Premier épisode
Chapitre-2
Mon 2ème jour de travail commence. Que va-t-il se passer avec le boss ?
Je m'installe à mon bureau et avance mon travail.
Au bout d'une heure, le boss m'appelle. Je rentre dans son bureau. Il porte une superbe costume. Quel homme élégant ! Il m'indique qu'il faudra avancer différents dossiers pendant son voyage d'affaire à New York. Il me rappelle que sa voiture doit l'amener prendre son jet en milieu d'après-midi et que je l'accompagnerai à l'aéroport. Il précise qu'il sera en salle de réunion dans 30 mn. Une fois ce point fait, il se lève et s'assied sur le bureau devant moi. Je remarque sa bosse. Sans que le boss exprime la moindre demande, j'ouvre sa braguette et tombe sur sa queue bien raide et bien serrée dans son boxer. Bon, j'ai 20 mn devant moi pour me faire plaisir. J'avance mon visage sur ce paquet. Quelle bonne odeur de mâle !
J'avale vite son gland et le travaille avec mes lèvres et ma langue. Puis j'avale entièrement sa grosse queue.mmm, quelle bonheur de me comporter en véritable secrétaire salope avec mon beau boss. Je refais quelques gorges profondes puis pour tenir le timing ma main branle ce gros manche pendant que ma bouche se régale de ce gland. Il finit par se vider les couilles dans ma bouche. Je garde ce précieux nectar dans ma bouche et avale tout. Lui remet sa queue dans son pantalon, ferme sa braguette et se rend à sa réunion. Je reste à genoux, la queue à l'étroit dans mon pantalon et une auréole humide apparaît sur celui-ci.
Je retourne à mon bureau en prenant soin de cacher mon érection avec un document. A peine arrivé à mon bureau Achim, mon ancien chef de service arrive dans mon bureau
Achim : voici le dossier informatique à remettre à M. Ben Malik pour sa réunion à New York. Alors Léo pas trop épuisé par tes nouvelles fonctions ? Bon en même temps le patron part deux jours donc tu vas pouvoir freiner au niveau travail.
Moi : oui, tu as sans doute raison.
L'heure est arrivée de se rendre à l'aéroport. J'accompagne le boss à l'aéroport. Je porte l'ensemble des dossiers préparatoires. Le chauffeur est là. Il tient ouverte la porte arrière de la voiture. Le boss monte dans la voiture. Le chauffeur pakistanais, Ahmed, me dévisage de haut en bas. Son regard libidineux me fait froid dans le dos. Ahmed n'est franchement pas à mon goût : 50 ans et très bedonnant. Je me presse de monter à l'arrière du véhicule.
Une fois à l'arrière, le boss appuie sur un bouton pour faire monter la vitre de séparation opaque. Il pose sa main à l'arrière de ma tête et exerce une légère pression. L'arrière du véhicule est suffisamment spacieux pour que je me mette à genoux entre ses jambes. Le boss sort sa queue et me pousse dessus. J'avale sa bite. Au bout de quelques instants, il me demande de m'empaler dessus. Je lève la tête surpris. Le boss me dit qu'avec la vitre Ahmed ne verra rien rien et que de toute façon cela ne constitue pas un problème.
J'enlève mes chaussures et mon pantalon. me voici en chaussette et chemise le cul au dessus de queue du boss. Je mets un peu de salive sur mes doigts et mouille ma rosette. Les pieds sur les sièges arrières de part et d'autre de ses jambes, ma rosette se positionne au dessus de son gland. Progressivement ma rosette s'ouvre pour laisser le chibre du boss entrer en moi. Il ne bouge pas et me laisse imprimer le rythme. Mais trop envie qu'il largue son jus dans mon cul donc il ne faut pas trop trainer car tôt ou tard nous arriverons à l'aéroport.
La voiture ralentit...j'accélère le rythme de mes aller retours. Le boss finit par tapisser ma chatte de son jus. Je me retire, me baisse pour nettoyer sa bite. Il se rhabille. Ahmed a déjà ouvert la portière pour que le boss sorte. Mon pantalon n'est pas totalement remonté. Son regard lubrique se pose sur moi.
Je me presse de me rhabiller et accélère le pas pour accompagner le boss à son jet. Nous sommes accueillis par un steward blond dont les habits moulent bien la silhouette. Je monte à bord et dépose l'ensemble des affaires du boss à côté de son siège. Je sors en matant le beau steward.
Retour vers le parking. Ahmed se tient debout à côté de la voiture et commence à ouvrir la portière passager avant. Je lui fais vite savoir que je dois profiter du trajet pour avancer des dossiers et que je serai mieux à l'arrière. Il me lâche un comme tu voudras avec un ton peu aimable. Je monte à l'arrière et passent quelques appels pour justifier mon mensonge.en fait aucune envie d'être assis à côté de lui. Pendant mes appels, je remarque qu'il ne me lâche pas du regard.
Nous arrivons enfin. Je m'exfiltre rapidement du véhicule et me précipite dans l'ascenseur pour regagner mon bureau. Aucune envie de prendre le risque qu'Ahmed me tripote.
Il est 17h30. Je vois passer devant mon bureau un jeune arabe habillé dans ce qui semble être une tenue de polo. Il badge pour rentrer dans le bureau du boss. Ce doit être un proche du boss car seul le boss, moi et sa famille disposons d'un badge d'accès à son bureau. Le boss contrôle les accès : il peut ouvrir à qui il souhaite ou au contraire tout bloquer.
Quelques minutes après son arrivée, il m'appelle et me demande de lui apporter un café.
Je prépare le café et rentre dans le bureau du boss. Quelle belle vision ! Un jeune mâle assis sur le canapé, jambes très écartées. Son pantalon de polo moule ses cuisses et son entrejambe.
Je pose le café sur la table basse. D'un geste de la main, il m'invite à m'asseoir sur le canapé adjacent à celui sur lequel il est assis. Il ressemble à son père.
alors c'est toi qui remplace Paul
oui, je m'appelle Léo
moi, c'est Hicham
enchanté
moi aussi. J'espère que nous aurons une relation aussi spéciale que celle que j'avais avec Paul.
Je suis gêné par cette allusion à Paul. Relation étroite mais à quoi fait-il allusion ? Décidément toutes les personnes qui me parlent de Paul ou de mes fonctions tiennent des propos ambigus.
Hicham : mon père a un talent certain pour recruter des salariés très dévoués. Paul a apporté beaucoup de soulagements à mon père. Puis il a participé à mon éducation... et à celle de mon frère.
De quoi parle-t-il ? Je pose mon regard sur son entrejambe et remarque un gros paquet bien moulé dans son pantalon de polo. Sa main se pose sur son paquet. Il remet sa bite en place bien droit. Je ne peux décrocher mon regard de ce paquet volumineux.
Hicham : Paul s'occupait très bien de mon père mais il était tellement gourmand qu'il a cherché à goûter le reste de la famille. Il a été le premier à me sucer et à prendre ma queue. Puis quelques temps après il a aussi dépucelé mon jeune frère. Gourmand mais également très curieux car il a voulu voir si tous les mâles de la famille avaient le même membre et il s'est même tapé mon grand-père. Une vrai salope !
Ses paroles et sa grosse bosse me font rougir. Je suis paralysé.
Hicham : avant de prendre son jet, mon père s'est certainement bien vidé. Fais pas ton timide et montre moi si tu suces aussi bien que Paul.
Il ouvre sa braguette et sort sa queue .
Mmm elle est aussi grosse que celle du boss. Je reste tétanisé. Il se lève et approche sa queue de ma bouche et frotte son gland sur mes lèvre. J'ouvre les lèvre et avale son gland.
Hicham : voilà tu fais moins le timide. Mon père t'as recruté car il a repéré ton potentiel de salope. Ton côté timide est trop excitant, ça donne trop envie de bien te loper.
Il me prend la tête et la maintien pendant qu'il me bourre bien la gueule. Il enfonce sa pine bien au fond de ma gorge. Je m'étouffe. Il me défonce la gueule pendant 5 mn puis me dit : mon père adore défoncer des petits culs blancs bien rebondis et sans poil. Mets toi sur mes genoux et baisse ton pantalon.
Je lui obéis et je suis le ventre posé sur ses cuisses. Je défais le bouton et la braguette de mon fute. Je soulève mon ventre pour baisser mon pantalon. Ses mains caressent mes fesses.
Hicham : pas d'erreur, petit cul bien rebondis, blanc et sans poil. Un petit cul qui doit aimer les bites foncées d'arabes.
Avec ses mains il écarte les 2 lobes de mes fesses.
Hicham : une petite rosette bien rose. T'as l'air bien ouvert. mon père t'a bien défoncé avant de décoller.
Il m'enfonce un doigt dans le cul et me travaille le cul. Il ressort son doigt et le porte à son nez.
Hicham : ça sent encore le foutre de mon père.
Il enfonce son doigt puis passe à deux doigts. Je gémis car je suis excité d'être à disposition du très charmant fils de mon patron.
Hicham : eh bien ma salope tu es bien ouvert. T'as l'air d'aimer te faire enfiler par de gros engins.
Et le voilà qui me défonce avec trois doigts.
Hicham : bon assez plaisanté. Je pense que t'as envie de te prendre une 2ème queue. Mets toi sur le dos et jambes en l'air que je te nique comme une bonne chienne.
Autant son père obtient ce qu'il veut en douceur, autant Hicham me parle comme une grosse pute. Mais dans les deux cas, je me soumets à ce qu'ils veulent car je sais que je vais prendre mon pied.
Je suis en position. Hicham approche son gland de mon trou et enfonce ces 20 cm. Je pousse un cri. Mais Hicham s'en moque, il me pilonne le cul en me tenant les jambes.
Hicham : cri, gémis comme une salope, exprime toi. Je vais te doser.
Il me laboure le cul pendant 10 mn et finit par exploser. Il me maintien les jambes en l'air pour regarder mon trou.
Hicham : t'as vraiment une bonne chatte accueillante. T'as pas finis de me voir et je suis sûr que mon frère te passera dessus également. Même pas besoin que je lui parle de tes prestations. Il connaît aussi bien que moi les goûts de notre père et dès qu'il te verra, il comprendra que tu es un bon vide couilles.
Il se rhabille et quitte le bureau. Je fais de même. Il commence à se faire tard et je rentre chez moi.
Dvdstaudt
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