Premier épisode |
Chapitre 4
… Je quittais le couloir sombre, les couilles vides, à la recherche de Max. Les heures avaient défilées rapidement et je ne voulais plus que rentrer dormir, l’esprit et le corps légers.
Je déambulais dans les couloirs des étages à la recherche de Maxime, découvrant de nouvelles pièces pleines d’actions au fur et à mesure de mon exploration. Les gars étaient étonnamment sans gênes, se faisant pomper directement dans le couloir. Certains alpaguaient les mecs qu’ils croisaient en se frottant les uns aux autres. Plus aucune limite n’était donnée si ce n’est celle du filet à l’entrée des salles.
Je retournais dans la salle en entresol où j’avais laissé Max. Plus personne n’était présent mais des traces de spermes sur plusieurs meubles étaient la preuve des cochonneries qui s’étaient passées ici. (voir chapitre 1). Une ombre passa à l’entrée de l’escalier, comme quelqu’un qui m’aurait observé et se serait éclipsé rapidement quand je me serais retourné. Surement un mec pas intéressé. Je remontais à l’étage et passais devant les toilettes, seule porte fermée de la soirée, pensais-je ironiquement.
Je montais encore d’un étage et découvris de nouvelles salles que je n’avais pas encore explorées. L’étage était plus sombre et seules des lumières stroboscopiques éclairaient par flash rouges les couloirs presque vides dont le sol était délimité par des leds. En avançant dans un long couloir, j’eu à nouveau cette sensation d’être observé. En me retournant je vis un homme dans les 50 ans avancer vers moi. Comme vous avez pu le voir dans les chapitres précédents, je ne suis pas un grand fan des personnes mûres. L’homme était solidement charpenté, du haut de son mètre 85, il imposait une prestance mystérieuse. Typé arabe, le mec avait des cheveux courts noirs, son visage était carré, buriné par le temps et son torse légèrement poilu de longs poils noirs. Le reste de son corps paraissait complètement imberbe. Il portait pour seul vêtement un short de course noir et des chaussettes de sport blanches s’arrêtant à mi-mollet :
- Salut, tu trouves ton bonheur ?
Sa voix était grave et directive. Mais elle laissait transparaitre une vraie curiosité. Son regard me faisait l’effet d’un rayon X, me scrutant des pieds à la tête. Il paraissait être le genre de mec dur et viril qui ne se laisse pas impressionner et qui maitrise la situation. Je n’aimais pas ce genre de mecs.
- Je me plains pas. Mais je me suis déjà bien vidé, je rejoins mon pote pour rentrer.
- Tu pars déjà ? Tu devrais profiter encore, c’est pas tous les soirs ce genre de soirées.
- J’ai déjà bien profité, j’ai les couilles vides.
- Ouai je t’ai vu baiser le petit mec au bar et celui dans le couloir taleur.
- Ah? Cool. j’espère que le spectacle t’a plu alors. Fallait participer.
- Oh mais j’ai participé. Il faisait ptete trop sombre pour toi.
Sa voix grave résonnait à mon oreille et j’étais persuadé de l’avoir déjà entendue. Il restait planté face à moi sans faire le moindre geste et pourtant je pouvais sentir qu’il me désirait. On eut dit un loup guettant sa proie. Il ne savait probablement pas que je n’étais pas un jeune agneau qu’il a l’habitude de chasser ici et de démonter.
- T’es exhibitionniste et voyeur alors ?
- Pas spécialement, mais j'aime pas tellement me mêler pour baiser comme ça devant les vieux.
- Si je voulais être bâtard, je dirais que tu es plus dans la catégorie des vieux que des jeunes ici.
- Oh mais ça m’empêche pas de soulever des jeunes… comme toi.
On y était, le mec guettait maintenant ma réaction. Sa phrase était ambiguë et pouvait laisser entendre plusieurs choses, c’était le moment de réagir avant qu’il ne me saute dessus.
- Ouai bien d’accord avec toi, les jeunes c’est tout de même plus agréable.
- Ça c’est certains, surtout avec une queue comme la tienne, ils adorent.
- T’es un de ces daddy qui aiment les grosses queues alors ?
Je tenais à présent mon paquet dans ma main et regardais son short qui avait prit du volume pendant notre conversation. J’étais passé de l’indifférence pour un rebeux macho à un réel intérêt pour ce mec mystérieux. Son corps, bien que peu musclé, était plat et fin. Son visage m’apparaissait beau pour un mec de son âge et sa virilité commençait à m’attirer. Le mec continuait de me scruter, sans faire un geste.
- Ça te plait les daddy finalement ? Les marocains c’est toujours bien conservé.
- J’ai jamais su gérer une queue circoncise.
- Oh tu avais l’air de bien t’en tirer tout à l’heure à branler cette queue.
- J’étais chaud, je voulais me vider.
- Faut croire que t’as encore envie de te vider.
Pendant qu’on parlait, ma queue avait repris du volume et était maintenant à l’étroit dans mon slip. Le mec me regardait en souriant. Ses dents étaient blanches et elles lui donnaient un charme insoupçonné. Il posa ses mains sur mes épaules, fermement, ses bras étaient musclés et une touffe de poils noirs drue sortait de sous ses aisselles. Il fixa son regard dans le mien et me dit:
- Moi c’est Samir, et toi ?
- Pierre. Tu as quel âge ?
- Je vais sur mes 49 et toi ? 23-24 ?
- Je vais avoir 28.
- Ah les français vous êtes bien conservés ! Et bien dotés !
Il descendit sa main sur mon paquet et le malaxa doucement tout en continuant de fixer ses yeux dans les miens. Il approcha son front du mien et nous colla l’un à l’autre, sa main avait glissé derrière ma tête et la maintenait contre son front. Je ne pouvais quitter ses yeux noirs qui se noyaient dans les miens. Sa main droite était toujours posée sur ma queue, qu’elle serrait à travers le slip. Ma mouille humidifia le slip. Samir caressa la partie humide et en tira un filet de mouille. Il vint le porter sur ses lèvres qu’il lécha avec sa langue puis reprit place.
Sa sensualité et sa virilité me faisaient à présent complètement de l’effet et je sentais mon coeur s’accélérer. Je posais ma main sur son ventre plat et remontais ensuite vers son torse velu. Je mélangeais mes doigts dans ses poils. J’approchais de son téton droite et passa dessus avec la pulpe d’un doigt. Il sourit et se mordit la lèvre basse. J’insistais alors sur son téton avec mon doigt, jouant à passer dessus doucement. Chaque passage le faisait grimacer, ses yeux ne quittants pas les miens. Je mouillais mon doigt de salive et le passa à nouveau sur son téton. Mon front toujours appuyé contre le sien me laissait voir chaque mouvement de plaisir traduit par son visage buriné.
Il descendit sa main de derrière ma nuque contre mon téton et commença à jouer avec également. Je me mordillais à mon tour les lèvres pour lui montrer mon plaisir. Sa seconde main caressa ma mouille et vint la déposer sur mon autre téton. Ses deux mains s’activaient à présent sur mes tétons, me faisant souffler doucereusement. Je pris le pli et posa mon autre main sur son téton. Je commençais à les pincer légèrement, puis plus fortement jusqu’à entendre un léger gémissement roque sortir de sa bouche. Il continuait de me regarder et nous nous sourîmes pour la première fois.
J’avançais alors mes lèvres jusqu’à son visage… et descendis en l’effleurant, prenant son téton entre mes lèvres. L’effet fut immédiat et il posa sa main sur ma nuque, me bloquant dans cette position en gémissant.
Plusieurs mecs étaient maintenant autour de nous et nous regardaient, certains s’approchants pour tenter de nous toucher. Samir fit signe de reculer à l’un d’entre eux puis me releva doucement.
- Et si on allait profiter ailleurs, plus tranquillement.
- Si tu veux, je ne connais pas l’étage.
- Ne t’en fais pas, suis-moi.
Il me devança et passa à-travers la foule de mecs qui s’étaient réunis dans le petit couloir. Il me fit prendre plusieurs couloirs. Certains mecs nous suivaient de loin. Les stroboscopes flashaient et donnaient une ambiance particulière à l’étage. La musique électro aux rythmes rapides faisait battre mon coeur au même rythme, j’étais transporté. Samir avançait sans l’ombre d’un doute, me devançant d’un mètre, il ne s’arrêtait pas pour vérifier que j’étais toujours derrière. Il m’entraina par une porte sombre au fond d’un couloir. A l’intérieur seules quelques leds au sol indiquaient différents chemins dans ce qui apparaissait un labyrinthe miniature. Selon les couloirs, on apercevaient des mecs à genoux ou plaqués contre une paroi. Samir ne s’arrêtait pas et m’avait saisi le poignet pour me guider.
On sorti finalement par une porte latérale pour se retrouver dans un simple couloir menant à une impasse. De chaque côté, on apercevaient plusieurs salles, toutes avaient le filet sur la porte mais seule l’une d’entre elle était prise par un couple en pleine baise. Samir me fit entrer dans la pièce la plus éloignée de l’entrée et remit le filet derrière nous. Une ambiance tamisée éclairait la petite pièce dont les seuls apparats étaient un lit rond au centre de la pièce et des miroirs sur chaque mur, plafond inclus.
Samir se tourna vers moi, il me dominait facilement d’une tête et son regard continuait de me passer au rayon X. Il me sourit du bout des lèvres et s’approcha de moi. Il me prit dans ses bras et me colla contre son torse velu. Je sentais à présent son sexe contre mon bas-ventre. Il était mou mais paraissait déjà de bonne proportion. Il prit ma tête dans ses mains et vint coller son front contre le mien. Son charisme était à son paroxysme et sa virilité se dégageait de chaque pore de sa peau.
- Tu es vraiment très beau Pierre. J’ai très envie de toi.
- Tu es pas mal non plus, pour un vieux. Reste à savoir si tu vas encaisser ma queue.
Samir sourit à nouveau et cette fois-ci posa brièvement ses lèvres sur les miennes, comme un baiser volé. Il se pinça ensuite les lèvres, attendant ma réaction. Je ne perdis pas de temps à la réflexion et à mon tour colla sa tête à la mienne, nos lèvres se joignant. Je plaçais ma main derrière sa tête et le forçais à maintenir ses lèvres sur les miennes. Samir se relâcha alors et je sentis ses muscles se détendre. Ses baisers étaient passionnés et ses mains parcouraient mon corps, caressant mon dos, mon ventre, mes tétons ou ma queue. Je sentais alors le pur-sang s’emporter et me serrer contre lui. J’introduisis ma langue entre nos lèvres. Il luttait pour ne pas la laissé passer mais ma main plaquée contre sa tête le bloquait dans cette position et, résigné, il laissa entrer ma langue dans sa bouche.
Samir commença alors à sucer ma langue qui déversait ma salive dans sa bouche. Les mains de Samir continuaient de caresser mon dos, mon cou. Il me pressa contre lui. Je sentais son corps dur et musclé malgré son apparence svelte se coller à moi. La tête dans les poils de son torse, j’humais alors l’odeur de mâle qui se dégageait de lui. Une odeur puissante et forte venant accroitre encore la virilité du mâle. Samir plaqua à nouveau son front contre le mien et dit :
- D’habitude je n’embrasse pas les hommes. Mais toi Pierre, tu as l’air spécial. Tu me fais un effet que je n’ai jamais connu, j’adore ça.
- J’aime ton odeur et tes poils. Ta virilité me chauffe à fond. Et ta langue est très douée.
Je n’avais à présent plus aucune réserve, dans les bras de ce rebeux de l’âge de mon père. Il continuait de me caresser puis vint m’embrasser dans le cou. Sa bouche descendit sur mes tétons et les mordilla pendant plusieurs minutes. Ma queue était à présent dure comme de la pierre dans mon slip dont une large tâche de mouille laissait entrevoir ses contours. Samir s’assit sur le bord du lit et à ma grande surprise, continua sa descente vers mon slip. Il descendit brusquement mon slip et laissa s’évader ma queue qui vint se plaquer contre mon ventre. Il empoigna ma queue et la branla quelques minutes en me regardant. Toujours le regard fixé sur moi, il goba alors ma bite en entier. Ses mains soupesaient mes couilles en les caressants pendant que sa bouche allait et venait sur ma queue. Il la sortie plusieurs fois pour me regarder, un long filet de mouille joignant ma queue et ses lèvres. Il embrassa mon gland puis l’avala, glissant sur ma hampe et se forçant à la faire passer dans sa gorge en émettant des gargouillements. Je l’encourageais en guidant sa tête sur ma queue. Samir était complètement soumis à ma queue et continuait de la gober à fond.
Après quelques minutes de ce jeu de bouche, je le saisis par les aisselles, moites, et le redressais pour l’embrasser. Il prit mes mains et les senties. Je soulevais alors son bras et vint mettre mon nez directement sous son aisselle. Ses bras humaient un parfum fort de mâle viril. Je les léchais puis l’embrassais passionnément. Mes mains n’étaient pas en reste et tout en l’embrassant, je fis descendre son short au sol, dernier rempart à notre contact. Sa queue était au repos, relativement épaisse, circoncise, elle pendait sur deux grosses couilles. Son pubis était légèrement velu mais bien entretenu. J’agrippais cette queue dans ma main, ne sachant comment la branler. Je continuais d’embrasser Samir dont les mains exploraient mon corps.
Sa queue gonfla légèrement à force de contraction pour une demi-molle prometteuse. Samir me tourna soudain dos à lui et vint me serrer dans ses bras. J’eut alors une sensation de déjà vu, son sexe collé contre mon cul, ses poils entre mes omoplates et sa bouche dans mon cou. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit il mit ses doigts sur mes tétons et commença à jouer avec. Oubliant le reste je me concentrais sur mon plaisir, sentant sa queue prendre de l’ampleur entre mes fesses. A présent, celle-ci était complètement dure et venait taper contre mon périnée. D’une bonne vingtaine de centimètres, elle était épaisse et veineuse.
En la prenant en main je compris alors : c’était lui le mec qui avait donné sa queue à mon trentenaire à sucer dans le trou du mur ! Mais plus encore, c’était lui qui m’avait bouffer le cul ensuite pendant que je baisais le trentenaire. (voir chapitre précédent). Comme pour confirmer mes dires, Samir me souffla alors à l’oreille :
- Je ne sais pas ce qui est le plus agréable chez toi, mon jus sur ta queue à pomper ou ton cul de vierge à bouffer.
- Je savais que je connaissais ta queue.
- Tu vas apprendre à la connaitre plus en détail, vous allez vous entendre.
Il me poussa alors sur le lit central. A quatre patte sur le lit, je me regardais dans cette position dans le miroir qui me faisait face. Samir en avait profité pour attraper la bouteille de poppers dans ma chaussette et en sniffait à grande dose. Je me tournais alors vers le miroir latéral, mon corps blanc et jeune était courbé, comme une invitation à Samir dont le corps brun, le visage buriné et la bite tendue, étaient à présents concentrés sur mes fesses.
Des dire de mon ex copine et de mes nombreux amants, j’avais des fesses magnifiques. Plusieurs fois, des actifs avaient tentés une main baladeuse mais très rare étaient ceux qui avaient pu y mettre leurs doigts. Samir cependant était différent. Son regard me mettait en confiance et je ne me sentais pas gêné à aller plus loin avec ce mâle d’expérience sans envisager pourtant qu’il n’entre sa queue en moi. Je pris le poppers et sniffais plusieurs fois le flacon. Prenant ce geste pour une permission, Samir vint glisser sa queue le long de ma raie ouverte puis descendit jusqu’à placer sa tête entre mes jambes.
Comme la première fois, Samir prit le temps de faire les choses. Il embrassa chacune de mes fesses, prit ma queue en main et la tendit vers le bas. Il la suça pendant un moment, glissant sa langue le long de la hampe puis s’affaira sur mes couilles qu’il prit en bouche, une par une. Il remonta sa langue et approcha alors de mon trou.
- Il est très serré, tu ne dois pas laisser beaucoup de monde le toucher.
- Personne n’y entre.
Il posa ses lèvres sur mon trou et le suça légèrement, comme pour le faire ressortir. Puis il sortit sa langue et en fit le tour, laissant une trace humide autour de ma pastille. Il alternait les coups de langues et de bouche. Concentré sur les sensations et enhardie par le poppers, j’émis des petits gémissements. Je me regardais dans le miroir: Samir était accroupi devant mon cul tendu, une main sur ma hanche et l’autre branlant sa queue. Mon cul était tendu et cambré et j’eu du mal à me reconnaitre dans ces actions. Je le laissais me bouffer le cul plus passionnément, dardant sa langue à l’entrée de mon cul que je sentais s’ouvrir sous son génie. J’appuyais ma main derrière sa tête, le forçant à aller plus loin en moi.
Mon autre main sur ma queue avait dû ralentir son rythme de peur de jouir trop rapidement. Samir se redressa soudain et vint s’allonger sur le dos dans l’autre sens. Il prit sa bite en main et la dressa fièrement. La bite circoncise, épaisse, bavait de mouille qui coulait le long de son gland. De grosses veines palpitaient le long de son chibre. Je compris le message et me mis sur lui. Ma bouche prit rapidement le chemin de sa queue. Je la laissais descendre dans ma bouche jusqu’à ma gorge, passant la luette plus facilement que je ne l’aurais pensé. Samir avait repris sa fellation et me pompait à présent à fond, gardant ses mains de chaque côtés de mes fesses. Il remonta sa langue sur mes couilles qu’il aspira. Voulant lui faire ressentir le plaisir que je prenais, je m’appliquais à les lui lécher avec passion. Sa langue remonta alors vers mon cul le long de mon périnée et vint me bouffer le cul sauvagement. Je gémis et me dirigeais à mon tour vers son cul. Il était poilu et je descendis mes lèvres le long de sa raie, véritable forêt dense. L’odeur de mâle y était délicieuse. J’atteignis son trou qui me parut très serré. Il prit ma tête dans ses mains et la remit sur sa queue.
Il me baisa alors sauvagement la bouche pendant qu’il me bouffait le cul divinement. Reprenant un peu de poppers, je vins replacer mon gland sur ses lèvres qu’il ouvrit aussitôt. Il pompait ma queue avec délice et cela ne faisait qu’accentuer ma succion sur la sienne. Je le sentis se mettre à trembler et gémir, ma queue l’empêchant de parler, j’accélérais mon mouvement, tant de la bouche que du bassin. Ma queue était fixée dans sa bouche et il ne pouvait la sortir. J’aspirais avec force son gland et accentuais mon mouvement.
Je sentis alors la pression passer dans sa queue et un flot massif de jus tapisser ma bouche. Ne pouvant recracher, j’avalais l’ensemble. L’excitation de la jouissance m’entraina et au même moment je déversais plusieurs jets de jus dans la bouche de Samir qui accentua sa pression sur mon cul pour enfoncer encore ma queue dans sa bouche.
La jouissance arrivée, nous nous rejoignîmes dans les bras l’un de l’autre. J’avais encore son jus dans la bouche et me souvenant de sa phrase de tout à l’heure lui roulait une pelle baveuse. Le pervers avait également gardé mon jus en bouche et me le crachat dans la bouche.
Ayant eu raison de mes dernières forces, je tombais dans les bras de Samir et m’endormis quelques temps. Je fus réveillé par une sensation au niveau de mon cul. Samir avait la tête dans mon cul et me bouffait le trou. Excité par la situation je rehaussais mes jambes pour lui libérer l’accès à mon trou. Il me bouffa alors le cul plus sauvagement, crachant dans ma raie. La bave coulait le long de mon trou jusque mes couilles. Je pris du poppers et tendis encore mon cul.
Alors, sans que je ne pu m’y préparer plus, Samir posa son gland contre mon trou. Sa bite était humide, de mouille ou de salive, et glissait contre mon cul mouillé par sa salive. Celui-ci commença quelques mouvements d’entrée-sortie dans mon trou, tout en me maintenant par le bassin. Bien qu’excité par la situation, je ne me sentais pas suffisamment à l’aise pour prendre une queue de rebeux aussi épaisse dans mon cul. Je lui souris et éloigna mon cul de sa queue. Samir attrapa alors mes cuisses et les fit glisser au bord du lit sur le sol, ses mains appuyées contre mes hanches me bloquaient.
Il vint alors introduire sa queue doucement mais sans s’arrêter dans mon cul. Je hurlais de douleur et gémissais des « non arrêtes » mais je voyais à présent son visage entièrement concentré sur mon cul. La douleur était massive et je sentais mon cul pulser contre sa bite qui était à présent à moitié entrée dans mon cul. Il cracha sur sa queue et continua de s’enfoncer doucement. Mes larmes coulaient maintenant chaudement alors que je me sentais envahir par cette queue. Je sentis alors son pubis taper contre mon cul et s’immobiliser.
- Ça va aller, regardes, je suis au fond de toi. Laisses toi aller et respires, maintenant ça ne va pouvoir être que bon.
- Non arrêtes mec sors j’ai mal.
- Chut chut chut, reprends du poppers.
Zombifié par la douleur, je suivis ses ordres et je sniffais du poppers comme j’en avais rarement pris. L’effet se fit rapidement sentir et mon trou commença à s’ouvrir sur la queue du rebeux. Samir redressa alors mes jambes sur le lit et commença quelques mouvements précautionneux. La douleur laissait place petit à petit à des vagues de chaleur. Je laissais Samir continuer ses mouvements doucement, entrant et sortant de mon trou. Je me regardais dans le miroir, une queue enfoncée dans mon cul. Je décidais alors de lâcher prise. Ici, personne ne pouvait me voir, je ne connaissais personne de notable et je prenais mon pied sur une grosse queue. Je repris une dose de poppers et attrapa une fesses de Samir pour le faire accentuer son rythme.
Samir commença alors une baise ardente. Accroché à mes hanches il enfonçait sa queue le plus profondément possible dans un rythme rapide qui ne me laissait pas le temps de faire autre chose que de souffler fort. Samir me prit par les épaules et s’enfonça encore plus loin en moi. Sa queue faisait palpiter mon ventre et je sentais la chaleur de sa queue dans mon trou.
- Put*** je kiff ton trou bébé. Je veux te féconder. T’es ma pute maintenant.
Si j’aurais habituellement réagis direct en remettant le mec à sa place, je me pris au jeu et le laissa me baiser encore. Ses mains claquaient à présent sur mon cul et me tiraient les cheveux. Il accéléra encore et me mit une main à la gorge et l’autre sur le téton, le pinçant fortement. Je repris du poppers et m’admirais dans la glace, le cul cambré, offert. La vision périphérique donnée par les différents miroirs m’excitait et je voyais Samir me regarder, un regard bestial posé sur moi, accentuant encore ses coups, il se mit à frémir. Je sentais par ailleurs mes jambes trembler et faiblirent, mes couilles me faisaient un drôle d’effet et je lui hurlais :
- Samir je vais jouir !
Samir se plaqua alors contre moi, émit un grognement grave et puissant et me serra contre lui. Je sentis plusieurs jets chauds projetés en moi alors que ma queue, que j’avais agrippé sans m’en rendre compte, jutais aussi à foison plusieurs jiclées jusqu’au bout du lit.
Samir laissa sa queue débander dans mon cul dans cette position puis en sorti avec un petit « plop ». Je sentis alors le jus couler de mon cul sur mes couilles et mes cuisses. Samir s’était penché pour prendre son short. Je ramassais alors du jus sur le matelas et vint lui enfoncer brutalement deux doigts entiers pleins de jus au fond de son trou qui le firent bondir en avant en geignant.
- La prochaine fois quand je dis non, c’est non !
Il me regarda en souriant, et ajouta:
- Tu n’as pas dit non très longtemps.
Il s’approcha de moi et vint me serrer contre lui. Je reniflais une dernière fois son odeur de mâle puis attrapais mon slip et partis sans me retourner.
Après quelques couloirs pris de manière aléatoire, je parvins à retrouver le vestiaire où Max parlait tranquillement avec le daddy qui l’avait baisé à notre arrivée. - Ah enfin ! J’espère que la soirée a été sympa.
Il pointa son doigt en souriant sur mon slip encore trempé de mon sperme et de celui de Samir. Je haussais les épaules en souriant. Après l’avoir aidé à se déshabiller, nous nous habillâmes en nous détaillant notre soirée. Le puppy du bar avait laissé sa carte avec un numéro et le daddy s’approcha de moi, m’embrassa et me tendit également une carte. Nous sortîmes alors du sauna, poisseux et suintant de toutes parts, ravis de cette découverte de ce qui m’a paru être… une sacrée balade hard en province.
PierretBi
jeansaisrien109@gmail.com
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