Je joue dans une équipe de football américain depuis déjà 3 ans. J’adore ce sport, je le pratique avec passion et je suis la ligue de football américaine avec ferveur. Je fais partie d’un club amateur, les Aigles Féroces, et nous sommes bien classés dans la ligue régionale. Je suis content de voir que ce sport a de plus en plus d’admirateurs en France et en Europe.
Cependant, depuis le début de la saison, je reste sur le banc de touche lors des matchs : je me suis blessé à un tendon et je ne peux pas pratiquer de sport pendant 6 mois. Par contre, je tiens à tout prix à être là pour soutenir mes coéquipiers lors des matchs. Pour me rendre utile, je m’occupe des rafraichissements, je fais des sandwichs maison et je les apporte à mes coéquipiers. Je m’entends bien avec tous. Je suis le plus jeune de l’équipe : moi, j’ai 22 ans, je suis blond, musclé sec, de taille moyenne, avec un corps parfaitement épilé.
Aujourd’hui, je suis sur le côté du terrain lors de l’entrainement et j’encourage mes coéquipiers. Tout se passe bien quand je sens un choc me projeter par terre. Je me retrouve sur le ventre, le souffle coupé. Je sens ma blessure me relancer. J’entends derrière moi :
- Oh, no sorry, man ! Désolé, Nico !
Je tourne la tête et je vois que c’est Bryan qui se relève. Bryan est quaterback dans notre équipe et il est Américain. Il me donne la main et il m’aide à me relever, de façon très vive. Il met une telle force que je me retrouve debout, le visage à 10 cm du sien.
- Sorry ! J’ai été trop rapide. Je t’ai pas fait mal ?
- Ça va, dis-je en mentant.
Je me rends alors compte que Bryan m’observe de facon bizarre... et je comprends pourquoi. J’avais une tablette avec des gobelets d’eau qui se sont tous retrouvés par terre... et j’ai baigné dedans. Mon t-shirt est trempé et on voit mon corps.
- Je devrais aller me changer, dis-je d’un air gêné.
- Yes ! Sorry, man !
Il passe sa main dans mes cheveux et il s’éloigne en trottinant. Je le regarde s’éloigner : Bryan a 30 ans et c’est un des joueurs préférés des fans, surtout de ces dames qui le trouvent très craquant. Pour moi, il est tout simplement mon modèle que j’aimerais devenir en tant que joueur de football américain : il fait 1,90m. Il a un visage à tomber, avec des cheveux courts et bruns, un visage lisse et jouflu, avec une mâchoire carrée. Il a de larges épaules. Il est vraiment balaise. il a des bras hyper musclés et il porte un débardeur qui laisse deviner un torse musclé avec de beaux pecs ronds. Il porte un short blanc qui laisse deviner un belle bosse dans son entre-jambe.
Le samedi suivant, on a un match contre les Requins de Brive. Les joueurs donnent tout et je regrette de ne pas pouvoir participer car, si on gagne, on sera deuxième du classement. Le match se passe bien, j’encourage mes coéquipiers. Bryan marque un touchdown après avoir reçu une merveilleuse passe. Il vient ensuite vers moi, en courant. Il prend une bouteille d’eau et il me demande :
- Alors, tu crois qu’on va gagner ?
- Bien sûr !
Il se place à côté de moi et on regarde le match. Je le regarde du coin de l’œil : il est vraiment parfait. J’aimerais être comme lui dans quelques années. Même l’odeur de sueur qu’il dégage me plait. J’entends des meufs crier : « Bryan, on t’aime ! ». Il lève la tête, il leur sourit et il les salue d’un geste de la main. Quel tombeur ! En secret, je suis aussi ce genre de fan qui fond devant son magnifique sourire. Bryan me sort de ma torpeur quand il reprend le chemin du terrain.
On gagne le match. Les joueurs se rendent dans les vestiaires et je les suis. J’entre et je les félicite. Ils jubilent tous. Je vois alors Bryan, nu, avec seulement une serviette autour des hanches.
Il a vraiment un corps de rêve avec des pectoraux ronds et bombés, un ventre un peu rond, à peine, bien dur, un mélange de muscles et de graisse. Son corps est imberbe, seuls ses aisselles sont poilues.
Oui, j’aimerais être comme lui ! Certains sautent, à poil, partout, mais pas Bryan, qui semble assez pudique... au grand dam pour mes yeux. Je sors après avoir distribué mes sandwichs.
Deux jours plus tard, on est tous à l’entrainement. Je regarde mes coéquipiers s’échauffer quand Bryan passe devant moi... et il pousse un cri. Je le vois alors tomber par terre. Il glisse sur l’herbe. Il se redresse et il se tient la jambe en jurant. Je vais le voir et je comprends qu’il est tombé à cause d’une crampe. Je découvre alors que son short s’est déchiré quand il est tombé et son matos pend entre ses jambes : sa queue flasque, circoncise, marron avec un gland rose est collée contre sa cuisse. Elle semble assez longue, dans les 16 cm, au repos! Ses couilles sont aussi sorties, elles sont énormes.
Je regarde son morceau, à la fois étonné et rempli d’envie. Mais je réagis rapidement et je lui tends une serviette. Il me remercie, il la met sur ses hanches et il se dirige vers le banc en clopinant. Il s’assoit et je lui demande :
- Tu veux que j’aille chercher de l’aide.
- Tu peux aller chercher le masseur ?
- Ok.
Je me précipite dans les bureaux et je reviens 5 minutes plus tard :
- Il est déjà parti, désolé.
- Aide-moi à me lever.
Je l’aide à se mettre debout et on va dans le bâtiment. Je le conduis à l’infirmerie et il se pose sur la couche.
- Tu vas devoir me masser.
- Je suis pas masseur !
- Tu sais quand même comment on s’y prend.
- Oui... plus ou moins.
- Allez !
Je n’ose pas discuter. Je prends alors sa grosse cuisse musclée dans mes mains et j’essaie avec mes doigts de masser et de détendre son muscle.
- C’est plus haut. Tu dois passer les mains dans mon short.
- Ok...
J’obéis et je me mets à masser ses muscles à partir de l’aine.
- Plus fort !
Je me mets à masser plus fort et lui commence à gémir doucement.
- Parfait !
Je m’occupe de sa cuisse sur toute sa longueur. Je sens ses muscles massifs et durs. J’essaie de ne pas aller trop sur la gauche afin de ne pas toucher ses attributs. Heureusement que les shorts sont assez moulants. Soudain, la serviette que je lui avais donnée pour cacher son short troué tombe et j’ai une vue imprenable sur son matos qui a l’air encore plus impressionnant de près. Tout à coup, je vois que sa queue se met à prendre du volume. Je m’arrête, un peu apeuré.
- Sorry, my girl-friend… ma petite amie est chez ses parents depuis deux semaines et je crois que je suis « sensible ».
- T’inquiète, pas de problème. Je sais ce que ça fait.
J’essaie de rester cool et de continuer de le masser. Mais je sens que je suis légèrement bouleversé. Sa queue se met vraiment au garde-à-vous. Sa bite fait bien 22 cm et elle est très large. Le gland est gros, un peu plus gros que sa bite. Deux veines traversent sa queue. Ses énormes couilles pendantes sont poilues. Elles ont l’air bien lourdes. Son pubis est recouvert d’une toison bien entretenue, courte avec des poils noirs.
Puis, je vois su precum se mettre à goutter de son gland. Il faut savoir que, quand je suis nerveux, je dis des conneries... et là, ça n’a pas manqué :
- J’ai l’air de bien t’exciter !, dis-je en rigolant.
- Je dois avouer que oui...
Je le regarde alors d’un air interloqué. Puis, je m’entends dire en matant son énorme morceau :
- Tu as peut-être besoin d’aide ?
Soudain, Bryan se lève et il s’approche de moi. Sa stature m’impressionne. Sa queue est dressée, telle une épée, qui s’avance vers moi. Je regrette alors ce que je viens de dire.
- Tu es sûr que tu veux m’aider, petit ?
- Oui, si tu veux. Je ferais tout pour toi.
Il bouge sa main et je me ferme les yeux, m’attendant à recevoir un coup de poing. Mais non, il passe sa main dans mes cheveux, puis il appuie doucement sur ma tête. Je comprends que je dois me mettre à genoux. Je me retrouve alors avec sa queue devant les yeux : sa grosse queue veinée et son énorme gland m’impressionnent.
Faisant légèrement pression sur ma tête, il me fait approcher de sa teub. J’ouvre la bouche et le gland y entre, déposant quelques gouttes de precum sur ma langue. Je ferme ma bouche et je me mets à faire des allers-retours sur ce membre qui m’ouvre la mâchoire bien en grand. Pendant ce temps, mes mains caressent ses cuisses et son ventre. Comme enivré par la situation, je me mets à sucer Bryan avec passion et j’essaie d’enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. Bryan se penche alors sur moi et il se met à titiller mon trou.
Tout d’un coup, je sens sa bite durcir et une vague importante de jus envahit ma bouche et ma gorge. Sa queue est au fond de ma bouche, donc tout le jus se précipite au fond de ma gorge, je n’ai pas d’autre choix que de tout avaler. Je me mets à tousser car la quantité de sperme est phénoménale. Je compte 8 gros jets puissants et abondants, épais, qui me frappent le fond de la gorge. Bryan finit par se redresser, il sort sa queue qui est en demi-molle hors de ma bouche. Elle est recouverte de jus et de salive.
- Ça va, Nico ?
- Oui...
- Désolé... je voulais retirer ma queue... mais j’ai pas pu... c’était trop bon !
Il se dirige alors vers les vestiaires. Il revient avec un short neuf, il l’enfile et avant de repartir sur le terrain, il me dit :
- C’était génial... mais on devrait pas en prendre l’habitude. Et... pas un mot à qui que ce soit.
Et il quitte la pièce. J’essaie de reprendre mes esprits... Tout est allé si vite... Mais c’était incroyable ! Alors, je saisis ma bite que je branle comme un forcené. Je remarque alors du sperme sur la couchette. Du jus de Bryan qui a goutté de sa queue ramollie ! Je le prends dans mes doigts... je l’enfonce dans ma bouche... et je jouis immédiatement de grosses giclées sur le carrelage. Je nettoie les cochonneries et j’éteins la lumière en sortant, me disant : « Putain... Qu’est-ce qui s’est passé ? Je viens vraiment de sucer Bryan ? ». Oui, en effet, je viens de le faire... et c’était trop bon !
A suivre...
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Meetmemz
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