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Chapitre 6 | Le client voyeur du magasin militaire
Tout d'abord, je tiens à remercier mes lecteurs pour leur retour. J'ai beaucoup apprécié vous lire et vous répondre. En me replongeant dans mes précédents récits, je me suis rendu compte que j'aurai dû me relire et réviser un peu les textes avant de les envoyer. Je vous remercie donc également pour votre indulgence. Et comme promis, je reprends là où j'en étais resté en 2020.
Prélude : Toutes les histoires que je partage ici sont toutes réelles. Seules changent les prénoms et je reste flous quant aux lieux et autres détails de ma vie. Bien que tous mes plans se soient déroulés avec préservatif, j'ai pris la liberté de ne pas en faire mention dans mes récits car, pour moi, j'ai toujours été rempli car je demandais à ce que les mecs restent en moi pour jouir pour pouvoir sentir le soubresaut de leur queue en pleine éruption volcanique. Elles se sont toutes passées lorsque j'avais 25 ans puis les deux ans qui ont suivis. Aujourd'hui, j'ai un peu plus de 40 ans et je vis en couple depuis plus de 15 ans avec mon mari qui est, exclusivement passif. Voilà pourquoi je partage mes plans passés avec vous pour ne pas oublier ces moments d'extases que j'ai passés en tant que passif, en tant que cul. Car depuis plus de 15 ans, je ne me suis pas fait sodomiser ni même bouffer le cul. Je suis un bel homme d'1m70 pour 58kg, brun, yeux marrons, bien monté et beau petit cul rasé. Je vais à la salle de sport tous les soirs après le taf avec une amie, histoire de m'entretenir. Avant, je vivais à Lille même, à deux pas de mon lieu de travail mais aujourd'hui, je vis dans une ville de la métropole lilloise. En plus de 15 ans, je n'ai jamais trompé mon mari même si l'envie de me faire enculer se fait de plus en plus grande. Parfois, lorsque l'excitation se fait trop forte, je sors de chez moi avec pour seul vêtement, un jogging sans rien dessous, le baissant juste suffisamment pour que l'on voit le haut de mes fesses et qu'on devine le galbe de mon cul. Je me balade ainsi, seul ou avec mon chien, espérant sans doute qu'un actif passe par là et me fourre sa queue dans le cul dans un coin. L'hiver, je baisse carrément mon jogging sous les fesses, pour laisser visible mon cul sous mon manteau. Une fois, une seule et unique fois, un mec qui promenait son chien avait remarqué que mon cul était dispo sous mon manteau et m'a suivi jusqu'à qu'il n'y ait personne dans la rue, et est passé près de moi pour me le caresser. J'ai adoré sentir cette main d'homme tripoter mon cul. Malheureusement, ça n'a pas été plus loin. J'ai commencé à faire ça quand, un jour, en rentrant chez moi, un type m'avait suivi dans la rue. Alors que j'ouvrais la porte d'entrée de l'immeuble, il s'est plaqué contre moi en me disant à l'oreille que j'avais un superbe cul. Surpris mais excité, je l'ai laissé palper mes fesses à travers mon jean dans les escaliers. Comme mon mari m'attendait chez nous, je n'avais pas osé aller plus loin. De plus, je n'arrêtais pas de me dire, alors que la situation m'excitait au plus au point, que je ne m'étais plus fait enculé depuis longtemps, que j'allais peut-être avoir mal, que je n'avais ni gel ni capote. Souvent, je me dis qu'il me faudrait ce genre de circonstance, de l'imprévu. Et là, j'arrêterai sans doute de me prendre la tête et me ferai enfin défoncer le cul.
Soit, revenons à mon histoire. Souvenez-vous, dans Le magasin militaire, je me faisais défoncer le cul derrière le comptoir par le gérant de la boutique quand un client, un peu trop curieux, avait voulu regarder et avait laissé sa carte de visite en demandant qu'on le rappelle pour, à son tour, me baiser.
C'est ainsi qu'un soir, après m'être fait enculé par un actif régulier, j'ai repensé à cette carte de visite que j'avais laissée dans mon portefeuille. Je me suis dit que je pouvais tenter le coup, surtout que son voyeurisme dans ce magasin m'avait drôlement émoustillé. Je l'ai donc contacté par SMS.
"Salut. Je suis le cul que tu as touché et maté en train de se faire défoncer et remplir, hier au magasin militaire."
Je n'ai pas eu de réponse tout de suite. Il ne m'a répondu que très tard dans la nuit.
"Salut. Je bande rien que d'avoir lu ton SMS. J'ai kiffé mater le gérant te défoncer. T'as un sacré beau cul. J'avais trop envie de te baiser aussi."
"C'est quand tu veux. Je suis dispo maintenant"
La dessus, il m'envoie un long SMS.
"Ça aurait été avec plaisir mais je suis marié. Je ne peux pas venir quand je veux. Je ne serai pas quoi dire à ma femme. Mais je veux ton cul, ça c'est sûr. Je n'arrête pas d'y penser depuis hier. En fait, j'aimerais, si c'est possible, reproduire ce genre de situation. C'est -à -dire, te mater te faire baiser et passer après. J'étais dégoûté de ne pas avoir pu le faire hier. J'ai trente ans, sportif et bien membré. Je n'ai jamais fait ça ni même trompé ma femme de ma vie. Je me suis torturé la tête hier et aujourd'hui en me demandant ce qui m'avait pris de toucher un cul de mec et de le regarder se faire baiser. J'espérais presque que tu ne me contactes pas. Mais, c'est plus fort que moi, je veux revivre ce moment là. Pour tout t'avouer, je ne sais même pas si j'oserais te baiser après avoir mater un autre te baiser mais j'en ai trop envie. J'espère que tu accepteras."
"Ok. Savoir que tu kiffes mon cul me suffit. Puis, j'avoue que le fait que tu sois hétéro m'excite. Alors que mon cul fasse kiffer un hétéro, t'a pas idée. J'ai des potes actifs qui viennent me remplir régulièrement. Si ça te va, je demande à l'un d'entre eux de me défoncer le cul devant toi. Après, libre à toi de prendre sa place ou non. Tu es dispo à quel moment de la journée ?"
"Pas souvent, mais je peux essayer de me libérer pour l'heure du déjeuner demain, de midi à 14h, grand maxi. Ça va pour toi ? Tu pourras trouver quelqu'un pour te prendre ? Par contre, je ne me fais pas toucher. Je ne suis là qu'en observateur et pour, si j'ose, te baiser le cul après."
"Ok pour demain midi. J'ai quelqu'un en tête. Normalement, ça le fera. pas de soucis, J'avais bien saisi, je lui expliquerai le plan. Donc rendez-vous au (mon adresse). Je vis au rez-de-chaussée. Ma porte sera entrouverte. Le code d'accès à l'immeuble est le (code d'accès)"
Après cela, je contacte immédiatement mon pote actif, le DJ, qui vient régulièrement me défoncer chez moi à l'heure du midi. Chose qui ne me posait pas de problème car, à l'époque, je vivais à deux pas de mon lieu de travail. Je prendrai le temps d'écrire un nouveau chapitre sur mon pote le DJ après celui-ci. Donc, je lui explique la situation. "Hétéro voyeur qui ne veut que regarder, qui ne veut pas être touché et qui, peut-être, prendra sa place après qu'il m'ait défoncer le cul." Je lui précise l'heure et lui dis que c'est pour"demain".
Sa réponse ne se fait pas attendre. "Ok. Tant que je peux profiter de mon vide couilles ça me va. Je serai dans ton cul à midi."
Voilà, je peux enfin me coucher en sachant que mon cul sera utilisé dès le lendemain midi.
Le lendemain, impossible pour moi de me concentrer. Je regardais les minutes et les heures s'écouler sur l'horloge. J'avais hâte de rentrer chez moi et de m'installer à quatre pattes sur mon lit, surtout que j'avais déjà enfilé mon jockstrap sous mon costard. Je ne vous dis pas dans quel état j'étais quand je prenais un café avec mes trois collègues mecs qui me font craquer depuis que je suis entré dans l'entreprise. Je n'arrêtais pas de me dire que j'étais en jockstrap devant eux, eux qui ne se doutaient de rien. Du coup, mon esprit vagabondait dans les méandres de la luxure et je me demandais ce qui se passerait si je baissais mon pantalon pour leur présenter mon cul. Mais ce n'est resté qu'une pensée lubrique.
Onze heure et demie, plus qu'une demie heure. Je n'y tiens plus. Mon cul a faim. Il a faim de bites. Je ne bosse même pas. Je suis trop obnubilé par cet hétéro qui kiffe mon cul. Cet hétéro voyeur qui, je dois l'avouer, m'intrigue. Midi, bingo ! Je chope ma veste et sors de mon bureau.
"Bon appétit !" Me lance un collègue.
"T'as pas idée." Réponds-je.
Arrivé chez moi, je me dessape et m'installe à quatre pattes sur mon lit à côté du gel et du poppers que j'avais préparé avant mon départ ce matin. Puis j'attends la rondelle palpitante et, vous vous doutez, le nez déjà dans le poppers.
Peu après midi et quart, la porte de mon appartement s'ouvre. Puis quelqu'un entre dans ma chambre.
"Salut mon cul préféré. Ton ami l'hétéro n'est pas encore là ?" C'était mon pote actif, DJ. Alors lui, pour me défoncer le cul, il est toujours ponctuel. Il a déjà commencé à se déshabiller
"Non, il ne va pas tarder, j'espère. Tu as bien laissé la porte entrouverte ?" Demande-je tout en gardant ma position alors qu'il me caresse le cul.
"Oui." Répond-il en lâchant sa grosse queue bien bandée sur mon cul.
Je tends beaucoup plus mon cul tout en sniffant mon poppers. Il tend la main vers la mienne pour m'emprunter mon flacon de poppers pour à son tour s'en enivrer puis il me le rend. Il se saisit du gel posé à côté de moi pour m'enduire la rondelle avec. Il fait glisser sa lourde et grosse bite entre mes fesses bien lisses. Puis il l'introduit en moi avec l'assurance d'un mâle alpha. Il la glisse dans mon trou qu'il dilate doucement.
"Euh... Bonjour... Il y a quelqu'un ?" Chouette, mon hétéro voyeur est là.
Je m'apprêtais à lui répondre quand j'entends :
"Par ici, dans la chambre. Je lui défonce son beau p'tit cul. Tu veux mater ? Alors amène toi." Répond mon pote actif galvanisé par la situation.
Après coup, je me suis rendu compte que ça aurait pu être n'importe qui qui était rentré dans mon appartement. Pas forcément mon hétéro voyeur. Un voisin soucieux de voir ma porte entrouverte par exemple. Fort heureusement, c'était bien mon hétéro vicieux.
"Tiens, installé toi là (assis sur une chaise au pied du lit), tu seras en première loge pour mater ce bon p'tit cul en train de se faire démonter." Pas besoin de vous dire que mon pote actif, tout en discutant, me pilonne sévère mon cul, les mains agrippant fermement mes hanches.
Je tourne la tête vers la droite pour regarder ce mec qui, deux jours auparavant, m'avait maté me faire enculer et avait même touché mon cul. Il avait posé sa veste sur le dossier de la chaise sur laquelle il s'était maintenant assis. Il avait déjà la main sur sa braguette et il observait mon cul se faire déchirer par la grosse bite de mon pote avec délectation. Il me paraissait grand et plutôt bien bâti. Un beau mec d'une trentaine d'années, des cheveux mi long blond et des yeux bleus. Je le vois se caresser un peu plus frénétiquement à l'entre-jambe. Je devine un très beau morceau à travers le tissu de son jean. J'ai envie que lui aussi me prenne comme mon pote le fait. Il ne cesse ses coups de butoir, se faire mater en pleine action lui plaît. Je tends et retends mon cul pour sentir sa grosse queue me détruire les entrailles. Le poppers sous le nez, je me sens partir. Putain, j'en veux.
"Défonce moi." Dis-je complètement excité.
"Tu vois comme il aime ça. Regarde bien ce beau cul. Approche toi et regarde sa rondelle se contracter autour de ma queue. Ça te plaît ?" Demande mon pote actif à ce voyeur qui répond d'une petite voix :
"Oh que oui."
"Alors mets toi à l'aise et libère ta queue. Et, touche moi ce cul de salope. Je vois que tu en as envie." Poursuit mon pote.
Sur ces mots, l'hétéro voyeur dégraffe les boutons de son jean et en sort une bonne queue d'au moins 19 cm. Il se lève de sa chaise pour se placer à genoux à mes côtés sur le lit. Et tout en se paluchant la queue d'une main, se saisit de l'une de mes fesses de l'autre.
"Hum oui c'est ça. Il te plait son cul hein ? Tout ça m'excite. Regarde le bien accueillir ma grosse queue. Tu vois comme il tend son cul de p'tit bâtard ?" Mon pote actif me défonce le cul comme il l'a toujours fait, mais je sens bien que se faire mater par un hétéro avide de mon cul, l'excite comme jamais. Il prend un réel plaisir de commenter sa baise magistrale comme s'il était désireux d'initier cet hétéro à la baise anal. "Tiens, tu vas m'aider, écarte bien ses fesses." L'hétéro voyeur s'exécute en empoignant de son autre main ma seconde fesse. "Ouais comme ça. Regarde bien ce que je vais lui faire."
Sur ces mots, il sort sa queue puis me la remet doucement. Putain que c'est bon. Il recommence, toujours aider par l'hétéro voyeur qui semble regarder ce moment avec envie puisqu'il écarte mon cul encore plus fort. Mon pote actif sort et entre de mon cul de plus en plus vite jusqu'à jouir en moi dans un râle que mes voisins ont dû sans doute entendre.
L'hétéro voyeur est ravi et ne manque pas de le dire. Après s'être entièrement vidé dans mon cul, il invite l'hétéo à venir le remplacer.
"Allez, à toi. Tu n'es pas venu que pour mater quand même, En plus, tu bandes comme un cheval, et je peux te garantir qu'il va aimer la sentir dans son cul. Je t'ai préparé le passage. T'as juste à te placer debout derrière son cul et laisser ta belle queue s'y loger bien au fond. Sérieux, il a encore envie."
"Oui, vas-y, défonce moi le cul, n'hésite pas, j'en veux encore." Ajoute-je.
Je vois l'hétéro voyeur décendre du lit. Il se positionne derrière moi. Sa queue caresse ma rondelle déjà bien dilatée par les assauts incessant de mon pote actif.
"Bien, je sens que tu en veux. Laisse moi juste remettre un peu de gel. Ta queue apprécie. Son trou n'en a pas réellement besoin, il est plus qu'accueillant là. Et toi, p'tit bâtard, tends ton cul et continue à sniffer ton poppers." Mon pote actif aime jouer les instructeurs, "Voilà, comme ça. Caresse bien son trou avec ton gland et quand tu te sentiras prêt, fous lui ta queue bien au fond de son cul. Tu sais, je crois que je vais rester un peu te mater défoncer cette belle croupe. Je comptais partir après avoir vider mes couilles mais j'aimerai te voir baiser ce cul de mec. C'est ton premier en plus, si j'ai bien compris."
"Oui. Mon premier cul de mec. Tu peux rester, mais je ne me fais pas toucher. Je ne suis pas gay." Répond l'hétéro voyeur.
Là dessus, comme galvanisé par ce nouveau pote viril de baise, il me prend par les hanches et entre entièrement sa grosse bite en moi. Il commence ses vas et viens avec douceur puis de manière plus agressive. Il ne s'arrête plus, J'ai le nez dans le poppers et subit ses violents coups de bassin. J'entends sa peau claquer contre mon cul.
"Putain, je vois que t'aimes son cul. Tu le défonces comme un pro. Tu le voulais son cul, ça se voit." Commente mon pote actif.
"Humm, ce cul. Putain de salope, je te baise. Encaisse et... prends ça." Et dans un râle bestial, il lâche une quantité impressionnante dans mon cul. Puis, sans dire un mot, il décule, range sa queue dans son jean, récupère sa veste et quitte mon appartement. Comme honteux d'avoir kiffer défoncer un cul de mec.
"Attends. Ne bouge pas. Il m'a refait bandé ce con." Dit mon pote actif tout en me remettant sa queue dans le cul en saisissant mes hanches. "Oh putain, ça rentre facile. Je vais te défoncer une seconde fois. J'ai grave envie jouir à nouveau." Il me cassé littéralement le cul. Il y va carrément comme un bourrin. "Il m'a donné chaud ce mec. Il t'a baiser comme un malade. En cinq minutes il a craché. Il l'a voulu ton cul." Et tout en disant cela, il conclut cette baise par une troisième dose de jus dans mon cul. Il se retire puis tout en s'habillant, il me dit : "S'il te recontacte, je suis votre homme. J'ai adoré."
Je suis évidemment arrivé en retard au travail.
L'hétéro voyeur m'a bien recontacter un mois plus tard pour renouveler l'expérience. Mon pote actif, le DJ, a répondu présent comme à chaque fois que l'hétéro voyeur se manifestait.
Merci de m'avoir lu. J'espère que ce récit vous plaira autant que les précédents.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr