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Chapitre-4
Salut,
Moi, c’est Nico. J’ai 20 ans, je fais 1,78m pour 65 kg. Je suis mince, blond aux yeux bleus. J’ai le visage lisse. J’adore faire du sport (foot, VTT, ...) ce qui m’a donné un corps musclé sec et surtout de belles jambes musclées. Je fais un BTS de gestion.
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, je fantasme depuis très longtemps sur le meilleur ami de mon frère, Bilal. Un jour, on s’est fait coller tous les deux. Alors que j’étais en train de faire ma punition, j’ai surpris Bilal en train de mater un porno ... ce qui m’a déjà bien chauffé. On est rentrés ensemble chez moi car il venait voir mon frère. Bilal, prétextant vouloir recharger ses écouteurs sur mon ordi, a alors trouvé des photos de mecs nus. Le rebeu a alors compris que j’étais homo. Mais il a vu des photos de lui que j’avais prises en secret. Il a alors compris que je flashais sur lui. Apprenant que j’étais encore puceau, il m’a dit qu’il pouvait m’initier à un truc. Il m’a alors fait sucer sa grosse teub. Mais après avoir joui, il s’est précipité hors de la maison au même moment où mon frère est rentré. Ce-dernier a vite compris ce qui c’était passé et il m’a consolé. La semaine suivante, j’ai revu Bilal à la fac et il m’a poussé dans la chaufferie où il m’a baisé... On avait à peine fini qu’on a entendu un bruit. Je suis tombé par terre tandis que Bilal a pris la fuite. Je me suis retrouvé nez à nez avec Fabien, un de potes de Bilal, qui m’a vu le cul en l’air, nageant dans une flaque de sperme... Il a bien sûr faire courir le bruit que j’étais homo et il n’a pas cessé de m’insulter, jusqu’au jour où Bilal a pris ma défense. Il s’est excusé pour son comportement et on a fait l’amour. Il m’a dépucelé. Et pour une fois, il ne s’est pas enfui...
Depuis que j’ai perdu ma virginité avec Bilal, on s’entend super bien. Le soir même après notre première fois, on a beaucoup parlé quand je me suis réveillé dans ses bras. Je lui ai aussi révélé ce que je ressentais pour lui... que c’était plus que de l’amitié ou du désir. Que je l’aimais vraiment de tout mon cœur.
Depuis, on a fait plusieurs fois l‘amour. On commence à vraiment bien se compléter. Cependant, il m’a dit dès le départ qu’il ne sait pas ce que c’est entre nous. D’un côté, il éprouve quelque chose pour moi. Mais il me voit plutôt comme un pote, du fait qu’il me connaît depuis tout petit. Mais il n’exclue pas la possibilité que ça puisse changer. Et de l’autre côté, il y a sa famille, très religieuse... Même s’il n’habite plus chez ses parents, son père a des valeurs très traditionnelles et ceci joue malheureusement un rôle dans la recherche de sa personnalité. Mais il me rassure sans arrêt, me disant qu‘il ne me considère pas comme un jouet qu’il utilise quand il a envie de se vider. Il répète sans cesse qu’il n’aime pas les coups d’un soir et qu’il a couché avec moi car il me faisait confiance. J’avais bien sûr parler de tout ça à mon frère, lui faisant promettre de garder tout ça secret.
Aujourd’hui, on est vendredi. Je me lève et après la douche, je prends mon petit-déjeuner avec mon frère Christophe. Nos parents ne sont pas là car ils se sont levés à 4h pour prendre l’avion. Ils sont partis en vacances en amoureux pour l’Indonésie.
- Je prends la voiture des parents. On va au lycée ensemble ?
- Ok !
Pour rappel, je fais un BTS gestion.
On est en train de préparer nos affaires quand j’entends son portable sur la table de la cuisine vibrer. Curieux, je jette un coup d’œil sur l’écran. Il a reçu un message WhatsApp d’un numéro qui n’est pas enregistré dans ses contacts : « Parlons de ça ensemble, ça ne se reproduira plus ! Tu me manques ! Je t’aime ! STP, réponds ! » accompagné de smileys en forme de cœur et de baisers. Je prends mon sac, son portable. Il est déjà devant la porte d’entrée. Je lui tends son téléphone en disant:
- Je savais pas que t’avais une copine.
Je souris genre mystérieusement en faisant un clin d’œil. Mon frère me regarde un peu de travers et il me dit, en colère :
- Non ! Je n’en ai pas ! Et je ne veux pas en parler ! Mêle-toi de tes affaires, merde !
Je reste un peu perplexe vis-à-vis de sa réaction.
- Ok, répondis-je simplement à voix basse.
Je n’avais jamais vu mon frère me faire des cachoteries... et réagir de la sorte ! On sort de la maison en silence. On arrive en avance au lycée. J’entre dans la cour … et j’y vois le principal, furieux, qui parle à Bilal, qui, lui, baisse la tête. Je fronce les sourcils et mon meilleur pote, Marco, me rejoint. Je lui demande :
- Qu’est-ce qui s’est passé ?
- Le principal a de nouveau trouvé de la drogue sur Bilal. C’était sa troisième transgression du règlement... ce qui veut dire...
- ... qu’il va se faire virer..., dis-je en interrompant Marco, complètement choqué.
Je sens mon cœur s’arrêter. Je m’approche alors du principal. Il est furieux :
- M. El-Zitari ! Donnez-moi ce sachet de drogue !
Bilal tient le sachet dans son poing, le visage baissé, en colère.
- C’est une infraction au règlement intérieur ! Une nouvelle ! La troisième ! Vous savez ce que ça signifie !
Sans réfléchir, je me précipite vers Bilal et je lui prends le sachet des mains en m’exclamant :
- Ah, je te cherchais partout, Bilal ! Merci de m’avoir tenu le sachet.
Je me tourne alors vers le proviseur en demandant innocemment :
- Il y a un problème, monsieur ?
Le principal m’observe, désemparé. Son regard va et vient entre Bilal et moi. Je ne me drogue pas, je suis un étudiant modèle qui n’a jamais causé de problème. Pas étonnant donc que le principal pense que le cannabis ne m’appartienne pas.
- M. Martin ! Ce cannabis vous appartient ?
- Oui, monsieur.
- Suivez-moi, on va parler dans mon bureau !
Je suis le directeur. Dans son bureau, il essaie de me faire avouer que je voulais sauver la situation de Bilal, ce qu’il ne peut pas comprendre. Puis, finalement, il me donne un avertissement et il m’exclue pendant 3 jours. Quand je sors, je vois un message de Bilal qui me remercie. Je lui annonce mon exclusion. Il m’écrit alors qu’il sèche les cours et que je n’ai qu’à le rejoindre chez lui. Il habite dans un petit appartement, seul, non loin du lycée.
Je me rends chez lui et il m’ouvre la porte, torse nu. Il me saisit par le col de mon polo et il me tire dans son appart. Il ferme la porte et il me coince contre le mur. Il me murmure à l’oreille :
- Ce qui t’as fait tout à l’heure m’a vraiment excité...
Ses mains caressent mon corps... ce que je savoure. Il se met à me mordiller le lobe de l’oreille.
- Je ne pouvais pas permettre que tu te fasses renvoyer, je réponds en gémissant.
Bilal passe sa langue dans mon cou tandis que ces mains retirent mon polo. Il me colle contre lui et je sens sa queue dure contre la mienne, séparées par nos jeans. Au bout de quelques minutes, il se met à genoux et il ouvre mon pantalon, il fait descendre mon caleçon... et, à ma grande surprise, il prend ma bite en bouche.
- Oh, Bilal, dis-je en gémissant.
Il arrive à me faire une gorge profonde avant de me sucer passionnément. C’est ma première pipe et je dois dire que je gémis fort. C’est tellement bon ! Une incroyable sensation ! Je m’accroche à ses épaules et je caresse ses cheveux frisés. Pendant ce temps, il malaxe mes couilles.
Au bout de quelques minutes, il se redresse en disant :
- Tu es si mignon !
Il se met à m’embrasser goulûment, il plaque ses mains sur mes fesses qu’il soulève. Je passe mes jambes autour de ses hanches et il me porte à travers l’appartement jusqu’à la table de la cuisine. Je me retrouve couché sur la table, les jambes en l’air. Bilal se penche et je sens soudain sa langue entrer dans mon trou. Je gémis extrêmement fort. C’est mon premier anulingus et c’est sensation formidable ! Sa langue tournoie pendant de longues minutes dans mon trou. C’est vraiment génial ! il se relève et il se déshabille en disant :
- J’ai pas de lubrifiant mais je t’ai bien préparé.
Je l’admire alors une fois nu : il a une peau mate, des cheveux frisés et bruns, des yeux marrons, une barbe bien taillée. Il a un corps musculeux. Il a un ventre plat et de beaux pectoraux bien dessinés. Son corps est entièrement recouvert de poils épais, courts et noirs. Il a des jambes musclées de footballeur. Un duvet de poils noirs et épais les recouvre. Quant à sa teub, elle est circoncise, elle doit bien faire 22 cm et elle est très épaisse. Elle est traversée par une veine saillante. Elle est marron foncé. Le gland est rosâtre, gros. Il a aussi deux grosses couilles, lourdes, pendantes, poilues. Son pubis est recouvert de poils épais, noirs et frisés.
Il se penche sur moi, il m’embrasse et il me murmure à l’oreille :
- Prêt ?
- Prêt !, dis-je.
Je sens alors son gros gland pénétrer dans mon anus. Puis, le reste suit. Bilal y va lentement jusqu’à ce que j’aie son morceau entièrement en moi. Bilal reste quelques instants sans bouger. Lorsqu’il commence à faire de lents va-et-vient, on se met à gémir doucement tous les deux. Puis, il bloque sa bite en moi. Il attend quelques secondes et il va rapidement ressortir pour la renfoncer d’un coup. Il me murmure à l’oreille :
- J’adore trop ton petit cul. Je ne m’en lasse pas !
Il commence à me pilonner avec sa grosse bite. Il me défonce fort et lentement. Il m’enlace dans ses bras et il me fait bien sentir sa grosse queue. Je suis coincé contre son torse dont les poils me chatouillent la peau.
- Je vais maintenant te baiser bien fort !
Il se met à accélérer le mouvement et à me baiser comme je l’adore : vite, fort, sur tout le long de son morceau. La table de la cuisine vibre sous ses coups de reins de mec dominant et macho. Puis, il passe ses mains sous mon cul, je me redresse et je m’accroche à lui et il se retrouve debout, moi, dans les airs, sa teub toujours dans mon anus. Je m’écrie :
- Montre-moi ce que tu sais faire, vas-y !
Je sens ses bras me soulever et me faire baisser sur sa queue. Mais très vite, il me repose sur la table et ses cuisses musclées se mettent à taper en une cadence régulière et puissante contre mes fesses. Il fait sortir sa bite jusqu’à son gland circoncis avant de la renfoncer entièrement dans mon anus. Parfois, il me donne des fessées et je sens la peau de mon cul rougir. Je ne cesse d’haleter : « oh, oui, c’est trop bon ! Défonce-moi ! ». Il sourit et ses coups de queue redoublent de vigueur. Je sens ses couilles pendantes fouetter mes fesses à chaque coup. A un moment, il se met dans une telle position que son gland me masse la prostate. Je m’exclame :
- Oh putain, Bilal ! Oui, c’est trop bon, continue comme ça !
Je sens mon orgasme alors monter dans ma queue. Il me pilonne si fort qu’il finit par dire :
- Je vais pas pouvoir retenir longtemps la sauce !
Et en effet, il se met rapidement à juter en moi tout en faisant toujours des allers-retours. Je sens alors comme un tsunami envahir mes entrailles. Et le frottement de son gland contre ma prostate a raison de moi. Sans me toucher, je sens ma bite exploser et 6 jets giclent sur mon ventre. Pendant ce temps, Bilal continue de se vider en moi. Ses giclées sont violentes et abondantes. Je me sens bien rempli.
Bilal tombe sur mon ventre et il reprend son souffle. Je sens avec plaisir son corps musclé et poilu sur le mien. Sa bite se ramollit et sort hors de mon anus qui, béant, laisse échapper des vagues de sperme qui s’écrasent sur le sol bruyamment. Il se redresse, il m’aide à me relever et il me prend tendrement dans ses bras.
On va se laver car on dégouline de sueur et après, on décide que je passerai la nuit ici vu que mes parents ne sont pas là. J’écris un message à mon frère que je ne rentre pas ce soir. Après la douche, on va dans son lit, nus, et Bilal me prend dans ses bras tout en me caressant la joue. Il a l’air assez absent. Je lui demande :
- Ça va ?
- Hm...
C’est la seule réponse. Je remarque que Bilal m’observe avant de se ressaisir :
- Oh oui, tout va bien ! J’étais plongé dans mes pensées. Je réfléchissais à un truc et je ne sais pas comment te le dire...
- Allez, n’y va pas par quatre chemins, dis-je en m’asseyant sur le lit et en prenant sa main dans la mienne.
Il serre ma main et il reprend :
- C’est vraiment bizarre... Tu es comme un petit frère pour moi. J’ai trouvé ça étrange lorsque tu m’as dit que tu étais amoureux de moi... parce que des frères ne tombent pas amoureux l’un de l’autre... Oui, je sais, on fait l’amour ensemble... mais bon, ça j’ai pu « l’ignorer ».
Il se tait et moi je lui caresse la main. Puis, il reprend :
- Quand Fabien t’a suivi jusqu’à l’arrêt bus et que j’ai vu comment il te traitait, ça m’a mis en colère. J’ai alors remarqué qu’il y avait plus... Et ça aujourd’hui au lycée... Tu t’es montré vraiment altruiste. C’est la première fois que quelqu’un m’aide comme ça... Tu as sûrement sauvé mon avenir...
Je me couche contre Bilal et je le regarde dans les yeux. Il se penche sur moi et il m’embrasse tendrement.
- C’est un signe. C’est décidé ! J’arrête de vendre de la drogue ! Tu vois, tu fais de moi quelqu’un de meilleur ! Tu sais... je crois que je suis aussi tombé amoureux de toi ! Je sais pas si c’est depuis aujourd’hui ou depuis un bon moment...
Je regarde Bilal sans vraiment réaliser ce qu’il vient de m’avouer... Puis, je me mets à sourire et j’embrasse le mec de mes rêves sur la bouche. On se met alors à parler tout en se caressant. J’apprends alors que c’est Fabien qui est le dealer. Bilal l’a aidé pour se faire du blé... ce à quoi il va renoncer désormais.
Puis, on décide d’un commun accord de ne pas passer la première nuit ensemble en tant que couple. On veut réfléchir à tout ce qui s’est passé. Moi, je veux surtout donner la possibilité à Bilal de ne rien regretter.
Je rentre donc à la maison et il est minuit. Il est certes tard, mais je vois la lumière allumée dans le salon. Je me dis que mon frère doit se faire une soirée Netflix et que je vais le rejoindre. Je dépose mes affaires dans l’entrée mais je suis surpris de ne pas entendre le bruit de la télé. Je rentre dans le salon et en effet, elle est éteinte. A la place, je découvre, sidéré, mon frère... sur le canapé ... nu ... assis sur quelqu’un ! Je ne peux m’empêcher de dire :
- Christophe !!
Je remarque alors qu’il a... une bite dans le cul ! Il se retourne et me regarde, apeuré :
- Nico !
Il prend vite une couverture et il se couvre avec. J’entends alors une troisième voix qui dit :
- Nico !
Mon frère bouge de quelques centimètres, ce qui me permet de voir le visage de celui que mon frère était en train de chevaucher... Je regarde cette personne et mon frère, des yeux grands ouverts, tandis que mon sang se glace. Je finis par murmurer :
- Fabien...
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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