Premier épisode
2 | L'HOMME SORT DE LA SALLE DE BAINS
L'homme sort de la salle de bains. Il est plus jeune. Un ouvrier. Je dirais 21 ans. Peut être même un stagiaire. Nu, mouillé... beau ! Juste une serviette autour de la taille. Blond, cheveux en bataille, une sorte de moustache blonde, faite de poils durs et parsemés. Il a un petit air amusé, canaille, le regard qui frise...
- C'est bon, Romain ? T'as fini ?
- Ouais, c'est bon, vous pouvez nettoyer, patron ! Ha ha !
Le jeune ouvrier donne un coup de menton dans ma direction.
- C'est qui, ce pingouin ?
Il a une voix forte qui contraste avec son physique. Une voix de fumeur. C'est un homme de chantier. Son corps est fin mais ses mains sont caleuses. Un tatouage incompréhensible trône sur la poitrine. Il dégage une assurance forte et virile.
- C'est le mec de la teub
- De la teub ?!!
- Oui, tu sais, je t'en ai parlé...
Le stagiaire est encore mouillé. Sans enlever sa serviette de sa taille, il me regarde en continuant de s'essuyer entre les jambes... un geste totalement indécent !
- Il est venu nous montrer sa teub ? C'est ça ? ha ! ha !
L'ouvrier suspend son geste. Je remarque à quel point ses yeux son bleus.
- Bonjour. Non non je ne suis pas venu vous montrer ma teub. La TEuB c'est autre chose, c'est...
-Ah je préfère !
Il me regarde droit dans les yeux avec son air rieur, tout en parlant à son patron :
- J'ai cru que c'était un pédé.
Et sans détacher sa serviette il se remet à s'essuyer activement le dessous des couilles. On devine que son matériel est énorme. Il n'hésite pas à le secouer dans tous les sens.
- Excusez... vous savez ce que c'est... la poussière de chantier... ça va se loger partout... moi c'est Romain.
Et il me tend la main caleuse avec laquelle il vient de s'essuyer la bite.
- Bonjour Romain...
Sa main est très large. Le jeune homme est fin mais il a les extrémités volumineuses.
- Partout... vous n'avez pas idée... pas vrai, Jacques ?
- Putain, Romain... vas t'habiller, enfin !...
- Laissez, laissez...
- Le Monsieur est venu nous parler de contrats de...
- De plans d'actions. Ce sont des placements, destinés spécifiquement aux professionnels du bâtiment.
- ... partout... Une fois le patron il avait du plâtre jusqu'à l'intérieur du prépuce !
- Putain ! Romain !!
- Ben c'est vous qui me l'avez dit, Jacques !
- Oui oui... mais putain va mettre un slip !!
(Du plâtre dans le prépuce ?!)
Je suis très étonné de l'aisance qu'ils ont l'un par rapport à l'autre ! Mais je continue. Je ne dois pas montrer ma surprise...
Règle numéro 2 : Toujours aller dans le sens du client.
- Laissez, laissez... ça ne me dérange pas... vous êtes chez vous...
Du coup, je commence à me demander si ces deux hommes ne sont pas un peu pédés... ce n'est pas clair. Le jeune ouvrier dégage quelque chose de très macho et de franchement hétéro, en revanche, le chef de chantier continue à bien me mater les burnes.
- Monsieur le banquier, vous pouvez commencer, il va s'habiller...
L'homme est en slip transparent et son jeune collègue continue machinalement à s'essuyer les couilles... ça va quand même loin, là... je dois absolument rester concentré.
- Allez-y... vous occupez pas de lui...
Le chef de chantier se met en arrière pour s'installer confortablement pour m'écouter... Mais je m'aperçois que dans cette position, son slip le moule tellement ! Il ne semble pas réaliser à quel point son gros sexe est compressé ! On lui voit tout ! Jambes ouvertes, tranquille, on lui voit des bouts de couilles sur les côtés, et il expose toute sa teub à travers son slip. Incroyable !
Même le stagiaire remarque :
- Ben putain, Jacques, je savais pas que...
- Quoi ? Tu fais chier ! Tu m'as jamais vu en slip ?!
- Si si bien sûr, mais pas comme ça... pas...
- Allez... l'écoutez pas, Monsieur le banquier... continuez...
- Nathan, c'est Nathan
Sans s'habiller, le stagiaire s'assoit à côté de son chef, écarte un peu les jambes lui aussi et me lance un nouveau coup de menton :
- Allez vas-y Nathan ! Parle-nous de ta teub, là...
De la où je suis, il me semble que je vois entre ses jambes, sous sa serviette... et j'ai cru apercevoir un gros titi... un truc rose... mais pas longtemps. Il referme les jambes.
Et là ça devient très compliqué pour moi. Si je devais suivre à la lettre les préceptes de la TEuB, il faudrait que je fasse comme eux pour me mettre à leur niveau et que je débale moi aussi le contenu de mon froc... j'avoue que c'est chaud. Je me suis rarement retrouvé dans une situation aussi sexuelle...
J'hésite... Que dois-je faire ?... Je sens bien que mes deux couilles sont moulées par mon pantalon et je sais qu'on voit ma longue bite et la trace de mon gland, c'est déjà beaucoup... alors peut-être vaut-il mieux ne pas en rajouter... Je me contente d'écarter bien les jambes.
Ils me regardent des pieds à la tête. Le jeune ouvrier s'attarde lui aussi sur mon entrejambe. Je commence à avoir l'impression d'être Poil de Carotte au Maghreb !...
- On vous écoute, Monsieur le banquier...
Le patron tire son slip vers le haut. Ses deux grosses couilles sortent presque complètement, une de chaque côté. Ils continuent tous les deux à me détailler l'entrejambe... J'avale ma salive. Ça devient extrêmement gênant. J'ai peut-être été trop loin... Je les ai peut-être un peu trop chauffé. Résultat ils me matent tous les deux la bite et je me sens complètement à poil... D'un autre côté... qu'est-ce que c'est bon !!
Et le stagiaire, avec sa grosse voix :
- Allez, putain, parle-nous de ta teub, là !...
En disant cela, il écarte les jambes et cette fois j'aperçois entièrement entre ses jambes, sous sa serviette, son gros titi posé sur le lit ! Il est énorme, paisible, un gros machin rose, brillant et semi-décalotté... un putain de truc !!
Moi qui ne suis pas pédé pour deux sous, j'avoue que je suis très perturbé devant le gros zob de ce jeune ouvrier... quelle bite, ce mec !!
Je reste paralysé. Moi qui suis toujours à l'aise, les mots ne me viennent pas...
- Monsieur le banquier ?...
Les deux hommes de chantier se regardent.
C'est fou, je vois leur bite à tous les deux ! C'est très perturbant. Cette situation n'est pas normale, et je sens que je n'arrive pas à la gérer... Alors, comme quand j'étais à l'école, mon esprit s'échappe... J'ai comme l'impression que leurs regards s'intensifient et s'accrochent... je sens qu'ils ont envie de se rapprocher... et brusquement, comme un flash, j'ai l'image des deux hommes en train de s'embrasser goulument, leurs langues vont et viennent, ils ouvrent grand leurs bouches et ferment les yeux, ils se lèchent la bouche, se sucent la langue et échangent leurs salives... " Patron, touchez-moi la bite... mmmh oui...encore..."
Mais non, c'est mon imagination ! Les deux hommes me regardent :
- Ça va ?...
Putain ! Qu'est ce qui m'arrive ?! Serais-je en train de virer pédé ?... Oh non ! Mon dieu pas ça... putain que va dire ma femme ?
Je dois absolument me ressaisir, revenir a ma mission, je dois rester sur mon texte... et là, manque de bol, la première règle de la TEuB qui me vient à l'esprit c'est la numéro 6 : Ne pas hésiter à emmener le client sur le terrain sexuel, se toucher ostensiblement le pénis, écarter les jambes et sourire...Putain dois-je vraiment faire ça ?!
Mais dans ces cas-la il ne faut pas réfléchir, je dois appliquer les préceptes. Alors je me mets en arrière, j'ouvre les jambes aussi largement que possible, et je me mets à me caresser le sexe à travers le pantalon tout en débitant mon texte :
- Messieurs... euh... Romain et Jacques Hulles...
- En fait, Hulles c'est mon nom de famille...
- Ah oui pardon... je vais tout vous expliquer et tout vous montrer, je ne vous cacherai rien, je compte sur vous pour faire de même...
J'écarte, je caresse...
- D'abord, savez-vous ce qu'est un "plan d'actions" ?
Les hommes semblent surpris. Ils se regardent. L'appenti lève un genou et pose son pied nu sur le canapé, soulevant totalement sa serviette et dévoilant intégralement son énorme zizi d'ouvrier !
Superbe ! (Putain merde ! Je suis vraiment entrain de virer pédé...)
Ce gros zizi est incroyable : long, large, à moitié décalotté, viril, très viril... mais paisible, il repose sur le lit, une grosse couille rose posée de chaque côté. Ses bourses semblent molles, la peau est fine et plissée, on a envie de les toucher. Le bout de son gros gland apparaît par le hublot rond de son prépuce. Il a le bout mouillé... C'est sûr il était en train de se branler sous la douche...
L'apprenti a remarqué que j'observe son sexe et il plante son regard rieur et intrusif dans le mien... putain c'est pas possible il le fait exprès !
- Ben vas-y... c'est quoi ton plan d'actions, là ?...
- Euh... oui...
Et comme pour me provoquer, sans me lâcher du regard, l'ouvrier se met à se gratter les couilles. C'est gros, ça bouge, c'est lourd, c'est absolument magnifique ! Cette fois c'est sûr, je pense que je suis devenu pédé... et putain... qu'est ce que c'est bon !!
Ils me fixent... Romain me regarde de façon canaille et Jacques Hulles de façon intense...
- Je...
Mais ils semblent étonnés...
- Jacques... je crois qu'on est en train de le perdre...
- Si il tombe dans les pommes, c'est toi qui lui fait du bouche à bouche, ha ha !
- À vos ordes patron, ha ha !
- T'aimes ça, avoue...
En fait, ces deux mecs sont des pervers. Ils me regardent du coin de l'œil comme on guette une proie, comme pour vérifier que je suis pris comme un lapin dans les phares de leurs deux gros sexes d'exhibitionnistes... ils écartent bien... Et je sens une petite secousse très légère dans mon gland... merde... je sens que décalotte...
Ils échangent un regard complice et moqueur. De nouveau j'ai l'impression qu'ils vont s'embrasser... mais non. Leurs sexes sont si gros et leurs corps si beaux !
Je me racle la gorge...
- Nathan... vous êtes sûr que ça va ?...
- Romain, tu sais je crois qu'on devrait se rhabiller... c'est peut-être ça qui...
- Putain, patron, on est bien, là ! Fait chier, on va pas se rhabiller pour un pingouin, là... !
- Laissez, laissez... ça ne me dérange pas...
- Vous voyez, Jacques... Moi j'ai l'impression qu'il aime ça au contraire, le freeballing... c'est un pédé, je vous dis...
Et là le chef me sourit...
- Tu crois... ?
Le patron recommence à me mater le sexe, il veut sûrement voir si je me mets a bander... et je perçois à nouveau chez lui ce truc sexuel... extrêmement sexuel... ce truc de pédé... et je sens une nouvelle secousse dans mon gland. J'avale ma salive.
- Pas du tout... c'est juste que...
Mais là, dans un geste provocateur, l'apprenti soulève encore plus sa serviette, ouvre les jambes au maximum et bascule le bassin en position d'exhibition totale !
Il ne dit rien (mais son regard dit : Allez, vas-y, mate-moi ça !) Il avance encore plus le bassin... (Hein que t'aime ça, hein ?)... au point qu'il me semble que j'aperçois son anus !... Il me sourit... Il ouvre grand... Mais oui putain je vois son anus !!! Et là, pédé ou pas, on ne peut rien contre une violente envie de fourrer !!
Et je sens bien que je me mets à bander... merde, ça va forcément se voir !
Ce mec superbe, viril et bandant, est en train de me montrer son orifice en souriant !!! Qui pourrait résister à ça ? Comme tout homme à ma place, je suis pris d'une violente envie de le prendre et de l'emmancher profondément, de le faire sauter sur ma barre et de le démonter complètement !
Mais non ! Je ne dois pas me laisser déconcentrer... même si ça se voit que je bande... Dans ces cas-là, il paraît qu'il faut assumer son érection naissante...
- Oui... bon alors... le plan d'actions...
Jam
jorgeantoine.madri@yahoo.com
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