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Chapitre-4
Je joue dans une équipe de football américain depuis déjà 3 ans. J’adore ce sport, je le pratique avec passion et je suis la ligue de football américaine avec ferveur. Je fais partie d’un club amateur, les Aigles Féroces, et nous sommes bien classés dans la ligue régionale. Je suis content de voir que ce sport a de plus en plus d’admirateurs en France et en Europe. Cependant, depuis le début de la saison, je reste sur le banc de touche lors des matchs : je me suis blessé à un tendon et je ne peux pas pratiquer de sport pendant 6 mois. Par contre, je tiens à tout prix à être là pour soutenir mes coéquipiers lors des matchs. Pour me rendre utile, je m’occupe des rafraichissements, je fais des sandwichs maison et je les apporte à mes coéquipiers. Je suis le plus jeune de l’équipe : moi, j’ai 22 ans, je suis blond, musclé sec, de taille moyenne, avec un corps parfaitement épilé.
Un jour, alors que Bryan, un de mes coéquipiers, attrape une crampe et à défaut de masseur, il me demande de l’aider. J’essaie de le masser sur la cuisse mais alors que sa bite prend du volume, il me fait comprendre que je pourrais l’aider d’une autre manière. Je le branle puis je le suce. Il jute dans ma bouche... Il fait comme si de rien n’était et on s’entend toujours bien. Mais un soir, alors que je le ramène chez lui d’une fête parce qu’il est bourré, il me prend pour sa copine et il me baise. Je repars après ça sans qu’il s’aperçoive de son erreur mais une fois dans le taxi, je remarque que j’ai oublié mon caleçon chez lui... Bien sûr, sa copine s’en aperçoit. Je ne mens pas à Bryan et je lui explique ce qui s’est passé. Sa copine révèle l’information au grand jour et quand un de mes coéquipiers, après m’avoir baisé, me l’apprend, je quitte l’équipe de peur qu’ils me prennent tous pour la salope de service. Mais mes coéquipiers finissent par venir pour fêter leur victoire au championnat, comme si rien de toute ceci ne s’était passé. Et quand on se retrouve seuls, Bryan et moi faisons l’amour.
On est en septembre... Je saisis une caisse et je la charge dans le transporteur. Bryan, la star de notre équipe, a changé de club et je l’aide à faire ses cartons et à déménager. Quand il m’a annoncé ça, j’ai tout de suite été triste. Mais je lui ai proposé de l’aider pour le déménagement, ce qu’il a accepté. Les cartons sont chargés et on commence le voyage de 4 heures.
Depuis la fin de la saison dernière, je n’ai pas de nouveau fait l’amour avec Bryan. Mais je me suis souvent branlé en passant à ce magnifique moment qu’on avait vécu. Je ne sais pas où je vais dormir ce soir... et j’ai très envie de lui. C’est une des raisons pour lesquelles je lui ai proposé de l’aider : j’espère bien trouver une opportunité pour baiser avec lui. J’aurais bien envie de nous faire boire pour que j’ai une raison de rester. Bryan me sort de mes pensées :
- Ça va ? Tu sembles bien pensif.
- « Oui ça va. Je suis juste en train de réfléchir comment je pourrais t’amener à enfoncer ta queue dans mon trou » ... voilà ce que je pense. Et voilà ce que je réponds : Ben oui, tu pars, c’est triste. Mais tu reviendras nous voir, pas vrai ?
- Bien sûr !
Durant le trajet, on parle bien, on raconte pas mal de conneries. J’apprends qu’il s’est séparé de sa copine. Quant à moi, vu que ma jambe va mieux, je pourrais bientôt reprendre les entrainements.
- Cool. Je pourrais proposer à ma nouvelle équipe de faire un match amical contre la vôtre.
- Ça serait super !
Au bout de 3 heures de trajet, Bryan voit une piscine et il me dit :
- Ça te dirait d’aller piquer une tête ?
En fait, j’aimerais bien arriver... J’ai trop envie de lui ... Mais rien que de penser à l’occasion de pouvoir mater le magnifique corps de Bryan, je réponds :
- Bonne idée !
Bryan fouille dans ses affaires et il trouve un maillot... Tandis que moi, j’en achète un dans une boutique à côté de la piscine. On se change et on va directement dans l’eau. On s’amuse bien. Je le mate du coin de l’œil avec envie.
Bryan a 30 ans et il fait 1,90m. Il a un visage à tomber, avec des cheveux courts et bruns, un visage lisse et joufflu, avec une mâchoire carrée. Il a de larges épaules. Il est vraiment balaise. Il a des bras hyper musclés. Il a un corps de rêve avec des pectoraux ronds et bombés, un ventre un peu rond, à peine, bien dur, un mélange de muscles et de graisse. Son corps est imberbe, seuls ses aisselles sont poilues.
J’en profite bien sûr pour frôler et même toucher le corps de cet Apollon. Je savoure chaque seconde ! Et bien sûr, mon envie pour lui augmente en flèche... Je me mets à avoir une demi-molle. L’envie de me branler est vraiment forte. A un moment, on va se poser contre le rebord du bassin, les bras tendus... nos mains se frôlent. Il regarde alors autour de nous et il saisit délicatement ma main qu’il porte vers son entre-jambe. Je sens alors sa bite dure dans son maillot. Je jubile. La moitié de ses 22 cm dépassent du maillot. Je saisis son morceau que je me mets à masser. Soudain, Bryan se retourne, les bras sur le rebord, avec sa tête dedans. Je peux ainsi le branler sans attirer trop l’attention. Ma main alterne les mouvements de va-et-vient le long de sa queue ainsi que les caresses de ses abdos et de ses cuisses musclées. De l’autre, je masse ma propre bite.
Soudain, un groupe de mecs s’approchent de nous. Ils s’amusent ensemble mais j’arrête de branler mon quarterback, de peur de se faire prendre en flag. Je m’éloigne de Bryan qui reste la tête dans ses bras. Quelques minutes plus tard, Bryan me dit :
- On reprend la route ? On pourra fêter mon déménagement tous les deux.
- Oui... mais il y a quand même pas mal de boulot avant de penser à faire la fête.
Je dois avouer que je suis assez déçu. On se dirige vers les douches puis après s’être lavé, vers les vestiaires. Je rentre dans une cabine et Bryan est à côté dans une autre. Je suis tellement excité... que je me mets à me branler. Soudain, je vois qu’il y a un trou dans la paroi de la cabine... Piqué par la curiosité, je me penche et je regarde. La première chose que je vois, c’est le gros gland de Bryan, à même pas 30 cm de mes yeux. J’admire alors sa longue et massive teub, ainsi que ses cuisses musclées. Quelle bite ! Elle pendouille entre ses jambes, elle est longue et très large. Le gland est gros, un peu plus gros que sa bite. Deux veines traversent sa queue. Ses énormes couilles pendantes et lourdes sont poilues. Son pubis est recouvert d’une toison bien entretenue, courte avec des poils noirs.
Je vois alors Bryan tirer sur ses boules... avant de se les malaxer... tandis que son autre main masse sa teub. Elle se dresse. Elle est si belle... et si grosse : 22 cm ! Bryan commence rapidement à se branler. Je saisis ma queue et je me masturbe aussi. Tout à coup, Bryan se penche et il regarde directement à travers le trou. Il se met à sourire. Pris par mon excitation, je me baisse, je regarde si je vois les pieds d’autres personnes ... puis, je me faufile sous la paroi de la cabine pour passer dans celle de Bryan qui m’aide à me relever. Il me dit en ricanant :
- T’es un petit voyeur, alors. Tu mates les autres en train de se branler... Je crois qu’il faut que je te donne une petite leçon...
Il me fait me retourner, le visage contre la paroi, il prend mes mains dans les siennes et il les pose de chaque côté de ma tête.
- J’ai trop envie de toi, Nico...
- Fais-toi plaisir alors !, murmuré-je.
Je cambre mes fesses. Bryan me lâche les mains et à l’aide de ses doigts et de sa bave, il mouille ma rosette et son membre. Puis, il me doigte, d’abord avec un doigt, et ensuite avec deux. Il enfonce ensuite son gland dans mon trou. Il le fait entrer et sortir, enfonçant sa teub toujours plus loin en moi. Alors qu’il a la moitié de sa bite en moi, il saisit mes hanches et il me fait m’enfoncer dessus lentement. Je me retiens de gémir. Enfin, il entre entièrement en moi. Je sens sa teub dans mon anus ! Ça fait si longtemps que je le souhaitais ! Enfin ! Bryan se penche sur moi et il m’embrasse dans le cou. Puis, il enlace mon corps dans ses bras puissants et il me caresse. Il saisit ensuite d’une main ma queue qu’il se met à branler. De l’autre, il titille mes tétons. Puis, il se met à donner de petits coups de reins. Je gémis doucement. J’ai enfin sa grosse bite en moi qui me baise. Il gémit dans mon oreille, ce qui m’excite bien. Sa main me fait aussi du bien… et sans prévenir, beaucoup trop tôt à mon goût, je jute 6 grosses giclées sur le mur de la cabine. Bryan se met alors à accélérer sa baise. Ses couilles se mettent à cogner plutôt bruyamment contre mon petit cul… tout en continuant de me masturber. Je me demande alors s’il a remarqué que j’ai joui.
Ses coups puissants de bite, ainsi que la sensation de branle (un mélange d’excitation, de douleur et d’extase) me rendent fou de lui. Il finit par me lâcher, ses bras enlacent mon corps et il se met à me pilonner. Ses cuisses claquent aussi bruyamment contre les miennes. Il ne peut plus retenir ses gémissements. Puis, il s’enfonce d’un trait en moi et je sens sa semence m’envahir les entrailles en 8 longs jets puissants. Il se retire lentement, tout en m’embrassant toujours dans le cou.
- Je crois que je viens de te donner une bonne leçon !
- C’est clair ! Je suis pas prêt de recommencer !
Il se tient nu devant moi, tel un Apollon grec, souriant. Sa teub est encore à moitié bandée et ses grosses boules bougent au rythme de ses mouvements.
- Je t’aime, Bryan ! Epouse-moi ! Fais-moi des bébés et reste avec moi pour le restant de notre vie ! Mais à condition que tu me défonces au moins une fois par jour comme tu viens de le faire !
Voilà ce que j’aimerais bien lui dire. Mais je saisis en silence une serviette et je sors de la cabine pour aller aux toilettes.
Vingt minutes plus tard, on reprend la route. On est heureux mais silencieux. J’ai encore plus envie que jamais de fêter le déménagement ce soir avec pas mal d’alcool !
A suivre...
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Meetmemz
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