Premier épisode |
Chapitre 7
Comme mentionné dans les chapitres précédents, je suis Pierre, un jeune bi partis prendre le vert pour quelques semaines dans sa région natale. L'ensemble de cette aventure est vraie, seuls les noms, dates, lieux et temporalités ont été changées. N'hésitez pas à me faire vos retours.
...Florian me fit monter dans sa chambre, nous nous couchâmes nus dans son lit. Celui-ci planta ses yeux dans les miens, nos corps seulement éclairés par la lumière de la terrasse. Son visage ne trahissait pas d'émotions et pourtant ses yeux paraissaient un monde à eux seuls.
- Tu es vraiment très beau Pierre.
Je souris à sa remarque et caressais son visage, glissant mes doigts le long de la courbe de son menton. Lui aussi était beau, mais plus encore il était mystérieux et sensuel. Je laissais mes doigts courir sur son torse, faisant le tour de ses tatouages. Son sexe s'était redressé mais il ne fit aucun geste et me laissa continuer mon exploration. A un moment, il approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa. Ses lèvres fermes effleurant à peines les miennes. Puis il revint, sa bouche s'attachant à la mienne avant de glisser sa langue dans ma bouche.
Nos échanges, enlassés l'un l'autre durèrent un long moment, force de baisers et de caresses. Je m'endormis baigné dans la chaleur irradiant de son corps.
À un moment dans la nuit, je fus réveillé par une sensation douce : Florian me suçait doucement. Je le laissais faire, profitant de la douceur de sa bouche sur ma queue en fermant les yeux. Après quelques minutes, je sentis qu'il vint s'asseoir sur moi, dressant ma queue à la verticale. Il s'empala en douceur sur ma bite. Ralentissant à la couronne du gland, celle-ci plus large lui donnait des difficultés. J'ouvris les yeux. Ses yeux étaient fermés, il soufflait doucement avant de finalement pénétrer mon gland en lui. Ses traits se décrispèrent et dans un souffle, il poussa un grognement de plaisir.
Il poursuivit sa progression sur ma hampe plus rapidement. Ses yeux me fixaient à présent et son sourire en coin m'indiquait qu'il prenait plaisir à sa tâche. Arrivé à mon pubis, il prit mes couilles dans sa main chaude et releva sa tête, fixant le plafond en ouvrant la bouche. Il resta ainsi pendant une minute, profitant de mon membre dur en lui. Je voulu faire jouer ma queue dans son trou mais il posa sa main libre sur mon torse, m'indiquant de le laisser faire.
A présent, il remuait sur ma queue, débutant un mouvement de haut en bas en soufflant, son cul était très serré et celui-ci n'avait pas lubrifier son trou avant de s'empaler. Les sensations étaient divines et je le laissais jouer, me concentrant sur le plaisir, caressant son corps, ne touchant cependant pas à sa queue dure.
Après plusieurs minutes, il se pencha et m'embrassa doucement puis se plaça près de mon oreille et me souffla :
- Fais moi l'amour Pierre.
Ces quelques mots me firent l'effet d'une décharge électrique, me courant le long de l'échine. Je remuais ma queue en lui, alternant coups profonds, mouvements en tous sens et mouvements doux. Florian s'était redressé, sa tête tournée vers le plafond, la lumière extérieure venant jouer sur ses tatouages. Je le fis se pencher vers moi et l'embrassais avec passion en accélérant la cadence dans son cul. Mon surfeur gémissait de petits sons graves, comme un souffle. Ponctuant certains moments de "Encore" et de "vas-y" prononcés dans un souffle.
Nous roulâmes sur le côté, toujours soudés l'un à l'autre. Je me plaçais au bord du lit, ma queue toujours dans le fondement du beau hippie, allongé sur le dos et dont les jambes me ceinturaient. Je le pris plus rapidement. Le regardant s'agiter, gémissant de plaisir. Sa queue laissait échapper un filet de mouille sur son ventre. Florian avait sa queue en main et ne tenant plus me souffla :
- Je vais jouir
Me retenant depuis un moment, je m'enfonçais de quelques mouvements amples et me répandis en lui en gémissant. Dans un même mouvement, Florian poussa un long gémissement grave et gicla trois gros jets sur son visage puis plusieurs autres sur son torse. Je me plaquais contre son torse et vins l'embrasser. Je roulais ensuite sur le lit et m'endormis avec le beau surfeur blottit contre moi en cuillère.
À un moment dans la nuit, le contact de ses fesses contre ma bite me fit durcir à nouveau. Je forçais l'entrée de son trou, facilitée par ma semence et m'endormis, la queue au chaud dans son cul serré.
Quelques heures plus tard, je me réveillais avec la lumière du jour. Ma queue avait ramollie mais était restée dans le cul serré de Florian. Je fis quelques mouvements pour en sortir, réveillant Florian qui se tourna et vint se lover contre moi.
Nos câlins se firent plus sensuels et nous finirent par se sucer l'un l'autre. Mon sperme vint tapisser dans des dernières salves sa bouche. Le siens jutant sur mon visage. Florian vint me lécher le visage pour me nettoyer et m'embrassa.
Nous descendîmes au rez-de-chaussée. Philippe m'accueillit en me serrant dans ses bras, son sexe mou se collant à ma queue encore gluante.
Vidé par ma nuit et toujours gêné de la situation, je décidais de prendre congé.
Avant de partir, Florian me fit promettre de revenir le voir pour profiter encore, ensemble ou avec sa famille.
Vidé et fatigué, je repris la route. Je savais que je ne reverrai plus Florian, son départ pour le Canada était prévu pour la semaine suivante. Pour ma part, je me sentais l'envie de revenir à la capitale et reprendre le cours d'une vie plus "normale". La soirée de la veille m'avait laissée tiraillé. Sorte de plaisir interdit et possiblement malsain. Je préférais donc prendre mes distances avec la famille.
En rentrant vers la maison, je repensais aux différentes aventures survenues les jours passés. J'avais exploré plus que de raison et plus que ce que m'en permettait mon couple. Mais quel pied ! Ce passage éphémère dans la région me laissa le souvenir d'une balade très hard en province.
PierretBi
jeansaisrien109@gmail.com
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