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7 | ALORS JE DESCENDS MA BRAGUETTE
Moi, je me tourne face à mon policier à moi, et à son énorme bazar.
- À nous deux, mon lieutenant !
Le policier, complètement exhibé, continue de protester mais mollement...
- S'il vous plaît...
Je sais qu'intérieurement il a abdiqué. Alors je le prends par la taille pour le forcer à se mettre face au mur. Et au contact de mes mains sur sa peau, je le sens qui frissonne. Il résiste un peu mais il se met en position. Mains contre le mur, jambes très largement ouvertes, dos cambré... il en fait presque trop... il est décidé à ne pas résister.
Il m'offre une vue incroyable sur sa raie poilue et ouverte, sur son anus, et sur ce grand pli de peau qui descend jusqu'à ses corronès.
Mes mains glissent sur la partie osseuse de ses hanches, et un peu sur ses fesses... Et je suis étonné de constater à quel point sa peau est chaude et douce... incroyablement douce !
Cette peau si soyeuse et si réactive, ça ne colle pas vraiment avec son corps de mec super-viril...
En fait je réalise que derrière ce mâle hyper-sexué se cache un homme hyper-sensuel ! Au contact de mes mains tout son corps à frémi, et ça lui a fait remonter une couille toute seule... En fait, ce flic, il est à fleur de peau ! Et ça putain ça m'excite ! Je suis encore obligé de me repositionner la teub, à l'intérieur de mon froc.
Le policier, toujours face au mur, tourne la tête vers moi... Sait-il qu'en faisant ça il se retrouve dans la position qui m'excite le plus entre toutes ?... Il me jette un regard dur, en murmurant un truc entre ses dents... j'aurais juré entendre "pédé"...
- Allez, on écarte bien les jambes, lieutenant... on met les fesses bien en arrière et on se laisse faire.
J'appuie sur ses reins... de nouveau il frissonne... cette peau...
- Allez... écartez plus les jambes s'il vous plaît
- Oui, ben là ça va, non ?!
- Écartez encore plus, mon lieutenant, il va falloir que j'aille partout, vous savez...
Il baisse la tête, il se soumet et il écarte. Il révèle sa raie fournie et son anus poilu.
- Plus, s'il vous plaît... parce qu'avec vous, pour aller dans tous les plis, ça va être du travail...
Il écarte encore plus... Le pauvre, il est déjà au max, mais il se soumet. De nouveau je l'entends siffler un truc entre ses dents... Cette fois il est en position d'exhibition intime intégrale, anale et sexuelle... ses organes balancent, et au milieu des poils je devine son anneau ourlé... il ne peut plus rien cacher... il est dans la position la plus humiliante qui soit pour un flic...
- Pédé, va...
... la position de sodomie verticale passive.
De son côté, Bilal a bien avancé. Il a tout inspecté. Le stagiaire de police est très excité, et très content. Dans sa soif d'apprendre, il coopère et pose toutes sortes de questions. Après l'avoir décalotté et inspecté totalement plusieurs fois, Bilal lui inspecte à présent le petit trou. Mais le jeune homme, malgré les doigts experts de Bilal effleurant sa rondelle, continue son incessant bavardage :
- Vous savez, Monsieur, d'habitude je ne suis pas homosexuel mais avec vous, c'est... je ne sais pas... tellement agréable... Et vous, vous êtes homosexuel, Monsieur le douanier ?
(Houla ! Ne jamais poser cette question à Bilal !)
- Ferme ta gueule, zamel m'haoui, tu me déconcentre.
Et pour compléter sa réponse, Bilal lui chope le pénis d'une main, et de l'autre il lui enfonce direct son majeur dans le trou, le plus loin possible... L'apprenti se cabre... Bilal aussi... Apparemment, une forte tension identique traverse leurs deux corps... Bilal plisse les yeux, le stagiaire pousse un cri... on devine qu'un plaisir intense est en train de les happer... D'un seul coup, leurs deux têtes basculent : toutes les deux, simultanément... ils sont comme fauchés par l'orgasme : Putain ils jouissent !... déjà...
La tête du jeune homme bat la mesure, il envoie de grandes giclées de sperme sur le mur. Quant à Bilal, en bon éjaculateur précoce, il a eu le temps de baisser son froc mais pas de sortir complètement son zeb de son sous-vêtement, alors ben... il a commencé à jouir lamentablement dans son boxer et il le baisse maladroitement en pleine éjaculation... ça c'est tout Bilal !
Leurs deux têtes oscillent comme des musiciens en transe... au rythme des pulsations de leurs sexes. Ils sont beaux.
Bilal me regarde profondément, et par ce regard il me livre comme un cadeau l'intensité de sa jouissance... Il continue à doigter le jeune policier et à caresser avec douceur le sexe blond qui ne cesse de décharger... de plus en plus tranquillement...
Puis Bilal se redresse, et tel un sportif épuisé, appuie le haut de son corps sur le dos du jeune stagiaire de police. Les deux hommes sont essoufflés. Il lui souffle dans la nuque. Leurs corps s'emboîtent comme des sodomites. Le zob de Bilal s'est glissé entre les jambes du stagiaire, et son gros gland de circoncis continue de libérer son jus le long de la cuisse du jeune flic.
Ils sourient, ils ferment les yeux... Ils dégagent une image de plénitude.
Puis Bilal se redresse, remonte partiellement son boxer gris, maculé des grosses taches sombres de son éjaculat. Il tient son pantalon d'une main, ça ne lui cache que la moitié du zob, et il part faire ses ablutions... comme d'hab.
À peine remis, le stagiaire se redresse à son tour. Il est tout rose, il a encore la bouche ouverte et le regard rouge de plaisir. Il vient vers nous. Je lis dans son sourire victorieux qu'il a l'anus décontracté. Son pénis coule encore. Plutôt que de se rhabiller, il s'approche. Il semble heureux, sûr de lui, très à son aise... le sperme de Bilal coule doucement entre ses cuisses, pendant que son sexe rose débande lentement...
Il regarde la raie poilue et le bazar suspendu de son chef humilié, et il hoche la tête en se grattant les couilles. Il semble approuver la situation. Le lieutenant est toujours en position humiliante, en position d'attente et d'exhibiltion intégrale.
- Tout se passe bien, mon lieutenant ?
Le zizi rose du jeune homme, encore gonflé, laisse échapper une dernière coulée de foutre blanc qui s'étire jusqu'au sol.
- Tout se passe comme vous voulez ?
Le lieutenant tourne la tête. On se regarde et on se comprend : Décidément, ce stagiaire il est beau mais il est con comme une tête de gland...
- ... mais ta gueule...
Le flic est aussi impressionnant de derrière que de devant. Ses couilles de taureau sont énormes, suspendues par ce grand pli de peau vertical qui part de son anus. Il a une burne plus haute que l'autre, qui monte et qui descend lentement : Des couilles de flic !
- Écartez bien, mon lieutenant.
Alors, enfin, je plonge mes deux mains dans son intimité. Sa tête bascule mais il se laisse faire.
À l'école des douanes, notre proc de fouilles nous expliquait qu'il faut enpoigner franchement les parties génitales et ne pas hésiter à inspecter simultanément l'avant et l'arrière, pour que le suspect se sente cerné et qu'il s'immobilise, pris en main... comme possédé.
Alors sans hésiter j'attrape le lieutenant par le sexe. Je le chope, je l'inspecte, je le doigte, je lui saisis les couilles, je me l'approprie, je le décalotte, je le branle, je glisse mes mains autour de ses burnes... et dans sa raie du cul. Il est chaud, il est moite, il commence franchement à bander. Son sexe est incroyable... Quand je lui effeure l'anus il tressaille, quand je lui caresse l'intérieur des cuisses, ses couilles font l'ascenseur... Le flic est de plus en plus excité, et de nouveau, je sens cette bonne odeur de sexe.
Le stagiaire de police semble émerveillé.
- Ça va, mon lieutenant ?
Son chef tourne à nouveau la tête. Son regard est rouge, ses yeux cernés, son visage d'acteur décomposé... bouche ouverte, il bande et il bave... son barquemart est long, épais, dur et lourd. Il reste cependant à moitié recouvert, mais le bout est tout brillant de mouille.
- Monsieur le douanier, je peux toucher ? C'est trop beau...
Le flic ne dit rien, son corps ne lui appartient plus, il a compris qu'on ne lui demandait même pas son avis... et qu'il allait forcément finir par se faire enculer... alors...
- Bien sûr, jeune homme !
Et je laisse l'apprenti s'approcher. Il a toujours son joli zgueg à l'air. Il se baisse, glisse ses mains par en-dessous et saisit l'énorme engin du lieutenant qui tressaille. Et il commence à branler doucement son chef, qui réagit fortement...
- Hhhhhah...
... par de grand mouvements de tête et par de fortes contractions de l'anus, visiblement.
- Hhhha putain...
Une longue goutte s'est formée au bout du gland du flic. Son apprenti le branle doucement et le long fil de mouille bouge dans tous les sens.
- Chef, quand je pense que j'avais jamais touché votre pénis... c'est fou...
- ... mais putain ta gueule, Ju...
Il ne termine pas sa phrase car j'enfile d'un coup mon doigt d'honneur dans son trouduc.
- Hhhhha...
- Attention, Monsieur le douanier, vous risquez de le faire jouir... (dit-il en continuant de le branler... décidément il est vraiment con)
Mais ce n'est pas tout, je dois poursuive mon inspection méticuleuse, on n'est pas là pour se faire plaisir... enfin pas que... Alors, avec le stagiaire, on décide de se partager un peu le travail : Lui il vérifie qu'il n'y a rien dans le prépuce du lieutenant, et moi je m'occupe de tous les plis et des zones de poils. Avec ce genre de sexe, c'est forcément plus long, mais finalement l'inspection à quatre mains avance bien...
Sauf qu'à force de se faire tripoter, branler, décalotter, doigter et visiter de partout, le lieutenant montre des signes de fatigue et de forte excitation. Son érection est au maximum et marque des à-coups, son cul aussi se contracte, il jute, ça coule... Mains au mur, sa tête pend entre ses épaules, il bave, il écume comme un fauve... il est à bout.
- ... pédé...
Il m'offre une vue incroyable sur son anus décontracté, et je devine qu'il est brûlant à l'intérieur...
Alors mon beau lieutenant, avec sa gueule de Gaspard Ulliel ébouriffé, se tourne vers moi tel un animal épuisé, visage défait, paupières sombres, pine et babines baveuses, pour exprimer sa lassitude :
- ... encule-moi, douanier... qu'on en finisse...
Et là je me dis que cette fois il est mûr.
Alors je repousse l'apprenti.
- Pousse-toi !
Le jeune homme trébuche et tombe en arrière, quatre fers en l'air... mais il ne m'intéresse pas vraiment.
Le lieutenant épuisé n'arrive pas à sourire mais il creuse le dos pour exposer sa raie fournie et faciliter l'accès à son anneau qui se languit...
Alors je descends ma braguette.
Jam
jorgeantoine.madri@yahoo.com
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