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Chapitre-6 | Trajet à l'aéroport
Ce matin, le boss m'a baisé en me collant contre le mur de son bureau. Il part pour un voyage d'affaires au Japon pour une semaine. Le départ pour l'aéroport est prévu pour midi. Ahmed a chargé le véhicule. De mon côté, j'ai réglé les derniers détails du séjour au Japon. Comme d'habitude, le boss me demande de l'accompagner à l'aéroport. Il fait ce voyage en compagnie de ses fils et son épouse qui nous suivent dans un autre véhicule.
Dès le démarrage de la voiture, le boss relève la vitre intérieur. Il ouvre sa braguette. Je me charge de sortir sa queue pour bien le pomper. Ma technique de bouffage des couilles, de travail sur le gland, de descente progressivement sur la tige pour finir par faire une belle gorge profonde font leur effet. Le boss est comme un pacha : assis confortablement dans sa voiture de luxe et avec une queue bien comblée.
Sa main descend sur mes hanches et tire ma chemise. Je baisse mon pantalon et mon boxer. Je me tourne pour lui permettre de me baiser.
Il crache dans sa main, se branle le gland pour l'humidifier. Son gland se présente contre mon trou. D'un coup de bassin, sa pine pénètre dans mon trou. Je gémis.
moi : patron, baisez moi
le PDG : je vais bien te baiser pour que ton cul se souvienne de ma bite pendant toute cette semaine où ni moi, ni mes fils ne te sauteront. Je vais bien te remplir avant que nous arrivions à l'aéroport.
Je suis à 4 pattes et il me pilonne en posant sa main sur ma bouche. Il finit par vider son jus dans mon trou. Ma 2ème dose.
Je me rhabille vite. La voiture s'arrête. Ahmed ouvre la portière. Le PDG descend de la voiture et se dirige vers le jet. L'épouse du PDG et ses fils descendent également de leur véhicule. Nabil me murmure à l'oreille : « dommage que tu n'es pas voyagé avec mon frère et moi. Nous avions une bonne dose à te faire boire ».
Ahmed chargent les bagages de la famille dans le jet et descend du jet de nombreux colis. Apparemment des commandes de l'épouse du PDG auprès des boutiques de luxe.
Le jet décolle.
Je rejoins le véhicule. Ahmed me regarde avec un sourire.
je crois que sa seigneurie va devoir monter à l'avant. L'arrière est occupé par les achats de madame.
Je m'installe à l'avant. Mal à l'aise car je sens le regard insistant d'Ahmed.
Ahmed: Tu vas être tranquille pendant une semaine vu que le PDG ne sera pas là.
Moi : je serai en contact avec lui donc même à distance j'aurai de quoi faire
Ahmed : un peu de secrétariat mais pour ce qui est ta principale mission, à distance ça va être difficile
moi : pardon ?
Ahmed : tu es bien la pute du PDG, non ? Enfin plutôt la salope du PDG car si tu te fais baiser plusieurs fois par jour juste pour ton salaire t'es une pute pas très forte en business !
Je suis terriblement gêné et ne sais quoi dire.
Ahmed : pour ta semaine d'inactivité, je peux te dépanner. J'ai pas vu ma femme depuis trois mois alors j'ai une bonne réserve.
moi : Ahmed, cela ira, je n'ai pas besoin de tes services.
Ahmed passe son bras derrière ma tête et sa main droite pousse ma tête sur son ventre et la maintient sur ce matelas de graisse.
Ahmed : fais pas ta vierge effarouchée. Tu vas boire mon jus. T'es qu'une salope bonne à vider des couilles
moi : Ahmed, lâche moi
Ahmed ouvre sa braguette avec sa main gauche pendant que son autre main me maintient sur son ventre. Il sort sa queue. Putain, quel monstre ! Sa queue n'est pas très longue (12-13 cm) mais très large. Son gland est beaucoup plus gros que la tige.
Il m'agrippe les cheveux, me fout une claque et me dit de le pomper. Comme je ne le fais pas il me refout une 2ème claque. Puis sa main force ma bouche à s'ouvrir. Il pousse mon visage sur sa queue. Me voilà en train d'avoir cette bite champignon dans la bouche. La bite d'un pakistanais quinquagénaire et bedonnant. Bref, un dégoût sexuel total. Sa queue emplit totalement ma bouche et ma gorge. Ahmed prend ma tête et la bouge pour se branler la queue. Je suis sa chose.
Ahmed : allez salope, assure la même prestation qu'avec le boss. Il t'a pas gardé au plus près de lui pour avoir une salope qui bouge pas plus qu'une poupée gonflable.
Putain, il me dégoûte et en même temps être soumis à sa queue si épaisse et à son gros gland m'excite. Je finis par coopérer et à faire de moi même des vas et vient sur sa queue.
Ahmed : c'est ça continue, tu vois que tu l'aime bien ma grosse queue. Tu vas être comblé.
Je pompe son gros dard sous les mots de plus en plus salace d'Ahmed. Sa main me tâte le cul.
Ahmed : montre moi ton cul, ça va m'exciter.
Je baisse mon pantalon. Ahmed passe sa main vers ma queue.
Ahmed : tu vois je t'avais bien dit que tu aimerais ma bite. Tu bandes comme un âne à sucer ma bite et tu mouilles comme une grosse pute en chaleur. Quant à ton cul, le PDG t'as bien crémé. Mais c'est rien à côté du jus que je vais te donner.
Il me doigte le cul. Je continue de pomper sa tige épaisse et son gros champignon. Puis Ahmed place sa main sur ma tête et me maintient.
Ahmed : prépare toi à recevoir trois mois de jus.
Et d'un coup je me prends 10 jets successifs. Du jus abondant, bien crémeux et fort en bouche.
Ahmed passe sur l'autre siège et présente sa bite qui vient à peine de se vider vers mon trou. Ses doigts m'enduise le trou de gel.
Je lui crie : « non Ahmed, tu as eu ce que tu voulais. Tu as les couilles bien vidées. Je ne veux pas que tu me prenne. Ton gland est trop gros. »
Ahmed : ma petite princesse, garde tes cris quand je t'aurais fourré. J'ai pas baisé depuis trois mois alors j'ai beaucoup de retard à rattraper. Alors maintenant que j'ai une bonne salope sous la main, je vais lui passer ma bite par tous les trous.
Son gros gland se présente contre ma rosette. Je hurle que je ne veux pas. Ahmed pose sa main sur ma bouche pour bien me dominer et me faire comprendre que je ne ne suis qu'un trou à disposition de sa bite épaisse. Son gland rentre dans ma chatte. Je crie de douleur. Sa queue continue d'avancer dans ma chatte. J'ai mal et le peu d'excitation que je ressens ne compense pas. Ahmed commence à me bourrer le cul. Je n'ai jamais connu une telle sensation d'être totalement rempli. Ma rosette est écartée au maximum, plus d'espace entre sa bite et mon trou. Il ne me ménage pas. J'ai peur que cela dure car il a déjà bien juté.
Ahmed : tu es une bonne salope. Ma queue est bien serrée dans ta chatte. Ahmed va bien te baiser.
Je gémis de douleur et de plaisir. Mes cris sont de plus en plus aigu. Je suis comme shouté par ces sensation très forte.
Ahmed : salope, ma bite t'excite. Ma grosse queue te fait oublié que tu es un homme, tu crie de plus en plus comme une femelle.
Ahmed sort totalement sa queue de mon trou. J'éprouve un soulagement mais de courte durée car il enfonce d'un coup toute sa bite.
Je crie de douleur.
Soudain, la fenêtre avant s'ouvre. Putain j'ai appuyé sur le bouton d'ouverture par mégarde. Le chauffeur qui avait accompagné l'épouse du boss et ses fils approche de la voiture et me voit nu en train de me faire baiser par son collègue. Il se parlent en Ourdou. Je ne comprend rien.
Ahmed : mon collègue me félicite d'avoir trouvé une femelle aussi chaude que toi. Je lui ai proposé que tu le suces. Une salope comme toi ça aime avoir des bites dans tous les trous.
Son collègue sort sa queue du pantalon et la passe au dessus de la portière. Ahmed ralentit sa baise et me soulève pour me positionner. Ahmed reprend ses violents aller retour. L'autre pakistanais doit aussi avoir une cinquantaine d'années mais il est relativement mince. Sa bite fine de 16 cm rentre dans ma bouche. Sa bite me lime la bouche.
Ahmed finit par larguer une sauce abondante dans mon trou. Son collègue déverse dans ma bouche une grosse quantité de foutre.
Ahmed sort sa queue de mon cul. Il me claque les fesses en me disant « t'es une bonne femelle ! Je t'ai bien écarté la chatte. Tiens regarde la photo ! » . je regarde son portable et je vois une chatte totalement ouverte, du genre de celle qui se sont pris des godes monstrueux : le cul totalement ouvert et on voit non seulement le rose de la rosette mais aussi le rose de l'intérieur du conduit.
Nous nous rhabillons. Le retour au travail se fait dans le silence le plus absolu. Dans ma tête je suis perturbé par ce mélange de dégoût et d'excitation éprouvé. Je regagne mon bureau et tente de me remettre au travail. Mais rien n'y fait, je pense à cette bite en forme de champignon qui m'a écartelée. Je n'arrête pas de triquer. Et pourtant la seule pensée d'Ahmed posant sa main sur moi me dégoûte. Je n'arrive pas à travailler donc autant rentrer chez moi. Mais là également impossible de penser à autre chose que ces deux pakistanais qui m'ont utilisés pour se vider et surtout à la grosse queue d'Ahmed. Ma main rentre dans mon pantalon. Ma queue est raide et mon gland humide. Mes doigts frottent mon gland qui libère alors une grosse quantité de mouille bien gluante. Une branlette s'impose pour calmer tout cela. Je vais dans le couloir qui mène à ma chambre car j'ai installé des miroirs pour me regarder de face et de dos en même temps avant de partir au travail, histoire d'être sûr que ma tenue est bien élégante et me met en valeur. Je me mets à poil. Je suis à genoux. Ma main gauche astique ma bite. Régulièrement ma main se pose sur le gland pour récupérer une bonne quantité de mouille et me branler avec ma main gluante. La pensée du gros champignon d'Ahmed est toujours là. Mes mains écartent mes fesses. Putain mon trou est encore complètement dilaté. Je me mets à quatre pattes et écarte au maximum mes jambes tout en continuant à me branler. Si seulement une bite rentrait dans mon trou bien ouvert pendant que je me branle. Cette pensée de me faire baiser par n'importe qui m'excite tellement que je jute abondamment sur le carrelage de mon couloir. Je me baisse pour lécher ce jus.
Dvdstaudt
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