Cette histoire qui s'est déroulée en 2014 raconte ma première foi, ces vacances où j'ai découvert ma bisexualité.
J'avais toujours été homosexuel, du haut de me 20 ans. En aucun cas j'aurai imaginé un jour, jouir des plaisirs procurés par un homme.
Nous étions dans la Drôme, avec quelques membres de ma famille afin de passer 2 semaines de détente ensemble. Mon frère avait ramené un ami qui devait partir à l'étranger à la rentrée. Il nous avait convaincu de le faire venir afin qu'ils puissent profiter tous les deux avant sont grand départ.
Il s'appelait Jean et était très grand (1m90 environ), brun et doté d'un corps assez impressionnant. Il était un tempérament très calme et avenant, une personne vraiment agréable.
Nous nous entendions vite très bien ! Nous parlions, le soir, de tout et de rien. J'ai vite appris qu'il était bisexuel. Cela a fait un sacré sujet de conversation dès le 3eme soir.
Nous étions souvent tous les deux car ma famille n'était pas des couches-tard.
Je lui posait plein de questions, "comment l'a t il découvert ?" "Sa première fois" "ses préférences" etc.
Il voyait bien cela m'intéresserait, et au bout de quelques minutes de mon interrogatoire, il dit en plaisantant :
"Dis donc, tu es bien curieux !" Avant de rajouter, "jusqu'où ça t'intéresse ?"
Étonnement, cette question m'a mis profondément à l'aise.
Je lui répondis : "je ne sais pas, ça m'intrigue. J'imagine par moment que coucher avec un mec ça me plairait."
C'était vraiment très fort pour moi de pouvoir direça à haute voix, sans que l'on me juge. D'ailleurs je ne m'y suis pas trompé, le jugement était un vice inconnu de Jean.
Il me répondit calmement :
"Je comprends, j'ai été à ta place dans le passé. Il faut essayer ! Va vaut vraiment le coup. Mais il faut le faire avec une personne capable de t'accompagner la dedans !"
"Mais je connais personne moi. Et les appli de rencontre ça me fait un peu peur."
"Écoute, si tu veux on peut profiter de nos vacances pour que je t'inicie à la bisexualité ! Ahah!"
Une proposition que qui me laissa sans voix et qui, pour le coup, me metta dos au mur. Je lui répondis "pourquoi pas" "il faut voir", avant que l'heure tardive et la fatigue nous imposent de rentrer dans nos appartements respectifs.
Une fois seul dans mon lit j'ai regretté d'avoir été aussi évasif dans mes réponses... J'aurai du dire oui franchement, pour que l'on puisse se sauter dessus !
Cette pensée m'accompagna toute la nuit jusqu'au petit matin.
La journée se déroulera normalement, sans allusion. Jean et moi étions peut être plus distant. À tel point que nous nous couchions relativement tôt, vers minuit, en même temps que tout le monde.
Une fois installé dans mon lit, nu, comme à mon habitude, je commençais spontanément à me toucher le sexe. Mes 17 cm légèrement courbés, se mirent presque instantanément au maximum de leur bandaison. La conversation avec Jean résonnait encore en moi.
J'adorai me branler doucement sans atteindre la jouissance, afin de conserver un niveau d'excitation maximal. Faisant augmenter ma température corporelle, je m'endormis sans ma couverture.
Vers 2 heure de matin, le bruit de ma porte qui se ferme ma réveilla. Je sursauta, me retourna et d'un geste, je parvint à cacher mon membre avec ma couverture.
J'aperçus Jean, évidemment, dans un caleçon prêt à craquer tellement sa bite était grosse. Nous restâmes quelques secondes sans rien dire avant qu'il prenne la parole :
"Ça fait 5 min que je t'observe. Tu peux te remettre dans ta position, faire comme si je n'étais pas là, laisse toi aller."
Sa voix me met tellement en confiance que je m'exécute, je me remets, sur le flan, dos à lui, exposant mon dos et mon cul, à peines éclairés par la lumière de la nuit.
Je l'entends qui se déplace lentement et vient de mettre derrière moi, en cuillère.
Il glisse sa main droite sous ma nuque et la gauche au niveau de ma hanche... Je découvre les caresses d'un homme, cette sensation est incomparable.
Je reste immobile et observe ce qu'il fait. Sa main gauche monte sur mes côtes et vient effleurer mes tétons. En descendant, elle vient jusqu'au bas de ma fesse. Cette caresse transversale, jean la répète le lentement de longues minutes.
Doucement, il se pencha sur moi et me fi sentir la bosse de son caleçon en s'appuyant sur ma fesse. Rapidement, il libéra son son sexe afin de venir caresser mon cul et ma raie avec.
Il se mit derrière moi, et faisait des vas et viens entre mes fesses avec sa bite que je devinait vraiment grande.
De sa main libre, la gauche, il vint me caresser le gland et me branler tout doucement.Ma réaction ne se fut pas attendre : me voilà bien cambrer sur son chibre.
Après quelques minutes comme ça Jean se mis entre mes jambes et pris ma bite dans bouche. Je le regardais, faire ses aller retour, gober mon gland et baver dessus. Par moment il retira sa bouche pour reprendre sa respiration, et replongea de plus belle sur ma bite luisante.
Je l'arrêta afin d'éviter de ne jouir trop vite, et lui demanda s'il avait envie que j'essaie sur lui. Naturellement, il accepta !
Assis sur le lit, Jean était debout face à moi. Je pris sa bite comme si c'était la mienne, comme j'aurai aimé qu'on le fasse avec moi. J'ai pris énormément de plaisir à sentir sous pouls dans ma bouche, palper des couilles, entendre mes bruits de succion et ses gémissements. Je retire son gland de ma bouche afin de le regarder. Il est gros, violet et presque tremblant. Je le branle en le fixant, presque fasciné par ce que je découvre.
Jean appui sur ma tête pour que je le reprenne au fond de ma gorge. Je caresse ses fesses par la même occasion.
Il m'arrêta pour les même raisons que moi plus tôt.
Il s'accroupit et vint m'embrasser, me rouler une grosse pelle afin de partager nos goûts. Je découvre pour la première fois, la bouche et la bite d'un homme. J'adore.
Nous nous remettons sur le dos, installés sur le lit. J'en profite alors pour m'installer dans le creux de son bras, et observer son corps immense et bien bâti. Un homme solide, aux muscles imposants, doté d'une douceur désarmante.
Je caresse son torse en descendant jusqu'à sa bite et des couilles je caresse d'une main.
Tranquille je m'endore dans ses bras.
Au milieu de la nuit alors que je suis de nouveau en position latérale. Je sens qu'il me caresse la raie avec des vas et viens doux et humide. D'un geste habile il vient me mettre, doucement mais sûrement, son index qu'il a humidifié de sa salive...
Il fait quelques allers retours et rajoute son majeur. Je me cambre encore davantage et peine à retenir mon souffle.
Après m'avoir bien préparé, Jean retire ses doigts et positionne son gland sur mon trou. Il pousse et rentre son gland à l'orée de mon anus. Je gémis, et pour ne pas alerter les autres dormeurs, il me met deux doigts dans la bouche.
Sa progression continue, j'ai mal mais j'aille ça. Il temporise et je le sens de plus en plus rempli par lui. C'est comme si je lui appartenait. De ma main gauche je viens caresser sa fesse, ce qui lui fait reprendre son avancer.
Arrivé au bout, Jean retire ses doigts de ma bouche et me prends, sans violence, par le cou. Je suis entièrement à lui, immobile, à la mercie de son membre.
Je sens ses couilles sur mon cul. Il entame son trajet retour jusqu'à me laisser complément vide et de revenir presque instantanément.
Jean me baise doucement, je sens son souffle et je n'ai qu'une envie : le voir jouir en moi.
À sa volonté, on change de position et me demande de venir sur lui. La pénombre aidant, je suis assez a l'aise pour venir m'accroupir face à lui et venir m'empaler sur sa bite. Je m'appuie sur ses pectoraux et accélère la cadence. Jean semble adorer ça et décide de me prendre par les hanches afin d'accélérer, une dernière fois la cadence. Il me défonce de l'intérieur.
D'un coup, il s'arrête net, et me laisse reprendre le rythme. J'ondule sur sa bite sans faire d'aller retour, juste en bougeant mon cul d'avant en arrière.
Quelques secondes plus tard, Jean se crispe et joui 4 immenses jets de sperme dans mes entrailles. la sensation de chaleur et de liquide qui se répand en moi me font, à mon tour, jouir sur son torse.
Je m'écroule sur lui, essoufflé. Il me caresse le haut de la tête ainsi que mes fesses. Sans rien dire nous nous endormons comme deux amants, prêts à se découvrir l'un l'autre pour encore quelques jours.
Nous avons refait l'amour plusieurs fois pendant ces vacances. Je l'ai pris à quelques reprises aussi. J'adore son cul autant qu'il aime le mien.
Romain_c
internetgagnant@yahoo.com
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