Le Minitel est une création 100 % française. C’est dans les années 80 que ce petit terminal qui ressemble à un ordinateur a fait son entrée dans les foyers français. Branché à une prise téléphonique, il a permis pendant 30 ans de se familiariser aux services en ligne. Minitel a permis l'émergence des messageries roses et de toutes sortes. C'est un véritable phénomène de société qui permet dans le plus grand anonymat des contacts et des rencontres.
Chapitre-1 : Benoît
Putain ce qu'on lui a mis au Benoît !
Faut dire qu'il n'a pas pu refuser.
Et nous on s'est déchaînés. Surtout après notre victoire au match de l'après-midi.
On s'est carrément défoulé sur lui. On peut dire qu'on a évacué tout notre stress. On se l'est fait dans tous les sens le petit Benoît. C'était super. Le grand pied. Pourtant aucun de nous n'avait jamais tiré un mec. On n’y avait même jamais pensé.
Mais je me demande si c'est vraiment un mec le Benoît.
Physiquement c'est un mec. Personne ne peut en douter. Plutôt petit avec son 1.75 mètres, surtout par rapport à nous. Nous ça frise les 2.00 mètres. Il n'est pas dans notre équipe de rugby à cause de son gabarit crevette. Il est châtain, mince, mignon. On sait qu'il plaît beaucoup aux filles. On arrivait pas à comprendre ce qu’elles lui trouvaient. Mais le fait est qu’il avait aucun problème pour lever une nana et tout le village le savait.
On se doutait pas du tout qu'il plaisait aussi beaucoup aux mecs.
Enfin d'un coup il nous a plu à nous en tout cas.
Il est un peu plus jeune que nous. Il fait l'homme à tout faire de notre équipe.
Et depuis le week-end dernier, c’est réellement devenu notre homme à tout faire.
Vraiment tout !
Cela s'est passé Dimanche. On revenait par les petites routes après un match que l'on avait gagné. On était dans la voiture de Benoît. Bien tassés vu nos gabarits. On roulait peinard en discutant du match. On faisait les cons. Benoît nous écoutait décrire pour la dixième fois au moins, les phases gagnantes de la partie. On s’agitait tous dans la caisse en revivant les phases de ce match.
C'était une belle journée de fin de printemps.
II faisait chaud. Personne sur la petite route.
Benoît conduisait doucement en souriant à notre gestuelle de vainqueurs.
On n'était pas pressé de rentrer. On rigolait d'une blague idiote de Samir au sujet de l'équipe adverse quand brusquement la voiture à fait une embardée et s'est mise à zigzaguer sur la route. Heureusement Benoît a eu assez de sang froid pour reprendre le contrôle du véhicule. Il s'est arrêté sur le bas-côté et nous sommes tous descendus pour voir ce qui s'était passé.
Pneu crevé à l'avant !
Vu l'état des pneus c'est pas étonnant surtout sur ces petites routes de campagne. Cela n'a pas entamé notre bonne humeur. Benoît par contre était embêté. Vachement embêté même. Y avait pourtant pas de quoi faire un plat.
On l'a trouvé un peu con de s'énerver de la sorte pour une crevaison.
Samir qui bosse dans un garage, s'est mis en tête de changer le pneu.
- T’inquiètes je vais le changer fissa ton pneu. Je vais prendre la roue de secours.
Il a ouvert le coffre arrière. Benoît lui disait qu'il allait le faire lui, il insistait lourdement. De manière incompréhensible et agaçante. Fredo et moi on essayait de le calmer sans comprendre ce qui le mettait dans cet état. Samir a mis un petit moment à sortir la roue de secours. Il a regardé Benoît d'un drôle d'air sans rien dire.
C’est vrai que c’est un pro de la bagnole le Samir. Il a changé la roue très rapidement en jetant de fréquents coups d'œil à Benoît qui semblait d'un coup abattu. Puis il est reparti ranger le cric, la manivelle, et le pneu crevé.
Benoît ne disait plus rien. La crevaison et le plantage de la voiture devait l'avoir complètement déboussolé car d'abord, il a gueulé comme un putois et maintenant il fermait complètement sa gueule.
Samir ne quittait pas Benoît des yeux. Il avait le visage fermé.
Puis il a farfouillé quelques secondes dans le coffre ; on ne voyait que ses grandes jambes. Il s'est redressé et a fermé le coffre. Il tenait à la main un sac en plastique d’un supermarché de la région. Il l'a levé en direction de Benoît qui est devenu tout blême. J'avais rarement vu un mec aussi pâle. En plus il tremblait. J'ai même cru qu'il allait nous faire un malaise le Benoît.
Fredo et moi on comprenaient pas trop ce qui se passait vu qu'on ne savait pas ce qu'il y avait dans cette putain de sac. Benoît avait l'air horrifié. Et Samir restait silencieux. On s’est tous figés une bonne minute. La voiture était garée en bordure de forêt. Personne n'était passé sur la route depuis notre arrêt forcé.
Samir nous a dit sur un drôle d'air qu'on allait se détendre. Il nous a demandé de le suivre dans la forêt. Il regardait Benoît en disant cela. Nous on était habitué à obéir à notre capitaine. Samir c’était le chef. Un vrai dur. Dans le village personne ne l’emmerdait. Alors on ne discute pas ses décisions. Il a toujours pris les bonnes. On l'a suivi intrigués, mais sans poser de question.
Par contre, Samir a dû tirer Benoît par le bras pour le faire bouger. Manifestement cela le faisait chier au Benoît de nous suivre.
On s'est enfoncé dans le sous-bois derrière Samir qui tenait ce fichu sac dans une main et tirait Benoît par l'avant-bras, de l'autre. Le sous-bois était frais, très dense. Cela faisait du bien après la chaleur de la voiture. En juin ça tapait déjà pas mal. C’était sympa comme promenade.
On n'a pas eu à marcher longtemps avant de trouver une petite clairière entourée d'épais buissons. Il y avait un tronc d'arbre renversé au milieu. Samir s'est assis dessus et nous a dit qu'il allait nous montrer quelque chose. Il a fouillé dans le sac. Benoît ne savait plus où se foutre. Il disait à Samir d'arrêter. Le suppliait presque de ne pas dévoiler le contenu du sac.
Frédo et moi on restait assez perplexe devant ce qui se passait. En fait on comprenait rien.
Faisant fi des jérémiades de Benoît, Samir a sorti du sac des bouts de tissu qu'il a étalé sur le tronc de l'arbre. Au début on a pas trop pigé ce que c’était.
C'était un slip blanc de femme. Tout en dentelle. Il y avait aussi des bas noirs.
Fredo et moi on a rigolé bêtement pensant que la réputation de Benoît avec les femmes n'était pas usurpée. On se trompait vachement.
Benoît n'arrêtait pas de dire Non d'une voix plaintive. C'était bizarre. Il aurait dû être fier au contraire de montrer ses trophées. Mais Samir a continué de fouiller dans le sac. Il en a sorti une poignée de préservatifs qu'il a mis à côté des dessous de femme.
Les étuis argentés brillaient au soleil. Je sais pas pourquoi mais j'étais excité. Fredo aussi. Ça avait l’air d’être un sacré pistolet le Benoît ! J’aurai jamais cru !
Samir a continué son déballage et c'est là que tout a basculé pour nous et Benoît.
Sur le tronc, il y avait un manche en bois. Rond, assez épais d'une trentaine de centimètres. On aurai dit un tronçon de manche de pelle. Il était verni de couleur claire et devait faire quatre ou cinq centimètres de diamètre. Aux deux tiers de sa longueur le diamètre était plus étroit comme pour en faciliter sa prise en main. Cela ressemblait à une mini batte de baseball.
Je voyais pas ce que cela pouvait faire avec les fringues de nana et les capotes. J’en comprenais même pas l’usage en fait.
Samir a encore ajouté un autre objet. Je voyais pas bien. C'était un tube de pommade. En tout cas, cela y ressemblait. Samir a prononcé le mot vaseline.
Benoît tête basse n'a rien dit. Qu'est-ce qu'il pouvait bien faire le Benoît avec tout cet attirail dans son coffre ? Samir en rigolant nous a proposé une charade :
- Mon premier aime les sous-vêtements de nana. Mon deuxième aime les grosses bites. Mon troisième se protège. Mon quatrième aime quand ça glisse bien
Il a regardé Benoît qui avait les larmes aux yeux.
- Mon tout est un trav qui aime se faire niquer... et qui se nomme Benoît.
J'étais abasourdi. L'évidence m'a sautée aux yeux.
Bien sûr ! Samir avait raison !
Et vu le comportement de Benoît c'était sûrement cela.
Le ciel me tombait sur la tête. J'aurai jamais pensé cela une seule seconde.
Nous regardions tous Benoît. Il ne disait rien. Il avait la tête baissée. C'est vrai qu'il était mince, peu de poils, les cheveux courts et le visage fin. Il flottait dans son polo trop grand et son short d'athlétisme. Des grandes guiboles. Je le regardais fasciné et un rien dégoutté. Fredo était dans le même champ de vision que Benoît et cela a ajouté à la fragilité de Benoît à côté des presque deux mètres et des 110k de muscles de Fredo.
On l'appelle le colosse. Les mecs qui ne le connaissent pas ont peur de lui mais il est doux comme un agneau et obéis à tous les ordres de Samir. Quand on se balade les trois, croyez-moi que personne ne nous emmerde et tout le mondes se retourne sur notre passage.
Surtout les nanas. Mais revenons à ce sacré Benoît.
Samir s'est levé et s'est approché de Benoît presque à le toucher. Benoît l'a regardé. Des larmes plein les yeux. Malgré ses vingt berges, il y avait quelque chose d'enfantin dans sa détresse. Je le trouvais beau en fait. Samir lui a dit de ne pas avoir peur. Que chacun était libre de sa sexualité et qu'aucun de nous ne diraient quoi que soit à d’autres.
- Ça fait longtemps que t’es comme ça ? Allez mec réponds. On va pas te bouffer. On veut juste savoir. C’est quoi au juste tout cet attirail ?
- Deux ans….
- Que tu te fais niquer en salope ? Et tu rencontres des mecs ?
Benoît chuchotait presque. On devait prêter l’oreille.
- Oui… Des fois ;
- où ?
- A la ville…
- Comment tu fais.
- Minitel.
- Quoi Minitel ?
- Je vais sur le Minitel.
- Sur les réseaux ?
- Oui…
- Comment tu fais ?
- Sur des Minitels de dialogues et de rencontres.
- T’es PD ?
- Non… Non
Moi je comprenais rien.
- Mais des fois j’ai envie. C’est plus fort que moi.
- Des envies de quoi ?
- Des envies c’est tout !
Il s’énervait le Benoît. Samir aussi s’est énervé
- Des envies d’en prendre dans le cul !
Benoît a baissé la tête et Samir s’est calmé.
- T’inquiètes pas on va fermer nos gueules. Rien dire.
Samir a mis la main sur l’épaule de Benoît qui n'avait pas l'air plus rassuré pour autant.
Des balbutiements incompréhensibles sortaient de ses lèvres charnues. Il avait des lèvres de nana en fait le Benoît. Pulpeuses comme on dit. Samir et Fredo le dépassaient de plus d'une tête. Je parle même pas de la différence de poids.
On est resté silencieux un moment. Benoît ne bougeait pas. Il était amorphe.
Je crois qu’on savait plus trop quoi faire, ni quel comportement adopté avec ce nouveau Benoît.
Samir s'est penché vers lui et lui a dit quelque chose au creux de l'oreille. Benoît a sursauté. Samir a ajouté d'autres trucs toujours dans le creux de l'oreille.
Fredo et moi, on attendait.
Samir a parlé longtemps dans l'oreille de Benoît qui a reniflé, nous a jeté un regard honteux. Il a regardé à nouveau Samir avant de baisser encore la tête et il s'est mis à faire un truc incroyable.
Je sais pas ce que lui a susurré Samir à l'oreille dans cette clairière.
On a vu Benoît baisser lentement son short qui est tombé autour de ses chevilles. Puis un slip bleu clair a rejoint le short noir. Son polo blanc lui arrivait à mi cuisses. II s'en est lentement débarrassé.
Il était à poil sous le soleil devant nous !
Pas un poil à l'exception de son pubis et le bas ventre. Même sur ses jambes. Je me suis aperçu que je le vraiment mignon et que surtout je bandais. Je suis sûr que Samir et Fredo aussi avaient la trique. On était les quatre dans un autre monde. Loin de tout. Isolés des gens pas seulement par la forêt.
C'était dingue !
Benoît était nu devant nous. Immobile, muet, ne cachant même pas ses attributs virils. Il attendait tête baissée. Samir le caché en partie à notre vue.
J'ai pas compris ce que venait de dire Samir à Benoît. Ce dernier s'est débarrassé des vêtements qui étaient autour de ses chevilles. Il a enlevé aussi ses grolles et s'est dirigé vers le tronc. Il a mis le petit slip de femme. Silencieux, nous l'avons regardé mettre les bas noirs. J’avais du mal à avaler ma salive. Et les coutures de mon boxer étaient limite de craquer.
D’un coup il me semblait super féminin.
Il s'est penché, prenant appui avec ses bras, nous offrant ainsi une vue superbe sur ses fesses. Le slip de nana lui couvrait à peine la moitié des fesses. Il avait un sacré beau petit cul. Des fesses rebondies, bien blanches. Une peau douce. Ça lui allait bien. Très bien même. On voyait tout à travers la dentelle qui moulait ses fesses..
Ma bite me faisait mal. Elle était serrée dans mon calebar. J'avais la gorge nouée. Le sang cognait dans mes tempes. J'avais oublié l'endroit où nous étions.
Benoît s'est redressé, dos à nous. J'étais fasciné. Il ressemblait à une nana. Une vraie nana. Les bas lui allaient très bien. Il avait le cul rebondi dans le slip blanc. C'était incroyable. Il était aussi fin qu'une femme. Il ne lui manquait plus que des nichons pour être une vraie meuf. De dos c’était une nana en fait. Belle en plus. La transformation était inouïe !
Il devait avoir aucun problème pour trouver des mec grâce au Minitel. Tu te découvres vite d’autres envies devant un mec comme lui.
Samir s'est rapproché. Je ne voyais plus que son dos très large, et il me cachait presque totalement Benoît. J'ai pas osé m'approcher vu que Samir a baissé son froc sous ses fesses cachées par son polo. On devinait son cul musclé et poilu, ses fesses fermes.
Les grosses paluches de Samir se sont posées sur les épaules de Benoît.
J'ai deviné que Benoît s'était mis à genoux devant lui. On pouvait deviner que ses mains tenaient un truc qu’elles caressaient. Je pouvais pas voir ce qui se passait mais j'ai bien deviné quand j’ai vu la tête de Benoît s’agiter qu’il était en train de tailler une pipe à Samir !
J'avais du mal à avaler ma salive. J’avais un chapiteau sous mon jog.
Les mains de Samir devaient tenir la tête de Benoît. On pouvait tous voir le bassin de Samir aller et venir. On entendait aussi de légers bruits de déglutition. Des fois Samir bloquait la tête du Benoît contre son bassin, et on voyait les bras de Benoît gesticuler pour essayer de se libérer.
Au bout d'un moment Samir a reculé et Benoît s'est levé le regard fixe et s'est tourné. Je l'ai vu se pencher et prendre appuis, bras tendus, sur le tronc d'arbre. Ma teub voulait sortir toute seule de mon fut. Je voyais toujours rien, à part le dos et le cul de Samir. Mais je l'ai vu se saisir d'une capote qu'il a dû enfiler sur sa bite. Cela m'a fait flipper quand je l'ai vu ensuite, prendre le tube de vaseline qu'il a jeté dans l'herbe après quelques secondes.
Samir allait enculer Benoît ! Direct ! Devant nous !
Aux mouvements de bassin que faisait Samir, j'ai compris qu'il positionnait sa bite entre les petites fesses. Puis j'ai entendu le cri de femelle de Benoît. Je peux pas décrire ce cri autrement. Un gémissement de douleur et un feulement en même temps. Une respiration haletante. Samir ne bougeait plus. Il avait mis sa bite au fonds des reins de Benoît. Puis il a donné plusieurs coups de rein et on le devinait coller contre le cul de Benoît.
- Putain les mecs ! C’est tout entré direct.
Puis j'ai vu les fesses musclées de Samir s'agitaient au début doucement, puis plus vite et plus fort. Les gémissements de Benoît ont augmenté d'intensité. Des cris rauques qui sortaient de sa bouche à chaque coup de reins de Samir.
- Il a un super beau cul de gonzesse les mecs.
De Benoît, je ne voyais que ses jambes fines gainées de noir ouvertes en compas, et au milieu d’elles ; mon pote Samir entrain de tringler le cul à grands coups de bassin. J'aurais voulu m'approcher, mais je n'osais pas.
Heureusement cela n'a pas duré longtemps. Samir a accéléré ses coups de piston. J'imaginais sa bite que je connaissais pour avoir pris souvent des douches ensemble, ouvrir le fion de Benoît. Je me demandais comment un tel engin pouvait entrer dans un cul. J’avais déjà enculé des nanas et à chaque fois c’était pas évident pour elles même si elles étaient ok.
Je voyais que Benoît avait des difficultés à garder la position sous les coups de queue que lui imposait Samir. Au bout d’un moment, Samir s'est immobilisé en tenant fermement Benoît à la taille. Il a gueulé une injure visage levé au ciel. Il est resté un peu de temps sans bouger, avant de se reculer.
J'ai vu le préservatif souillé atterrir sur l'herbe. Il était plein. Ça m’a foutu un choc.
Samir a libéré le cul de Benoît. Il s'est tourné vers nous. Sa bite tachée brillait sous le soleil. Il a dit à Fredo que c'était à lui. Benoît était toujours penché sur le tronc, immobile. La culotte de femme était déchirée et serrée autour d'une seule de ses cuisses. Il avait les fesses brillantes de vaseline. On pouvait enfin le voir, sa taille très fine, ses fesses épanouies, sa petite bite pendante entre ses jambes bien écartées, il est resté sans bouger à attendre.
Franchement c’était super bandant cette vue.
Fredo a remplacé Samir. Je me suis approché pendant que Samir nettoyait sa bite avec le polo de Benoît. J'ai vu la méga bite de Fredo jaillir de son short. Il l'a tout de suite encapuchonnée et a vidé la moitié du tube de vaseline le long de son sexe. La queue me paraissait énorme. Fredo essayait de trouver la bonne position mais il était trop grand.
Alors, il a carrément levé Benoît et l'a mis à quatre pattes, tête et bras sur le tronc d'arbre.
Je me demandais comment Benoît allait pouvoir recevoir le mastard de Fredo vu la taille de son petit cul. Il a carrément gueulé. Des vrais cris de douleur. Rien à voir avec ses gémissements précédents quand il se faisait enculer par Samir. Il avait mal, très mal.
Fredo s'en foutait.
- Fais pas ta chochotte chérie tu vas adorer ! Elles aiment toutes !
Il lui parlait comme à une fille. En bonne brute qu'il était, il donnait des coups de reins puissants pour carrer toute sa bite dans le petit cul offert de Benoît qui continuait à gueuler à chaque coup de boutoir. Aussi incroyable que cela paraisse Benoît s'est pris dans le cul la totalité de la bite de Fredo. Jusqu'aux grosses couilles poilues.
- Tu vois ma petite chérie, t’es enculé à l’os !
Toujours aussi poète le Frédo !
Je voyais le visage crispé de douleur de Benoît, mais après tout, la bite qu'il avait dans le fion était quand même plus petite que le manche de pelle et à peine plus large.
Fredo a commencé à le limer et les cris se sont transformés petit à petit en gémissements de femelle. Samir regardait la scène en fumant. Il avait toujours la bite à l'air. Il m'a lancé un clin d'œil rigolard. Son sexe à moitié bandé. J’avais jamais vu une bite circoncise qui bande.
Fredo allait de plus en plus vite et défonçait littéralement le cul de Benoît qui criait doucement.
- Je vais te calibrer la chatte ma salope.
Le corps, frêle, tressautait à chaque coup de queue. Sa peau pâle et imberbe luisait de transpiration. Il avait les yeux fermés et ses mains enlaçaient le tronc. Cette salope était en train d'aimer. Il aimait se faire défoncer par la bite de Fredo ! J’y crois pas !
Je pouvais plus me contenir. J'ai baissé mon froc aux genoux. Mon slip a suivi. Je me suis assis sur le tronc à côte de la tête du Benoît. Je l'ai prise par les cheveux pour l'attirer entre mes jambes. Cette salope a ouvert la bouche et a commencé à me tailler une pipe. C'était super. Il me bouffait divinement la queue et mon gland tapait au fonds de sa gorge à chaque coup de piston de Fredo.
- C’était mieux qu’avec une nana.
Infatigable, Fredo le tringlait toujours. J'ai vu que Samir bandait devant le spectacle. Je pas pu me retenir, et j'ai lâché ma purée dans la gorge.
Benoît a tout avalé sans en perdre une goutte.
Fredo a crié en se vidant à son tour.
Samir s'est assis de l'autre côté de Benoît et lui a tendu sa bite. Gourmand, Benoît s'est remis à la sucer sans rechigner. Moi je me suis enfoncé dans ses reins. Même sans crème sur la capote, c'est rentré tout seul et d'un seul coup. Mon pieu s'est planté au fonds de ses entrailles brûlantes.
C'était encore meilleur que la bouche. C'était chaud et onctueux.
Fredo nous regardait en jouant avec le gode. Je me suis mis à bourrer à fonds le petit cul de Benoît. Cette salope en redemandait et bouffait la bite de Samir sans reprendre son souffle. Il était en train de se prendre sa troisième bite dans le cul et dans la bouche et il ne semblait même pas fatigué.
Samir et moi avons pris notre temps. Je lui ouvrais bien le cul. Mes couilles butaient contre ses petites fesses meurtries. Samir lui demandait de lui lécher les couilles. On se le faisait en tandem devant Fredo qui appréciait bougrement le spectacle vu l'émoi de sa verge.
Je sentais la sève monter. Samir lui a bloqué sa bite au fonds de la gorge. Des torrents de sperme ont giclé de ma queue dans la capote. Benoît tétait la bite de Samir en train de cracher elle aussi.
J'ai libéré le cul que je venais de casser. Samir lui avait toujours sa bite dans la bouche de Benoît. J'ai eu le temps de voir que le trou de Benoît restait ouvert. Ça m'a étonné. Je savais pas qu'un trou du cul pouvait rester ouvert. Je me demandais aussi comment un trou aussi petit et lisse sans un poil pouvait engloutir nos bites. Ça devait faire mal quand même.
Pourtant Benoît n'avait pas l'air d'en souffrir. Surtout qu'il venait d'engloutir sa quatrième bite. Et celle de Fredo en plus. Les yeux toujours fermés, le visage mouillé de salive et de sperme, il continuait à sucer le manche de Samir qui fumait une cigarette en se laissant tailler une pipe.
Fredo donnait des petites claques sur les fesses offertes de Benoît. De le voir ainsi offert à quatre pattes, la bouche et le cul plein m'a à nouveau fait grimper la bite dans le calcif.
Samir m'a cédé sa place.
Je me demande si Benoît s'en est aperçu. J'ai mis du temps à cracher ma purée. Fredo l'a fait avant moi. Benoît avait enfin le cul libre. J'ai vu Samir se saisir du manche en bois et le planter à fonds entre les fesses. Benoît a sursauté sous la violence de l'intromission mais n'a pas lâché ma bite. Il a continué de me sucer avec le gode planté entre ses fesses. Je voyais le bout dépasser entre les fesses serrées. Le gode sortait lentement et Fredo le remettait d'un coup sec en poussant à fonds jusqu'à ce que Benoît gueule.
Il a avaler le peu de sperme que j'ai lâché. On n'en pouvait plus.
Lui, 1l est resté à quatre pattes le gode dans le cul jusqu'à ce que Samir lui dise que c'était fini. On lui a quand même demandé de marcher à quatre pattes jusqu'à ce que le gode tombe tout seul. II l'a fait sans problèmes. Sa bite pendouillait au rythme de son avancée. Je réalisais alors qu'il n'avait jamais bandé et je comprenais encore moins ce mec.
Après, Il s'est rhabillé sans un mot. Il a remis son polo taché car on s’était tous essuyé nos bites avec. Il y avait plein de préservatifs sales et tachés sur l'herbe. Cela m'a dégoûté de voir les traces de merde sur le latex rose. Benoît, lui s'en fichait. On s'est refringué. Benoît a rangé ce qui restait des capotes dans le sac avec le gode. II a laissé le slip de femme déchiré et les bas filés à côté du tube de vaseline vide.
On a rejoint la voiture sans se dire un mot. On a repris la route toujours silencieux. Chacun perdu dans ses pensées. Les autres étaient-ils aussi honteux que moi ? Et Benoît, pourquoi ne disait-il rien ? Il conduisait attentif à la route. Il lui restait des traces sur le visage. Et je suis sûr que son derche devait être encore ouvert.
Brusquement, j’ai eu pitié de lui, envie de le prendre dans mes bras. De le cajoler.
Arrivés au village, nous nous sommes séparés. Le soir nous nous sommes retrouvés à l'occasion de la fête du village en l'honneur de notre victoire. Nous avons fait comme si de rien n'était.
Mais quand même, nous ne pouvions pas nous empêcher de regarder de temps en temps Benoît, qui se déchaînait sur la piste de danse au milieu de trois superbes nanas qui n'avaient d'yeux que pour lui.
Le pire c'est qu'en le voyant après tous ce qu'il s'était pris dans l'après-midi, j'ai à nouveau eu envie de lui, et à voir Samir et Fredo, je ne devais pas être le seul.
C’est vraiment avec regret et admiration qu’on l’a vu partir avec une nana à son bras !
André RP95
ANDRERP95@gmail.com
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