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Chapitre-16 | M. Johnson
M. Johnson
Le PDG m'appelle à 10 h dans son bureau.
le PDG : Léo, ce soir, un important client américain arrive à Dubaï. Il arrive plus tard que prévu et malheureusement je ne pourrais pas l'accueillir à l'aéroport. Je l'ai prévenu qu'il sera accueilli par une personne de confiance qui s'assurera que son séjour soit agréable. Son avion est prévu ce soir à 19h. Vous irez l'accueillir avec Ahmed et notre meilleur limousine.
Vous finirez plus tard votre journée de travail mais je suis sûr que vous ne m'en voudrez pas.
En disant cette dernière phrase le boss passe sa main sur son paquet.
moi : Monsieur, je suis toujours désireux de tout faire pour l'entreprise.
Le boss continuant de se masser la queue, je me mets à genoux à côté de lui et avec je pose ma main sur la grosse bosse qui déforme son costume. Je caresse cette bosse puis ouvre la braguette pour libérer les 20 cm du boss.
Une fois cette délicieuse marchandise déballée, je suce comme un malade ce gros bâton.
le boss : Léo visiblement vous n'avez pas pris suffisamment de laitage pour votre petit déjeuner. Je vais vous fournir un grand verre mais il va falloir le mériter.
Je me mets à avaler entièrement cette belle queue. Puis je m'acharne sur le gland tout en branlant le boss. Au bout de quelques minutes, le boss se vide dans ma bouche.
La journée se passe tranquillement.
A 18h30, je descends au garage rejoindre Ahmed. J'arrive à la limousine. Ahmed me pelote les fesses. Je lui indique que nous avons pas le temps car nous ne pouvons prendre le risque de faire attendre un client important.
Nous arrivons à l'aéroport. Je laisse Ahmed garer dans les parkings.
J'attends dans l'aérogare. Mon téléphone sonne. Le boss m'indique que M. Johnson aura 2 heures de retard. Bon me voilà bon pour poireauter un long moment.
Je me dirige vers les toilettes. Avec un peu de chance, je pourrais mater de beaux sexes. Je suis à l'urinoir. Un mec se présente à côté, visiblement un grand africain. Assez peu discrètement je me penche de manière à regarder sa queue. Le gars ne bande pas mais il a un bon tuyau entre les mains. Le gars pisse et part immédiatement en me regardant méchamment.
Bon, cela ne peut pas marcher à tous les coups. Je reste toujours dans mon urinoir. La queue raide bien en évidence. Deux autres mecs s'installent dans les urinoirs à ma gauche. Deux beaux européens. Aucun d'entre eux ne semblent prêter attention à moi. Un japonais s'installe à ma droite. Je mate sa queue sans discrétion pour lui montrer mon intérêt. Il me capte. Les deux européens partent. Je regarde le jeune japonais. Il me regarde. Je fais un pas en arrière pour qu'il puisse bien mater ma queue raide. Je remballe ma queue dans mon pantalon et me dirige vers les cabines de toilettes qui sont derrière. Je laisse la porte entrouverte. Il me rejoint. Sa main se pose immédiatement sur ma queue. Il se baisse et sort ma bite de mon pantalon. Il me suce. Cela me permet de le mater. Bonne pioche : il doit avoir 20-21 ans, très mignon et mince. Ma queue lui plaît. Il me travaille bien le gland puis l'avale entièrement, me branle avec sa bouche. Je n'ai pas largué de la jo
urnée (le boss m'a limé mais je n'ai pas largué car je ne fais que ce que le boss veut lorsque nous baisons) alors j'ai bien envie de me vider dans cette bouche accueillante. Ni une , ni deux je profite d'être bien au fond de sa gorge pour larguer. Il semble aimer car il n'enlève pas ma queue de sa bouche. Au contraire, il la branle bien en gardant mon gland dans sa bouche. Il avale bien mon jus.
Il se lève et m'appuie sur les épaules. Je me mets à genoux. Il sort sa bite. Bien raide, 16 cm assez fins. Une bonne queue à vider. Je lui lèche ses couilles puis l’engouffre toute entière dans ma bouche. Ses mains caresse ma chevelure. Pendant que ma main gauche s'occupe de ses couilles, ma main droite caresse ses abdos et son torse. Il a un corps magnifique avec une musculature très fine. Au bout de 5 mn, il me prend par le bras et me lève. Il passe derrière moi et baisse mon pantalon. Sa queue se présente immédiatement contre ma rosette. Il s'enfonce en moi. Il se déchaîne pour se vider en moi. Il attend un avion et ne peut sans doute pas faire durer notre baise. 5 mn suffisent pour que son jus se répande dans ma chatte. Il se rhabille et me dit « Arigato ». il ouvre la cabine et sort. Je referme la cabine. Du jus coule de mon trou. Ma main en prélève une coulée et je la savoure. Ma première gorgée de nectar japonais.
Bon, il faut que je me refasse vite une beauté...car l'avion de M. Johnson ne devrait plus tarder.
Je suis dans le hall des arrivées avec mon petit panneau mentionnant le nom de M. Johnson et de l'entreprise qui m'emploie. Je ne sais à quoi il ressemble. Faute professionnelle ! À plusieurs reprises, je crois que mon homme est arrivée lorsque je vois un homme d'affaires regarder au loin à la recherche de son nom sur une pancarte.
Finalement, un homme s'approche de moi et se présente comme étant M. Johnson. Quinquagénaire, black américain. Une vrai armoire à glace : il doit faire près de deux mètres et est très large d'épaule. Un peu de ventre mais bon à 50 ans il reste encore assez athlétique.
Je l'accompagne à la limousine et monte à l'arrière avec lui. Je lui indique que je l'accompagne à l'hôtel, qu'un repas lui a été réservé et je lui décris le planning du lendemain. M. Johnson me remercie.
M. Johnson : merci à vous d'avoir pris en charge mon séjour et de le rendre le plus agréable possible. Le voyage a été assez long et pour ne rien vous cacher, je profite de mes voyages d'affaires pour passer des soirées en galante compagnie. Pourriez-vous m'arranger cela ? Si cela vous gêne, je demanderai à la conciergerie de l'hôtel.
Moi : non, je m'en occupe avec plaisir. Quelle type de femme souhaitez vous rencontrer ?
M. Johnson : il s'agira plutôt d'un jeune homme de type européen. Histoire de varier les plaisir : ma femme lorsque je suis à New-York, des minets lors des RDV d'affaires
Moi : (je rougis) pas de problème.
M. Johnson : lorsque vous aurez contact avec lui, précisez lui que j'ai un sexe de très grosse dimension et que je double son tarif pour pouvoir le prendre. Sur ce point, ne transigez pas, s'il ne veut pas alors trouver quelqu'un d'autre.
Moi : (de plus en plus rouge) bien monsieur.
Le véhicule s'arrête à l'hôtel. M. Johnson descend.
J'ai maintenant moins de deux heures pour qu'un escort arrive dans la chambre de M. Johnson. Pour trouver, il va falloir que je passe par l'intermédiaire d'une conciergerie d'un grand hôtel de luxe car je n'ai pas vraiment de contact pour obtenir les services d'un escort... mon boss se sert de moi et n'a pas l'utilité de ce genre de service en tout cas à Dubaï.
Finalement, une solution se présente à moi. Espérons que M. Johnson ne sera pas furieux. Je me présente devant sa chambre à 23 h. Je frappe. La porte s'ouvre. M. Johnson se présente non en costume mais en peignoir.
M. Johnson : ah Léo, je ne pensais pas vous voir. A priori, vous n'avez pas trouvé !
Moi : c'est un peu plus compliqué que cela.
M. Johnson : bon, je vous laisse expliquer
moi : M. Johnson, si vous ne voyez pas d'inconvénients, je peux assurer cette prestation moi-même...
M. Johnson : vous ? Je ne crois pas. Je vous ai dit qu'une certaine particularité pouvait effrayer les femmes ou les hommes. En général, je rencontre un peu moins de problème avec des professionnels dont le corps est plus « entraîné »
moi : M. Johnson, je suis parfaitement entraîné.
En disant cela ma main se pose sur sa cuisse.
M. Johnson : et quel entraînement avez-vous ?
Moi : tous les jours, deux à trois hommes différents m'utilisent pour leur plaisir.
M. Johnson : ah bon ? Et combien aujourd'hui ?
Moi : deux... et mon corps vous appartient pour ce soir si je vous plais
Je continue à caresser sa cuisse. Je remonte plus haut. Visiblement cela semble beaucoup bouger dans cette région. M. Johnson réalise que je suis peut être une bonne salope qu'il pourra baiser.
M. Johnson : vous êtes très mignon Léo. Mais je vous préviens, si votre main touche mon sexe, vous ne sortirez pas d'ici sans que mon sexe ait goûté à votre bouche et vos fesses. Et n'oubliez pas que j'ai une queue particulièrement grosse. Je doute que votre petite bouche et que vos fesses puissent supporter mes assauts.
Ma main glisse sous le peignoir et attrape cette queue à moitié raide.
Moi : M. Johnson je suis à vous. Faite de moi ce que vous voulez et vous verrez que votre plaisir sera aussi le mien !
Je branle cette queue qui grossit. Ma main n'arrive pas à en faire le tour.
M. Johnson ouvre son peignoir et mon regard reste bloqué sur cette queue énorme.
M. Johnson : 26 cm très épais qui ont hâte de rentrer en vous mon petit Léo. Je sais maintenant que je vais vous limer, vous n'avez plus le choix.
Wouah, aussi épais que la queue d'Ahmed mais deux fois plus longue.
Je me penche vers ce gros chibre et promène ma langue sur son gland. J'ouvre grand ma bouche pour engloutir ce gros gland. Rien que le gland remplit bien ma bouche. Je travaille ce gros gland noir avec ma bouche et mes lèvres.
M. Johnson : Léo, vous semblez bien gourmand ! N'ayez pas peur prenez un peu plus !
Ma bouche descend le long de sa grosse bite. Je ne pense pas que je pourrais prendre ses 26 cm épais entièrement dans ma bouche mais je veux en prendre le plus possible pour montrer à M. Johnson comme j'ai envie d'être une bonne petite salope bien soumise.
Ma bouche approche de sa toison. J'étouffe d'avoir cette grosse tige dans ma bouche.
M. Johnson : Léo, bravo vous avez déjà goûté à 20 cm. Je vais vous aidé à déguster le reste.
M. Johnson maintient ma tête et pousse sa queue au fond de ma gorge. Je ne peux plus respirer et je ne peux rien faire pour repousser cette queue massive. Au bout de 5 mn, M. Johnson lâche ma tête. Je peux enfin respirer. Je prends une bouffée d'air et reprend immédiatement la bite dans ma bouche en mode gorge profonde. Je veux prouver à M. Johnson que je suis à la hauteur de sa queue. Je m'étouffe avec cette queue 5 mn puis reprend brièvement ma respiration et recommence. Pendant que je multiplie ces gorges profondes, M. Johnson caresse mes fesses et baisse mon pantalon. Sa main puissante caresse mes fesses. Lorsque sa queue est bien calée au fond de ma gorge, M. Johnson frappe violemment mes fesses. Mes cris sont étouffés par sa grosse queue. Je bande à fond de me sentir si soumis à cet homme.
M. Johnson : je vois que vous avez bien été éduqué ! Une bonne petite pute obéissante.
Il continue de frapper mes fesses. Lorsque je sors sa queue de ma bouche pour respirer, M. Johnson se lève, me soulève et me positionne à 4 pattes.
M. Johnson : maintenant que j'ai bien exploré votre bouche, regardons un peu cette petite chatte.
Ses mains s'emparent des deux globes de mes fesses et les écartent.
M. Johnson : mmm j'aime les beaux petits culs blancs rebondies qui ont une petite chatte bien rose.
M. Johnson approche son visage de mes fesses et pose sa langue sur ma rosette. Sa langue lèche mon trou et s'introduit dans ma chatte. Cette langue explore ma chatte et me fait gémir. Puis un doigt enduit de gel pénètre dans mon trou. Une dose de gel est rajoutée et deux doigts explorent ma chatte. Il doigte ma chatte quelques instants puis ressort, remet du gel. Ses doigts reprennent l'assaut de mon trou mais cette fois-ci ils sont 4. je gémis de plus en plus dans les aigus.
- M. Johnson : votre trou est à peu près préparé mais pas trop. J'aime que le minet que je défonce souffre un peu au moment de la pénétration pour qu'il réalise à quel point il est une vrai petite salope qui avale un gros calibre.
Il retire ses doigts et son gland se présente devant mon trou. Il rentre facilement car ma chatte a bien été préparée. M. Johnson enfonce toute sa queue sans ménagement ; je pousse un petit cri de douleur car sa queue est si épaisse et si longue. Un calibre qui n'a jamais exploré mon trou. M. Johnson me défonce et prend plaisir à entendre mes cris et gémissements.
M. Johnson : alors Léo, vous aimez les gros calibres apparemment ! Et moi j'aime écarteler des petits minets. Je vous ai prévenu pour la taille de ma queue mais je ne vous avais pas prévenu que mon trip c'est de rester longtemps dans les chattes.
Moi : M. Johnson, je suis votre pute, j'ai envie de votre grosse bite, baisez-moi !
M. Johnson se retire. Il me soulève (sans aucun mal car ce type est une armoire à glace et moi un plus petit gabarit). Il me porte jusqu'au bord du lit et me pose sur le dos. Il lève mes jambes et enfile d'un coup sa queue dans mon cul.
M. Johnson : dans cette position tu sentiras encore plus ma grosse queue et je pourrais mieux voir ton joli visage déformé par la douleur et le plaisir.
M. Johnson me défonce. Avec lui, je me sens complètement soumis. Je suis juste un objet utilisé par sa grosse queue. Je n'arrête pas de gémir. Ma queue est raide et une grosse quantité de mouille coule sur mon bas ventre et rend ma toison blonde toute gluante.
Le temps est complètement suspendu, je suis dans un état second. Je plane grâce à cette grosse queue. Puis il me soulève à nouveau tout en me laissant arrimé à sa queue. Mes bras s'accrochent à son cou. Ses mains passent vers mes fesses et mes jambes. Il me soulève et sa queue sort en partie de mon trou. Puis ses mains cessent de me soutenir et je retombe d'un coup. Mon trou est de nouveau transpercé par les 26 cm. Je suis comme un drogué. Cette queue me fait tellement de bien. M. Johnson semble apprécier me voir dans cet état. Il recommence à me soulever et me lâcher sur sa bite.
Ma queue lâche des paquets de mouille qui s'étale sur mon bas ventre et sur le torse de M. Johnson. Puis ne contrôlant plus mon excitation je jouis en abondance. Je ne me suis pas touché la queue mais celle de M. Johnson me fait tellement de bien !
M. Johnson : première tournée ! Je n'en ai pas fini avec vous. Je suis sûr que vous jouirez une 2ème fois.
Il me remet sur le lit et continue à me défoncer. Enfin il se retire et je vois qu'il prend son portable.
M. Johnson : mettez vous à 4 pattes et écarter vos fesses. Je veux garder un souvenir de votre chatte bien écartée.
J'obéis et il prend un photo. Ma rosette doit être complètement explosée. Sa photo prise, il
me lime à nouveau. Quel homme endurant !
Enfin il se retourne et me demande de me mettre à genoux, bouche grande ouverte pour qu'il se vide.
M. Johnson : Léo, votre joli minois va être bien arrosé.
moi : oh oui, je veux votre jus !
Sa queue libère de longs jets qui tombent sur mon front, ma joue, dans ma bouche. Ses grosses couilles sont juteuses et libère une si grosse quantité de jus. J'avale ce qui est dans ma bouche. M. Johnson prend une photo de mon visage « juteux ». ma langue essaie d'attraper tout le jus qu'elle peut.
M. Johnson : Léo, je suis impressionné. Je n'ai jamais trouvé quelqu'un d'aussi athlétique : j'ai baisé votre trou pendant 1h30 et vous en redemandiez !
Je vais me douchez. Lorsque je me rhabille, M. Johnson me tend une enveloppe.
M. Johnson : voici pour votre prestation.
Moi : mais je ne peux pas accepter, je l'ai fais par fantasme.
Lui : prenez car votre prestation le vaut bien. D'ailleurs, pourriez-vous repasser demain matin avant la réunion pour me fournir une nouvelle prestation. J'ai mis dans l'enveloppe ma carte de visite. Si vous passez par New-York appelez moi et si je suis disponible, nous passerons un agréable moment. Donnez-moi votre numéro que je vous envoie la photo de vos exploits.
Je sors de la chambre pour regagner mon appartement. Dans l'ascenseur de l'hôtel, j'ouvre l'enveloppe qui contient 5000 € puis je regarde les photos sur mon portable. Ma rosette est dégoûtante : elle est totalement éclatée. On dirait une de ces vieilles chiennes qui se godent avec des godes immenses. Quant à mon visage couvert de foutre...
Dvdstaudt
dvdstaudt@hotmail.com