redoutable et il m’a assené une volée de claques sur les fesses qui m’a fait pleurer de douleur et il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. On devait entendre mes cris dans tout l’immeuble. Je m’en fichais. J’avais trop mal aux fesses.

- C’est pas fini le français. Il faut que tu le demandes poliment.

Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J’ai crié, puis l’ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu’il voulait. Il m’a frappé les couilles. La douleur a irradié dans mon cerveau. Me bloquant la respiration.

- La prochaine fois que tu refuses de faire ce qu’on te dit. Voilà ce qu’on te fera. Les fatmas; elles n’ont pas besoin de couilles.

Un autre coup sur mes couilles. La douleur était intolérable. Il m’a lâché. J’ai mis de longues secondes à récupérer. J’avais du mal à récupérer mon souffle.

- Allez, Tu le mets ou je recommence.

En pleurant et reniflant, j’ai mis le slip de dentelle. Mes fesses me brûlaient. Je titubais et mes couilles douloureuses n’arrivaient pas à se loger dans l’empiècement.

- Penches toi et tends bien ton cul.

Je lui ai présenté mes fesses rougies enserrées dans la dentelle noire. Mes fesses me cuisaient. Je me suis cambré au maximum en appui sur le lavabo.

- Chez nous, les femmes elles obéissent en se taisant.

Il a écarté le fonds du slip, dévoilant ma raie.

- Mets-toi de la salive sinon je te niques à sec

J’ai craché dans ma main pour m’enduire la raie. Je l’ai fait plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je n’aie plus de salive.

Avec ses pouces, Il a ouvert largement mes fesses au niveau de mon anus et son gland s’est collé contre mon trou mouillé.

- Je t’ai déjà dit de te raser la raie. T’as intérêt à le faire. Et la prochaine fois, tu t'essuieras mieux quand tu chies. On n’aime pas les gens sales chez nous. Il faut que tu sois absolument propre avec nous compris.

Cette humiliation de plus a été un nouveau coup de poignard pour moi. J’ai pleuré comme un gamin. Cela l’a fait rire.

- Allez Damia, recule, c’est toi qui va te niquer tout seul… Toute seule

J’ai dû tortiller mon cul pour m’empaler sur son sexe tendu. Il m’a laissé faire et j’ai lentement reculé. Mon anus s’est ouvert sans trop de difficultés. La douleur était supportable. Je sentais son sexe écarter ma corolle. Le gland est passé sans problème. Puis la tige épaisse est entrée. Mon ventre se gonflait. Je continuais de reculer malgré la douleur qui se réveillait.

- Continues. je veux que tu te la plante jusqu’aux couilles.

J’ai reculé d’un coup. Tout est entré et mes fesses se sont collées contre son pubis. J’ai serré les dents. Il était gros et dur dans mes entrailles.

- Tu vois quand tu veux. Vas y, Damia bouges bien ton cul. Plus vite ! Vas-y ma salope française, tortille ton cul de poufiasse sur mon zob.

Mon cul s’est ouvert autour de son sexe très épais. C’est moi qui m’enculais et j’allais de plus en plus vite. J’ai redressais mon visage vers le plafonds en gémissant doucement. Mais pas de douleur.

Son sexe occupait tout mon ventre et tapait tout au fonds de mes intestins. Mon trou béant l’avalait sans difficulté et la salive jouait parfaitement son rôle de lubrifiant.

J’ai reculé vers sa bite jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Je me cambrais au mieux pour lui tendre mes fesses toujours enveloppées du slip de Sylvie. Je sentais parfaitement le sexe coulisser en moi.

- Allez encules toi mieux que ça. Vas plus vite ! Plus vite, sinon c’est encore une fessée. C’est dommage que tu peux pas voir la taille de ton trou autour de mon zob. Plus vite salope ! Ca vient.... Vas-y Kahba.

Il parlait fort comme pour être entendu de l’extérieur. Il m’a tiré de toutes ses forces contre son bas ventre et a jouis dans mes entrailles dévastées. Mon cul s’est rempli de son jus chaud. Il m’a caressé les fesses.

- C’est bien t’es devenu une bonne putain.

Il a pratiquement crié la phrase et j’ai entendu des voix dans la cour intérieure de l’immeuble.

Son pieux a libéré mon trou gluant. Il l’a essuyé contre le slip de Sylvie que je portais toujours. Je me suis redressé en ayant encore l’impression d’avoir son sexe en moi.

Il m’a regardé méchamment. Il a lentement remonté son pantalon. Sa bite toujours tendue, sortait de sa braguette ouverte. Il a ôté sa ceinture de pantalon qu’il a brandit vers moi.

- La prochaine fois que tu nous désobéis, c’est avec la ceinture que je te corrige et on raconte tout à Sylvie. Baisse les yeux quand je te parle.

J’ai obéis. Je me sentais misérable, sale dans la tête et ridicule, uniquement accoutré du slip de ma copine, le cul ouvert et dégoulinant. En plus je savais qu’il y avait du monde dans l'immeuble et qu’ils avaient dû entendre et comprendre ce qui se passait.

Kalhed s’est approché de moi pour mettre son ceinturon autour de mon cou. Il a tiré vers le bas.

- D'après Mourad, tu fais très bien la fellation. C’est un plaisir rare. A genoux ! Tu vas me montrer comment tu te débrouilles… Vite ! Sinon gares à tes fesses.

Des exclamations étouffées devant la porte de la chambre. Je suis tombé a genoux devant lui. Son sexe maculé de traces luisait devant mes yeux. Une très forte odeur s’en dégageait et me soulevait le cœur. La peau brune tendue et luisante, était couverte de taches brunes ou blanches.

- Ouvres ta bouche. Bien grande. Nettoie, j’aime pas avoir le zob sale. Allez nettoies ta merde. Et la prochaine fois tu devras avoir le cul bien propre et rasé.

On parlait à voix basse derrière la porte. J’ai ouvert la bouche, pour sucer la bite sale de ce jeune arabe. J’étais en train de bouffer ma merde et son sperme, alors que des inconnus derrière une porte devinaient ce qui se passait dans la chambre. J’avais envie de vomir ou de disparaître de la surface de la terre.

Et pourtant, je bandais et je ne pouvais pas le lui cacher puisque le slip de ma copine était trop petit pour cacher mon sexe dur. J’ai découvert l’odeur et le goût de mon intimité en léchant le gland baveux et la hampe tachée.

- Rappelle-toi. La prochaine fois, le cul propre à l’intérieur et à l'extérieur et la raie bien rasée. Sinon on te fait bouffer ta merde. Allez bois jusqu'au la dernière goutte. Allez Damia avales bien toute la jute de ton mâle.

A partir de ce jour, je ne me suis plus rebellé et ai exécuté toutes leurs envies de plus en plus dominatrices.

DAMIEN IV

oooOOooo

Le spectacle de tous ses chevaux caracolant sur la place était splendide. Mais je n’y faisais pas attention.

- Allez viens... Suis-moi....

Nous avons fendu la foule toujours aussi enthousiaste avec beaucoup de difficultés. Les deux autres arabes nous ont emboîté le pas. Nous avons réussi à quitter la place.

De nombreuses ruelles. Pas d’éclairage. Un bon quart d’heure de marche. C’est un des deux inconnus qui nous guide. On stoppe devant une porte très étroite dans une venelle étroite et très sombre. L’inconnu l’ouvre et parle a Khaled. Nous entrons. Le mec ferme à clef derrière nous.

Un escalier étroit éclairé par une seule lampe. On voit à peine les marches. Khaled me fait passer devant eux. Un des mecs prononce de brèves paroles. Khaled rigole.

- Mon ami dit qu’il a pas bien vu ton cul tout à l’heure Damia, tu vas faire ce qu’il te demande.

Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m’ignorent superbement. Ils sourient les trois.

- Laisse ton pantalon et ton slip ici, ils ont envie de voir ton pt’i cul de jeune fille monter l’escalier, tu récupéreras tes affaires au retour.

Je mets du temps à réaliser ce qu’il me demande, et c’est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip reste sur la première marche.

Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L’escalier est interminable, sans aucun palier. De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J’arrive enfin devant une porte. C’est celui qui nous ouvert en bas qui ouvre encore. Nous entrons.

C’est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. Sur le mur opposé à celui de la porte d’entrée, il y a une autre porte. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. Des montagnes de linge. Jamais je n’en avais vu autant. Une vraie blanchisserie.

- On va être tranquille ici, c’est dans cette pièce que tous les habitants de l’immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l’étendre sur la terrasse derrière cette porte.

Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent. On entend les lointaines clameurs de la fantasia.

Les deux mecs sont venus m’entourer. Ils parlent à Khaled. Me palpent, les cuisses, les fesses, la taille et bien sur la raie.

- Allez-y mes amis, allez-y… Il est à vous.

Khaled s’est assis sur un tas de linge. Les deux arabes biens plus vieux que nous semblaient impatients et voulaient profiter de l’aubaine rapidement. Ils portaient des alliances. Leur mains impatientes couraient sur mon corps. Ils m’ont débarrassé de mon dernier vêtement, et m’ont poussé vers le sol.

Je me suis retrouvé en levrette, uniquement vêtu de mes chaussures, sur un tas de linge qui sentait la sueur et la crasse. Un des mecs a tiré mes cheveux vers le haut, m’obligeant à lever la tête. J’ai compris ce qu’il voulait et j’ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.

- T’aimes vraiment être traité comme une pute toi.

La bite qui s’est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. J’ai eu un haut-le-cœur de dégoût. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s’est planté dans ma bouche.

- Allez Damia, montre à mon ami comme tu suces bien.

L’autre m’a palpé le derrière. J’ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Un gland contre mon trou. Mon cul s’ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s’enfile en souplesse dans mon intimité. L’arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème.

- Allez Damia au turf ma petite pute. Fais bien plaisir à nos deux amis.

Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C’était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J’avais une bite dans la bouche et l’autre plantée dans mon cul. J’imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sûr qu’il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute.

- T’es une bonne tapette, dommage que Sylvie n’est pas là.

Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être. J’avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C’est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m’utilisaient pour leur plaisir.

- Ils disent que t’es qu’une putain à qui ils vont éclater le cul et la bouche.

Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement.

- Ils veulent profiter à fond d’une bonne salope comme toi. Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs. Nos femmes sont trop pudiques pour accepter ce genre de chose.

Au bout d’un moment les bites m’ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale. Mais ils ne m’ont laissé aucun répit et m’ont retourné à plat ventre. Ils n’avaient même pas ôté leurs pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leurs fesses et leurs bas-ventres. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leurs cravates. Les bites dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises, ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l'aération.

Un des mecs s’est mis à genoux au-dessus de ma tête, m'emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s’est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s’est mis a frotter son cul sur ma bouche. L’odeur de merde et de sueur était suffocante. J’avais du mal à respirer.

- Sa femme lui a toujours refusé ça. Tu vas lui faire plaisir et lui bouffer le cul comme une professionnelle.

L’autre m’a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m’a saisi les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras. J’étais cassé et plié en deux. J’avais un mal fou à respirer. La position qu’ils m’avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J’avais l’anus offert. Mon visage était soudé contre la raie très poilue. L’odeur était insoutenable. Ils ont parlé en arabe.

- C’est dommage que tu n’arrives pas à te voir dans cette position. Avec le cul en l’air et le trou bien offert. En plus tu bandes bien mon salaud. Ils veulent voir la taille de ton trou.

Je ne pouvais ni parler ni crier. L’anus du type était contre ma bouche. C’était très chaud, doux et avec une odeur poivrée très forte.

- On va voir si tu as le fion aussi souple que le corps.

Un sexe a forcé le passage de ma corolle. Le mec m’a pris par les cuisses et m’a tiré vers lui. Sa bite s’est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater.

- Il veut que tu lui lèches le cul. Dommage que Sylvie ne peut pas te voir.

Ma langue s’est mise à nettoyer la rosace plissée. Les poils étaient rugueux et collés entre eux. Je m’habituais à l’odeur épicée et au goût sucré de la peau.

Une brusque douleur qui m’a fait sursauter. Mon enculeur donnait de violents coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bite tapait durement au fonds de mon ventre.J’avais l’impression que mon cul aller éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l’anus d’un de mes tourmenteurs.

- Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à la chatte de sa femme. Dommage que tu ne mouilles pas autant qu’elle.

Pendant un bon quart d’heure, j’ai cru que j’allais mourir d'étouffement ou d’un déchirement. J’avais l’impression que mon cul était béant. J’étais complètement ouvert et offert à ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières.

J’étais leur chose, et ils faisaient ce qu’ils souhaitaient de mon corps, avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait sagement assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place et je léchais des bites souillées. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert entre leur relais. Les deux arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J'étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement.

Quand ils m’ont lâché, j’avais l’impression d'être complètement disloqué. Je n’ai même pas senti les bites qui se sont déversées à tour de rôle dans mes entrailles.

Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumés des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. J’avais du mal à retrouver mes esprits. J’avais des poils dans la bouche et leurs odeurs tenaces étaient encore dans mes narines. J’avais un peu froid. J’avais le visage contre le linge sale. Ils ont éteint leurs clopes. J’ai vu leurs chaussures revenir.

- Tu leur fais de l’effet ma petite Damia, ils ont encore envie de toi. On a encore le temps, la fantasia n’est pas finie, ils veulent faire comme les cavaliers et continuer à te monter.

Ils m’ont sodomisé à plusieurs reprises, et n’ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J’avais avalé leurs sexes et léché leurs culs sales. J’étais complètement cassé moralement et physiquement. Ils ont chacun jouis plusieurs fois dans ma bouche et dans mon cul. J’ai bu leurs spermes jusqu'à la dernière goutte. Chose inconcevable aujourd’hui avec le sida.

Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j’avais l’impression que mon trou ne se refermerait plus. Je le sentais boursouflé et douloureux. Je me suis relevé, le visage rouge, les yeux hagards desquels perlaient quelques larmes. J’avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul inondé, je suis redescendu toujours devant eux. J’ai remis mes affaires après m’être essuyé avec mon slip.

- T’as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon de courtisane. T’imagine la tête de Sylvie si elle voyait le fond de ton pantalon tout taché de semence.

Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled, me prouvant s’il en était besoin, qu’ils comprenaient parfaitement le français.

Le spectacle était fini et la foule envahissait les rues. Je marchais comme un somnambule à côté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitté. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique

- Nettoies toi sinon Sylvie ne va pas comprendre

Je me suis aspergé le visage. C’est tout ce que je pouvais laver. J’avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses pour que le sperme ne tache pas mon pantalon. Khaled m’a montré plusieurs billets de cents dinars

- Ils ont été très généreux

J'étais abasourdi. Ainsi donc, il m’avait vendu à ces deux parfaits inconnus! C’était donc vrai que j’étais sa pute!

Le pire c’est que nous avons retrouvé Sylvie et Mourad attablés à une terrasse de café et j’ai retrouvé ma forme coutumière. Ils ont parlé un moment en arabe pendant que Sylvie s’extasiait du spectacle auquel elle avait assisté.

C’est Khaled qui nous a offert la tournée et les repas avec l’argent que je venais de gagner avec mon cul et ma bouche. Sylvie l’a remercié très chaleureusement.

oooOOooo

Deux ou trois jours après la fantasia, la première fissure entre moi et Sylvie. Toute la nuit, elle avait refusé mes avances, d’abord avec douceur, puis avec exaspération. Le matin elle m’a annoncé qu’elle passera la journée avec Khaled. Elle devait certainement s’attendre à ce que je lui demande des comptes. Mais je n’ai rien dit. Je savais déjà ce qui se passait. Je me suis contenté de lui poser un baiser sur le front avant d’aller prendre ma douche en lui souhaitant de passer une bonne journée.

Je pense que c’est à cet instant précis que notre séparation s’est faite. Même si aucun de nous ne l’a annoncé.

J’ai passé la journée à marcher dans la ville. Je voulais retourner en France. Tout de suite. Laisser ce pays, tout abandonner et retrouver ma vie d’antan et mes joies d’avant. J’en avais marre. Vers le milieu de l'après-midi, je suis retourné à la plage. Les jeunes jouaient au foot devant les bungalows.

Tous les jours, ils étaient là et jouaient inlassablement. Le petit marchand de maïs était avec eux. Ils se lançaient le ballon pour tenter de marquer. Dans les buts, il y avait Mourad. Lui aussi avait été largué pour la journée. Comme moi.

Il m’a fait un signe de la main. Les jeunes m’ont encerclé. Je n’avais pas envie de jouer au ballon. Mourad m’a demandé si la fantasia m’avait plus. Aux intonations de sa voix, j’ai compris que j’allais payer pour Sylvie. Je m’en foutais.

- Alors, il parait que maintenant tu te fais payer?

Les jeunes se sont calmés. Je ne savais pas s’ils comprenaient le français. Mourad a parlé au vendeur de maïs. J’ai vu la clef changer de mains. Les jeunes se sont esclaffés en me tournant autour. Ils ont rompu le cercle devant la porte bleue. Tête baissée, je suis entré dans le bungalow sous leurs quolibets.

Mourad m’a donné une bourrade sur les omoplates. Je connaissais le chemin. Il ne m’a rien demandé. Complètement soumis, j’ai ôté ma chemisette, mes espadrilles et mon pantalon. J’avais les mains sur l’élastique de mon maillot de bain.

- Garde-le. Penche toi et prend appuis sur le lit… Ecarte les jambes. Encore plus. Comme ça, garde la pose.

Je ne comprenais pas ce qu’il cherchait. Il est resté immobile derrière moi sans se déshabiller.

- Ne bouge pas, je reviens.

La porte qui s’ouvre. Il sort un instant et revient. J’entends des bruits de pas. Des chuchotements, des rires nerveux, des piétinements. Mourad est à nouveau là. Il prend mes cheveux et les tire en arrière. M’obligeant à lever la tête vers le mur décrépis.

- Tu vas répéter ce que je dis.

Il prononce une courte phrase en arabe.

- Répète ce que je viens de dire.

Je prononce les mots incompréhensibles. Une autre phrase que je répète. Puis d’autres. Les chuchotements continuent dans l’autre coin de la pièce. Ils sont entrecoupés de rires. Des silences quand je parle.

- Maintenant tu baisses ton slip lentement… Plus lentement que ça... Enlève le complètement et reste les jambes bien écartées.

Des claques sur mes fesses. Le bruit résonne dans toute la pièce couvrant les voies basses. Je sursaute de surprise plus que de douleur.

- Bouge et tourne ton cul. Allez fais danser ton derrière de femelle.

Les coups tombent sèchement. Je gémis en me cambrant pour y échapper. Je tortille mes fesses dans tous les sens. Les chuchotements deviennent plus forts.

- Maintenant tu t’écartes les fesses. Encore plus, je veux voir ton trou de pute. Dévoile bien te raie.

Puis il passe à l’arabe. Je suis obligé de répéter trois fois la même phrase. Je ne sais pas ce que je dis. Des crachats s’écrasent sur ma raie ouverte. Les murmures sont jeunes. Je sais que nous ne sommes pas seuls et qu’il est en train de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits.

- Couche toi sur le lit ma salope. Ecarte bien tes cuisses. Laisse pendre tes jambes de chaque côté du lit.

Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis près du lit. J’ai le visage plaqué contre le grabat, je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir.

Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l’entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée. Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bite de l’inconnu entre sans problème. Il s’agite sur moi. A peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d’une voix juvénile.

- Reste comme ça. C’est pas fini.

Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie.

J’ai serré les dents quand le troisième m’a sodomisé. Sa bite était plus grosse que les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont remplis mon ventre. J’avais mal. J’ai crié quand un quatrième s’est couché sur moi et m’a enculé violemment.

- Tu peux crier. Ils s’en foutent, ça les excitent de t’entendre gémir comme une fatma. C’est dommage que tu ne peux pas les voir. Ils sont plein de sève. Les premiers qui t'ont niqué rebandent déjà.

Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont niqué. Ni combien ils étaient. Cela m’a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je ne savais pas pourquoi les larmes coulaient qu’ils jouissaient dans mes intestins. Une odeur de merde flottait dans la pièce. Je n’avais plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toutes mes forces. Je crois qu’à un moment, je me suis évanoui.

Puis plus personne ne s’est couché sur moi. Je n’avais pas la force de me lever. J’avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu’il y avait encore du monde dans la pièce. Mais personne ne parlait. Juste des soupirs et des bruits de respirations.

Mourad a pris un gros épi de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m’obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j’avais pleuré. Il a placé le légume devant ma bouche.

- Suce-le. Suce le bien...

Les autres étaient toujours dans la pièce. Je léchais le légume sur toute sa longueur. Je le suçais comme on suce une bite. Je savais parfaitement sucer maintenant. Bien sûr, je pouvais à peine prendre la moitié du légume dans ma bouche.

- C’est bien, on va leur montrer les capacités de ton trou du cul.

Mourad a positionné l’épi entre mes fesses. Je l’ai suppliais de ne pas faire ça. Mais il voyait bien que je bandais. Avec eux, je bandais toujours. Plus ils m’humiliaient, et plus je bandais. J’entendais les exclamations de surprise des mômes. Mourad a poussé le légume. J’ai encore supplié d’une voix rauque.

- Tu ferais mieux de te taire. Branle toi et tu auras moins mal. Montres leur que tu aimes ce qu’on te fait. Serre les dents salope.

Mourad m’a planté la presque totalité du légume dans mon fion qui l’a engloutit sans problème. J’étais sidéré de la facilité avec laquelle le gros légume s’est enfoncé en moi. J’avais mal, mais la douleur était tout à fait supportable.

- Attends, y en a encore.

Mourad l’a poussé jusqu’aux feuilles. Mon anus s’est refermé sur le légume. Seules les feuilles dépassaient. L’épi ne pouvait plus ressortir. Drôle de sensation de dilatation. Peur aussi qu’il ne puisse plus ressortir.

- T’es comme une poule farcie..... Branle-toi.

Je me suis branlé. J’ai dû sucer son sexe tendu en gardant l’épi planté au fin fond de mon ventre. Il m’a aspergé le visage de son foutre chaud et gluant.

J’ai gémis comme une pute. Une bite devant ma bouche. Elle est fine et longue. Des couilles imberbes que je lèche. Un gland très doux que je tète et du sperme que j’avale. Une très grande quantité de sperme que je bois jusqu'à la dernière goutte. Pas le même goût que celui de Mourad. Des voix d’adolescents. C’est le vendeur de maïs. J’ai joui comme un fou devant eux. Les spasmes de jouissance étaient tellement violents, que ma tête tournait.

oooOOooo

Il était temps que je prenne le chemin de mon lieu de rendez-vous. J’ai fini mon café turc et me suis dirigé vers le port. Je savais qu’il y avait une bonne vingtaine de minutes de marche. Assez de temps pour revivre la fin de mes aventures en Tunisie.

Quelques jours après la séance de la fantasia, il y a eu le hammam ou j’ai vu ma copine avec Khaled. C’est après cette séance que tout a véritablement changé entre nous.

Avant de quitter la pièce, Khaled et elle ont échangé devant nous un long baiser passionné et à la voir coller sa tête contre le torse musclé de Khaled et ne pas lui en vouloir du tout de la sodomisation par surprise, j’ai compris qu’elle était vraiment amoureuse de lui. J’en fus presque soulagé car il fallait reconnaître objectivement que j'éprouvais de moins en moins de sentiments pour elle. C’était devenu sans que je m’en aperçoive une bonne amie. Mais rien de plus.

Dès lors, les choses sont devenues plus claires car elle a passé la majeure partie de ces journées avec Khaled, me laissant seul avec Mourad.

Khaled non plus ne venait plus me voir. Avec Sylvie, ils trouvaient toujours des prétextes pour s’éclipser. Je laissais faire sans demander d’explication. Elle a compris que j’avais compris et c’était très bien comme cela.

Par contre il m’a semblé que Mourad était un peu jaloux même si son admiration pour Khaled le poussait à accepter l'idylle. Lui m’avait à sa disposition, et bien sûr, se vengeait sur moi.

J’en retiens beaucoup d’autres souvenirs dont un dernier très cuisant, car la dernière semaine de vacance, Khaled et Sylvie avaient décidé de partir pour deux jours dans le sud du pays. Khaled voulait lui montrer le village où il était né, ça allait de mieux en mieux entre les deux. Ils sont partis assez tôt et vers le milieu de la matinée Mourad est venu me chercher directement chez moi.

- Allez viens avec moi.

- Ou?

- En Bateau

Devant mon incompréhension, il m’a précisé que nous aussi nous allions partir deux jours avec des pêcheurs d’étoiles de mer. Nous allions passer quarante-huit heures en pleine mer. J’étais assez inquiet mais je n’ai bien sûr pas pu refuser. J’ai voulu prendre des vêtements de rechanges.

- Pas la peine tu peux rester comme t’es. Mais tu mets de bonnes chaussures.

Je portais uniquement un polo et un short sur mon maillot de bain. J’ai enfilé mes gros tennis. Mourad a pris mon sac de plage qu’il a vidé sur le lit. Il y avait une serviette de bain, un slip de rechange, un flacon d’huile solaire, un blouson de protection contre la pluie et mes cigarettes. Mais, il y avait aussi un paquet de tampons périodiques. Je les avais complètement oubliés. Bien sûr, ils étaient à Sylvie en cas de besoin.

- Tu vois on a raison de t’appeler Damia.

J’ai été assez con pour lui répondre que c’était à Sylvie. Il a tout remis dans le sac. Assis sur le lit, il me regardait d’une façon que je connaissais bien maintenant. J’ai reconnu ce regard, dominateur et moqueur, sur de son pouvoir sur moi.

- Montres moi ce que tu portes sous ton short.

J’ai un tout petit peu hésité avant d’ouvrir les boutons et le zip. Mon short est tombé autour de mes chevilles sur mes baskets, découvrant mon maillot de bain noir.

- Enlèves ton maillot et met le dans ton sac. Allez fais ce que je te dis, je veux que ton cul soit à ma disposition.

J’ai eu du mal à me défaire du short et du maillot à cause de mes grosses chaussures. Je suis resté à moitié nu, m’attendant à ce qu’il me demande de satisfaire une de ses envies. Mais il n’a pas bougé, se contentant de tourner dans la pièce à la recherche de je ne sais quoi.

- T’as toujours les fesses aussi blanches, on voit très bien la marque de ton maillot. C’est vrai que t’as pas un gros zob… Elle a raison Sylvie d’aller avec Khaled, lui au moins, il sait bien la remplir. Il m’a dit que ta copine a un très joli slip rouge tout en dentelle. Khaled aime beaucoup quand elle vient le voir avec ce slip et le soutif assorti.

Je savais qu’il me racontait cela pour me faire du mal et effectivement, j’avais un pincement au cœur en l’entendant se foutre de mon sexe ou faire allusion aux relations de Khaled et Sylvie, mais je ne voyais pas pourquoi il me parlait de ses sous-vêtements.

- T’as quand même un joli cul pour un mec, surtout bien rasé. Bientôt tu vas retourner dans ton pays et tu penseras à nous chaque fois que tu iras faire caca. Je suis sûr que tu regretteras très vite nos gros zobs. T’as vraiment un joli pt’i cul tout blanc, je suis sûr que le slip te ta copine t’iras très bien.

J’ai blêmis. Ainsi donc, il voulait que je mette ce slip que je connaissais moi aussi très bien pour avoir beaucoup aimé l’enlever à Sylvie.

- Tu sais où il est?

- Non... Non...

- Pas grave, je vais le trouver moi.

Il connaissait la chambre par cœur et s’est tout de suite dirigé vers le coin de la penderie. Il a ouvert le sac de linge de Sylvie pour fouiller dedans. Constatant l'échec de cette recherche, il est parti vers le coin douche pour fouiller dans le sac de linge sale. Il l’a trouvé et l’a porté à ses narines. Il a profondément respiré le tissu plaqué contre son nez et sa bouche.

- Ca sent bon la femelle en chaleur.

Il me l’a jeté au visage. Je reconnu les odeurs intimes de mon amie. Le tissu était très doux. Beaucoup de dentelle.

- Mets-le… Vas-y mets, je veux voir ton cul dans ce slip.

Je l’ai enfilé lentement. Il m’allait assez bien et moulait parfaitement mes fesses. Par contre, il était difficile de faire tenir mon sexe dedans. Heureusement il n’y avait aucune glace assez grande dans la chambre pour que je puisse me voir. Ainsi vêtu, j’attendais le bon vouloir de Mourad.

- Remets ton short. On y va...

- Avec ce slip???

- Bien sûr avec ce slip. Personne ne le verra sous ton short. Il n’y a que moi qui sais. N’écarte pas trop les jambes quand tu t’assois. Comme une vraie fatma... Allez viens.

Nous étions à la fin du mois d'août. Les touristes étaient très nombreux, la chaleur étouffante et les rue bruyantes. Le port de pêche était assez loin du centre-ville.

Le slip me gênait pour marcher. Le tissu soyeux glissait sur mes fesses et entre mes jambes, et mon pénis ne trouvait pas sa place.

L’odeur de poisson pourri a commencé à envahir les rues pour devenir pratiquement insupportable sur les quais. J’en avais la nausée. Mourad n’était pas du tout dérangé. Il devait avoir l’habitude. Sur les jetées, il y avait plein de vieux cordages, des cageots à moitié éventrés, et des restes de poissons.

Au bout de l’une d’elle un petit bateau de couleur blanche avec des bandes horizontales bleues. Un grand mât sans voile, un poste de pilotage, un fatras pas possible sur le pont, cordages enroulés, casiers vides, masques, tubas, filets.

Nous montons à bord. Il y a trois hommes sur le pont. Ils nous saluent et nous souhaitent la bienvenue. Mourad leur rend leur salut en leur souhaitant une bonne journée et en me présentant. Les hommes me regardent, curieux et intrigués.

Ils nous attendaient et abrègent les salutations d’usage car ils semblent pressés de prendre la mer. Mourad et moi allons à l’arrière du bateau. Assis sur un tas de vieux cordages, nous regardons les marins bouger rapidement le long des ponts.

Le bateau se décolle lentement du mur et le bruit du moteur augmente. Des halètements poussifs de plus en plus rapides et de la fumée nauséabonde. Nous prenons le cap de la pleine mer.

Une fois la mise en route faite, le plus vieux qui semble être aussi le patron, se met à discuter en arabe avec Mourad en me jetant de fréquents coups d’oeil. Il parle peu et hoche souvent la tête.

Nous quittons lentement le port. Les odeurs disparaissent pour être remplacées par celles des embruns et de l’iode. Il fait un temps sublime. Je me laisse bercer par le tangage. Les marins s’affairent toujours à des tâches de maintenance. Ils préparent leur matériel et ne font plus attention à nous. Une légère brise nous caresse et diminue l’intensité du soleil sur nos corps.

Une bonne heure s’écoule. La côte est loin maintenant et l’embarcation me semble bien frêle sur cette mer d’un bleue très sombre. C’est l’heure de la pose et le capitaine nous invite à nous joindre à son équipe pour boire un thé à la menthe. Un des marins nous sert en silence. Nous buvons. Le thé est délicieux. Le marin nous sert à nouveau. La palabre reprend entre le capitaine et Mourad. Les deux autres écoutent sans intervenir.

Ils doivent avoir sensiblement mon âge. Ils sont assez grands, vêtus des pieds à la tête malgré la chaleur. Je réalise alors que je suis le seul à porter un short. Eux portent tous des pantalons de toile sur des polos marins. Ils sont costauds, les cheveux très courts, les dents blanches. Ils me sourient. Du sourire que l’on fait généralement à n’importe quel touriste susceptible de donner de l’argent. Je serre bien les jambes pour que personne ne voit quel genre de slip je porte.

Après la pose, le travail reprend. La navigation dure encore une bonne heure avant que nous stoppions entre plusieurs rochers qui émergent de la surface lisse de l’eau.

Il y a peu de profondeur et on peut voir le fonds de l’eau. Les deux jeunes, se mettent en maillot de bain, des caleçons noirs assez larges. Ils sont très musclés, sans un gramme de graisse, le corps très bronzé. Ils prennent chacun leur masque ainsi qu’un tuba qu’ils ajustent sur leurs visages. Ils plongent du bateau et s’enfoncent dans les eaux claires à la recherche d’étoiles de mer.

Ils font des allers-retours incessants pour remonter diverses choses susceptibles d'être vendues aux touristes. Les casiers se remplissent d’étoiles de mer, de coraux, de gros coquillages. Je les regarde travailler. Ils semblent infatigables et continuent inlassablement à plonger. Le capitaine range les produits dans des casiers.

Il fait de plus en plus chaud. Je suis mal à l’aise avec mes grosses baskets. Au bout d’un moment, je m’en débarrasse. J’aurai aimé aussi ôter mon short mais cela m’était impossible. Par contre, je garde ma chemise qui protège mon torse des ardeurs du soleil.

La pêche a duré deux bonnes heures. Les deux plongeurs s'arrêtent afin et rejoignent définitivement le bord, à peine essoufflés. Leurs caleçons collent contre leurs corps mouillés. Cela me trouble de voir leurs fesses moulées dans le tissu et surtout les bosses de devant. Deux grosses bosses noires.

Je les dévisage discrètement. Des muscles partout, les torses imberbes et des jambes au contraire, couvertes de poils noirs frisés. Cela forme un contraste étonnant. Ils restent en maillot pour sécher au soleil.

Il est déjà midi. Pas âme qui vive autour de nous. Nous sommes la seule embarcation à des kilomètres aux alentours et seuls sur cette immensité. C’est l’heure du repas. Les deux jeunes plongeurs font le service et amènent à manger sur le pont. Des fruits, des fromages, des salades de tomates et de poivrons, du pains, du lait, de l’eau, des dattes. Un repas frugal que nous mangeons assez rapidement.

Ils parlent entre eux, ou plutôt, c’est Mourad qui parle. Je reconnais les prénoms de Khaled, Sylvie, Damien et même Damia. Je comprends vite qu’il leur raconte mes aventures avec eux. Je me sens rougir quand les marins me regardent. La conversation s’anime et à voir leurs regards, ou entendre leur exclamations, ils ne semblent pas croire ce que raconte Mourad.

Bien entendu, je suis complètement exclus de cette discussion dans leur langue. Je devine que les deux jeunes marins se nomment Rachid et Tahar. Je n’ai pas ouvert la bouche depuis mon arrivée sur ce bateau et personne ne m’a adressé la parole.

A la fin du repas, les jeunes se lèvent pour débarrasser. Leurs peaux sont sèches, mais les caleçons de bain encore humides, collent toujours contre leurs bas-ventre et leurs fesses.

- Damia aide les

Je lève la tête vers Mourad avant de réaliser qu’il a employé le prénom féminin. Le patron comprend le français mais s’adresse à Mourad en arabe. Les deux jeunes aussi. Tout le monde parle le français dans ce pays.

Mourad se remet à parler. Une longue diatribe. De nouveau le mot fatma, les prénoms de Sylvie et Khaled, et plusieurs fois le mien féminisé. Tous me regardent et je rougis de plus belle en baissant les yeux.

Les deux jeunes finissent de ranger le restant du repas et nous servent à nouveau du thé brûlant et odorant que nous buvons à toutes petites gorgées.

Le patron dit quelque chose à Mourad. Une phrase brève et sèche. Mourad souri d’un air entendu. Les deux jeunes marins en font autant. Le bateau tangue doucement au grès de la houle. Je me sens prisonnier. Sentiment oppressant de solitude.

- Le chef, il aimerait voir ta petite culotte.

- Non, Mourad. Non Pas ça.

Ma voix est toute cassée, à peine audible. Je le regarde apeuré et ne trouve pas la force d’en dire plus. Il ne m’en laisse pas le temps.

- Pourquoi t’es venu tu crois? Ne fais pas ta mijaurée, je leur ai tout raconté, ils ont l’habitude. On est en pleine mer et on est quatre, t’as aucune chance. Lève-toi, montre leur que tu es une vraie tapette. Lève-toi je te dis sinon gare à toi !

Il se lève en même temps que moi. Je reste debout les bras ballants et la tête basse. Mourad passe derrière moi. Les autres le regardent ouvrir mon short et le baisser. Le tissu tombe autour de mes chevilles dévoilant le slip rouge en dentelle. L’angoisse noue mes tripes et ma gorge, mais comme d’habitude, il m’est impossible de me révolter. Je n’avais jamais subit ce genre de chose en plein jour. Et cette nouvelle étape m’enfonçait encore plus dans la soumission vis à vis de cet arabe.

Des exclamations, des rires gras, des moqueries. Les pans de ma chemise cachent partiellement la culotte de dentelle rouge.

- Montre ton derrière

Il me retourne brutalement pour que les marins voient mon postérieur emprisonné dans la culotte de dentelles.

- Enlève ton short complètement, t’en a plus besoin maintenant, le capitaine veut que tu restes comme ça. Et sur ce bateau, c’est lui le chef.

J’obéis. Les rires et les insultes me vrillent les oreilles. Les exclamations augmentent de plus belle quand Mourad défait mes cheveux qui tombent sur mes épaules et qu’il découvre que je suis épilé. Les trois marins assis sur des caisses en bois ne perdent rien du spectacle.

- Il faut leur montrer la marchandise.

Mourad relève l’arrière de ma chemise, m’en couvre la tête, puis tire les pan de tissu vers le bas, m’obligeant à lever légèrement les bras et à me pencher. J’ai le torse entièrement nus et la tête complètement enveloppée dans ma chemise. Je ne vois que des ombres à travers le tissu.

- Penche-toi et écarte tes guibolles.

Il me claque les fesses pour que j’obéisse plus vite. Je prends appuis sur la rambarde assez basse. Des mains se posent sur mon postérieur tendu.

- Montre ton petit cul de français

Les mains tirent sur le tissu du slip et le font entrer dans ma raie. J’ai les globes complètement dénudés. Mourad remonte le slip le plus haut possible. J’ai le cul complètement à l’air. La brise caresse mon derrière et me donne la chair de poule malgré la chaleur. Je reste sans bouger dans cette position. Je les entends parler, échanges rapides de mots arabes entrecoupés de rires et d’exclamations.

- Ils veulent voir ton zob la taille de ton zob.

Mourad baisse le slip et passe sa main sous mon entre-jambe. Il saisit mon sexe et le tire en arrière, puis il remonte le slip de dentelle le plus haut possible en faisant passer l’arrière du slip devant ma bite qui se trouve retournée et coincée entre mes jambes. Mon gland calotté pointe vers mon anus et écrase mes couilles. Je suis obligé de resté plié pour ne pas avoir mal. Je ne peux plus me redresser.

Dans cette position, visage dissimulé sous la chemise, slip de dentelle remonté et sexe retourné entre mes cuisses, je leur offre toutes les parties de mon intimité y compris mon anus. Je suis comme un animal que l’on exhibe à des acheteurs. Je deviens un objet. Je reste dans cette position fesses nues et offertes et bite retournée.

- Ils trouvent ton zob minuscule mais mignon. Je leur ai dit que tu adorais quand on te bourre le cul. Ils veulent voir ton trou du cul.

Il m’écarte les fesses, tire le fond du slip et leur dévoile ma raie humide de sueur et mon anus fripé. Il tire sur ma corolle pour bien dégager mon trou. Je me sens comme un animal de cirque. Pourtant malgré ce que je suis en train de subir, je me laisse faire, complètement docile aux caprices de Mourad qui tire de part et d’autre de mon anus tout en continuant de leur faire l’article.

Je reconnais la voix du capitaine qui lui répond et les deux jeunes marins s’en mêlent aussi.

- Au taf! Faut payer la traversée!...

Tout va très vite. Ils se saisissent de moi et je me retrouve nu, à genoux sur des vieux bouts de tissus, à moins d’un mètre du capitaine toujours assis en train de siroter son thé.

Rachid est devant moi et Tahar derrière. Le maillot de bain noir est déformé par la bosse devant mes yeux. Rachid le baisse à mi-cuisse. Son sexe jaillit devant mes yeux. Le gland cherche mes lèvres.

- Le capitaine veut voir comment tu suces.

DAMIEN V

J'ouvre la bouche et commence à sucer cette bite que je ne connais pas. Je suce en plein jour sur ce bateau. Le gland est très gros et j’ouvre les mâchoires au maximum de mes possibilités. J’ai la bouche pleine. Rachid tient fermement ma tête qu’il presse contre son bas ventre. Impossible de prendre la totalité de son sexe au goût salé. Le gland qui cogne au fond de ma gorge me donne envie de vomir. Mon visage touche la toison pubienne. La bite va de plus en plus loin dans mon palais en lâchant de temps en temps un peu de liquide au goût âcre.

Le capitaine prononce quelques paroles. Rachid tombe à genoux sans lâcher ma tête, ce qui m’oblige à me mettre à quatre pattes. Sa queue ne quitte pas mon palais. Je comprends vite la suite des événements quand je suis obligé de bien écarter mes jambes. Tahar est derrière moi entre elles. Je sens ses jambes poilues contre les miennes et son bassin se frotte contre mes fesses cambrées.

- Montre au capitaine ce que tu sais faire avec ton cul.

Un liquide froid dans ma raie et immédiatement une légère douleur a l’anus. Je me cambre encore plus pour échapper au gland qui pousse contre ma corolle.

- T’as rien à craindre, il est moins gros que l’épi de maïs.

Rachid me bloque la tête et Tahar me tient par la taille. Une barre dure et chaude pousse sur ma rondelle pendant qu’on me tire en arrière par la taille. Mon trou s’ouvre lentement sous la pression. Un rire juvénile. Le gland très dur ouvre le passage et mon anus se dilate et cède.

Je ne peux pas gémir quand le sexe tendu s’enfonce d’un coup dans mes entrailles. Tahar pousse de plus en plus fort et sa queue ouvre mon conduit anal. Le pieu très dur progresse rapidement dans mon ventre.

- Alors le français, tu dois être content. Une dans le cul et une dans la bouche, tous les trous bouchés. Tu vas voir ils vont bien s’occuper de toi mes potes. Le capitaine, il adore regarder ce genre de spectacle. Tu vas être une bonne pute maintenant bien obéissante.

Ma bouche et mon cul ne sont plus que des trous chauds et humides au service de ces deux bites inconnues qui m’ouvrent les mâchoires et l’anus.

- Regardez, même quand il bande, il a un petit kiki.

Rachid et Tahar me liment rapidement. Ils me semblent forts et invulnérables et leurs sexes sont comme de l’acier brûlant. Mon anus s’ouvre de plus en plus sous les coups de boutoir du marin qui me nique sans fioritures et en m’écartant bien les fesses pour que le capitaine voit sa queue s’enfoncer dans mon ventre.

Rachid utilise ma bouche de la même façon en poussant de plus en plus loin son gland au fond de ma gorge. Ce sont eux qui me tiennent sinon je m’écroulerais sur le pont. En plein jour, devant des spectateurs, je redeviens la larve bandante.

Le sexe dans ma bouche m'étouffe et celui qui est dans mon cul brûle mon sphincter dilaté. Les marins deviennent de plus en plus brutaux. Rachid me tape sur les fesses en m’injuriant.

- Dommage que Sylvie ne peut pas te voir le cul et la bouche pleine. Le capitaine, c’est un ami et je lui ai promis un beau spectacle.

Rachid et Tahar me niquent de plus en plus vite. Ils sont infatigables et accélèrent encore en montrant bien au capitaine ce qu’ils sont en train de me faire. Ils se donnent en spectacle devant leur chef. Je n’en peut plus et la douleur revient. Je me laisse malmener jusqu'à ce que la bite dans ma bouche libère son venin. Rachid presse mon visage contre son pubis m’obligeant à tout avaler. Tahar jouit aussi. Je sens mon ventre se remplir. Ils déchargent en moi à longs jets chauds et cela dure longtemps. Je bois toute la semence au goût très fort pendant que mon trou dégorge le trop plein de foutre.

Dès qu’ils ont finis de jouir, ils se retirent et je m’écroule complètement épuisé. Je reste sans bouger au milieu d’eux. Rachid et Tahar remonte leurs maillots. J’ai le cul qui coule et je garde en bouche le goût âcre et tenace du sperme que je viens de boire.

Ils se désintéressent de moi. Mourad s’approche.

- Allez lève-toi.

Je me relève en titubant. J’ai la tête qui tourne un peu. Je veux me rhabiller. Mes vêtements ne sont plus là.

- Tu restes tout nu jusqu'à notre retour, pour rester à notre disposition jusqu'à demain soir. Tu vas être une bonne femelle soumise et obéissante. T’es fait pour cela.

Il fouille dans mon sac, sort le paquet de tampons périodique. Il en prend un et le sort de son étui de protection pour le balancer devant mes yeux au bout d’une ficelle. Il parle en arabe aux deux jeunes marins qui sautent sur moi. Je me débats. Ils me penchent. Je crie et supplie. Ils ouvrent mes fesses.

- Ton cul coule comme la chatte d’une femelle indisposée. On va arranger ça.

Il me fourre le tampon dans l’anus. Seule la ficelle dépasse. On me lâche. Je suis leur femelle.

- Tu restes avec… A poil.

La ficelle pend entre mes jambes. Le travail reprend. J’ai envie de disparaître. Le capitaine ne fait plus attention à moi et range le produit de la pêche. J’ai les fesses glissantes. Je comprends qu’elles sont enduites d’huile d’olives. Je reste nu assis à l’arrière en attendant la fin de la pêche. La ficelle me gêne et le tampon gonfle.

Les jeunes rejoignent le bord et nous levons l’encre pour quitter le coin. Le bateau se dirige vers le large sur une mer d’huile. Les deux jeunes marins sont couchés sur le pont et semblent dormir. Le capitaine est à la barre et Mourad regarde la mer. Je n’arrive pas à me débarrasser du goût du sperme et j’ai l’impression que mon cul est toujours ouvert. Le tampon prend de plus en plus de place.

Je revois les deux bites qui viennent de me pourfendre. En repensant à ce qui s’est passé tout à l’heure, je sens mon sexe frémir. Je bande légèrement et j’ai envie de me branler. Mais cela m’est impossible car Mourad ne me quitte pas des yeux.

Au cours de l'après-midi, Mourad est venu à cote de moi. Il s’est mis face à la mer pour pisser devant moi. Son jet puissant tombait dans l’eau de mer en myriade de gouttelettes d’un jaune pâle. Il tenait sa bite bien droite sur la gauche de mon visage. Je ne pouvais détacher mon regard de son engin et des couilles lourdes qui pendent entre ses cuisses musclées.

Quand il a finis, il tourne son bassin vers moi, en tenant toujours son sexe. Il me le tendait sans rien dire. Il y avait encore une goutte d’urine sur le méat.

- Nettoie.

Je savais que les autres nous regardaient et qu’il faisait cela pour bien leur montrer que j’étais son esclave. J’ai sorti ma langue pour lécher la goutte de pisse qui sortait de son méat. J’avais envie de cette queue. De toute manière, de grès ou de force, je serai obligé de le faire.

- C’est bien. Prends bien ton biberon. Vas-y débrouilles toi tout seul comme un grand. Tu sais bien sucer maintenant, je suis sûr que tu suces mieux que Sylvie.

Je le suçais avec application en le tenant sous les fesses. Je plongeais mon visage dans sa toison pubienne en humant ses senteurs intimes et me délectais du goût de son sexe et de la douceur de la peau chaude. J’arrivais même à sentir les grosses veines qui couraient le long de sa hampe et palpitaient au rythme de ma fellation.

Mourad se laissait faire et a un moment, il a tourné son torse vers les autres pour leur dire quelque chose à la cantonade. J’ai entendu des rires et des mots en arabe. Au bout d’un moment, il m’a plaqué la tête contre son ventre m’obligeant à le prendre presque entièrement en bouche. Son mandrin a craché sa purée chaude et âcre directement dans ma gorge m’obligeant à avaler goulûment les giclées puissantes. J’ai tout bu jusqu'à la dernière goutte avant qu’il ne me libère et s’en retourne avec les autres.

Le bateau à stoppé les deux jeunes sont repartis a la pêches. Je suis resté dans mon coin une bonne partie de l'après-midi. Cela ne me faisait plus rien d'être à poil au milieu d’eux. Ni de me balader avec cette ficelle pendouillant entre mes cuisses.

Les deux pêcheurs continuaient de récolter divers coquillages. Ils semblaient infatigables, plongeant et remontant des dizaines de fois. Personne ne faisait attention a moi. J’étais une quantité négligeable a leur yeux.

Je restais assis à poil, le bas ventre recouvert d’un vieux bout de toile et attendant la suite des événements. Mourad et le patron rangeaient la récolte et parlaient peu. Le soleil commençait à descendre vers l’horizon. D’ici deux heures, la nuit commencerait à tomber et j’attendais cela avec une pointe d’appréhension.

Mourad m’a demandé de préparer du thé. Toujours à poil, Je l’ai fait, allant même jusqu'à les servir. Ils me regardaient à peine, se contentant de me tendre leur tasse avec indifférence quand ils en voulaient à nouveau.

Puis la pêches a repris jusqu'à presque sept heure du soir. Après une dernière plongée, Rachid et Tahar se sont aspergés d’eau douces pour se débarrasser du sel qui collait à leurs peaux mates et très brunes. Puis ils se sont débarrassé de leurs short de bain pour revêtir des djellabas noires à motifs doré. Ils ne portaient rien en dessous.

Le patron a allumé un poste radio. De la musique arabe a envahi le pont. La nuit arrivait. J’avais un peu froid et la chair de poule. Mourad s’en est aperçu. Il leur a parlé.

- Allez viens, on va au chaud, la nuit ne fait que commencer.

Nous sommes tous descendus dans la cambuse, une toute petite pièce occupée par une table et deux bancs. Il y faisait une chaleur suffocante et l’odeur de mazout n’arrangeait rien. J’ai failli me sentir mal. Pourtant les deux hublots étaient ouverts et le bruit de l’eau contre la coque nous parvenait très nettement.

Dans cette promiscuité, Mourad m’a demandé de dresser la table. J’ai pris la nourriture que je trouvais dans un tout petit réfrigérateur.

A un moment, un des jeunes m’a mis la main aux fesses et je n’ai rien fait pour y échapper. Il m’a caressé lentement en empoignant mes lobes a pleines mains et en mettant un de ses doigts dans ma raie.

- Il dit que tu as un très joli cul et qu’il aimerait bien que sa fiancée ai le même cul que le tient.

oooOOooo

L’atmosphère était à couper au couteau. Tahar a tiré sur la ficelle. Le tampon a bougé dans mon ventre. Tahar a tiré plus fort et le tampon a commencé à sortir lentement. J’ai pété. Cela les a dégouttés surtout quand le marin a montré le tampon bien gonflé, de couleur marron. J’ai dû aller le jeter à la mer avant de les servir. Et bien me laver la raie sur le pont.

Il y avait un bol d’huile sur la table. Tahar y a trempé deux doigts pour m'en badigeonner la raie. J’ai serré les fesses, mais les doigts sont entrés sans difficulté. Tous ont vu qu’ils se sont vrillés dans mon fondement.

- Il dit que c’est mieux quand ça glisse bien. Tout à l’heure, il a eu un peu mal. C’est mieux quand tu es bien ouvert.

Je me suis laissé faire vaincu et humilié. Les autres ne perdaient rien du spectacle que nous leur donnions. Les doigts ont fait plusieurs allers retours entre le bol d’huile d’olive et mon trou de mieux en mieux lubrifié. Les ongles cassés ont écorché la peau de ma corolle. Je sentais ma pastille se dilater et s’assouplir autour des doigts qui me fouillaient l’anus. Cela a duré un bon moment avant qu’il ne s’arrête

- Tu vas nous servir..... On a faim

Mes fesses glissaient l’une contre l’autre quand je marchais pour faire le service. Ils mangeaient lentement en prenant leur temps. Chaque fois que je passais à côté de l’un d’eux pour le servir, il me caressait le cul à l’exception du patron qui ne m’avait jamais touché depuis mon arrivée sur son bateau. Mourad n’était pas en reste.

- Je leur raconte comment on t’a niqué la première fois avec Khaled.

J’ai entendu prononcer le nom de Sylvie. Mourad devenait intarissable. Mais je ne comprenais rien. A un moment ils ont souri.

- Ils aiment bien l’épisode du maïs que je t’es mis dans le cul. Ils ont du mal à y croire.

Le capitaine a prononcé quelques mots. Mourad s’est tu. Ils se sont regardaient en silence. Un des jeunes s’est levé et pour franchir une petite porte à l’opposé de la porte qui donne sur le pont.

- Ils connaissent bien Khaled et ils comprennent parfaitement que ta copine préfère sa grosse quequette à la tienne. Le patron a eu une bonne idée. Tu vas voir, tu vas beaucoup aimer.

J’avais peur de connaître cette idée. Je devinais que ce serait sûrement une humiliation de plus. Rachid a débarrassé les restes du repas à l’exception du bol d’huile qu’il a placé sur le petit réfrigérateur.

- Le patron, il a dit qu’avec les femmes tu sais être un homme, mais qu’avec les hommes tu es une femme obéissante et soumise.

On ne pouvait pas mieux analyser mon comportement. En une phrase ce vieil arabe avait tout dit et avait deviné des choses que je ne savais pas moi-même avant de venir dans ce pays. Mourad a repris.

- D'après lui tu es comme cela et tu aimes être traité comme une roulure même si tu ne le sais pas encore. T’es pas le premier étranger à passer une nuit avec nous. Ils le veulent tous et surtout les femmes. Certains hommes aussi d’ailleurs. Ils ont d’abord peur de nous, mais après ils en redemandent et ne veulent plus quitter le bateau... Et certains payent très cher le voyage. La semaine dernière, c’était une grosse allemande, une vraie chienne toute blonde. Le soir elle nous a fait un strip-tease extra, elle s’est mise à danser la danse du ventre et on l’a niquée toute la nuit par tous les trous. Tu aurais dû voir comme elle en redemandait cette pute, avec sa grosse bouche et son gros cul tout blanc. Elle avait les nichons aussi gros que ses fesses. Des vraies outres bien pleines. Elle était déchaînée et on lui a tous passé dessus plusieurs fois. Elle était tellement contente qu’elle nous a donné tout son fric et même ses vêtements. Je l’ai raccompagnée à son hôtel avec juste une djellaba sur le corps et j’ai tout raconté au patron de l'hôtel. A l’heure qu’il est, si elle n’est pas partie, elle doit se faire niquer par toute l’équipe de l'hôtel du club.

Le patron a interrompu brusquement Mourad pour lui dire quelque chose. Mourad a hoché la tête et m’a saisi le bras

- Viens on monte sur le pont. Le patron a une envie

Tahar n’est toujours pas revenu et Rachid nous accompagne. Sur le pont, je dois me pencher face à la mer. Eux, restent derrière moi.

- Baisses toi t’es pas à la bonne hauteur.

Je n’ai pas le courage de refuser et je fléchis les jambes. Deux mains écartent largement mes fesses pour mettre mon anus huilé à nu. Il fait presque nuit. La mer est très calme. La lune doit éclairer mon cul offert. J’attends qu’on m’encule sans aucune révolte. Les mains tirent largement sur mes fesses. Mon sexe tout mou ballotte entre mes jambes ouvertes. Je sens l’air marin balayer mes couilles. Complètement soumis, j’attends en fermant les yeux.

Je ne comprends pas pourquoi mon enculeur met autant de temps à me sodomiser. Brusquement un liquide chaud frappe ma raie et mon anus. Je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe. Le liquide m’asperge le trou et coule sur mes couilles et le long de mes cuisses avant de s'écraser sur le pont. Quand je saisi ce qu’ils sont en train de faire, j’ai envie de pleurer de honte. Je tente de bouger. Un des types me frappe sur la nuque.

- Tu bouges pas salope, tu attends gentiment. Le capitaine n’a pas finis de pisser.

Mes fesses, mes jambes et ma raie sont toutes mouillées. Le liquide coule un peu sur mon dos. Le jet chaud se tarit après des nombreuses giclées. Je n’arrive pas à contenir mes larmes. Cet arabe qui me pisse dessus me ravale au rang de larve. Il s’est soulagé sur moi. Il m’a inondé de son urine, comme un animal qui marque son territoire. Des larmes silencieuses roulent sur mes joues avant de s’écraser dans les flaques à mes pieds.

Un autre jet encore plus dru sur mon anus et mes couilles qui pendent lamentablement entre mes cuisses souillées. J’aurai préféré qu’ils m’enculent. Ce qu’ils me font me semble insupportable. Ils me rabaissent et m’humilient encore d’avantage. Je leur dit d'arrêter.

- Ta gueule si tu veux pas qu’on te pisse dans la bouche.

Je n’arrive pas à contrôler mes pleurs et mes larmes brouillent ma vue. Pourtant j’accepte ce qui se passe. Ma queue frémi et se redresse.

Ils se soulagent à tour de rôle sur mes fesses tendues. Il y a une grande flaque de pisse entre mes jambes et mes pieds baignent dedans. L’urine coule lentement vers un des bastingages. Je me laisse pisser dessus sans rien faire. Ils me dominent complètement et je sais que dorénavant plus rien ne m’atteindra. Il y a un grand vide en moi qui me transforme en marionnette.

Brusquement je sursaute. Ils m’ont lancé un grand saut d’eau froide sur les fesses et les jambes.

- C’est comme ça qu’on calme les chiennes, le patron il veut pas que tu salisses la cambuse.

Encore un seau d’eau sur mon postérieur.

- Sèche toi

Je le fait sans oser les regarder. Ils remarquent mes larmes mais ils s’en foutent. J’ai froid et je claque des dents. Je n’arrive pas à contrôler mes mâchoires. J’ai les jambes qui tremblent. Je m’essuie maladroitement le visage.

Nous redescendons dans la cambuse. La table et les deux bancs sont contre les murs de bois. Le centre de la pièce est libre. Il y a un matelas de crin sur le sol. Le plafonds est trop bas et nous oblige à nous déplacer penché. Mon sac ouvert est sur la table à côté du bol d’huile. Tahar est en train d’en inventorier le contenu. Tahar me tend le flacon d’huile solaire après l’avoir débouché et senti.

- Il aime bien l’odeur. Il veut que tu en mettes.

J’en verse quelques gouttes et me badigeonne lentement le torse et le ventre.

- Plus bas aussi.... Encore plus bas

Ma main est sur mon pubis. Mon sexe pend tout flétris. Ils regardent sans un mot. Je rajoute de l’huile solaire. Ma main saisie ma verge. je me branle lentement. Cela glisse parfaitement bien. Je m’attarde sur ma verge. Je ne ressens rien. Aucune excitation. Aucun effet. Je me branle devant eux. Mon gland ne sort même pas du prépuce.

- T’arrive même pas à bander. Vas-y un petit effort. Montre-nous que tu es un homme, Un vrai. Pas une femme.

Je me branle en serrant ma tige de plus en plus fort. Rien à faire. Mon sexe refuse obstinément de se redresser. J’ai honte de ne pas pouvoir bander. Pourtant je suis excité. J’ai envie de leur montrer que je peux. Je m’escrime en vrai sur ma verge flasque et pendante. Je rougi comme un gamin.

- Comment tu fais pour baiser ta femme? T’es pas un mâle toi. Pas grave c’est une femelle qu’on veut. Mets-toi de l’huile sur les fesses. Allez vas-y !

Mes mains passent sur mes fesses. Encore de l’huile. Je me caresse et me cambre pour bien en mettre partout. Mes mains pénètrent ma raie sans qu’ils ne me le demandent et je mets de l’huile sur ma raie et mon trou.

Je deviens une vraie salope qui se donne en spectacle. Je n'éprouve aucune honte à me comporter ainsi. Je suis devenu très obéissant. J’étais comme dans un autre monde au milieu de ces étrangers dans un bateau en pleine Méditerranée.

Rachid s’est approché de moi. Il a juste relevé le devant de sa djellaba découvrant son sexe brun avec un gros gland.

- Caresse-le.

Je verse de l’huile solaire dans le creux de ma main. Sans aucun mouvement de révolte, je saisi son sexe à pleine main. Il est brûlant et très dur. Je commence lentement à le masturber devant les autres. Le pieu chaud de tend de plus en plus. J’accentue mes mouvement et vais de la racine jusqu’au méat. Il me laisse faire. Ma main enduite de crème solaire glisse facilement le long du pieu qui grossi au fur et à mesure de mes caresses.

La bite est maintenant à son apogée. Très large à la base avec un gland comme un champignon. On aurait dit un obus. Elle fait au moins deux fois la largeur de ma main. Les couilles sont très grosses. La peau très douce. Je le branle mécaniquement. Je sens les grosses veines bleues contre ma paume.

Les trois autres regardaient assis sur le plancher. Rachid s’est assis sur le banc face aux spectateurs, jambes allongées et jointes. Son sexe tendu vers le plafond brillait. Il a parlé à Mourad qui à traduit.

- Vas sur lui, il a envie de ton cul, et on veut que tu te niques tout seul.

Je l’ai enjambé en reculant jusqu'à ce que son sexe touche mes couilles. Rachid à positionné son gland contre mon anus. Mes cheveux pendaient devant mes yeux, m'empêchant de voir les autres assis en face en train de siroter leur thé.

Rachid m’a saisi la taille m’obligeant à m'asseoir sur sa bite. Son gland forçait ma corolle crispée. Brusquement il m’a tiré vers lui de toutes se force m’obligeant à m'asseoir brusquement sur son sexe. La douleur fulgurante m’a fait hurler. Son pieu a forcé d’une traite le passage huilé. J’avais l’impression terrible qu’on me remplissait le ventre de plomb brûlant. Son gland a tapé durement le fond de mes intestin, me coupant le souffle.

Complètement empalé sur son sexe, je n’osais pas faire un mouvement. J’avais l’impression que mon ventre était sur le point d’éclater.

Rachid m’a bloqué sur sa queue. Au bout de quelques seconde, la douleur s’est atténuée puis à disparue. Mon anus s’est moulé à la taille du sexe sur lequel j’étais emmanché. C’est lui qui a commencé à bouger et je me suis mis a gémir d’une toute petite voix. Je suppose que les autres se régalaient du spectacle. Rachid me sodomisait de plus en plus fort. J’ai vaguement entendu Mourad parlait en arabe.

Rachid a cessé de bouger, sa queue bien enfoncée dans mon trou. Ses mains sont passées derrière mes genoux. Il a commencé à me relever les jambes vers lui.

- Le capitaine veux voir ton cul ouvert.

Rachid avait une force herculéenne. Il a tenu mes jambes largement ouvertes et relevées. Les autres ont pu voir sa grosse bite profondément fichée en moi et mon trou dilaté. Il m’a limé dans cette position avant de lâcher mes jambes.

Le patron a parlé. Rachid m’a repoussé. Sa queue m’a libéré. Il s’est levé. J’avais froid au cul et je sentais que mon anus ouvert.

Tahar s’est approché. Il m’a tiré les cheveux vers le sol. Je me suis mis a genoux. Il n’a pas lâché mes cheveux. Au contraire, il les tirait maintenant en arrière m’obligeant à lever mon visage vers le plafond. Puis, de son autre main, il a durement appuyé sur le creux de mes joues. J’ai ouvert les mâchoires.

Son visage s’est approché, à dix centimètres au-dessus du mien. Il avait le regard dur, sûr de lui. Quand il a craché, je n’ai pas eu le temps de réagir. Le liquide glaireux est entré directement au fonds de ma bouche. J’ai eu envie de vomir et je n’ai pas eu le temps de recracher qu’il m’a fermé la bouche. J’ai avalé avant de m’écrouler sur le sol, le corps agité de spasmes.

Ils m’ont laissé sur le matelas pour boire leur thé. J’ai vaguement reconnu la voix du capitaine. C’est lui qui dirigeait les opérations. C’était lui le vrai patron, Mourad se contentant de me mettre à leur disposition.

Rachid et Tahar sont revenus vers moi. Ils étaient nus, impressionnants de force et de vigueur. Ils m’ont couchés sur le dos et m’ont ramenés les chevilles sur les épaules. Ma raie s’est ouverte à nouveau. Je restais inerte entre leurs mains noueuses. Mourad s’est agenouillé devant moi.

- Le capitaine dit que tu as encore trop de poils autour de la rondelle.... Je vais te faire une vraie chatte bien lisse.

Je savais que j’avais quelques poils dans la raie. Il m’a épilé. Cela m’a fait très mal car il a étalé une pâte très chaude tout le long de ma raie, de la base de mes couilles jusqu'aux creux de mes reins. Il l’a laissé refroidir avant de la retirer brutalement d’un coup sec. J’ai eu l’impression que l’on m’arrachait la peau. Mourad a recommencé à étaler cette pâte. J’avais beau me débattre, je ne pouvais rien faire. Les deux marins me bloquaient. Mourad a arraché à nouveau la pâte. Il a recommencé trois fois avant de me laisser.

- Maintenant t’as plus un seul poil au cul. Un vrai cul de pute.

J’avais la raie toute irritée. La boule de pâte était pleine de tous petits poils blonds. Jamais je n’avais pensé avoir autant de poils. Ma rosette me brûlait et j’avais encore le goût de crachat dans ma bouche. J’étais un peu groggy, comme un somnambule. Mourad est parti s’asseoir à côté du capitaine.

Rachid m’a tiré par les cheveux vers son bas ventre. Sa bite brûlante et sale à cogné contre mes lèvres.

- Suce-le. Tu lui fais une bonne fellation. Tu vas être le roi de la pipe.

Je l’ai sucé. Son gland énorme tapait au fond de ma gorge. La queue coulissait entre mes lèvres. Tahar m’a écarté les jambes pour m’ouvrir les fesses. La bite a forcé mon anus qui s’est ouvert lentement sous la pression. J’avais maintenant les deux trous occupé. J'étais le jouet de leurs bites qui ouvraient mes trous. J’étais leur chose à leur disposition et ils donnaient de violent coup de bassin.

Ils m’ont longuement limé la bouche et le cul. J’étais crevé mais je n’avais presque plus mal. Les deux sexes me foraient en prenant tout leur temps. Ils n’étaient pas pressés. Ils avaient toute la nuit. Ils se donnaient en spectacles devant les deux autres, m’obligeant à prendre des poses qui permettaient de bien voir ma bouche ouverte autour de la hampe ou mon trou dilaté.

Sur ordre du capitaine, ils m’ont laissé. Mourad est venu me coucher sur le dos. Je l’ai supplié d'arrêter tout cela. Il ne m’a pas répondu. Il tenait un rouleau de sparadrap très large de couleur chair.

- Le capitaine ne veut plus voir ton sexe

L’air dégoûté, avec l’aide des deux autres, il a collé deux bandes de sparadrap sur mon sexe et mes couilles. Je n’avais plus de bite. Dans la pénombre de la cambuse, ils m’ont transformé en femme. Le sparadrap tirait ma peau à chaque mouvement.

Puis il a utilisé de nouveau une boule de pâte. Cette fois ci, sous les aisselles. Ils ont dû me tenir à deux, tellement la douleur était forte. Je criais de toutes mes forces en sentant mes poils s’arracher. Quand ils m’ont lâché, je n’avais plus ni poils ni sexe. Ils m’ont traîné à genoux devant le capitaine. Mourad a pris la parole.

- Répète après moi, Je m'appelle Damia et je suis votre servante dévouée.

Ma voix était atone, mécanique. Une main de fer a croché ma nuque, m’obligeant à ma prosterner devant le capitaine.

- Embrasse les pieds du capitaine.

J’ai embrassé les pieds nus, la peau calleuse, les ongles épais. J’ai baisé la plante des pieds et le talon dur comme du bois. Le capitaine a prononcé quelques mots.

Les trois autres m’ont saisi pour me coucher sur le sol. Ils m’ont complètement immobilisé sur le dos. Le capitaine s’est levé pour venir au niveau de ma tête. Il portait sa djellaba. Il a enjambé mon visage et s’est accroupi au-dessus de ma tête. Je ne voyais plus rien, mais très vite, les fesses m’ont effleurées la bouche. J’avais beau gigoter, les autres me tenaient fermement.

- Tu vas faire la toilette intime du capitaine.

Les fesses se sont ouvertes. J’ai tenté de tourner mon visage pour échapper à cela. Mourad m’a frappé.

- Allez nettoie avec ta langue. Nettoie à fond.

L’odeur très épicée me soulevait le cœur. J’ai sorti ma langue pour faire ce qu’on m'ordonnait. J’ai léché les poils collés de sueur. Ma langue a tourné autour de l’anus serré. J’ai longuement léché la raie odorante. Mon visage s’écrasait contre les fesses musclées. J’ai tête l’anus. Je ne savais plus ce que je faisais. Le capitaine est resté longtemps accroupi. Les autres ne pouvaient rien voir.

Quand le capitaine s’est enfin levé, ils m’ont libéré. Je suis resté prostré sur le sol. Ils m’ont laissé pour boire encore du thé. Je ne pensais à rien, ne bougeais pas. J’attendais leur bon vouloir sans aucune révolte ni dégoût et avec un fatalisme de femme orientale. Ils étaient mes maîtres. J’étais là pour leur obéir.

Mourad m’a tendu des bas noirs et une culotte de femme que je ne connaissais pas.

- C’est les vêtements de l’allemande. Mes amis voudraient voir à quoi tu ressembles avec ça

Vêtu des sous-vêtements noir, je leur ai servi du thé. Les bas et le slip étaient à ma taille. Je savais qu’avec ces vêtements et mes cheveux longs, je devais vraiment avoir l’air d’une femme. Mourad a mis de la musique.

J’ai dû danser avec les deux jeunes marins. Au rythme lancinant de la musique, ils me malaxaient les fesses en me pressant contre eux, ou écartaient le fonds de ma culotte pour glisser leurs doigts dans ma raie ou mon trou élargi.

Ils étaient surexcités et me donnaient en spectacles au capitaine. Ils me baissaient le slip sous les fesses ou au contraire faisaient entrer le tissu dans ma raie. J’étais une poupée. Une vraie femme entre leurs bras virils. Les doigts élargissaient mon trou. Les danses se succédaient sans relâche.

- Demain, ton cul sera aussi large que la chatte d’une pute de la casbah. Plus large que la chatte de Sylvie.

C’est vrai que je sentais à peine les deux doigt que j’avais dans le fion. Ils m’ont à nouveau sodomisé dans cet accoutrement. Seul le capitaine ne m’avait pas encore utilisé.

Leurs bites restées fièrement pointées. Ils ne jouissaient pas et faisait durer leur plaisir. J’étais leur jouet. Comme une marionnette. Je faisais absolument tout ce qu’ils voulaient. Je m’ouvrais moi-même les fesses devant leur visage. Je me mettait les doigts dans le cul devant eux. Je me vautrais dans leurs fantasmes.

Ma soumission les rendaient de plus en plus entreprenants.

Quand je tentais de refuser ils devenaient violents et me donnaient des fessées. Après la fessée, une humiliation supplémentaire me faisait franchir un nouveau pas vers la déchéance. Et c’est Mourad qui s’en chargeait. Pour eux, il était mon maître et c’était a lui de punir la plus petite révolte. J’ai dû lui lécher les pieds, avalait ses crachats et même lécher le sol.

Pour me soumettre complètement, les deux jeunes ont pris le relais de Mourad. Ils m’ont saisi par les chevilles et les ont levées me soulevant presque du sol. Mourad a tendu un bâton au capitaine qui a commencé à me frapper la plante des pieds. Je hurlais à chaque coup et Mourad me posait toujours la même question.

- Est ce que tu vas être une femelle obéissante oui ou non?

Au troisième coup de bâton, j’ai hurle oui. Il en voulait plus.

- Oui.... Oui je serai une femelle obéissante.....

Il en voulait encore plus

- Je serai ta pute...

Ils m’ont lâché. Je me suis mis en chien de fusil sur le matelas taché. Je restais figé. Mon corps tressautait de manière incontrôlable. Complètement indifférents, ils ont bu du thé. Puis Mourad est revenu.

- Mets-toi sur le dos et lève tes jambes. Plus que ça… Encore, allez encore plus. On veut parfaitement voir ton cul. Ramène encore tes jambes vers ton torse.

J’étais cassé en deux, les genoux pratiquement sur mes épaules. Ils ont déchiré le slip de l’allemande. Les deux jeunes m’ont bloqué dans cette position.

Mourad m’a montré une petite bouteille de coca cola. Il l’a enduite d’huile d’olive et l’a approchée de mon visage pour bien me la montrer.

- L’allemande a adoré.

J’ai supplié Mourad de ne pas le faire. Il a juste dit que si je préférais le bâton, il n’y voyait pas d’inconvénient et que de toute façon j’aurai droit au deux si je refuse.

- Je vais être gentil, et te badigeonner le cul d’huile.

Il l’a fait. Je ne pouvais plus voir la bouteille. Au début le goulot est passé puis il s’est bloqué. Je sentais mon cul s'élargir lentement au point de se déchirer. Mourad faisait coulisser la bouteille de plus en plus vite en forçant de plus en plus à chaque fois. Je criais et suppliais en vain mais je n’avais pas mal. Je tentais d’échapper au supplice en me tortillant, mais cela les faisaient encore plus rire. Puis, brusquement, quand j’ai cru que mon anus allait de déchirer, la bouteille s’est enfoncée seule comme un suppositoire. J’avais la voix rauque d’avoir trop crié de peur et un sentiment déroutant d’avoir un truc bloqué dans mon ventre.

- Tu vois, c’est pas si difficile. Elle sortira pas avec cette forme. Tu vas la garder comme ça entre tes fesses.

Je sentais entre mes fesses le cul de la bouteille. J’ai dû la garder et j’ai à nouveau fais le service. J’avais l’impression que la bouteille allait sortir à chacun de mes pas mais elle ne bougeait pas. Mon anus boursouflé me faisait mal. De plus en plus mal. Mais c’était supportable. Avec ma bite camouflée, mes poils disparus et cette bouteille fichée entre mes fesses, je devais paraître vraiment pitoyable. Un esclave marqué.

- C’est dommage que tu ne peux pas voir ton cul avec la bouteille au milieu.

Je la sentais bien pourtant et j’avais du mal à marcher. Mes fesses restaient ouvertes autour de fonds de la bouteille.

Quand ils m’en ont débarrassé, mon trou ne s’est pas refermé. Leurs bites gonflées ont remplacé la bouteille. Je les sentais mais pas de douleur. Puis il m’ont demandé de me prosterner dos au capitaine. J’étais effaré qu’ils puissent ouvrir mon cul avec leur doigts. Je sentais mon anus dilaté.

Cela a duré toute la nuit. Et à la fin, le capitaine est juste venu devant moi pour me pisser dans la bouche. J’ai tout avalé sans broncher.

Sur ordre de Mourad je me suis moi-même enfoncé la bouteille dans le cul. Ils se sont couchés, et je me suis endormi comme une masse avec la bouteille de coca plantée dans mon cul.

Le matin nous sommes revenus au port. Sur le chemin du retour, je les ai sucé les trois. Ils ne voulaient pas me débarrasser de la bouteille et je ne sentais plus mon anus complètement anesthésié.

Moi aussi je suis reparti comme l’allemande, uniquement vêtu d’une djellaba. Mais moi, j’avais toujours la bouteille de coca fichée dans le cul et la bite camouflée par le sparadrap.

Ils m’avaient scotché les fesses autour de la bouteille pour qu’elle ne sorte pas. J’ai traversé toute la ville avec la bouteille dans le cul, nu sous le léger vêtement.

Sylvie et Khaled étaient rentrés de leur périple. Nous les avons rejoints sur la plage. J’avais de plus en plus de mal à marcher. Sylvie était heureuse de me voir. Heureuse tout cours.

- T’as une super mine Damien. C’était bien cette partie de pêche?

J’ai trouvé assez de maîtrise de moi pour lui répondre. Mais je serrais les fesses et mon trou me faisait atrocement mal.

- Cela te va vachement bien la djellaba.

A un moment, elle s’est éloignée de nous. Mourad m’a relevé l'arrière du vêtement pour montrer à Khaled le cul de la bouteille entre mes fesses serrées

- C’est bien Damien. Je vois que tu as pris ton pied. T’es devenu un bon garage à zob mon ami.

J’ai rien dit me contentant de baisser les yeux.

DAMIEN FIN

oooOOooo

J’arrivais en vue du lieu de rendez-vous. C'était un des plus grand restaurant de la ville. J’avais encore l’impression d’avoir la bouteille dans le cul. C’était il y a plus de quinze et c’était la première fois que je revenais en Tunisie depuis cette période.

Nous étions rentrés de vacance Sylvie et moi début septembre pour la reprise des cours. Bien sûr nous nous sommes tout de suite séparés.

Les cours et la vie ont repris. Je me masturbais frénétiquement tous les soirs en repensant à ces vacances. Curieusement, je n’en voulais pas du tout à Khaled et Mourad que j’imaginais en train de draguer sur leur plage favorite à la recherche d’une femme allemande ou d’un petit français aussi tendre que moi.

Sylvie que je voyais régulièrement et avec qui j’étais resté ami, n’avait plus le moral. Elle n’arrêtait pas de parler de nos vacances et de Khaled qui manifestement lui manquait terriblement. Puis un jour, elle m’a envoyé un mot.

- Je retourne là-bas, je ne peux pas vivre loin de lui et lui non plus. A un de ces jours j’espère. Tu restes mon meilleur ami. A la vie.

J’ai bien sur compris de qui elle parlait. Rapidement, je n’ai plus eu de ses nouvelles. Je n’ai plus jamais eu non plus de relations sexuelles avec des mecs. Je n’en éprouvais ni le besoin ni l’envie et je savais que je ne trouverai personne comme Mourad et Khaled.

Les années se sont écoulées. J’ai parfaitement réussie ma vie professionnelle et je possédais une entreprise à la pointe de la technologie informatique. Je gagnais très bien ma vie sur ce tout petit marché que je partageais avec deux ou trois autres entreprises pour le monde entier.

J’ai aussi réussi ma vie affective. Je me suis marié. J’avais trois beaux enfants qui me donnaient toute satisfaction. Bref tout cela n’était plus que de lointains souvenirs jusqu'à il y a trois mois.

Au cours d’un salon professionnel, j’ai été contacté par le ministère tunisien des affaires étrangères qui lançait un appel d’offre pour des très gros travaux de redéploiement informatique. Le plus gros marché de ma carrière, auquel bien sur je me suis empressé de répondre. J’étais un peu surpris qu’ils contactent une boite aussi petite que la mienne pour un tel contrat. Mais après tout qui ne tente rien n’a rien comme on dit.

Aucune nouvelle pendant un mois. Je commençais à me faire à l’idée que j’avais perdu le marché quand un jour, l’ambassade tunisienne m’a contacté. J’étais invité dans leur pays pour discuter de mon offre!

Leur grand manitou de l’informatique du pays, m’invitait à douze heure trente précise le jeudi suivant, dans le plus grand restaurant du pays.

J’étais devant l'entrée du restaurant. Très chic. Très classe. A des années lumières de ceux que nous fréquentions à l’époque avec Sylvie. J’ai franchis le seuil. Un majordome s’est précipité vers moi d’un air obséquieux.

- Que puis-je pour vous Monsieur. Ce restaurant ne reçois que sur réservation.

Sans attendre la suite de son baratin, je lui ai tendu la carte que j’avais trouvé avec le billet d’avion et la réservation de mon hôtel. Il s’est tellement penché pour me saluer que j’ai eu l’impression qu’il allait se casser.

- Si Monsieur veut bien me suivre. Monsieur est attendu dans un des salons privés du premier étage.

Nous avons traversé la salle entièrement occupée par des hommes d’affaires de toutes nationalités. Le cadre était superbe, mais je n’ai pas eu le temps de le détailler.

Un escalier, un long couloir, beaucoup de portes fermées. Aucun bruit ! Moquette épaisse dans les tons bleu et or, décoration clinquante et tapageuse.

Le majordome frappe à une des portes. Une invite à entrer. Il ouvre et s’efface pour me laisser passer avant de refermer la porte derrière moi.

Un homme s’est dirigé vers moi. Carrure imposante. Epaisse crinière. Il m’a tendu la main. Voix virile et chaude.

- Bonjour Damien. Ça fait longtemps

J’ai cru m’évanouir en reconnaissant Khaled . Il n’était pas seul. La femme vêtue dans un costume traditionnel s’est jetée à mon cou pour me couvrir de baisers. J’ai éprouvé un sentiment d'allégresse indescriptible. Je venais de retrouver Khaled et Sylvie . J’ai compris à ce moment précis, à quel point ils m’avaient manqué. Je suis resté complètement abasourdi devant eux.

Pendant toute la durée du repas, nous avons discuté de tout et de rien nous racontant nos vies respectives. Moi surtout, décrivant mon boulot ma famille.

J'étais très heureux d’être ici. Sylvie était resplendissante. Sure d’elle. D’une sensualité exacerbée dans ces vêtements orientaux qui lui allaient si bien.

Les plats se succédaient sans arrêts, mais nous y touchions à peine, tout à la joie de nos retrouvailles.

A la fin du repas, nous sommes allés nous asseoir sur le canapé. Sylvie nous faisait face assise sur un fauteuil. Khaled a demandé au maître d'hôtel de ne plus nous déranger.

- Tu veux un alcool?

- Non merci. Je ne bois pas.

- Si nous en venions au contrat.

- Dois-je comprendre que tu m’as choisi

- Presque mon ami, presque, mais il faut quand même régler certains détails car tu n’es pas le mieux disant sur le marché.

- Je suppose que je suis trop cher?

- Un peu trop oui.

- Cela peut se discuter....

- Je le pense aussi. Dans ce pays tout ce discute mon cher Damien. Cela dépend de toi. Je ne te cache pas que je cherche avant tout un partenaire en qui je peux avoir toute confiance.

Il m’a regardé droit dans les yeux. Un bref moment, j’ai retrouvé l’expression du maître sur son soumis.

- Je sais que je peux avoir toute confiance en toi et que tu sauras te taire, et être discret. Je sais que tu sais te taire quand il faut.

C’était une menace à peine voilée et j’ai bien compris l'allusion à ce qui s’était passé il y a plus de quinze ans. Je n’en avais effectivement jamais parlé à Sylvie, ni à personne d’ailleurs. C’est curieux mais, j’étais content qu’il s’en souvienne.

- Je saurais être discret. J’ai l’habitude. Dans mon métier, nous sommes souvent confrontés à ce genre de problème et notre déontologie nous interdit de raconter ce que nous voyons chez nos clients. Les plus grands pays me font confiance.

Sylvie a interrompu notre conversation.

- Tu es toujours aussi superbe Damien. Pourquoi as-tu coupé tes si beaux cheveux. Cela t’allait tellement bien.

- Je te remercie mais je commence vieillir et mes cheveux aussi..

- Ne dit surtout pas cela. N’oublie pas que j’ai le même âge que toi. Je ne me sens pas vieille du tout.

- Tu es magnifique....

- Tu as raison Damien, j’ai une femme magnifique. Sans elle, jamais je n’aurai réussi. Te souviens-tu de ces vacances que vous avez passées ici. Je suis sûr que tu n’as rien oublié.

- Il m’ai difficile d’oublier. C’est grâce à moi que tu as connu Sylvie, et que vous êtes ensemble.

- Si tu veux. C’est une manière de présenter les choses.

Nous avons rigolé les trois, mais l’atmosphère avait subtilement changé entre nous. Les deux me regardaient en souriant. Il y avait une vraie connivence entre eux. Je savais qu’il ne fallait pas revenir sur le contrat.

- Et Mourad?

- Oh il va bien. Il occupe aussi un poste important. Il dirige l’agriculture de mon pays.

Nouveau regard appuyé, mais c’est Sylvie qui a parlé

- Il s’occupe aussi de la pêche

Je me suis senti légèrement rougir. Sylvie et Khaled me regardaient avec un petit sourire en coin. Je me suis raclé la gorge

- Si nous revenions à nos affaires.

- Je suis sure que Khaled et toi, vous trouverez un arrangement. Cela te permettra de revenir souvent. J’aurai plaisir à te voir de temps en temps. Mais moi aussi j’y mets une condition à ce contrat.

Elle regardait son mari. Je ne comprenais plus très bien ou nous étions dans cette conversation. Khaled lui a fait un signe de tête comme pour l’autoriser à continuer. J’étais décontenancé et j’ai demandé d’une voix étonnée:

- Tu t’y connais en informatique?

Elle a rigolé longuement de sa voix si envoûtante. Khaled s’est joint à elle et je me sentais un peu bête de ne pas participer à cette euphorie que je ne comprenais pas.

- Cela n’a rien à voir avec l’informatique. Je voudrais simplement que tu me rendes ce que tu me dois.

Je comprenais de moins en moins la tournure que prenait la conversation dans ce salon feutré, à l’abri de regards indiscrets et de la frénésie de la ville. Manifestement, ils avaient préparé cet entretien ensemble. Je la regardais dans l’attente de précision. Elle a soutenu fièrement mon regard. C’est Khaled qui a repris.

- Tu auras ce marché Damien. Je sais que tu sauras te taire. Nous connaissons tes compétences. Et le prix n’est pas un réel obstacle à notre partenariat. A une condition. Et même si tu refuses de t’y soumettre, je te donnerais quand même l’affaire.

Quelques secondes à me dévisager en silence avant qu’il reprenne :

- Vas-y ma colombe demande lui de te rendre ce que tu veux..

J’ai regardé Sylvie et je devais avoir l’air inquiet.

- N’ai pas peur Damien, je ne veux rien d’extraordinaire.

Elle a bu de l’eau. Manifestement, elle savourait un moment longtemps attendu et cela ne faisait que renforcer mon inquiétude.

- Toi tu m’a vu. Khaled et Mourad m’ont tout raconté. Nous parlons souvent de toi. Je ne savais pas que tu étais derrière le grillage. A les entendre tu avais aussi pas mal de prédispositions pour..... la chose.

Mon regard était accroché à ses lèvres pulpeuses maquillées d’un rouge très sombre. Elle parlait très lentement en détachant chaque syllabe et ses paroles me brûlaient le cerveau et le corps.

Les années s'effaçaient d’un coup et je devenais à nouveau le jeune étudiant timide et docile. Je n’étais plus un chef d’entreprise mais un adolescent rouge de confusion et de honte.

Elle s’est levée pour se diriger vers un petit réfrigérateur camouflé dans une commode et en a extrait une petite bouteille de coca qu’elle m’a ostensiblement montrée. Puis elle a lentement versé le liquide pétillant dans un long verre qu’elle m’a tendu d’une main gracieuse aux ongles longs et parfaitement manucurés. Elle a bien vu que ma main tremblait.

- Tu aimes toujours le coca?

Il y avait un brin d’ironie sans aucune méchanceté dans sa voix langoureuse. Machinalement j’ai pris le verre en regardant la petite bouteille sur la table basse devant moi. J’avais chaud. J’ai desserré le col de ma chemise. Khaled me regardait en souriant. Ils m’ont fait penser à deux chats en train de jouer avec une malheureuse souris. Et comme la souris, je savais qu’ils allaient me manger.

Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de la petite bouteille posée sur la table basse devant moi. J’ai bu lentement le verre de coca pour me donner une contenance. J’avais beaucoup de mal à avaler. Sylvie a repris la parole.

- Mourad regrette beaucoup de ne pouvoir être avec nous. C’est lui qui nous a dit que tu aimais le coca… Sous toutes ses formes. Moi qui ne me suis doutée de rien. C’est vrai que j’étais déjà trop amoureuse de mon homme pour faire attention à ce qui t’arrivait. A les entendre ces deux-là, il parait que tu ne te défendais pas beaucoup… Ils m’ont tout raconté et maintenant il faut me rendre ce que tu as vu.

Elle m’a fixé droit dans les yeux en vidant le reste de la bouteille dans mon verre. Elle était d’une beauté à couper le souffle avec son corps dont je me souvenais du moindre détail, moulé dans cette djellaba luxueuse et son visage maquillé à l’orientale. J’avais beaucoup de mal à parler. Ma voix était nerveuse et hésitante. J’étais extrêmement troublé pour tout ce qui se passait dans cette pièce d’un luxe feutré.

- Je ne comprends pas Sylvie. Tu veux quoi?

Elle ne m’a pas répondu tout de suite. Ses mains jouaient avec la petite bouteille de coca. Un sourire a étiré ses lèvres charnues. Khaled est intervenu:

- Dis-lui ma colombe. Vas-y. Inutile de le faire languir plus longtemps

Nos regards se sont soudés l’un à l’autre. D’une voix très ferme et sure d’elle, elle a repris.

- J’aimerai que l’on retrouve le temps passé.

Elle m’a servi un nouveau coca et jouait nerveusement avec la bouteille vide en me regardant fixement.

- Damien?

Je n’arrivais pas supporter les braises de son regard et ne comprenais absolument pas ou elle voulait en venir. Malgré ma gêne à la trouble évocation du passé, j’ai fait la bétise d’un commercial débutant en voulant la brusquer.

- Oui Sylvie. Que souhaites-tu? Dis le moi enfin !

Un éclair de colère dans ses yeux. Une voix dure que je ne lui connaissais pas.

- Je veux..... Je veux que mon mari t’encule. Ici ! Devant moi ! Comme Mourad l’a fait devant d’autres et comme ce que tu as vu dans le hammam ce jour-là.

Je l’ai regardée d’un air effaré. Elle a ajouté d’une voix plus douce.

- S’il te plaît comme au bon vieux temps. Tu nous a vu Khaled et moi, je voudrais voir moi aussi.

J’étais complétement décontenancé par la tournure que prenaient les événements. Je les dévisageais stupéfié et le fin sourire narquois de Khaled ne m’a pas échappé. Sylvie a repris la parole.

Sa voix a vite remplacé la supplique par de l’autorité. Comme par magie, elle est devenue brusquement cynique et arrogante.

- Je suis sûre que tu en as envie. Il parait qu’il faut qu’on te force un peu. Nous pouvons appeler le majordome.

Comme un automate, je me suis levé. Khaled aussi. Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire. Je ne voulais ni rester ni partir. Mon visage devait être cramoisi. Tous les souvenirs ressassés pendant ma promenade pesaient sur moi. Je me sentais craquer.

Sylvie s’est approchée de moi. Je sentais son parfum capiteux et enivrant. Ses mains ont écarté les pans de ma veste. Je n’ai rien fait pour l'empêcher. Je ne pouvais pas bouger, ni même parler. Son parfum très lourd, montait dans mes narines et ses mains posées bien à plat sur ma chemise m’ont électrisé.

Nous étions à présent debout les trois. Kalhed derrière moi et elle face à moi. Ses fines mains sont descendues lentement pour se fixer sur la ceinture de mon pantalon. Je n’avais pas la volonté l'arrêter et je savais parfaitement qu’en cas de révolte, Khaled l’aiderait. Immobile, je regarde les reliefs du repas sur la table pendant que ses mains s’activent autour de ma taille.

- C’est incroyable, tu n’as absolument pas pris un gramme.

Mon pantalon tombe souplement autour de mes chevilles. Je ferme les yeux quand elle saisit l’élastique de mon slip qui suit rapidement le même chemin que mon pantalon.

Sans vraiment le comprendre, je me suis retrouvé nu à partir de la taille. Je devais être ridicule avec mon veston, ma chemise et ma cravate et le cul à l’air. Le pantalon et le slip autour de mes chevilles m’empêchaient de bouger. Sylvie ne me quittait pas des yeux. J’ai baissé les yeux. J’avais honte de mon comportement devant elle et pourtant je ne faisais rien pour me revêtir. J’ai sursauté en sentant des mains sur mes fesses.

- Tu as toujours un aussi beau cul. C’est dommage que tu ne te rase plus. J’ai souvent parlé de ton cul et de ta bouche à Sylvie. Mourad aussi en parle souvent.

Khaled avait retrouvé le timbre de voix d’il y a quinze années. Voix hautaine, méprisante et dominatrice. Il s’est collé contre mon dos.

- Regarde le ma colombe.

Sylvie s’est reculée pour mieux me détailler. Ses yeux brillaient. Les grosses poignes de Khaled malaxaient mes fesses en me poussant lentement vers le canapé de l’autre côté du salon particulier. Ses paumes moites me faisaient vibrer intérieurement. J’avançais lentement vers le canapé après m’être débarrassé de mon pantalon, mon slip et mes chaussures.

- Tu es encore très bandant. Je vais te mettre comme au bon vieux temps. Je suis certain que ton cul s’en souvient encore. J’ai raconté à ma femme que tu mettais souvent ses sous-vêtements. Je suis sûr que tu te souviens du slip rouge.

J’ai parfaitement reconnu le bruit d’une braguette que l’on ouvre. J’étais redevenue la marionnette d’il y a quinze ans.

- N’ai pas peur, personne n’a rien su à l’époque et personne ne saura rien aujourd’hui. J’ai vraiment envie de faire plaisir à ma colombe. Toi aussi j’en suis sûr...

J’étais debout contre le canapé, comme il y a quinze ans devant un lit dans un des bungalow de la plage. Mais cette fois ci, c’est une voix de femme qui m’a dit de me mettre à genoux sur ce canapé. J’étais face au dossier du canapé et à un mètre à peine du mur blanc de ce salon. J’avais encore mes chaussettes noires et ma veste. Et je ne les voyais plus.

- Tu vois ma colombe, il est plus obéissant que n’importe lequel de nos valets.

Khaled s’est positionné debout derrière moi. Ses mains m’ont saisi par les hanches pour me tirer vers lui. Très vite, j’ai senti le bâton chaud contre la peau de mes globes. J’ai frémis en retrouvant les sensations oubliées.

- Cambre toi bien Damien. Montre bien tes fesses à ma femme. Regarde comme son cul est beau ma colombe, un vrai derrière de femme… Vas-y ma colombe, mets en pas mal. J’ai fait ma petite enquête et il n’a rien fait depuis très longtemps. Peut-être même depuis son retour à l’époque. Ajoute ma colombe. Il est presque vierge après tant de temps.

L’arabe a écarté mes fesses, dévoilant mon anus inviolé depuis plus de quinze ans. J’avais peur, mais je ne faisais rien pour empêcher la suite des événements. J’avais la chair de poule. La gorge sèche.

- Pourquoi tu trembles? C’est la peur ou l’envie?

Je ne le savais pas moi-même. J’ai tout de suite reconnu l’odeur de l’huile solaire. Les fines mains de Sylvie ont enduit ma raie. Machinalement, je me suis cambré pour tendre mon cul. Une espèce de reflex qui m’est revenu immédiatement malgré le nombre d’années.

- Ton trou est bien serré. Dommage que tu te sois coupé les cheveux. J’aimais bien tes cheveux de femme. Heureusement qu’avec ta blondeur, on ne voit pas trop tes poils.

Khaled avait la voix grave et douce. Les doigts fins et agiles de Sylvie parcouraient ma raie; s’attardant sur mon trou pour le masser longuement avec l’huile solaire. Les ongles me griffaient légèrement les chairs délicates. Je la laissais faire en frissonnant.

- C’est vrai que tu as un joli derrière Damien. Les femmes font rarement attention au cul des hommes. Mon mari a raison de dire que tu as un derrière de femme. Je suis sûre que ta femme n’a jamais fait attention à tes fesses. Il faudrat me la présenter d’ailleurs. Je sais qu’elle est superbe.

J’ai senti une chaleur monter dans mon bas-ventre. J’en avais envie. Une furieuse envie, incontrôlable. Je me suis cambré au maximum, mes fesses allant à la recherche des doigts.

- On dirait que cela t’as manqué. Tu as recommencé en France? Peut-être que les hommes de mon mari se sont trompés?

- Non jamais... Plus jamais...

J’avais une voix méconnaissable. Une toute petite voix, rien à voir avec celle de Khaled.

- Moi non plus. Jamais depuis que Sylvie m’a rejoint.

Des spasmes me parcouraient le corps. Ils partaient du fond de mon ventre et m’irradiaient tout le corps. J’attendais en vibrant que le sexe de l’arabe se frotte contre mon sillon. Je le voulais et je le redoutais. J’avais envie et peur; et j’avais honte de tendre ainsi mes fesses devant mon ancienne petite amie.

- Ne t'inquiète pas. Je vais aller doucement. Détends toi et ouvre tes fesses. Montre bien à ma colombe ton œillet.

J’ai posé ma tête sur le rebord du dossier du canapé et mes mains ont écartées mes fesses. Je tremblais, mais pas de peur. Quand j’ai sentis le bout de son sexe contre mon anus, j’ai faillis gémir, mais ma gorge nouée ne laissait passer aucun son.

- Regarde ma colombe. Tu voulais le voir se faire niquer. Ne perd rien du spectacle. Regarde-le nous offrir sa rosace toute plissée. Regarde comme il se cambre bien. Et son trou, son anus tout serré, regarde comme il brille sous la lumière. Il palpite comme une bouche.

C’est lui qui m’a tiré doucement vers sa verge. Son gland bien dur et très chaud a poussé sur mon anus. La pointe de son pieu pressait de plus en plus fort ma corolle inviolée. il est revenu plusieurs fois à la charge, me tirant de plus en plus fort sur son pieu et mon anus a capitulé pour s’ouvrir difficilement sous les poussées viriles.

J’ai sentis son gland déflorer mon intimité glissante et sa verge très dure s’est enfoncée lentement en moi m’arrachant des cris aigus de douleur. J’avais le souffle coupé.

- Vas doucement mon chéri. Montre lui que tu n’es pas un sauvage. C’est incroyable de voir comment un si petit orifice peut avaler ta bite mon amour. Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusqu’à la garde?

- Ne crains rien ma colombe, je suis sûr qu’il aime justement les sauvages. Regarde comme son trou s’ouvre bien. Il n’a pas changé. J’ai comme l’impression qu’on va bien s’amuser ensemble. Il crie peut être fort mais il ne fait rien pour éviter ma bite. Je vais le niquer jusqu’à l’os devant toi ma colombe. C’est bien cela que tu voulais non ?

- Vas-y mon amour, sodomise-le, je veux tout voir. Je veux tout apprendre. Toutes les femmes aimeraient voir un homme devenir femme.

- Celui-là, il y a quinze ans, c’était devenu une vraie pute, à la fin, on l’appelait Damia.

- Incroyable que je ne me sois aperçue de rien du tout. Je devais vraiment être trop amoureuse de toi mon chéri. Montre-moi comment on sodomise un homme.

Il a commencé à me tringler en poussant de plus en plus loin et mon cul répondait parfaitement en s’élargissant souplement. Je n’avais plus mal et son gland ouvrait mes entrailles chaudes. Je me suis laissé défoncer devant Sylvie en gémissant de plaisir.

- Regarde-le. Une vraie femelle des rues. Il faut bien balancer les hanches d’avant en arrière et pousser de plus en plus fort. A chaque poussée, ma bite entre de plus en plus loin. Tu vois comme cela.

Khaled me tenait à taille et allait de plus en plus vite dans mon ventre. Ses couilles lourdes tapaient les miennes.

- Je vais bien te niquer. Ton cul s’est bien ouvert. Regarde mon ange, comme il s’offre à mes coups de queue. Tu vois, il a toute la longueur dans son ventre, et il aime ça.

Il a écarté mes fesses pour que Sylvie puisse voir la bite coulisser le long de ma rondelle dilatée. J’allais à la rencontre de ses coups de reins pour que sa bite aille le plus loin possible. Jamais je n’aurais pensé que cette bite m’avait autant manqué.

Je me suis laissé sodomiser devant Sylvie en gémissant de plaisir. Le pieu de l’arabe tapait le fond de mon ventre m’arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je sentais son sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus épais. Je savais que Sylvie ne perdait rien du spectacle que nous lui offrions. Moi je me concentrais sur le plaisir retrouvé de me faire casser le cul. Je redevenais la salope d’antan. Les couilles lourdes de l’arabe tapaient de plus en plus vite contre les miennes. Je me cambrais, visage levé vers le plafond. Je serrais le bord du canapé de toutes mes forces en gémissant. Il m’a tiré vers lui de toutes ses forces me faisant crier de douleur.

- Je vais le remplir à ras bord.

Son foutre a jaillit dans mon ventre. Les jets chauds me remplissaient le fion et moi je me tordais de plaisir. Il a lâché toute sa semence tout au fonds de moi. Mon cul était collé contre son bas-ventre et je me laissais remplir les intestins jusqu'à ce que l’arabe se soit complètement vidé les couilles devant sa femme.

Il s’est enfin calmé et je restais immobile en tremblant toujours empalé sur son sexe vigoureux.

- Dorénavant, tu dois obéir à ma femme. Tu feras tout ce qu’elle te demande. C’est elle ta patronne. Tu as compris? Tu vas redevenir Damia. Réponds, tu as compris?

- Oui.... Oui....

- Oui quoi?.....

- Je.... Je suis Damia...

- Et le reste?

- C’est elle ma patronne.

- C’est bien.

Quand il est sorti, mon anus lubrifié à recraché un peu de sperme. J’avais oublié cette sensation de vide et de manque quand on n’a plus rien dans le cul.

- Voilà ma colombe. Tu vois qu’on ne t’avait pas menti en te disant que ton ex-copain aimait se faire niquer.

Sylvie a approché le goulot de la bouteille de coca contre mes lèvres. J’ai bu avidement sans la regarder. J’avais un peu honte, mais en même temps j’étais soulagé. Elle a bien vu que je bandais. Elle avait la voix très douce.

- C’est bien Damien ou plutôt Damia. Je n’ai jamais eu un homme soumis. Je vois que tu as apprécié le sexe de mon homme. Mais ce n’est pas encore fini. Ne bouge pas. Garde la même position, tu es tellement beau comme cela. A croquer !

Je suis resté sans bouger, ne comprenant pas bien ce qu’elle voulait. Rien ne se passait et mon anus relâchait lentement le sperme de Khaled qui coulait le long de l’intérieur de mes cuisses.

Un courant d’air dans la pièce. Quand je veux me retourner pour voir ce qui se passe, Khaled me bloque la nuque sur le canapé. Sylvie reprend:

- Il parait que tu aimes offrir ton cul au premier venu. Tu vas être servi, il me faut une autre leçon.

Je devine que nous ne sommes plus seuls. Sylvie se met à parler en arabe. Du ton hautain d’une maîtresse de maison. Quelqu’un se place derrière moi. Un bruit de fermeture éclair. J’ai juste le temps de dire non avant qu’une queue inconnue m’empale brutalement. Je crie de douleur. Douleur et surprise de me faire prendre sans aucun préliminaire.

La bite me semble énorme. Je ne sais pas qui est en train de me planter une queue d’une telle dimension. Mes yeux s’embuent de larmes et j’entends à peine Sylvie

- Tu es en train de te faire enculer par notre chauffeur et il a été particulièrement bien doté par la nature.

Je gémis comme une femme sous les coups de boutoir de l’inconnu. Moi le dirigeant d’entreprise, marié à une femme que j’adore, père de deux enfants, j’étais en train d’offrir mon cul au premier inconnu devant mon ex-copine. Le pire du ridicule, c’est que j’avais toujours ma veste, ma chemise et ma cravate sans oublier mes chaussettes noires pur fil d’Ecosse.

Le gland tape durement au fonds de mon ventre me poussant contre le dossier du canapé. Je ne peux rien voir mais je sais que Khaled et Sylvie regardent la scène et l’arabe me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de son chauffeur qui me laboure en profondeur.

- Tu vois ma douce, une fois qu’on l’a ouvert, un cul s’habitue vite aux plus grosses tailles.

Je gémis de plus en plus fort.

- Ecoute Damia gémir. Ton ex est une vraie putain. Pire même puisqu’il est gratuit. Regarde c’est loin d’être fini.

Khaled passe à l’arabe et l’inconnu me fait mal en me sodomisant durement. Je crie sans pouvoir me retenir. Il m’écarte les fesses au maximum pour bien montrer mon trou dilaté. Un coup de reins d’une violence inouïe et un torrent de liquide dans mes entrailles dévastées. Les jets sont interminables et mon cul se rempli à nouveau de semence virile.

La bite reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Nous restons immobile quelques secondes. Sylvie dit quelque chose en arabe. La bite sort rapidement. Je lâche un pet. Un nouveau courant d’air dans la pièce. Un bruit de porte. Khaled lâche ma nuque. Je m’écroule sur le dossier.

Devant mes yeux embués, la main de Sylvie tient un tampon périodique qui se balance au bout de sa ficelle.

- Mets le lui ma colombe. Il ne faut pas qu’il tache ses vêtements. Et on n’a plus besoin de son anus pour le moment.

Elle me l’a enfoncé dans mon fion encore dilaté. Jusqu'à la ficelle. Mon trou l’a accueilli sans problème. Elle a pris le même ton autoritaire que son mari.

- Va dans la salle de bain à côté. Tu trouveras une djellaba, c’est bien plus pratique que ton costume. Bien sûr tu gardes le tampon.

J’ai du mal à marcher et je garde les yeux baissés. Honte de croiser leurs regards, ou reflex de soumis. Je ne sais pas. Un peu des deux peut être.

Dans la luxueuse salle de bain, je n’ose pas me regarder dans la glace. je ne pense à rien. J’agis comme un automate. Après une douche brûlante, j’enfile en tremblant le vêtement propre et frais. Le tissu est très fin, presque transparent. J’ai mal au ventre et la ficelle entre mes fesses, me gêne. J’ai envie de jouir mais je ne touche pas ma queue. Je retourne dans le salon.

Ils sont à table en train de manger le dessert. Je me joins à eux. Il y a une énorme corbeille de fruits au milieu de la table. Je n’ose pas parler ni les regarder. Sylvie me tends une banane.

- Mange Damia, il faut que tu prennes des forces. Tu dois aimer les bananes non ?

Elle a lourdement insisté sur mon prénom. Impossible d’ignorer le sous-entendu avec ce fruit. Sylvie appuie sur une sonnette devant elle. Quelques secondes à peine et la porte s’ouvre. C’est le maître d'hôtel.

Il me regarde, mais il reste impassible même en découvrant mon pantalon, mon slip et mes chaussures sur le sol devant le canapé. Il va jusqu’à les ramasser pour les porter dans la salle de bain avant de revenir vers nous.

- Tarek?

- Oui Madame?

- Notre invité souhaite un fruit un peu plus consistant qu’une banane. Pensez-vous pouvoir lui trouver quelques chose?

- Bien sur Madame, nous sommes ici pour satisfaire tous les désirs de nos clients. Surtout quand ils sont les invités de Monsieur et Madame. J’ai déposé ce que Madame a demandé dans la salle d’eau. Si Monsieur ou Madame souhaitent autre chose, toute la brigade reste à votre disposition.

- Merci Tarek et bravo pour votre efficacité.

- C’est un honneur pour toute la brigade Madame de vous servir.

Il part en refermant la porte. Sylvie se lève et vient à mes côtés. Un de ses mains fraîches se glisse dans l’échancrure de la djellaba pour me pincer la pointe de mon sein gauche

- Je suis vraiment contente que tu sois là, je sais que tu reviendras souvent parmi nous. Il faudra habituer ta femme, je te préfère complètement épilé comme avant. Il faudra venir avec elle et tes enfants un jour.

J’ai pâlît.

- Non ! Non ! N’ai aucune crainte de ce côté-là. Rien ne filtrera. Jamais. Fais-moi confiance… Il nous reste encore du temps, je vais me refaire une beauté.

Khaled me regardait et je ne savais pas quoi dire. Il s’est levé au bout de quelques minutes. Je l’ai imité. Je sentais que tout cela ne finirait pas comme cela.

Le tampon périodique occupait toute mon ampoule anale. Il avait dû absorber les trop-pleins spermes. La ficelle me grattait. L’arabe m’a flatté les fesses comme on flatte la croupe de son chien.

- Tu auras ce contrat Damien. Je l’aime trop pour te refuser ce contrat Et tout ce qui se passera dans mon pays sera tenu secret. Tu n’as rien à craindre. Elle a beaucoup de tendresse pour toi.

Puis il a changé de ton.

- Maintenant Damia tu vas aller te mettre à genoux face au canapé.

Il m’a suivi sans lâcher mon derrière.

- Penche-toi. Plus que cela, le torse sur le canapé. Tourne ta tête vers le mur et écarte tes bras. Je te veux offert et aussi soumise qu’une bon trou-à-bites.

Il est venu près de moi, a retroussé la djellaba jusqu’à la taille, m’en couvrant la tête. De moi-même, j’ai écarté les jambes. C’est lui qui m’a débarrassé l’anus du tampon. Sensation de soulagement.

- Il est prêt ma colombe.

J’ai cru qu’elle voulait à nouveau me faire sodomiser par son mari. Je ne voyais rien avec le tissu sur ma tête. J’ai reconnu son parfum. Je n’ai pas compris ce qu’elle faisait. Khaled a pressé sur mes fesses m’obligeant à baisser un peu mon derrière.

J’ai reconnu les douces mains de Sylvie qui ouvraient mes fesses. Puis un truc froid contre mon anus. C’est Khaled à présent qui tenait largement ouvertes mes fesses. Le truc froid poussait contre mon anus. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

- C’est bien ma colombe. Comme cela..... Pousse maintenant. Recommence plus fort. Encore… Fais-le plusieurs fois. Ca va entrer d’un coup.

La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre ma corolle. Je ne comprenais pas ce qui entrait dans mon intimité mais c’était épais, très épais. Ma corolle se dilatait douloureusement. Plus gros que le sexe du chauffeur. Les larmes aux yeux, je serrais les dents.

- Vas-y pousse ma colombe.... N’ai pas peur... Pousse encore...

- J’ai peur de lui faire mal...

- Non au contraire plus il crie plus il bande... Et Nasser l’a bien préparé. Vas-y d’un coup sec de toutes tes forces…

Le pilon a ouvert brusquement mon muscle anal, m'arrachant un cri de douleur. Je commençais à comprendre ce qui m’arrivait. La personne derrière moi ne me pistonnait pas et se contentais de pousser pour m’enfoncer l’engin au plus loin possible.

- J’arrive pas plus loin.

- Mais si ma douce, tu vas y arriver... Donne un grand coup de bassin.... De toutes tes forces ma colombe.

J’ai brusquement cru que mon ventre avait explosé sous la pénétration du monstre froid et gluant. J’ai poussé un long gémissement et en même temps, Sylvie s’est collée sur mon dos.

Les yeux injectés de larmes de douleur, j’ai sentis sa main chaude tenir mon sexe dressé contre mon ventre.

- C’est vrai que tu aimes cela et que tu bandes. Il y longtemps que je rêvais de t’enculer Damien. Depuis qu’ils m’ont raconté. J’ai fait fabriquer ce gode spécialement pour toi par un des artisans du souk. C’est un bijoux.

Elle ne bougeait pas. Son bassin bien collé contre mes globes tendus. Moi j’attendais que la douleur s’estompe en cambrant bien mes reins. Elle a lâché mon sexe.

- C’est incroyable que tu puisses bander avec ce que tu as dans ton cul. C’est un slip avec un godemiché. Le gode a la même taille que la bouteille de Coca. C’est Mourad qui m’a dit que tu arrivais à marcher avec un tel engin dans le cul. Maintenant je vais te sodomiser comme un homme ma petite Damia. Ici, ils disent je vais te niquer comme une kahba.

Elle a commencé à me limer et je voyais mille étoiles dans les yeux. J’avais mal, très mal et envie de jouir. Mon visage frottait contre le tissu du canapé. La bite coulissait de plus en plus vite et Sylvie trouvait le bon rythme pour me dévaster les intestins.

- C’est vrai que tu as le trou comme un hall de gare....

Elle haletait et donnait des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois le bout du gode me tapait le fond et me faisait sursauter de douleur. Cela a duré longtemps, très longtemps. J’avais mal et ma bite tendue n’arrivait pas à cracher. Et toujours sa voix douce à mon oreille:

- Ça te quel effet de te faire enculer par une femme? Tu sens comme t’es dilaté? Tu as vingt-cinq centimètres dans le cul. Après ça tu auras du mal à t’asseoir ma chère Damia.

Les pointes de ses seins contre mon dos. Ses jambes fines contre les miennes. Son souffle chaud dans mes cheveux courts. Et sa violence à me défoncer l’anus.

- Tu sais que ce slip se retourne?. C’est une pure merveille. Tu vas voir.

Elle arrête et me libère. Mal au ventre, au cul et honte de bander. Je reste sans bouger. Au bout de quelques seconde de silence, Khaled a pris la suite.

- Lève-toi... Allez Damia debout.

Je suis debout. Mes jambes tremblent. Sylvie est toujours là, mais elle ne porte plus le god. Elle est habillée. Khaled me montre l’accessoire en souriant. Le gode de couleur chair est luisant de gel. Heureusement, il a l’air propre. Un objet magnifique en ivoire ciselé des mêmes motifs que sur la petite bouteille de coca. Il est vissé à une culotte de couleur chair en latex. Sylvie n’a pas menti sur la taille de l’engin. Impressionnant.

Sylvie prend le slip et le retourne. Le gode est à l’intérieur du slip.

- Je suis sûre qu’il est parfaitement à ta taille ce slip. Il faut que ça serre un peu.

C’est elle qui me l’enfile. Je me contente de lever une jambe après l’autre. Elle remonte le slip le long de mes jambes. Bien sur le gode est du côté des fesses. Il est froid dans ma raie.

Khaled l’aide à peine, uniquement pour m’enfoncer de nouveau le gode dans mes reins. Le slip en latex chair enveloppe mes fesses et mon pubis. C’est un carcan serré. Le gode fiché en moi m’oblige à me pencher pour atténuer la sourde douleur dans mon ventre. Sylvie vérifie la bonne tenue du slip et pousse le bout du god pour qu’il entre encore plus loin.

- Tu vas le garder jusqu'à ce soir. Tu resteras chez nous dormir. Tu es notre invité. Mourad viendra aussi. Tu seras ma femelle bien obéissante.

La djellaba retombe. Le maître d'hôtel entre. Il me regarde en souriant très obséquieusement. J’ai mal au cul.

- Vous ramasserez les vêtements de Monsieur dans la salle de bain et les ferez livrer chez nous. Conduisez Monsieur à notre voiture.

- Bien Madame...

- Tarek, Monsieur va avoir un peu de mal à marcher normalement. Il faudra lui faire traverser la salle lentement.

- Je propose à Madame de faire passer Monsieur par les cuisines. Les commis comprendront puisqu’ils ont vu le cadeau de Madame.

- Pourquoi pas ! Je vous autorise même à leur montrer, mais personne ne touche. Allez vas Damia suis le. Nasser va te conduire chez nous, mais avant, à ton hôtel pour reprendre ta valise. Ils sont prévenus. A ce soir.

J’ai obéis à ses ordres et suivit le Maître d’hôtel en marchant à l’écarté et en bandant.

Fin

Ceci n’est que Fiction à partir de faits réels vécus là bas.

André RP95

ANDRERP95@gmail.com

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