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Chapitre 3
La journée passa très vite pour les deux ados, chacun perdu dans ses pensées. 18h arriva vite et Brice se retrouva encore une fois dans la chambre de Josselin. Cette fois celui-ci avait compris et il ne mit pas deux minutes pour se mettre nu et à genoux. Assez rapidement et dans un silence pesant Brice sortit sa bite bien raide et envahit la bouche de son camarade, seuls les bruits de la succion ébranlaient la pièce. Brice violait carrément la bouche de son soumis et sa domination quasi naturelle le rendait encore plus excité par la situation. Assez rapidement il jouit dans la bouche de Josselin qui dut avaler le nectar sans bien sûr avoir son mot à dire. Les rôles étaient maintenant définis et chacun savait que cette situation n’était pas près de changer. Brice ordonna à Josselin de se mettre au bureau et de faire les devoirs en commun et pendant que son camarade obéit et se mit à faire ses exercices dans le plus simple appareil et la bouche encore pleine de sperme Brice réfléchit à ce qu’il voulait faire subir à son nouveau jouet.
C’est maintenant Brice qui se tenait debout à côté de Josselin qui faisait les devoirs, il avait réussi à inverser les rôles et trouvait ça tellement valorisant. Pour une broutille il prit Josselin et le jeta vers le lit. La tête et le torse sur le drap et les deux jambes sur le tapis. La vue de ce petit cul retourna l’esprit de Brice, il ne voulait pas se l’avouer mais il savait depuis des jours qu’il voulait aller plus loin avec son jouet. Sans se le dire il savait maintenant que la bouche de Josselin n’allait pas être le seul exutoire de ses éjaculations. Il n’avait pas de lubrifiant car bien sûr il n’aurait jamais pensé aller aussi loin dans cette sexualité.
- “ne bouges pas de ta place sale pute” fut ses seuls mots et son esprit s’emballant, il courut presque jusqu’à la cuisine pour y chercher la brique de beurre.
En deux minutes il était revenu derrière sa victime et sans y réfléchir commença à tartiner la rondelle de son camarade tout en introduisant un puis deux doigts dans le cul vierge. Il ne faisait pas ça brutalement mais Josselin couinait et haletait, il ne pouvait croire à ce qui se passait. D’ailleurs aucun des deux ne se sentait dans le monde réel. Le violeur et sa victime était chacun perdu dans un monde flou. La réalité revint pourtant assez vite quand Brice approcha son gland de l’anus prêt à être envahi. Il ne fut pas brutal, pas tendre non plus, il y alla par petites poussées, il ne voulait pas faire mal à Josselin, son seul but était de rentrer toute sa bite dans le cul vierge de celui qu’il avait toujours détesté de façon illogique. A chaque essai, il entendait Josselin pleurer et chouiner mais il savait l’un comme l’autre qu’elle serait l’issue de ses tentatives. Et au bout d’un moment que personne n’aurait pu quantifier, c’était fait ! Brice le dit d’ailleurs d’un ton victorieux
“ça y est tu es un enculé maintenant, tu es maintenant totalement à moi”.
Que dire de plus, Brice ne faisait plus d’effort et maintenant il besognait son camarade de façon virile, Josselin ne se tenait à rien, son corps était bloqué par le lit et les coups de butoirs qu’il prenait de façon violentes et de plus en plus rapides. Il était devenu vraiment la pute de Brice, les deux s’en rendaient compte et il ne voyait plus aucune alternative pour y échapper. Pendant 5 minutes il se fit prendre par Brice, il entendait les couilles de son bourreau lui taper sur le cul, il sentait la sueur lui tomber sur le dos, il se faisait tirer les cheveux en arrière et comble de l’humiliation il se rendait compte que Brice lui crachait sur la nuque. Il n’était qu’un pantin assujetti au corps de son camarade. L’enculade était énergique, les insultes pleuvaient.
“sale pute, t’es mon vide couille, je vais te remplir ma chienne”
Puis il y eu quelques coups plus rapides, plus saccadés et Brice se vida dans Josselin. Encore quelques vas et viens et ce fut fini.
“je t’ai fécondé ma salope, maintenant tu es à moi” Triste constat mais terriblement vrai.
Brice sortit sa bite et la mise devant le visage de Josselin.
“Nettoie ma bite salope si tu ne veux pas que tout le bahut soit au courant de tes exploits”
C’était fini, Josselin venait de se faire violer par Brice, même la fellation forcée de la veille paraissait un détail face à ça. Brice se rendit compte qu’il avait détruit le mental de son compagnon. Cette victoire valait tout l’or du monde. Dans sa tête, déjà, de nouveaux sévices se mettaient en place pour humilier toujours plus celui qu’il venait de souiller de façon incroyable.
“ A partir de maintenant tu seras ma pute, je me servirai de toi comme bon me semble, à moins que tu préfères que je te fasse la plus belle réput de salope qu’il n’y a jamais eu !”
Josselin ne pouvait que pleurer, il savait bien qu’il avait perdu, que ce chantage ne pouvait plus s’arrêter. L’obéissance et la soumission n’étaient plus que ses seules solutions. La honte de se savoir vaincu se mêlait à celle d’avoir tout simplement été violé. Il ne se considérait pas comme une victime mais comme une merde. Comment expliquer aux autres qu’il ne s’était pas rebellé les jours d’avant, il savait dorénavant qu’il passerait pour un dégueulasse. Le lycée avait une facilité à changer une victime en coupable, Brice lui refit bien comprendre.
“ Si tu ne m’obéis pas, je montrerais les photos où tu poses à poil et je pense que celle où je t’encule pourrait faire le meilleur effet dans ton carnet”. Bien évidemment il avait réussi à prendre quelques photos de cette humiliation ultime. Josselin savait qu’il ne dirait rien, qu’il allait obéir à son bourreau, mais le pire c’est que Brice le savait aussi.
Brice se rhabilla en ordonnant à Josselin de rester nu. Il venait de passer une limite et trouvait ça tellement grisant. C’était fait, Josselin ne pourrait plus jamais lui refuser quelque chose. Un sentiment sadique l’emportait, il avait encore tellement envie de considérer Josselin comme un jouet. Voilà ce qu’était devenu son camarade à ses yeux : un objet de plaisir qui pouvait lui permettre de repousser toutes les limites. Josselin et lui comprirent à ce moment-là qu’ils étaient liés, Brice comprenant que Josselin avait tellement honte qu’il ne dirait jamais à personne ce qu’il subissait lui ouvrit les portes d’une imagination scabreuse.
Joss