1| LE DÉBUT
“Bonjour, je viens pour la réparation de votre évier”
J’actionne le bouton qui ouvre la porte de l’immeuble et j’entends le réparateur qui accède à l’entrée. Il ne lui faut qu’une minute pour se présenter au seuil de mon appartement situé au rez-de-chaussée. C’est un homme d’une quarantaine d'années, cheveux grisonnants et très bien bâti. Je remarque immédiatement la largeur de ses épaules et ses biceps mis en valeur par un tee shirt au nom de la société de maintenance ; puis les avants bras puissants; et enfin les cuisses fermes moulées par un jean très ajusté.
Impossible de cacher mon trouble.
“Euh…vous êtes bien le client du 49 rue de l’académie?”
Je reprends mes esprits.
“Oui c’est bien moi! Je vous en prie, entrez. L’évier est celui de ma salle de bains et il est complètement bouché”
Je précède le technicien et nous nous engageons dans le couloir qui mène au fond de l’appartement. Sans perdre un instant, cet homme encore inconnu de mon existence il y a peu entre dans ma salle de bains, ouvre les portes du meuble vasque et regarde attentivement l’installation. Sans prononcer le moindre mot, il ouvre sa boîte à outils, s’allonge sur le dos et commence à dévisser la bonde et le siphon.
Je me tiens dans l’encadrement de la porte.
Mes yeux sont rivés sur les cuisses tendues de cet homme.
Mon regard s’arrête sur cette bosse à l’entre jambe qui semble plus imposante qu’il y a deux minutes.
Est-ce mon imagination?
Est-ce normal si je devine à travers ce tissu très fin un sexe long et large dont les formes avantageuses sont de plus en plus évidentes?
“Elle te plaît espèce de salope?”
J’ai sursauté….puis j’ai compris que ces mots m’étaient destinés.
“Pardon?”
Le technicien se lève d’un bond, m’attrape par le bras et me fait une clé qui m’immobilise immédiatement.
Je me retrouve plaqué contre la porte, un bras plié dans le dos, le visage écrasé. Je sens le souffle chaud de mon agresseur dans le creux de mon oreille. J’ai du mal à respirer.
“Ecoute moi bien. Tu me mates depuis que je suis arrivé, je me trompe ou pas?”
Je fais un signe affirmatif en espérant que cela calmera son agressivité, mais mon bras est toujours tenu fermement. Je ne peux toujours pas bouger. Je réalise à quel point cet homme est puissant et précis dans ces gestes. Un sportif? Sans aucun doute. Sport de combat? Probablement aussi. Comment me défendre? Ce ne sont pas mes quelques heures de musculation par semaine qui vont me permettre de m’en sortir… J’ai un corps athlétique, mais de là à pouvoir rivaliser avec cet homme…
Je sens alors, la main de cet inconnu me caresser le cul, puis avec précision et sans détour, ses doigts se glissent sous mon bas de jogging pour s’arrêter entre mes fesses…
“Putain t’es complètement épilé!!!! et à poil?! Non, mais je rêve! A croire que tu m’attendais! Non, mais regardez moi ça…cette belle salope mouille du cul en plus…c’est bien ça… t’es une vraie salope toi! Putain! Je suis tombé sur une belle pute qui aime la bite! c’est ça? oui ou non? Allez répond salope! Répond!”
“Oui! oui! oui! Je suis une salope! …”
Les mots sortent de ma bouche en rafale comme pour essayer de me libérer ou peut-être pour oublier que cet homme viril et violent ….est en train de me rentrer un doigt dans le cul, en profondeur et sans ménagement.
Et puis quand le deuxième doigt m’a ouvert un peu plus le cul, tout à basculé.
Je me suis cambré.
Mon sphincter s’est ouvert.
Mes jambes se sont mises à trembler.
Mon coeur s’est accéléré.
Ma respiration est devenue plus courte.
Le troisième doigt est entré sans difficulté et mon agresseur a desserré sa prise.
"Déshabille-toi et mets-toi à quatre pattes sale pute! Et cambre toi, vite!” Montre moi comment ton cul peut s’ouvrir. Vite! Dépêche toi!!
Mon esprit s’est troublé à en avoir des vertiges. J’ai fermé les yeux.
Cet homme n’est plus pour moi un agresseur, c'est un dominateur.
Et je suis maintenant sous ses ordres.
Je me suis cambré laissant mon cul offert pour accueillir le quatrième doigt.
Je gémis d’un plaisir mêlé d’une légère douleur…supportable et tellement excitante.
Tout s’emballe.
Les doigts ont laissé mon cul ouvert.
D’une main il m’attrape les cheveux pour tirer ma tête en arrière et je ne peux m’empêcher de crier ma surprise.
“Ahhh”
“Ta gueule! Ferme là!”
J’entends à peine lorsqu’il baisse son jean tellement le sang cogne dans ma tête.
Sa queue entre en entier, en un seul coup de reins.
Une pause de quelques secondes.
J’ai le souffle coupé.
Je sens les veines de ce membre palpiter dans mon cul.
Il est large et long comme je l’avais deviné à travers ce jean tellement serré.
Il se retire complètement.
J’en perd la tête. Je le veux au fond.
Je me cambre encore un peu plus pour lui montrer à quel point je veux sa queue.
La sensation est trop forte et je lâche un nouveau râle.
“Ahhh oui c’est bon, hum oui! Encore hum oui!!!”
“Je t’ai dit de fermer ta gueule!”
Il ne me laisse pas le temps de lui dire que je veux qu’il me défonce comme une pute soumise, une vraie salope avide de sexe.
Je reçois en retour une bonne claque sur les fesses.
Je me retiens de crier car le coup est rude, mais mon dos se couvre de frissons.
J’aime…
J’entends vaguement qu’il me parle, mais les mots résonnent trop loin pour moi. Je me suis perdu…
Je reçois une deuxième claque encore plus forte… puis une troisième.
Hummm. Je frissonne encore. et encore
Tout semble s’enchaîner à une vitesse folle alors que mon bourreau prend le temps de savourer chaque étape.
À l’aide d’une serviette il me force à ouvrir la bouche et me bâillonne en gardant chaque extrémité dans chaque main.
Il tire en arrière d’un coup sec pour accentuer la cambrure.
Ma tête vire en arrière, mon dos se creuse.
Sa queue gorgée de sang est à l’entrée de mon cul.
Il pousse.
Il entre.
Il s’enfonce.
La serviette dans la bouche me permet à peine de respirer.
La bave coule le long de mes joues.
Je me sens animal.
Sa queue me pénètre jusqu’à la garde.
Je sens ses couilles toucher mon cul.
Ses mains lâchent la serviette.
Je reprends mon souffle.
Il attrape mes hanches et me pilonne aussitôt.
Mon cul s’ouvre.
Il ressort entièrement sa queue pour la rentrer sans discontinuer.
Il accélère le rythme. Ses couilles tapent férocement contre mon cul.
Je reçois de nouvelles claques sur les fesses alors que sa queue continue à m’ouvrir encore un peu plus.
Je vais crier! Je vais crier!
Je n’en peux plus. Je vais crier…
Sa queue grossit et s’immobilise au fond de mon cul rougit par les coups et le désir.
Je sens enfin comme une libération, un liquide bouillant se déverser dans mon fondement.
Plusieurs jets brûlants me remplissent.
Cela semble interminable.
Je n’en peux plus.
Des larmes de plaisir et de douleur coulent lentement…
Je m’écroule au sol.
“Ouahhh! Alors là toi t’es une vraie chienne!”
“Mon dieu quelle salope… mais quelle salope!!! et quel cul!
Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel pied! Putain!!!”
Un téléphone sonne. Ce n’est pas le mien.
Le technicien cherche l’appareil dans ses affaires puis répond.
“Allo? Ouais! Salut Killian! T’es où?
[silence]
Moi? Et bien…J’ai presque terminé.
Je suis chez un client et figure toi que je suis tombé sur une bonne salope!.
[silence]
Oui oui! T’as bien entendu!
[silence]
Quoi?
T’es sûr?
[silence]
Dans combien de temps?
30 minutes?
[silence]
Ok ça marche!
Je t’envoie l’adresse.
A tout de suite!”
Je reprends un peu mes esprits sans vraiment comprendre le sens de la conversation.
Je regarde le technicien en train de remonter son jean tout en tentant de reloger sa queue restée volumineuse. L’idée de la prendre entièrement dans ma bouche m'effleure.
Hummm… La sentir aussi au fond de ma gorge… Hummm!
Comme si mon amant inconnu lisait dans mes pensées, son regard devint froid et sombre.
“Je vois que tu en demandes encore? C’est ça?”
Je ne peux m'empêcher de faire un signe affirmatif de la tête. Je plante mon regard dans le sien en sortant la langue. Une langue de chienne, une vraie chienne…voilà ce que je suis, rien à ajouter.
Le technicien éclate alors de rire. Un rire profond et presque jouissif.
“Et bien tu vas être servi ma bonne pute…
Dans 30 minutes j’ai mon meilleur équipier qui arrive… et lui tu vas voir c’est du lourd!”
Stéphane
stephanethebault3@gmail.com
J’attends vos commentaires avec impatience.