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Chapitre-14 | L'impatience est punie
Une nouvelle journée de travail commence. Je tape le compte-rendu d'une réunion qui s'est tenue hier. Le patron m'appelle.
Il est assis dans le canapé. La bosse dans son pantalon montre clairement que sa queue est raide et qu'il m'a appelé pour lui vider les couilles. Je m'agenouille devant lui et ouvre sa braguette. Je sors sa grosse queue. J'ai envie de cette queue et de faire plaisir à mon boss donc je fais très rapidement une gorge profonde. Sa queue touche le fond de ma gorge. J'étouffe mais j'aime tellement me comporter comme une bonne petite pute.
le boss : je crois qu'avec moi tu as trouvé le job pour lequel tu étais fait : sucer et te faire baiser. Je te verse un salaire alors que je suis sûr que tu le ferais pour rien. Bon, passons aux choses sérieuses, fous toi à 4 pattes.
Je lui obéit et me mets à 4 pattes juste à côté du canapé. Je pose ma tête sur le sol et tend ma croupe en l'air.
le boss : mmm, une vrai pouliche en chaleur. Ton cul attend de se faire baiser par une bite de cheval.
Le boss passe sa main sur mon torse, me caresse un peu et descend vers mon pantalon. Il défait ma ceinture, ouvre mon bouton de pantalon et ma braguette. Il pose ensuite ses deux mains sur mes hanches.
le boss : quelle bonne pouliche tu es ! Des hanches étroites, une belle cambrure et un cul bien bombé, le rêve pour les bites de vrais mâles ! Un vrai cul de femelle.
Il tire mon pantalon. Je suis les fesses en l'air, ma rosette offerte à mon beau quadra dubaïote.
Le boss enfonce sa langue dans ma rosette. Je gémis de plaisir de sentir cette langue qui lape mon trou. Le boss salive sur ma chatte et progressivement sa langue pénètre dans ma chatte.
oh patron c'est trop bon. Ma chatte est à vous. Baisez-moi !
le boss : patience ma petite salope, tu auras ma grosse queue quand je l'aurais décidé.
Le boss continue d'introduire sa langue dans mon trou. Puis, il enfonce un doigt. Mon trou s'ouvre pour accueillir ce doigt. Le boss doigte ma chatte. Son doigt bouge à l'intérieur. Il m'arrache des gémissement. Je sens un 2ème doigt qui rentre. Ses deux doigts bougent dans mes boyaux sans me ménager. Je suis dans un état second tellement je prends plaisir à être sa chose.
le boss : ma petite pute es toujours aussi gourmande. Puisque tu en veux toujours plus je vais te fourrer avec deux doigts de plus.
Il a à peine dit cela que ces deux doigts forcent le passage de mon trou. Je crie de douleur.
moi : non, ça fait mal. S'il vous plaît pas 4 doigts
le boss : tu m'as dit que ta chatte m'appartenait alors j'en fais ce que je désire. Crie si tu veux, ça me fait triquer.
Le boss continue de travailler mon trou avec ses 4 doigts. J'ai mal mais je suis excité de n'être qu'un objet à disposition d'un beau mâle bien membré.
le boss : regarde-moi cette salope qui mouille. Plus on te maltraite plus ta petite queue est gluante.
Il passe son autre main sur ma queue et récolte ma mouille. Il approche sa main de ma bouche. Je lèche sa main en pensant lécher le jus de mon boss.
Puis je sens un grand vide dans ma chatte. Les doigts du boss sont sortis. La douleur a cessé mais je sens une frustration de ne plus rien avoir pour combler ma chatte.
Je suis cul en l'air, rosette grande ouverte pendant quelques minutes. Je ne comprends pas pourquoi le boss a stoppé de me baiser.
Je l'entends téléphoner en arabe. Il est sur le canapé, queue dressée et pose ses pieds sur mon dos. J'essaie de me redresser mais une très forte pression de ses jambes me fait comprendre que je dois garder ma position.
Mon excitation retombe à mesure que l'appel téléphonique dure. Je suis en colère contre le boss qui m'ignore. J'aurais bien envie de me lever et de me rhabiller. Et finalement pour me venger du boss lui montrer que sa queue n'est pas la seule sur terre à m'exciter, descendre au garage me faire sauter par n'importe quel chauffeur.
Finalement, l'appel cesse. Mais le boss se lève et va à son bureau.
le boss : Léo, tu ne bouges pas, tu restes ton trou en l'air.
Moi : s'il vous plaît, je veux être baisé !
Le boss : tu veux ? Tu es mon vide couille et c'est moi qui décide. J'ai tout mon temps ce matin donc garde bien ta croupe et ton trou en l'air. Quand j'aurais décidé de te baiser tu le sentiras bien . Mais j'ai l'impression que tu vas devoir attendre.
Une heure passe... le boss continue de m'ignorer. Soudain, j'entends la porte s'ouvrir. Je vais pour lever la tête mais le boss me l'interdit : - Couché, Léo. C'est bien t'es un bon clébard qui obéit à son maître.
Je suis humilié. Quelqu'un s'assied sur le canapé. Il sors ses pieds des sandales.
-le boss : Léo est punit car il pense pouvoir se faire baiser selon ses envies. Donc pas de queue pour lui. Léo pour te rappeler qui commande, lèche les pieds de Nabil.
Trop frustrant, Nabil le fils de boss est là et je ne pourrais goûter à sa bite. C'est le plus brusque des deux fils donc il prend un malin plaisir à mettre ses orteils près de ma bouche. Ma langue parcourt ce pieds. Je ne suis pas excité du tout car si je suis accroc à la bite, je déteste les pieds.
Nabil : c'est bien petite chienne. Tu redeviens obéissante.
moi : AHAHAHA, AÏE
le boss a profité que je lèche les pieds de son fils pour rentrer sa bite entièrement dans ma chatte. Il me bourra sans aucun ménagement.
le boss : ta récompense pour être redevenue bien obéissante. Nabil, cette chienne doit être remplie, encule sa gueule de putain.
Nabil se lève et enfonce ses 20 cm au fond de ma gorge. Quel pied ! Être baisé par les 20 cm du père et de son fils. Ces deux mâles se déchaînent dans mes orifices comme si j'étais un vulgaire sextoy en plastique.Nabil sort régulièrement de ma bouche pour me laisser respirer mais systématiquement me force la gorge pour rentrer ses 20 cm.
Le boss largue de longs jets dans ma chatte. Puis Nabil maintient ma tête avec ses deux mains et sa queue crache une sauce épaisse au fond de ma gorge.
Nabil : putain, Léo t'es vraiment une grosse chaudasse ! Je crois que si je te nique pas la chatte, je n'arriverais pas à débander de la journée.
Nabil passe derrière moi. Sa queue pénètre en moi et enfonce le jus de son père au fond de mes entrailles. Ma bouche étant désormais libre, je gémis comme une bonne salope.
Nabil a déjà joui mais sa queue reste encore très raide et me procure un plaisir intense. Je me fais pilonner encore 30 mn avant de recevoir le jus de ce jeune homme. Il s'effondre sur moi. Il retire sa teub de mon cul et finit par s'allonger sur le tapis à côté de moi.
Nabil : wouah, toujours aussi bon de te tirer ! Bon, j'étais venu te dire que tu es invité à l'anniversaire de mon cousin Kaïs samedi prochain. Tu verras on va bien s'amuser, c'est pool party. Je t'ai apporté ton maillot de bain. Tiens il est dans ce sac. Tu l’essaies pour me faire plaisir.
Je prends le sac, l'ouvre et en sors un maillot de bain rouge. Il semble bien petit. J'enfile le slip de bain.
- Nabil : super ! J'ai pensé que ce mini slip moulerait bien ton devant et surtout ton derrière ! Ton boule est bien mis en valeur et comme tu as un petit cul bien pulpeux, on voit même la naissance de ta raie. Tu vas en excité plus d'un ! Pas sûr que mon oncle qui est un vrai bigot apprécie le spectacle !
Dvdstaudt
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