Premier épisode |
Chapitre 6
Ce récit est entièrement réel et a eu lieu il y a peu. Seuls les noms des lieux et protagonistes ont été modifiés. Merci pour vos nombreux retours.
… Je me retournais pour apercevoir le trentenaire hippie que je venais de quitter. Ses cheveux toujours attachés en catogan et sa barbe brune lui donnaient un aspect viril et nonchalant. Il portait une chemise de coton amplement ouverte sur son torse légèrement poilu laissant apparaitre le bout de quelques-uns de ses tatouages.
- Tu es partis vite, tu es pressé ?
- Je n’avais plus grand chose à faire là-bas faut dire.
- Tu fais quoi maintenant ? Tu es du coin ?
- Non en balade seulement. Mais je vais rentrer je pense, je suis claqué. C’était sympa en tout cas, très belle bite.
- Merci, je pense qu’on a bien accroché toi et moi.
- Effectivement, tu n’avais pas l’air trop passionné par le délire puppy soumis.
- Ouai à vrai dire j’hésitais à venir. J’aime baiser au naturel mais le gars était sexy et j’avais envie de me vider.
Sa voix grave était calme et elle n’avait pas changée de tonalité en disant cela. Le beau surfeur n’avait visiblement aucune gêne ou volonté de se vanter en disant cela, ce n’était tout bonnement qu’un constat.
- Au naturel ? Quoi de plus naturels que des mecs à poils t’offrants leurs culs ?
- J’ai été élevé dans l’ambiance naturiste. Mes parents sont des nat’ des années 80 et je préfère les trucs très open comme là mais sans complexes. Qu’il se cache derrière un masque pour baiser tranquille, ça me fait moins kiffer.
- Marrant, je n’ai jamais testé le naturisme. Je suis pas forcément gêné avec mon corps mais je vois pas vraiment ce qu’on y trouve comme intérêt. Fait pas forcément chaud dans ce pays pour être la queue à l’air tout le temps. Dis-je en rigolant.
- Oh c’est plus que d’être juste à poil. La plupart des nat’ sont aussi libertins et libertariens. La mentalité va au-delà de se foutre à poil, c’est se sentir libre de faire ce qu’on veut sans complexe.
- Je vois l’idée. Ecoutes, on pourra tester une plage naturiste ou un truc comme ça un de ces quatre, si ça te dit ?
- Et si tu venais diner chez mes parents demain soir ? J’y habite pour un mois avant de repartir au Canada. Ils pourront te raconter leurs guerres et tu verras ce que ça fait de manger à poil. Ils adorent recevoir et sont cool.
Si je m’attendais après une baise à aller diner chez les parents d’un mec connu il y avait moins d’une heure…
- Faisons ça, l’idée peut être marrante.
- Et ne t’en fais pas pour la tenue, casual formal ça suffira. Dit il en rigolant de toutes ces dents blanches.
Je souris à mon tour. Nous échangeâmes nos numéros et rendez-vous fût prit pour le diner.
Le lendemain soir, je me présentais à l’heure, l’adresse indiquait une maison moderne blanche avec un étage dans un lotissement huppé. Celle-ci en bordure de rue avait tous les rideaux tirés. Je sonnais à la porte, hésitant à prendre mes jambes à mon cou considérant l’étrangeté de la situation. Après quelques minutes la porte s’ouvrit sur une femme d’une cinquantaine d’année. Elle portait un kimono beige léger à peine fermé laissant voir une poitrine ferme et des jambes fines. Du haut de son mètre 60, son visage encadré par des cheveux blonds parsemés de mèches grises attirait de suite le regard par un sourire naturel et radieux et par ses yeux marrons lumineux, les mêmes que son fils. Elle était pour son âge très bien conservée et il émanait d’elle une chaleur et une gentillesse communicative.
- Bienvenu ! Tu dois être un ami de Florian ? Nous t’attendions !
- Bonjour Madame, je m’appelle Pierre ! Merci de m’accueillir.
- Oh pas de madame entre nous, appelles moi Sophie.
Elle appela Florian du bas de l’escalier. Je me rendis compte à ce moment-là que je ne connaissais même pas son prénom ! Le beau trentenaire descendit l’escalier, entièrement nu, son sexe épais bien qu’au repos balançait entre ses jambes. il eut à nouveau son sourire en coin en me voyant au bas des marches. Il vint alors me serrer dans ses bras en faisant une accolade :
- Salut, content que tu sois là.
- Je t’en prie Pierre, fais comme chez toi ! Florian nous as dit que tu n’avais jamais testé le naturisme. Si tu le souhaites tu peux te mettre nu ou garder un sous-vêtement. Je ne mets le kimono que pour accueillir les gens. Je te laisse ranger tes vêtements sur le banc de l’entrée.
Sophie enleva son kimono et le pendit à une tringle. Son corps bien qu’ayant subit les effets de l’âge restait beau. Entièrement épilée, elle avait de gros seins pour sa mensuration. Son sexe fermé était également rasé. Elle parti alors dans l’autre pièce. Florian me fixait de son regard mystérieux et serein. Il restait planté face à moi, attendant que je me déshabille. J’ôtais mes vêtements, arrivé au boxer, je vis son regard planté dans le mien. Je pris celui-ci pour un défi et enlevais ma dernière entrave de pudeur.
- Viens je vais te présenter.
Nous passâmes dans un grand salon aux baies ouvertes sur l’extérieur. Dehors, une grande piscine donnait sur une terrasse et un jardin fleuri sans vis-à-vis. Toute la pièce était ouverte sur l’extérieur par des baies. Sophie était affairée en cuisine et nous rejoignîmes la terrasse où deux hommes étaient assis en pleine discussion.
Le plus âgé se leva en me souriant de ses dents blanches. Il devait faire 1m80 et était carré d’épaules. Ses cheveux en brosse jadis bruns étaient aujourd’hui poivres et sels, tout comme ça barbe fine. La cinquantaine également, il possédait un torse musclé aux poils soigneusement taillés, laissant voir deux tétons marrons et des abdos cachés par l’âge. Nu également, son pénis circoncis était brun et pendait sous un buisson entretenu, encerclé par une grosse paire de couilles. Tout son corps était halé d’un bronzage intégral qui lui donnait un charme indéniable.
- Bienvenue, je suis Philippe le père de Florian. J’ai cru entendre que tu t’appelais Pierre.
- C’est bien ça monsieur, merci de m’inviter.
- Gardes le monsieur pour mes employés, ici, appelles moi Philippe ! Voici mon deuxième fils, Damien.
Le deuxième homme leva la tête de son téléphone et me sourit. Il était également très brun et avait les cheveux courts comme son père, un anneau à l’oreille gauche et un rasage de quelques jours brunissait à peine ses joues. Plus jeune que les autres, il devait avoir dans les 22 ans. Nu également et bien charpenté, il n’avait cependant pas de poils sur le torse comme son père ou son frère et son pubis était entièrement rasé laissant voir une queue au gland très rose.
Nous nous installâmes avec eux dans le salon de jardin. Philippe était de ces hommes à l’aise dans toutes les situations et toutes les conversations. Il donnait son avis sur tout et se comportait avec moi comme s’il me connaissait depuis des années. S’intéressant à ma vie, il n’avait aucun complexe à être nu devant moi. Damien était d’un naturel plus réservé, tout comme Florian. Ceux-ci n’hésitaient pas cependant à prendre part à la conversation.
- Sophie et moi nous sommes rencontrés en camping naturiste dans le sud. Sa famille était déjà naturiste et ils y allaient pour l’été. Moi j’y étais avec des copains, essentiellement pour se taper des minettes pas farouches. Depuis on y a prit goût et dès qu’on le peut on essaie de vivre nu. les enfants ont toujours grandis dans cet esprit. Tu seras peut être étonné mais chez nous, les portes sont très rarement fermés. On considère qu’il n’y a pas de complexes à avoir et qu’on doit se sentir à l’aise dans son corps autant que dans ses actes.
- T’inquiètes, je sais que ça fait bizarre. Dit Damien. Quand ma copine est venue la première fois j’ai cru qu’elle allait se barrer en courant. Maintenant elle est habituée et pour le coup elle accepte que je sois comme ça. Elle se met que seins nus mais c’est déjà un progrès pour une meuf qui voulait pas me sucer si la lumière était allumée.
- Et pourtant, elle a l’air d’avoir de la libido vu comme elle mâte nos bites à papa et moi quand elle vient.
- Ouai une fois décoincée ça le fait. Faut juste bien la chauffer.
Pendant qu’ils parlaient, je constatais que la queue de Damien s’était redressée. Elle culminait à présent à 16 cm et mouillait abondamment. Mais plus surprenant encore, je vis Florian faire des mouvements de la main pour caresser son gland qui prenait de bonnes proportions. Philippe n’était pas en reste et son sexe avait déjà prit de l’ampleur bien qu’il restait posé sur ses deux couilles. Sophie arriva à ce moment-là pour se joindre au groupe. Assise à côté de son mari, elle gardait les jambes légèrement ouvertes laissant voir sa chatte épilée.
La soirée se passa tranquillement, la famille était très agréable et savait mettre ses hôtes à l’aise. Plusieurs fois, Philipe eut quelques gestes à destination de Sophie. Lui caressant la cuisse en remontant entre ses jambes, lui pinçant un mamelon en souriant. Personne ne cachait ses érections intempestives. Damien mouillait très facilement et laissait régulièrement du méat sur le siège où il était installé. Florian et son père avaient sensiblement la même queue bandée, celle de Philippe restant cependant plus épaisse.
Au moment de diner, tout le monde aidait à l’installation de la table tout en racontant les aventures de jeunesses du père des garçons dans les camps naturistes. Damien, installant les couverts avait la queue gonflée et un filet de mouille s’écoulait sur un saladier :
- Damien fais attention, on a pas tous envie d’avoir de la sauce dans la salade.
Philippe nettoya le bord du saladier de son pouce et étala la mouille sur les lèvres de son fils qui ne tourna pas la tête.
- Désolé j’ai pas fait gaffe.
- Directement du producteur au consommateur. Dit Florian en souriant. C’est le cycle de la vie.
Le repas se poursuivi de manière complètement innocente. Les plats étaient délicieux et l’ambiance joyeuse. Philippe n’était pas avare de détails sur sa jeunesse, bien que ses deux fils soient présents. Ceux-ci n’hésitaient pas à poser des questions, parfois scabreuses, auxquelles leur père répondait sans gêne. Les bouteilles s’enchainaient et je sentais déjà que je n’étais plus vraiment en état de prendre la route. Lorsque Damien prit la bouteille pour servir tout le monde, je déclinais en indiquant que je ne pourrai plus conduire ensuite.
Florian dit alors :
- Ne t’inquiètes pas, je ne comptais pas que tu conduises de suite ! Toi et moi on sort ensuite.
- Ah ? Tu veux aller où ?
- Je veux tester le fameux club où tu as été la dernière fois ! Ça a l’air sympa ! Et si on finit trop tard, tu peux dormir ici sans problème.
J’avais évoqué rapidement la soirée rubber à Florian et son frère pendant que les deux parents étaient dans la cuisine. Sophie demanda ce dont il était question dans ce club et je résumais ma soirée en quelques mots.
- Ça me rappel un peu le Mantra.
- Qu’est-ce que c’est le Mantra ?
- Oh c’est un club échangiste où Philippe et moi allons de temps en temps avec des amis naturistes. Ils organisent quelques fois des soirées spéciales latex et compagnie.
- J’avoue ne pas être très fan de toutes ces tenues. Pour moi rien de tel qu’un corps nu. Regardes Sophie, ce serait dommage de gâcher la vue.
En disant cela il souleva les deux seins de sa femme, pointant ses mamelons vers nous, la faisant sourire de ses dents blanches.
- Vous allez en club échangiste depuis longtemps ?
- Depuis que nous sommes installés ici oui. Quand les garçons étaient jeunes c’était compliqué de faire la route alors on invitait nos amis à la maison.
- Mais les gars étaient là ?
- Oui bien sûr, ils dinaient avec nous. Nous attendions qu’ils dorment pour faire notre affaire. Ils n’ont eu droit de regarder qu’à partir de leurs 16 ans.
- Parce que tu crois que Damien a attendu ses 16 ans pour vous mater baiser ?
- Tu peux parler sale pervers, j’y allais pas seul.
Tout le monde éclata de rire face à la réponse invective. Je fus surpris de l’ouverture d’esprit de la famille. Le sexe n’était pas un complexe et chacun s’en donnait à coeur joie de son anecdote tout en restant respectueux.
- D’ailleurs Diane et Vincent vont passer et apportent le dessert, indiqua Claire. Ce sont des amis à nous de très longue date. Ils adorent les garçons.
- J’espère que les desserts sont sympa ! Dit Florian avec son sourire énigmatique.
La soirée se poursuivait et je me sentais à l’aise dans cette maison. L’ambiance y était agréable, être nu ne me posait plus aucun soucis et me trouver face à des personnes de deux fois mon âge, complètement nues et me parlant sans filtres ne me complexait aucunement, étonnamment. On sonna à la porte, Sophie alla ouvrir et revint quelques minutes plus tard accompagnée des fameux Diane et Vincent. Tous deux nus, ils affichaient un grand sourire. Diane était une femme brune aux cheveux courts à la garçonne. D’aspect longiligne, elle avait de petits seins tombants. Un léger buisson brun agrémentait son entrejambe.
Vincent était un grand homme au crâne rasé. Son corps était entièrement imberbe sauf une barbichette accentuant son menton pointu. Sa bite possédait un épais prépuce agrémentant une bite très foncée allant avec son corps intégralement bronzé. Il possédait également une paire de fesses particulièrement bombées allant avec des cuisses et mollets musclés, faisant penser à ceux d’un cycliste.
En arrivant, ils serrèrent tous les membres de la famille un par un dans leurs bras. Passant en dernier, je n’échappais pas aux embrassades et chacun d’eux me colla contre leurs corps, nos sexes se frottants pendant plusieurs secondes.
Vincent et Diane étaient un couple charmant et s’entendaient à merveille avec le reste de la famille. Parlant de leur future escapade naturiste au Cap d’Agde, Florian demanda s’il pouvait se joindre à eux pour le weekend.
- Mais bien sûr mon chéri, il y aura surement Sarah. Elle revient d’un stage d’équitation.
- Cool, ça fait un moment que je ne l’ai pas vue.
- Et peut être que si tu viens, Valentin sera là aussi. Il est moins branché vacances avec ses vieux parents dernièrement. Je pense que le fait qu’on aille en club échangiste pendant les vacances le tente de moins en moins comme sortie familiale. Dit Valentin en souriant.
- Pourtant il ne rechigne pas à l’effort. La dernière fois qu’on s’est vu, on s’est sucé dans sa tente. Dit Florian
- D’ailleurs, on a testé un nouveau club qui a ouvert là-bas, il faudra qu’on vous montre. Très sympa ! La déco est superbe et Diane a adoré les gars qui y étaient. Florian si tu viens un weekend on t’y emmènera.
Je remarquais que les queues avaient pris du volume au cours de la conversation. Damien mouillait à nouveau et un long filet coulait sur son siège. Philippe à ma droite avait également la queue tendue. Sophie qui avait du sentir les regards trainer plus que de raison proposa de passer dans le salon pour prendre un café. Chacun se leva et je pu voir la queue de Vincent dressée. Sa bite était très longue, bien plus de vingt centimètre et dressée droite, son prépuce couvrait encore tout son gland. Il croisa mon regard et sourit en voyant ma gêne.
Nous nous installâmes dans un immense canapé en U, Vincent à ma gauche, la queue toujours dressée et Damien à ma droite dont la queue, elle, était à nouveau molle. La discussion continua sur le nouveau club du Cap. A mesure que la conversation avançait, une autre ambiance s’installa. Les mains sur les queues passaient par mouvements discrets, certaines déjà tendues. Pendant que Diane racontait sa dernière soirée en club échangiste, Sophie avait la main posée sur la cuisse de son mari et au fur et à mesure de la conversation, la remontait vers son paquet. Finalement, tout en continuant à suivre la conversation, elle astiqua nonchalamment sa queue tendue. Damien caressait à présent sa queue sans gênes en bord du canapé.
Vincent avait sa cuisse collée à la mienne et je sentais émaner de son corps une chaleur irradiante. Florian, assit entre le couple invité, avait passé son bras autour des épaules de Diane, sa main gauche pendant sur son sein et le caressant. Soudain, comme si un top départ avait été donné par le baiser échangé entre Sophie et Philippe, le silence se fut et on n’entendit plus que les corps bouger. Diane avait tourné la tête vers Florian et l’embrassait passionnément, posant une main sur son torse. Philippe et Sophie s’embrassaient également et Sophie était à présent à califourchon sur son mari. Damien, Vincent et moi admirions la scène devant nous.
Sophie, ne quittant pas la bouche de son mari, attrapa sa queue et vint s’asseoir dessus sans autre préparation, gémissant dans sa bouche. Elle commença des mouvements souples pour s’empaler en rythme sur sa queue. Philippe accompagnait son mouvement de hanches avec ses mains, sa bouche toujours fixée à celle de sa femme. Assis confortablement en face, je pouvais voir son gros chibre luisant de la mouille de sa partenaire, entrer et sortir de la chatte humide.
Damien, assis à coté de moi, admirait également la vue en se branlant, la queue aussi trempée que celle de son père.
Diane était à présent devant Florian et le suçait à fond, son autre main empoignant le sexe de son mari qui avait passé un bras derrière les épaule de Florian en s’approchant. Diane tentait à présent d’enfoncer entièrement la queue de son mari qui n’était pas en reste pour forcer la bouche de sa femme. Damien se leva et vint s’allonger au sol, entre les Jambes de Diane. Aux bruits qu’émettait à présent Diane, celui-ci devait lui bouffer la chatte avec dextérité.
Florian me fit signe de le rejoindre dans le canapé central. M’asseyant à coté de lui, celui-ci se tourna et m’embrassa passionnément, ses mains se promenant sur mon corps et ma queue. Il prit alors Diane par les cheveux et la força à me pomper. Sa bouche chaude avalait goulûment ma queue et ne s’arrêtait que quand son nez touchait mon pubis. Habituée des gorges profondes, elle n’avait aucun mal à avaler toute ma queue. Elle alternait à présent entre nous trois, gémissant sous les coups de langues du cadet. Les pieds de Sophie caressaient ma cuisse. Tout en continuant ses mouvements de va et vient sur la queue de Philippe, elle prit ma queue en main en la branlant. Florian, la queue rivée dans la bouche de Diane, me regarda et avec son sourire en coin mystérieux me glissa à l’oreille :
- Je crois que ma famille t’aime bien.
Il me fit alors un signe de la tête désignant son frère, allongé au col, la tête enfoncée dans la chatte de Diane. Celui-ci branlait sa queue bien droite qui mouillait abondamment. Je me levais et vins me poser entre ses jambes, attrapant sa bite pour la branler. Damien ne bougea pas et continua sa besogne. Je penchais alors ma tête pour lécher son gland plein de mouille. Ne voyant pas de réaction de sa part, je commençais alors à le sucer. Sa queue coulissait dans ma bouche, elle était douce et sa mouille m’excitait.
- Vincent, viens m’aider, je crois que Sophie a très faim.
Vincent se leva du canapé, passa par dessus Damien et vint se positionner dans le dos de Sophie. Du coin de l’oeil, je le vis pénétrer Sophie en douceur, la plaquant contre Philippe. Celle-ci gémit alors plus fort, ahanant à mesure que les centimètres entraient dans son cul. Philippe ne bougeait plus, attendant que Vincent fasse sa place dans l’autre orifice. Une fois au fond, ils commencèrent à bouger de consort, tirant des gémissements à Sophie.
Diane pour sa part recula de la bouche de Damien vers sa queue. Arrivée à hauteur je guidais son gland vers la chatte humide. Celui-ci pénétra sans problème. Diane émettait des petits couinements aigües au rythme de bassin de Damien, relevant son bassin pour la pénétrer plus librement. Je restais allongé au sol, profitant de la vue. Ma langue vint caresser les couilles de Damien qui émit à son tour des petits gémissements de plaisir. Diane colla sa bouche à la sienne et lui roula une pelle. Soudain, je sentis une langue sur mon cul. Je vis Florian la tête entre mes jambes, me bouffant le cul. Excité par la situation et me laissant porter par les évènements, je le laissais faire son oeuvre. Damien poussait parfois sa queue hors de la chatte de Diane, me la donnant à sucer, pendant que Florian alternait entre mon cul, mes couilles et ma queue.
Après plusieurs minutes de ce joyeux manège, tout le monde fit une pause et reprit un verre.
- Ça va Pierre, tu as eu l’air de bien t’intégrer.
- Je ne pensais pas le dessert aussi complet. Dis-je en souriant.
- En tout cas tu suces très bien !
- Ta meuf sait que tu t’amuses avec les copines de tes parents ?
- Non, elle sait que je suis libertin mais c’est mieux qu’elle n’en sache pas trop d’un coup.
- Et que tu es bi ?
Florian pouffa dans son verre avant d’ajouter :
- Laisses tomber, Damien se considère comme hétéro flexible.
- Et j’assume !
- Arrêtes, chaque fois qu’on te voit en soirée, ça fini avec un mec dans un pieu.
- Je la ramènerais pas à ta place
Philippe, assit à mes côtés souriait de voir ses deux fils se prendre le bec. Vincent, à ma droite, avait sa main posée sur ma cuisse qu’il caressait sans gêne. Excité par ce geste, mon chibre reprit belle allure ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux de Florian, assit en face, qui se jeta dessus et commença à me sucer devant tout le monde. Sa bouche était douce et lorsqu’il avalait ma queue à fond, sa barbe venait caresser mes couilles. Son père prit Florian par les cheveux et poussa sa tête plus profondément sur ma queue en souriant. Je tendis la main vers sa cuisse pour la caresser. Diane s’installa entre les jambes de Damien et commença à le pomper à son tour pendant que Sophie, jambes écartées, caressait son clito en admirant la scène. Sa chatte était ouverte, ses lèvres béantes et humides. Vincent se leva et vint mettre sa bouche entre ses jambes.
La baise reprit alors intensément. Je caressais à présent le corps de Philippe et tendis mes lèvres pour l’embrasser, il tourna cependant les siennes dans l’autre sens, rejetant mon baiser. Je pris son sexe en main, il était épais et dur. Je crachais dans ma main et commençais à le branler doucement, il se laissa faire en fermant les yeux. Florian continua sa pipe magistrale. Diane vint s’asseoir sur la queue de Damien, lui tournant le dos. Elle empoigna la bite de Philippe et commença à le sucer. Celui-ci tendit un bras vers la chatte de Diane, secouée par Damien.
- Caresses lui bien le clito pendant que tu la baises Damien, elle kiffe ça la coquine.
Damien s’exécuta et Diane se mit à gémir sur la queue de Philippe. Celui-ci avait remonté sa main et caressait à présent la poitrine de Diane qui gémissait. Damien accélérait et défonçait à présent Diane qui ne parvenait plus à sucer en rythme et se bifflait avec la queue qu’elle pompait. Philippe était très excité par la situation et plusieurs fois avait émit des gémissements, j’attrapais l’un de ces tétons avec ma bouche et caressais ses couilles. Celui-ci gémit alors plus fort et éjacula plusieurs jets dans tous les sens. La plupart arrosèrent le visage et la bouche de Diane mais certains giclèrent sur mon pubis et ma queue. Je fus persuadé d’avoir vu Florian glisser subtilement sa langue et ses lèvres sur le jus de son paternel étendu sur mon corps. Philippe donna sa queue à nettoyer à Diane puis se leva chercher à boire. Florian quitta ma queue et roula une pelle à Diane avant de lui mettre son chibre en bouche.
Je me dirigeais alors vers Vincent et Sophie. Celui-ci me tira à lui et poussa ma tête près de la sienne dans la chatte de Sophie. Ses jambes écartées, sa chatte était grande ouverte. Je m’appliquais à passer ma langue sur ses lèvres puis à l’intérieur de son vagin. J’humais le parfum de sa mouille qui recouvrait mon visage. Vincent passa sa langue sur les lèvres de Sophie et sur ses cuisses. J’écartais alors ses lèvres de mes doigts et avec ma langue vint titiller son clitoris. Celui-ci était tout dur et relativement long. Je vins enrouler ma langue autour et jouer avec. Il n’en fallu pas plus pour que Sophie gémisse. Vincent vint me rejoindre dans sa chatte, lui bouffant les lèvres. Sa langue baveuse remonta ensuite vers son clito sur lequel nous nous émoustillèrent à la faire gémir. Nos langues vinrent se mêler et je lui roulais une pelle intense, le clito de Sophie mêlé à nos jeux de langues.
Vincent prit ma queue dans sa main et me branla doucement. J’empoignais également son chibre. Celui-ci était vraiment très long et je le branlais au même rythme. Il poussa ma tête dans la chatte de Sophie que je dévorais passionnément. Bouffant son clito comme un affamé. Sophie plaqua ma tête contre sa chatte et hurla de plaisir. De la cyprine coula alors en abondance de son vagin sur ma bouche et mon menton. Vincent avait les deux mains sur ses seins, pinçants fortement ses mamelons.
- Baises moi Pierre
Il ne m’en fallu pas plus pour me redresser, mettre Sophie à quatre pattes sur le canapé et introduire ma queue dans sa chatte. Mon chibre entra sans soucis dans cet antre chaud et humide. Elle serrait les cuisses de sorte de bien sentir ma bite au fond d’elle. Excité par cette femme qui se donnait entièrement, je passais en mode bestial et la défonçais aussi fort que possible. Vincent s’était placé devant elle et lui donnait sa queue à sucer. Il avait mit ses mains sur mes fesses et m’incitait à pousser encore plus fort. Diane vint se mettre à son tour à quatre pattes à côté de Sophie et tendit son cul à Florian. Celui-ci, prit alors l’amie de ses parents par les hanches et la baisa sans précautions. Damien se branlait tranquillement devant elle, la bifflant de temps en temps.
Vincent fit le tour et vint se placer entre Florian et moi, caressant nos deux culs, les guidants à un rythme commun dans les deux chattes qu’il avait visité. Il prit nos deux têtes et vint les poser sur chacune de ces épaules, caressant nos corps et claquant le cul de l’une des deux femmes selon les gémissements qu’elle donnait.
Sentant la pression monter, je lui laissais ma place dans la chatte de Sophie. Celle-ci n’eut pas le temps de souffler que la queue de Vincent y était déjà bien enfoncée et la pilonnait. Florian laissa également sa place à Philippe qui venait de revenir, en grande forme.
Les deux frères se posèrent dans le canapé en face, matant les couples en action. Je me calais entre eux, bite à la main pour admirer la vue. J’agrippais les queues des deux frères et les branlais de consorts. Damien me regarda, puis se résigna à garder ma main sur sa queue. Florian empoigna ma queue et m’embrassa à peine bouche, son regard rivé sur moi. Excité par la situation, je me mis à ses pieds et commença à le pomper, ne lâchant pas la bite de Damien. Celui-ci était à présent partagé entre la baise des cinquantenaires face à lui et la pipe que je procurais à son frère à coté. Je tendis sa queue et vins soudain la prendre en bouche. M’attendant à ce qu’il me repousse, j’aspirais sa queue au fond de ma bouche, le faisant gémir. Il plaça alors sa main derrière ma tête et me laissa le sucer, en alternance avec son frère.
J’entendis soudain derrière moi Sophie accélérer ses gémissements, montants dans les aigües. Vincent soufflait de plus en plus puis d’un coup, vint s’enfoncer au fond de la chatte de Sophie et hurla de plaisir, déversant son jus dans son vagin. Il resta fixé quelques secondes puis reprit ses mouvements dans la chatte de Sophie qui continua de gémir jusqu’à émettre un véritable cri de plaisir. Vincent sorti alors de sa chatte et je vis un liquide mélangeant sperme et mouille couler de la chatte de Sophie le long de ses cuisses. Philippe continuait de pilonner Diane et avait accélérer son rythme.
Je me relevais alors et tendis ma queue à Florian. Celui-ci ne se fit pas prié et commença à me sucer à fond. Je pris sa tête entre mes mains et limais sa bouche à mon propre rythme. Celui-ci ne broncha pas. Après quelques minutes, je sortis de sa bouche et plaça ma main derrière la tête de Damien, lui offrant ma queue. Damien ne bougea pas et lutta contre la pression de ma main sur sa nuque puis se laissa finalement emporter vers mon chibre. Il plaça sa joue contre ma queue. Je lui tapotais les lèvres avec mon gland qu’il finit par ouvrir. Il commença alors à me sucer, d’abord timidement puis de plus en plus loin jusqu’à avaler les 3/4 de ma queue dans sa bouche. Je pris ensuite la tête de Florian et y glissais ma queue, qu’il suça avec passion. J’alternais à présent entre les deux frères, approchant leurs têtes l’une de l’autre à chaque passage de relais. Pour finalement avoir leurs deux bouches posées sur ma queue. Les deux évitèrent cependant tout contact entre leurs bouches. Philippe gémissait à présent aussi fort que Diane qui était allongée, dos contre le canapé. Il sorti de sa chatte quelques secondes avant que plusieurs jets ne viennent arroser ses lèvres, son pubis et ses seins. Il remit sa queue au chaud dans la chatte de Diane, tassant au passage le jus présent et reprit sa besogne. Vincent, allongé à coté, vint suceauter le clito de sa femme pendant que Philippe bougeait en elle.
La situation dépassant mon seuil de sensibilité, j’explosais sans prévenir sur le visage des deux frères. Un jus épais vint arroser leurs lèvres et leurs bouches ouvertes malgré le mouvement de recul de Damien.
Je les fit se lever tous deux, les suçants en alternance, puis à l’unisson. Leurs corps fermes et leurs queues dures gardaient la mienne tendue en dépit de ma jouissance. Je les branlais face à moi. Damien fut le premier à s’agiter, alors que sa queue était dans ma bouche, je sentis ses couilles se contracter et il vint enfoncer sa bite au fond de ma gorge, m’arrosant de plusieurs jets âcres. Florian prit alors ma tête dans ses mains et juta à son tour en grognant de sa voix grave en se déversant sur ma langue. Gardant leur jus en bouche. Je me redressais et vins embrasser Florian qui me roula une pelle intense. Me tournant ensuite vers Damien, je l’embrassais à pleine bouche avant qu’il ne fasse un geste. Il se laissa alors envahir de mes lèvres, puis de ma langue. Je le regardais en souriant et lui glissais :
- Hetero Flexible hein ?
- Pour toi public, je me donne à fond.
Les corps vidés (et remplis), tout le monde se posa sur le canapé. Seul Damien prétexta d’être en retard pour voir sa copine pour monter prendre une douche. Il redescendit 15 minutes plus tard, vêtu d’un jean ample et d’une chemise ouverte pour nous souhaiter une bonne fin de soirée.
Épuisé par cette baise surprenante, je commençais à prendre conscience de ce qui venait de se passer. J’étais partagé entre le plaisir que je venais de prendre et par la gêne de cette situation. Florian me fixait à présent de son regard mystérieux. Comme s’il avait comprit mes questionnements, il me prit par la main et m’entraina vers les étages.
- La première fois ça peut paraitre étrange mais ça passe vite. Si t’es okay, j’aimerais bien que tu restes dormir avec moi. On est pas obligé de faire des trucs, mais j’aimerais bien profiter de ta présence. On peut même fermer la porte si tu veux.
- Et mettre un boxer ?
- J’irais pas jusque là. Dit-il en souriant.
Nous excusant auprès de ses parents et de ses amis, nous montâmes dans sa chambre. Qui eut dit que les soirées en provinces était aussi conviviales et spéciales !
A priori ma vie vous plait et ça me fait plaisir de vous la raconter. N’hésitez pas à m’écrire (jeansaisrien109@gmail.com) et je vous raconterai la suite des aventures arrivées à un jeune de 28 ans qui n’a pas froid aux yeux !
PierretBi
jeansaisrien109@gmail.com
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