Saison 1 | Saison 2 | Saison 3 | Saison 4 | Saison 5 | Saison 6 | Saison 7 | Saison 8 | Saison 9 | Saison 10 | Saison 11
Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 7
C'est Michaël qui avait demandé également au Prince Abdallah d'inviter Soufiane et Moussa. Tout le monde savait que Soufiane était le chouchou de Michaël a qui il faisait toutes ses confidences et a qui il parlait quand il avait un doute quelconque. Ils connaissaient le Prince et Matéo car ils avaient été invité lors de réunions festives et c'est avec plaisir que le Prince avait accepté.
Eux non plus ne s'attendaient pas à voir un tel spectacle. Bon, voir de beaux mecs arabes se dénuder et bander, ils en riaient mais quand ils ont compris que le jeune arabe qui s'inclinait devant eux était un "cadeau" du Prince, ils étaient gênés.
Mais quand ils se sont aperçus que tous les autres disparaissaient les uns après les autres, le sourire de Michaël et son clin d'œil quand il l'a regardé, Soufiane a su qu'ils allaient passer une bonne nuit avec Ahmed l'arabe.
Ahmed, nu s'est incliné devant eux, leur expliquant qu'il passait la nuit avec eux.
Moussa souriait de voir qu'il allait avoir deux rebeux pour lui tout seul, son bangala n'allait pas chômer!
Ahmed a le même corps que tous les autres danseurs et son beau zob n'a rien à envier aux autres. Moussa pense qu'il est plus long que celui de Soufiane, mais moins épais. Un corps imberbe, musclé, une toison noire frisée, deux belles couilles pendent. Ahmed a également les yeux noirs qui pourraient paraître durs quand on le regarde vite fait, mais quand c'est lui qui pose son regard sur une personne, il se fait doux, tendre, attirant. Ses yeux semblent dire "je suis à vous". Une belle gueule d'arabe bien faite, un nez fin, des petites moustaches presque transparentes surmontant deux belles lèvres.
Il vient s'asseoir entre eux, les regarde, surtout Moussa.
-nous avons des noirs dans mon pays, mais il n'y en a pas au Palais du Roi ni à celui du Prince, alors monsieur Moussa tu vas être mon premier.
-pourquoi monsieur ? demande Moussa étonné.
-parce que je suis un serviteur dit Ahmed.
-non dit Soufiane, ce soir tu es notre ami et nos amis nous appellent par nos prénoms!
-c'est toi qui choisi dit Ahmed en souriant, venez je vous accompagne dans votre chambre, regardez ils vont tous se coucher.
Moussa trouvait marrant de traîner dans les couloirs du château avec un arabe nu, bandant entre eux.
Sitôt entrés, Ahmed se met devant eux, les regarde, leur prend la main pour se faire caresser et demande :
-j'ai compris que vous étiez un couple également, alors qui est le maître chez vous ?
-il n'y a pas de maître chez nous, on s'aime et on fait ce qu'on a envie dit Soufiane en souriant.
-alors t'es pas le maître du noir ?
-des fois pour s'amuser lorsqu'on fait l'amour dit Moussa, pourquoi tu demandes ça.
Ils voient bien qu'il hésite, les regarde :
-parce que dans mon pays, les noirs sont les esclaves des serviteurs en général.
-tu veux dire quoi en disant esclaves ? demande Soufiane.
-c'est à dire qu'ils sont au service des serviteurs pour préparer tout ce qu'ils ont besoin, comme ça le serviteur n'a qu'à s'occuper encore mieux de son maître.
Le silence se fait.
-je suis désolé de vous avoir dit ça dit Ahmed en baissant la tête, mais j'espère que vous allez me croire quand je vous dis que je suis heureux de vous connaître, surtout toi Moussa et de me mettre à ta disposition pour tout ce que tu désires.
-chaque pays a ses coutumes, dit Moussa en caressant la joue d'Ahmed, et tu as de la chance moi j'adore les arabes comme le prouve Soufiane.
-mais c'est ton chéri comme Malek et Michaël ?
-oui dit Moussa, Soufiane est ma petite chose fragile que je protège le mieux du monde, je l'aime énormément et nous sommes heureux.
-alors que dois-je faire ? demande Ahmed.
-eh bien demande à Soufiane!
Ahmed regarde Soufiane.
-Michaël m'a parlé de toi quand ils sont revenus de ton pays, il m'a vanté ta gentillesse, ta douceur et ta façon de faire l'amour.
Il rougissait Ahmed.
-alors tu vas nous montrer ce qu'est la douceur, la gentillesse d'un beau mec d'Arabie. D'abord on va se déshabiller pour être à égalité.
Ils ont été rapidement nus tous les deux et les yeux d'Ahmed se sont écarquillés devant le sexe au repos de Moussa qui souriait. Sa main est partie toute seule toucher le bangala comme s'il était hypnotisé, il s'est retrouvé à genoux et a pris les grosses couilles d'une main pendant que l'autre caressait le gros bangala qui durcissait en s'allongeant.
Ahmed a regardé Soufiane :
-il te nique ?
-oui dit Soufiane en souriant, mais tu sais il est très doux et il a un coup de langue que peu de gens ont!
-et toi tu le niques aussi ?
-oui de temps en temps dit Soufiane.
-je peux vous demander quelque chose ? demande Ahmed.
-bien sûr dit Moussa.
-Soufiane tu me niques en premier, car je vois que ton zob est très beau, comme ça il ouvrira bien mon cul et après j'aimerais que Moussa me le fasse, mais doucement s'il te plait!
Moussa le relève, le prend dans ses bras avec Soufiane et cherche ses lèvres qu'Ahmed lui offre volontiers, sentant la main de Soufiane le caresser dans le dos, les fesses, sa joue vient se coller à la sienne. La longue langue agile de Moussa entre en contact avec celle d'Ahmed et c'est directement la bataille. Moussa sent qu'il se laisse dominer, envahir, il sent la langue de Soufiane chercher à participer et il l'a laisse arriver pour un cocktail à trois langues. Les mains caressent les corps, les queues se touchent, ça mouille de partout et les soupirs commencent.
Ahmed se surprend à aimer la langue de Moussa. Il arrive à la coincer entre ses lèvres pour l'essorer et boire sa salive. Il lui donne la sienne et Soufiane veut également sa ration.
Moussa appuie sur les épaules de Soufiane et Ahmed :
-Soufiane si tu veux présenter mon bangala à Ahmed!
Ils rigolent tous les deux en s'agenouillant sur la grosse moquette épaisse.
-tu arrives à prendre tout ça ? demande Ahmed.
-lèche le gland Ahmed, enlève la mouille, elle est bonne, moi je l'adore.
Ils jouent avec le gros bangala qui devient de plus en plus dur. C'est beau un sexe d'ébène, la grosse veine qui suit la hampe pour venir se perdre sous le gland.
Ahmed déguste ce gros morceau, le titillant avec sa langue, l'épousant de ses lèvres et l'offre à Soufiane qu'il voit faire son gourmand. Ses lèvres glissent dessus, s'enfoncent lentement, le bangala disparait, mais pas tout car Soufiane pleure, il recule et passe le morceau à Ahmed.
Soufiane prend en main le zob d'Ahmed, aussi dur que la bite de Moussa, assez gros mais bien moins long. Il le caresse de ses doigts chauds et fins et Ahmed fait également son gourmand.
Soufiane voit la progression de ses lèvres, les larmes couler, mais il insiste, si bien qu'il tousse et recule précipitamment pour revenir avec plus de convictions.
Soufiane se penche et prend en bouche le zob d'Ahmed. Cela fait un moment qu'il n'a pas sucé un zob arabe et il se surprend à adorer le goût.
Sa main glisse entre les cuisses pour trouver l'anus, il n'a pas à forcer beaucoup pour sentir son index être aspiré et entendre Ahmed gémir.
Il suce et doigte, Ahmed gémit en s'étouffant sur le bangala de Moussa quand d'un seul coup il demande :
-Soufiane nique moi pendant que j'avale le sexe de Moussa.
Moussa s'assoit par terre, les jambes écartées et Ahmed reprend le sexe avec sa bouche, son petit cul bien en l'air, offert aux assauts de Soufiane.
Il regarde son chéri, ils se sourient, c'est pas souvent qu'ils vont baiser un mec ensemble.
Soufiane prend son temps, lèche ce beau cul arabe qui s'ouvre facilement sous ses coups de langues et Ahmed en gémissant redemande à se faire niquer! Son anus palpite.
Le beau zob de Soufiane vient se poser sur l'entrée et c'est le cul d'Ahmed qui recule d'un seul coup avalant directement le gland et la moitié du zob, en gueulant avant de replonger sur le bangala de Moussa.
Soufiane n'a plus qu'à niquer comme dit Ahmed. Il caresse son dos, ses hanches, ses fesses, le claque doucement comme une petite fessée et commence à faire bouger son zob, reculer pour mieux revenir et finir par faire claquer son pubis sur les belles fesses dures.
A chaque coup de reins la tête d'Ahmed s'enfonce sur le bangala de Moussa qui essaie quand même de le retenir. Mais quand Soufiane jouit en criant, Ahmed s'enfonce complètement la queue au fond de la gorge et tant qu'il sent les giclées dans son cul, reste en apnée sur cette belle queue.
Sitôt le zob sorti de son petit cul, Ahmed n'a qu'à se retourner en disant :
-Moussa à toi, ma bouche a tout pris donc mon cul doit le faire!
Moussa voit le sperme de Soufiane sortir encore du petit trou, alors il pose son gland dessus comme pour l'empêcher de s'échapper. Il tient les fesses qu'il sent reculer, mais moins vite qu'avec Soufiane. Il voit son bangala être avalé lentement, le sphincter le recouvrir et d'un seul coup le gland glisse, et Ahmed hurle cette fois pour aussitôt se jeter sur le zob de Soufiane.
La queue de Moussa poursuit son chemin lentement, Ahmed s'étouffe en râlant sur le zob de Soufiane mais ne veut pas s'arrêter et quand il sent les grosses couilles de Moussa caresser les siennes, il sait qu'il a réussi. Même Moussa est étonné.
Le ramonage commence autant derrière que devant, car Soufiane lui baise la bouche en cadence des coups de reins de Moussa.
Les vannes sont rapidement lâchées d'un côté comme de l'autre et Ahmed a vraiment l'impression d'être rempli et que ça va déborder.
Lorsque les queues le libèrent, il s'allonge à terre et cherche à retrouver sa respiration, mais les mains de Moussa et de Soufiane le retournent et s'occupent de son beau zob raide qui coule en continue.
Ils s'amusent avec le zob, surtout qu'Ahmed n'arrête pas de gémir en parlant arabe, les jambes écartées il s'offre à la voracité des bouches et il jouit, jouit en premier dans la bouche de Moussa qui donne le zob à Soufiane.
Ils viennent s'allonger de chaque côté d'Ahmed, Moussa lui fait tourner la tête :
-chapeau mec! t'es un bon toi, tu mérites une récompense!
-laquelle ? demande Ahmed qui a l'air épuisé.
-je t'offre mon cul et Soufiane le sien!
-pas de suite hein ? dit Ahmed tristement.
-non on va s'allonger sur le lit et se faire des bisous, ça m'étonnerait que cela ne nous excite pas!
Et Moussa s'est retrouvé avec un arabe nu dans chaque bras.
-=-=-=-=-
-Tu n'as pas mis longtemps pour me déshabiller et qu'est ce que j'étais heureux de me retrouver nu dans tes bras, sentir tes mains me caresser le dos pendant que nos bites se touchaient, s'écrasaient l'une sur l'autre, dit Abdallah.
-tu m'as fait allonger sur le lit et tu m'as dit que j'étais beau, magnifique même tu as dit.
-mais c'est vrai je le pensais mon chéri, je ne savais plus où j'étais, je ne comprenais pas pourquoi j'étais si intimidé avec toi, j'avais envie de toi, j'avais envie de te niquer de te faire l'amour et en même temps je sentais qu'il fallait que je prenne mon temps, que je te découvre.
-et tu m'as découvert, comme moi également.
-je t'ai demandé si tu voulais me laisser faire et tu m'as dit oui rapidement. J'étais sur toi, je sentais nos queues couler sur l'autre, je t'ai embrassé de petits bisous, faisant le tour de ton si beau visage, j'avais envie de m'en souvenir, de connaître tous les endroits, tu souriais en me laissant faire, j'ai fait des bisous dans ton cou, tu soulevais la tête tête pour que j'accède mieux et je t'ai fait des bisous partout sur ton torse, tes tétons qui étaient durs. Tu gémissais de plus en plus quand je les ai mordu mais pas trop fort !
-non c'était pas fort, moins que maintenant, j'ai l'impression que tu veux me manger chaque fois dit Matéo en riant.
-J'ai adoré ton corps, tes abdos, ton nombril creux où je peux mettre ma langue. J'ai léché ta toison en effleurant de ma joue ta belle queue sans la toucher de mes lèvres, je l'ai fait exprès ce jour là, je voulais que mes lèvres connaissent tout de toi avant de m'occuper de ta belle queue. Je t'ai bouffé les couilles, juste pour les goûter, je suis descendu sur ta cuisse droite, faisant des bisous jusqu'aux pieds.
-tu m'as embrassé les pieds mon amour, jamais un arabe ne m'avait fait ça, moi ils me le demandaient alors qu'ils ne savaient pas que j'aime ça, mais toi tu m'as léché les pieds, les orteils un par un, je voyais ton visage dans la pénombre et ton visage montrait que tu aimais, que tu ne te forçais pas!
-non je ne me forçais pas et je ne me force toujours pas encore. Je suis remonté sur l'autre jambe toujours en te faisant des bisous, revenant lécher tes belles couilles que j'adore, mais je n'ai pas touché à ta queue qui coulait. Je t'ai fait mettre à plat ventre, puis à quatre pattes pour t'ausculter plus profondément! dit Abdallah.
-j'ai bien cru que tu n'aimais pas ma queue et que, comme souvent les arabes, tout ce qui t'intéressait était mon cul! J'avoue que j'ai été déçu mais je sais maintenant ce que tu voulais vraiment mon chéri.
-pourtant fallait t'entendre gémir quand ma langue a fait sa curieuse et qu'elle t'a dégusté pour la première fois!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :