Premier épisode |
Chapitre 3
…Après cette pause au bar, qui n’en était pas vraiment une, je décidais de continuer mon exploration des lieux. Max devait encore être dans les rooms à profiter des mecs et je n’avais toujours que mon slip sur moi, dénotant dans la population locale couverte de latex et spandex.
Je repartis dans les étages, l’ambiance électro et les jeux de lumières me transportaient encore hors du temps. Tout y semblait possible. Je passais devant plusieurs cabines où des mecs se donnaient à fond. Un vieux, la soixantaine bien tassé et au grand ventre, se faisait sucer à tour de rôle par deux jeunes masqués à ses genoux. Dans une autre, deux mecs la cinquantaine baisaient bruyamment. Le passif, était un barbu brun élancé dans sa combinaison de latex ouverte sur l’avant qui laissait voir une toison de poils noirs épais. Il se faisait baiser, les bras attachés au mur par des sangles de cuir. L’actif, entièrement vêtu de spandex, laissait voir une longue queue fine aux couilles lisses sortant de sa combinaison. La salle dans laquelle se faisait auparavant baiser le jeune minet à mon arrivée était maintenant occupée par plusieurs mecs entourants un passif métis qui ne savait plus où donner de la tête pour sucer les mecs qui s’y présentaient.
Alors que je me posais près de l’entrée pour admirer le métis se prendre une double pénétration tout en empoignant les queues devant lui, un mec vint se placer à côté de moi. Je n’y prêtais pas forcément attention, obnubilé par le métis qui encaissait les deux bites en gémissant, lorsque le mec à coté de moi mit sa main sur l’élastique de mon slip. Je tournais la tête et reconnu le trentenaire dont j’avais bouffé le cul pendant que Max s’empalait sur ma queue en double (voir chapitre 1).
Le jeune trentenaire me sourit et je pris le temps de le détailler. Ses cheveux châtains et épais encadraient un visage parfaitement lisse et avenant qui faisait penser aux représentants de commerces des magazines. Son torse était parfaitement sculpté. Il avait un tatouage de lion sur le pec gauche mettant en valeur sa musculature et son six-pack. Sur chaque biceps saillait un brassard de cuir rouge et noir faisant écho à son pantalon en latex qui moulait parfaitement son corps et ne laissait apparaitre qu’une paire de fesses glabre et bombée.
Je lui fis un signe de la tête et celui-ci se jeta sur mes lèvres pour un baiser enflammé. Nos mains n’étaient pas en restes et exploraient nos corps avides. Hors de ce contexte de sex-club, on eut pu penser à un couple éprit qui ne se serait pas vu depuis longtemps. Mes mains étaient à présents sur ses fesses dont j’appréciais la fermeté. Il s’approcha de mon oreille et me chuchota:
- Tu m’as laissé sur ma faim tout à l’heure, je veux profiter de toi !
- De ce que tu m’as laissé comme avant-goût, je veux passer au reste du menu.
Il m’embrassa encore et continua de me caresser. Ma bite était maintenant tendue dans mon slip et mouillait le tissu.
Il me prit par la main et m’entraina à l’angle vers un autre couloir, beaucoup plus petit et plus sombre. Je le plaquis contre une paroi proche et repris sa bouche contre la mienne, emmêlant nos langues suavement. Il m’embrassa dans le cou puis descendit, me suçotant les tétons, ce qui me fit gémir, puis descendit encore sa langue le long de mon ventre. Il baissa mon slip à mes pieds tout en se plaçant à hauteur de ma bite. Il émit un long « hmmm » de plaisir et embrassa mon pubis, mes couilles puis remonta le long de ma hampe jusqu’à mon gland. Il commença alors à le prendre du bout des lèvres, s’amusant à aspirer ma mouille et à me titiller avec la pointe de sa langue avant d’avaler ma queue petit à petit jusqu’à ce que son nez vienne toucher mes poils.
Il commença à alterner les gorges profondes et les léchages de gland. Il était complètement dévoué à ma queue et la pompait avec passion. Ses mouvements de tête étaient rapides et on pouvait croire qu’il en voulait encore plus. Je profitais de sa pipe et m’appuyais complètement contre la paroi. Je sentis alors un trou sur lequel mes fesses étaient appuyées. Une main caressait doucement mes fesses à-travers pendant que mon trentenaire me pompait. Soudain, un morceau chaud et dur se glissa contre mes fesses. Je le pris en main et découvris une bite circoncise longue d’une vingtaine de centimètre et épaisse. Je n’étais pas habitué aux queues circoncises et ne trouvais jamais la bonne manière de m’en occuper, aussi je me décalais sur le coté de la paroi, laissant la bite surgir à travers le trou, la gardant serrée dans ma main.
Etant plongé dans la semi-pénombre du couloir, mon jeune trentenaire ne s’était pas rendu compte de ce nouveau jouet. Je profitais de sa pipe en le faisant accélérer sur mon épieu. Pris d’excitation, je le saisis par les cheveux, lui fis sortir ma bite de force de sa douce bouche et lui plaqua la tête contre la bite sortant du mur. Surpris, il émit tout d’abord un mouvement de recul, puis voyant que ma main continuait à le mener jusqu’à elle, prit le chibre en bouche et commença à le sucer. Sa pipe était passionnée et les bruits de sucions de sa bouche me faisaient mouiller abondamment. Je caressais ses épaules solides et glissais ma main le long de son dos musclé. Arrivé à ses fesses, j’agrippais fermement les deux globes et les écartais. Je laissais couler ma salive le long de sa raie et en tartina la surface. Son trou palpitait contre mes doigts humides et je fus surpris de voir comme il était serré.
Je jouais alors avec, y entrant d’abord une phalange précautionneusement, puis un doigt. Je palpais sa prostate déjà gonflée dans ce conduit serré et la caressais en la stimulant. Je ressortis mon doigt et crachais à nouveau dans ma main pour étaler ma salive sur son trou. J’introduisis cette fois deux doigts, lentement, l’entendant gémir et souffler à chaque avancée dans son cul. J’y restais le temps de sentir son trou s’ouvrir puis accélérais doucement le mouvement de mes doigts dans son trou. J’entrais et sortais mes deux doigts au rythme de ses mouvements de tête sur la queue de l’inconnu. J’entendais la bave couler par terre due à la queue qui entrait et sortait rapidement maintenant de sa bouche. Je sortis mes doigts de son cul et pris la bouteille de poppers que papy m’avait donné pour en humer de chacune de mes narines.
Entendant le bruit de l’aspiration, mon jeune trentenaire se tourna vers moi et reprit ma queue en bouche. Il me fit signe de lui passer ma bouteille que je lui tendis. La queue de l’autre mec claquait contre ses fesses comme une main frappant à une porte pendant qu’il reniflait plusieurs fois profondément la bouteille.
L’effet du poppers monta rapidement et à peine eut-il refermé le flacon que j’enfonçais d’un coup ma queue dans sa bouche chaude. Je sentis les effets monter en lui quand il redoubla d’intensité sur ma queue. Il prit de la bave coulant de sa bouche et vint branler la queue de l’inconnu dont la queue pointait hors du mur. Moins de trente secondes plus tard, il émit un gémissement viril en sortant ma queue de sa bouche et prenant appui sur mes hanches. L’inconnu était en train d’entrer en lui !
Mon trentenaire reprit du poppers et s’enfonça sur le pieu qui sortait du mur, tout en reprenant ma queue en bouche, le faisant gémir de plus belle.
Les mouvements de l’autre mec dans son cul faisant bouger le trentenaire sur ma queue, la pompant au rythme des coups de l’inconnu dans le mur. Quand celui-ci ralenti, je vis mon trentenaire prendre la main sur cette baise rythmée et accélérer encore. J’entendis alors une voix grave et profonde gémir:
- Put*** il est en train de me branler avec son cul !
Mon trentenaire relevait la tête vers moi et dans la semi obscurité je ne pouvais qu’imaginer son sourire en me regardant d’en bas, une queue bien au fond de son cul. Soudain, l’autre mec gémit plus fort et bourra plus vite mon trentenaire qui gémissait à présent tout fort. L’homme derrière le mur émit un grognement roque et long, semblable à celui d’un mec se vidant abondamment d’une longue abstinence. Mon trentenaire avait repris un rythme doux sur le pieu du mec. Soudain, il se redressa et se tourna pour venir poser ses deux mains contre la paroi. Son cul était particulièrement mis en valeur par le clair-obscur de la situation, son pantalon noir accentuant le regard sur ses deux fesses fermes. Il ne pouvait être un meilleur appel que son dos cambré, la tête appuyée sur la paroi. Il reprit une dose de poppers puis me tendit le flacon. Je sniffais le produit et, sans autre forme de préparation, entrait d’un coup entièrement dans son cul. Mon trentenaire émit un long gémissement, ma queue étant plus large et épaisse que celle de l’inconnu qu’il venait de s’enfiler.
Arrivé au fond, le saisissant aux hanches, je pris un rythme rapide et défonçais son cul. Ma queue, couverte du jus de l’autre mec, coulissait sans difficulté dans son trou qui restait très serré. Mon trentenaire gémissait et après quelques minutes, je m’enfonçais au plus profond de lui pour le plaquer contre la paroi.
- Encore, je te kiff mec.
- J’adore ton cul, t’es tellement serré.
- Je te veux en moi depuis que je t’ai vu tout à l’heure. Je suis complètement à toi. Doses moi… s’il te plait.
Excité par sa voix douce et suppliante, je repris mes coups de butoir. Ses gémissements avaient faits venir plusieurs mecs dont la plupart restaient à distance dans l’ombre. Une queue, petite et dressée vers le haut, dépassait du trou dans le mur mais mon trentenaire était trop appliqué à encaisser ma queue. Un mec passa la main sur son torse mais je le chassais d’un geste. Je voulais ce moment pour nous, le posséder et qu’il ne soit qu’à moi. J’alternais à présent la vitesse et la profondeur pour ne pas jouir. Mon trentenaire promenait ses mains sur moi. Je lui tendis la fiole de poppers, il sniffa plusieurs fois. l’effet fut immédiat et son trou se mit à palpiter sur ma queue. Je repris un peu du produit pendant qu’il se penchait en avant, mettant son dos à l’équerre pour sentir encore plus ma queue en lui. Je repris mes coups de semonce dans son cul, le faisant gémir de plus belle.
Plusieurs mecs autour jouissaient et commençaient à se toucher entre eux mais nous n’avions d’intérêt que pour notre sodo intense. Son cul venait se contracter contre ma queue lorsque celle-ci était au chaud au fond de lui. Emporté dans mes mouvements, je laissais un mec venir se placer derrière moi. Entièrement nu, il se colla à moi. Son corps était fin et relativement musclé. Entièrement lisse sauf sur le torse où un léger duvet caressait mes omoplates. Sa queue était molle mais relativement longue et épaisse même au repos et était venue se placer le long de ma raie. Ne sentant pas de danger à une queue molle contre moi, je le laissais prendre place dans mon dos. Ses mains parcouraient mon corps mais ne me freinaient pas dans mes mouvements. Le fait d’avoir un inconnu contre moi m’excitait et je le laissais me toucher, me caresser. Il passa ses mains au plis de mes jambes entourant ma queue et mes couilles tel un cocking et accentuant encore l’entrée de ma queue dans le trou de mon trentenaire. Il remonta ensuite ses mains, caressant mon ventre puis mon torse. Il plaça ses doigts sur mes tétons, me faisant gémir doucement. Il me caressait les tétons avec délicatesse, faisant accroitre encore mon plaisir. Il osa alors un baiser sur mon épaule, guidant mon mouvement de bassin avec son propre mouvement contre mes fesses.
Je me calquais sur son rythme pour baiser mon trentenaire qui gémissait de plus belle sans voir ce nouveau participant. L’inconnu m’embrassa dans le cou tout en continuant ses caresses. Je laissais ma tête reposer contre son épaule et me laissais emporter par le plaisir que me procuraient ses mains, son corps chaud contre moi et ma queue enfournée dans un cul serré. Il descendit à nouveau ses mains et saisit mes fesses, marquant encore le rythme en poussant mes fesses vers le trentenaire. Il glissa alors vers le sol et vint placer sa tête contre mes fesses. Des lèvres embrassèrent chacunes de mes fesses. Sa langue commença à se frayer un chemin sinueux dans ma raie. Emporté par l’excitation, je le laissais faire. Je le sentis écarter mes fesses doucement et poursuivre son exploration. Sa langue chaude et humide vint alors titiller ma rondelle. Actif de base, je n’avais jamais vraiment goûter au plaisir d’une langue sur mon cul et mon cul, légèrement poilu, freinait par ailleurs les passifs qui s’y aventuraient. Je le laissais cependant continuer. Sa langue pointilleuse, venait lécher et pénétrer doucement mon trou.
La sensation était différente des quelques fois où je m’étais laissé lécher. Le mec en question avait la langue agile et ne forçait pas sur ma rondelle mais en faisait le pourtour. Ses lèvres chaudes alternaient à embrasser, pour ne pas dire aspirer, mon trou et à le lécher avec sa langue humide, procurant une alternance délicieuse. Mes gémissements étaient alors plus bruyants, le jeune trentenaire ne se doutant toujours pas de ce qui se passait dans son dos. J’appuyais sur la tête de l’inconnu, touchant ses cheveux ras et clairsemés, l’enfonçant plus loin dans mon cul. Il se mit alors à me dévorer les fesses, sa bouche et sa langue s’activèrent encore contre mon trou. Sa langue dardait à présent l’entrée de mon trou et je ne pouvais cacher mon plaisir. Sa main avait saisie mes couilles et les caressaient. Au comble de l’excitation, je ne pu qu’accélérer dans le cul de mon trentenaire. Gémissant plus fort, celui-ci accéléra également ses mouvements pour s’empaler de lui-même sur ma bite, resserrant son trou contre ma queue. Je m’enfonçais alors au maximum dans son cul et dans un gémissement puissant, le prévins que j’allais jouir. Je jutais une dizaine de jets dans son cul chaud pendant que mon trentenaire musclé contractait au maximum son cul, me faisant gémir encore plus fort. Alors que ses mains étaient appuyées contre la paroi, mon jeune trentenaire gémit également, son corps prit de spasmes. J’entendis le bruit du sperme s’écoulant au sol en plusieurs giclées, il venait de jouir sans se toucher.
je m’allongeais sur le dos musclé de mon passif et le serrais contre moi, me laissant savourer l’instant alors que son cul se contractait sur ma queue qui rétrécissait en lui. L’inconnu qui m’avait bouffer le cul s’éclipsa discrètement avant que je n’ai pu voir son visage. Je sortis du cul de mon passif qui se redressa. Il m’embrassa langoureusement avant de partir sans se retourner. Me laissant seul avec plusieurs mecs, la bite à la main. Le temps que je remette mon slip et que je range mon poppers, il avait disparu…
Je sortis alors du couloir sombre qui s’était bien rempli, vidé, et partis à la recherche de Max et de la suite de cette nuit qui me donnait la vue d’une vraie balade hard en province…
PierretBi
jeansaisrien109@gmail.com
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