Chapitre-1
Salut, je m’appelle Nico. J’ai 30 ans. Je suis blond, mince. Je m’habille bien, je suis la mode. Comme souvent, je me rends aujourd’hui dans le Marais à Paris. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est le quartier gay de la capitale. J’ai un bar de prédilection qui s’appelle « Le Chapeau claque ». Je me suis lié d’amitié avec le barman. J’y vais souvent quand je veux prendre un verre avec des amis ou avant de faire un plan. J’ai déjà fait des rencontres très « intéressantes » dans cet endroit. Ce soir, j’y vais avec un pote, Pierre. Il sympa. Il est un peu « folle », mais on s’entends bien.
J’arrive vers 19h, je me pose. En l’attendant, je commande une bière. Il arrive 5 minutes plus tard, on se tape la bise. Il commande un Apérol. On trinque et on se met à parler. Il me raconte sa nuit de folie avec un rebeu TTBM. J’écoute attentivement tous les détails qu’il donne. Il parle très fort, comme à son habitude. Aujourd’hui, il y a beaucoup d’habitués, ils le connaissent et personne ne se formalise de son excentricité. Tout d’un coup, du coin de l’œil, je vois 2 grands types rentrer dans le bar. Ce sont des renois grands et bien foutus. Je continue d’écouter d’une oreille distraite le récit de Pierre tout en matant les deux nouveaux venus qui vont s’asseoir à une table non loin de nous. J’ai une belle vue sur eux, je vois qu’ils commandent. Peu de temps après, le barman leur apporte deux grandes chopes de bière, ils trinquent. Ils se mettent à parler. Je les observe discrètement : ils sont vraiment beaux gosses.
Le premier doit avoir dans les 40 ans. Il a des cheveux épais, un visage fin, des lèvres fines. Il semble avoir un corps fin. Quant au deuxième, il a la trentaine. Il a le crâne rasé, un visage lisse et des grosses lèvres. Son corps semble musclé.
- Oui, et donc, comme je te disais, il m’a pris par derrière. Il m’a enfoncé sa grosse queue dans mon cul, et tu sais, j’encaisse bien d’habitude. Mais là, elle était tellement énorme que j’ai crié tellement elle m’écartelait. Hé ! Nico, tu m’écoutes. ?!
- Oui, désolé.
Pierre se retourne et il ricane.
- C’est les deux blacks que tu mattes ? Putain, ils sont bien me foutu ! Mais tu joues pas dans leur ligue, désolé mon gars !
- Oui, je m’en doute. Bon, alors, il t’a enfoncé sa grosse bite dans le cul et après... ?
- Et après il m’a baisé pendant 5 minutes avant de m’ensemencer.
J’écoute ensuite Pierre parler de sa nuit de folie. Son rebeu semblait insatiable. Mais je jette souvent des coups d’œil aux renois. Cependant, à un moment, je croise le regard du plus jeune. Il me sourit et il continue de parler à son pote. Je le regarde un peu, puis je me reconcentre sur Pierre. Quand je redirige mon regard vers lui, nos yeux se croisent de nouveau. Je souris, gêné, et je détourne le regard. On répète ce petit jeu pendant bien 5 minutes. Puis c’est son pote qui remarque que son compagnon n’est pas attentif. Il suit son regard, il tombe sur moi, il me sourit. Moi, je me concentre sur Pierre, mais je zyeute souvent dans leur direction. Maintenant, ils n’arrêtent pas de me regarder.
Le renoi qui me tournait jusqu’ici le dos va se mettre à côté de son pote. Il me regarde, il me lance des clins d’œil. Il m’envoie même des baisers. Je commence à me sentir toute chose. Mon caleçon commence à se faire serrer. Pierre me sort de mes observations :
- On commande une deuxième tournée ?
- Oui, pas de souci.
Nous commandons tous les deux un vin. Puis, je lui dis que je vais aux toilettes. Je me dirige un pissoir, je pisse. Et soudain, je vois les 2 renois. Un se plante à ma gauche, l’autre à ma droite. Je lève la tête pour voir ces 2 grands mecs qui me dévorent du regard. Timide, je baisse la tête et je me concentre sur ma pisse. Je les entends ouvrir leur ceinture et sortir leur matos. Bien sûr, je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil à gauche et à droite. Je suis fasciné par ce que je vois : le plus vieux, qui est sur ma droite, a une bite molle et longue, circoncise, épaisse, aussi longue que ma main. Il la secoue. Sa queue flasque vacille de haut en bas. Quant à la bite du plus jeune, elle est aussi circoncise. Elle est fine et longue. Elle pend mollement au-dessus de ses couilles qui lui font former un arc-de-cercle au-dessus.
Je ne pisse plus mais je continue de mater ces deux teubs. C’est assez évident, mais je m’en fous. Ils pissent de longs jets d’urine. Puis, ils secouent leur teub, quelques gouttes tombent. Puis, ils remballent leur matos. Je fais la même chose et quand je fais mine de me retourner pour partir, je me heurte au black qui se trouve sur ma gauche. Je veux m’excuser, je lève la tête et je vois un regard animal dans ses yeux. Je remarque alors qu’il n’a pas fermé son pantalon et que son slip est toujours bien visible. Sa queue forme une grosse bosse dedans. Il prend la parole ;
- Elle te fait envie ?
Sans gêne, je porte ma main à son matos que je masse, tout en disant :
- Oh putain ! Oui !
L’autre renoi se place derrière moi, il se plaque contre moi et je sens son paquet contre mes fesses. De ses 2 mains, il se met à masser mon cul. Il dit :
- Toi, tu nous fais très envie ! Tu veux pas venir chez nous ?
- Si je veux bien, je finis le verre que je prends avec mon pote. Et après, je lui dis que je veux rentrer. Ça vous va comme ça ?
- Tu veux pas d’abord nous donner un petit aperçu de ce qui nous attend ?
Le renoi le plus vieux secoue sa teub. Je m’agenouille, je prends sa bite en bouche. Elle prend immédiatement du volume. Elle est énorme. Elle doit faire 22 cm. Elle est très épaisse, noire foncé, avec un gros gland de la même couleur. Il a de grosses couilles pendantes. Je me mets à sucer sa teub. Celui qui est derrière moi, le plus jeune, me caresse la tête. La bite du « vieux » m’écarte bien la mâchoire. J’enfonce la moitié dans ma bouche. Je commence à faire des va-et-vient, ce qui fait pencher la tête du renoi en arrière.
- Putain, c’est trop bon.
- C'est vrai ? Laisse-moi essayer, dit le plus jeune.
Il se place à côté de son pote. Il bande déjà. Il a une queue marron de 19 cm, fine avec un gland rosâtre. Il a de petites couilles pendantes et rasées. Je passe à sa bite que j’enfonce aussi dans ma bouche et je me mets à lui faire plaisir à son Tour. Puis je me redresse. Je demande :
- J’ai réussi le test ?
- Haut la main. On t’attend alors.
- D’accord, tout à l’heure.
Je rejoins Pierre, on trinque. Et on continue parler. Du coin de l’œil, je matte les renois qui n’arrêtent pas de regarder dans ma direction. Ils me lancent des clins d’œil. Après une éternité, quand Pierre a fini son troisième verre de vin et qu’on a vidé la bouteille, je lui dis que je vais rentrer. Je paie l’addition, on sort et on se tape la bise. Je le regarde s’éloigner. Et je rentre au niveau de la porte du bar. Je tombe alors nez à nez avec les renois. Ils sont vraiment magnifiques. Le plus jeune dit :
- On va chez moi ?
- Ça marche !
Il habite à 5 minutes à peine du bar. J’apprends que le renoi au cheveux épais, le plus vieux, s’appelle Ronny et que l’autre s’appelle Samuel. Ce sont des Américains qui vivent depuis quelques années à Paris.
On est entre dans une vieille bâtisse, on monte les escaliers jusqu’au troisième étage et on entre dans son appart. Ronny nous amène directement dans sa chambre. Les habits volent directement et nous roulons des pelles.
Ensuite, Ronny me fait mettre à genoux et il sort sa queue hors de sa braguette. Elle est molle. Il la secoue et bien sûr, je meurs d’envie de la prendre en bouche. Samuel m’amène doucement vers la bite de son pote que j’enfourne dans ma bouche. Je la suce et elle prend immédiatement du volume. Une fois que l’érection est parfaite, je le suce sur toute la longueur de son morceau tout en utilisant ma main. Ronny ferme les yeux et il savoure mon traitement. Pendant ce temps, Samuel se met à poil. Les deux mecs ont une peau sombre, ils sont minces. Samuel a un corps musclé sec et imberbe avec de beaux pecs et un ventre plat. Son pubis est à peine poilu.
Il me caresse la tête, m’encourageant ainsi à continuer à sucer son pote. Ronny se met à donner de petits coups de reins qui font aller sa queue encore plus loin dans ma bouche. Putain, la teub est bien épaisse, elle m’ouvre la mâchoire en grand ! Finalement, j’arrête de le sucer quand il se met à donner de grands coups de reins. Il se met à limer ma bouche. Ses grosses couilles se balancent sous sa bite et elles me frappent le menton. J’arrive à prendre trois quarts de son morceau en bouche. Samuel me caresse toujours l’arrière de la tête tout en se branlant. Les coups de queue de Ronny sont sauvages, profonds. Je sens le gros gland me taper le fond de ma gorge.
Au bout de quelques minutes, je passe à la queue de Samuel. Ronny se déshabille. Il a un corps fin, sans être musclé, imberbe. Par contre, les poils de son pubis sont très épais.
La bite de Samuel est moins épaisse, elle entre plus facilement dans ma bouche. Je le suce tandis qu’il me caresse toujours la tête, appuyant de temps en temps pour me faire avaler une plus grande partie de sa bite. Ronny se branle et parfois, il passe son gland sur ma joue.
Au bout de quelques minutes, je saisis les deux bites et j’enfonce les deux glands dans ma cavité buccale. Je les ressors et je passe ma langue dessus. Puis, je fais une gorge profonde à Samuel pendant que je branle la queue de Ronny. Ensuite, je m’occupe de nouveau de la teub de Ronny. J’alterne les 2 bites pendant quelques minutes.
Après, Samuel m’attire sur le lit sur lequel il se couche. Je passe entre ses jambes et je saisis sa teub que je branle tout en la suçant. Ronny passe derrière moi, il écarte mes fesses et il admire mon petit trou rose. Il commence à me doigter après avoir utilisé du lubrifiant. Sans trop me préparer, il se redresse et il enfonce son gland dans mon anus que je sens bien serré. Il essaie de pousser un peu plus mais mon trou ne semble pas prendre sa grosse tige. Il fait de petits allers-retours et je sens petit à petit mon trou céder. Le gland passe alors le premier sphincter. Je soupire. Je vois Ronny s’aider de sa main pour enfoncer sa queue plus loin dans mon trou. Il donne quelques légers coups de reins d’avant en arrière. Samuel me caresse le dos pour m’aider à encaisser la poutre de son pote ! Je me crispe sous le passage du morceau. Mais finalement, Ronny arrive au fond de mon cul. Je sens ses grosses couilles plaquées contre mon périnée. Il se met à donner de petits coups de bite.
Cependant, très vite, il accélère la cadence. Son tronc d’arbre m’ouvre le trou en grand. Je gémis, sous le plaisir que cette teub me procure. Elle est en moi, sans capote, et son gland me détruit l’intérieur. Il ressort et je sens mon trou bien ouvert. Il renfonce sa queue et je gémis de plaisir. Je me redresse et je colle mon corps contre celui de Ronny. Je l’embrasse avant de me repencher en avant pour reprendre ma suce. Ronny continue de me défoncer. Son rythme s’accélère et je sens maintenant ses couilles qui se balancent et qui me frappent le périnée.
D’un coup de rein, il me plaque sur le lit. Je ressens encore mieux sa bite qui m’ouvre en grand et qui transperce mon trou. Il me dépose des baisers dans le cou tout en me pilonnant bien. Ses couilles suivent le rythme bruyamment. Il me baise ainsi pendant 5 minutes avant de sortir de mon trou. Je me dis que c’est le tour de Samuel. Mais non, Ronny me fait remettre à quatre pattes et il renfonce sa queue en moi. Donc moi, je reprends ma suce. Samuel regarde son pote me baiser pendant qu’il est étendu sur le lit, détendu, en train de se laisser sucer, toujours avec une main sur ma tête. Mais Ronny se met à me défoncer violemment. Il est tel un marteau-piqueur qui se déchaine en moi. Je gueule de plaisir et je n’arrive plus à sucer Samuel. Mon corps tremble sous les assauts du renoi. Il ralentit ensuite la cadence et je reprends la teub de Samuel en bouche.
Cinq minutes plus tard, Ronny sort et c’est Samuel qui prend les commandes. Il me fait mettre sur le dos et il enfonce sa queue d’un trait en moi. Elle rentre sans problème après le traitement imposé par Ronny. Ce-dernier se place sur ma gauche, il pose sa queue sur mes lèvres et je le suce en faisant monter et descendre ma tête. Samuel saisit mes cuisses et il prend une cadence ample et régulière. Ronny appuie derrière ma tête et il dirige la cadence de suce. Très vite, les coups de queue de Samuel augmentent en vigueur. Je lève les yeux et je me vois entourer par ces dieux noirs qui se penchent au-dessus de mon corps et qui se déchainent en moi. Je trouve ça trop bon. Pendant une dizaine de minutes, les renois se servent de moi.
Puis, Samuel me fait mettre sur le côté et lui, toujours accroupi sur le lit, il enfonce sa teub dans mon trou qui masse maintenant bien son morceau. Rony se place au sommet de ma tête et il pose ses boules sur ma bouche. Je les lèche avec envie. Puis, il enfonce sa bite dans ma bouche et il se met à la baiser doucement. Il utilise les rebondissements du lit pour la faire entrer et sortir. La cadence devient alors plus rapide, comme celle de Samuel qui passe à la vitesse supérieure. Il me défonce bien maintenant. Les deux renois se donnent à fond dans les trous que je leur offre.
Après bien 5 minutes, Samuel pousse un cri bestial et je comprends alors qu’il va m’ensemencer. Je trouve ça génial, je redresse la tête et je me branle. Il donne un ultime coup de bite et je sens 4 jets emplir mes entrailles. Ronny se masturbe en assistant au spectacle. Samuel se penche sur moi, épuisé. Il m’embrasse et il sort de mon trou d’où dégouline un jus épais et blanc.
Ronny me fit mettre à quatre pattes au bord du lit et lui, debout sur le sol, enfonce sa bite dans mon trou ensemencé et il se met à tasser le jus de son pote. Il donne de petits coups de queue. Il se penche sur moi et il m’embrasse. Puis, il agrippe mes épaules en faisant sortir sa queue entièrement avant de la replonger jusqu’au fond de mon anus. Il admire sa teub devenir peu à peu blanche. Elle m’ouvre vraiment en grand. Il reste une ou deux minutes ainsi. Puis, il s’empare de mes hanches et il se met à me pilonner. Le jus de Samuel tombe par terre ou reste coller contre les couilles de Ronny qui font un bruit mouillé quand elles me tapent les fesses. Les coups de queue sont amples et violents.
Il éjacule sans rien dire ni sans émettre le moindre son. C’est quand je sens qu’il me remplit avec 8 jets d’un sperme épais et bouillonnant que je comprends qu’il a atteint l’orgasme. Je sens bien sa queue me pomper le jus au fin fond de mes entrailles. Il ralentit la cadence, il rigole en me caressant le dos. Quand il sort de mon cul, son jus mélangé à celui de son pote dégouline par terre.
Samuel me fait coucher sur le lit, il s’empare de ma bite qu’il branle. Ronny se met à lécher mes couilles tout en enfonçant deux doigts dans mon trou. Il joue avec ma rosette et le sperme qu’ils ont déposé en moi. Je gicle au bout de 2 minutes sur mon ventre 5 giclées.
Ils viennent se coller contre moi sur le lit. Ils me disent :
- C’était vraiment génial !
- C’est clair, répondis-je.
- Il faut absolument qu’on se revoie.
- Avec plaisir, les mecs.
Je m’abandonne aux caresses de leurs mains noires qui contrastent avec la peau blanche de mon ventre.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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