Premier épisode
Chapitre-2
J’ai rencontré ma copine, Marjorie, il y a un an en boîte. Depuis, j’ai emménagé chez elle. Elle habite avec ses deux fils, Cédric et Philippe, des jumeaux qui ont aujourd’hui 20 ans. Je me suis toujours étonné de voir comment les jumeaux sont inséparables. Mais un soir, alors que Marjorie est en déplacement professionnel pendant une semaine à Paris, je découvre le secret qu’ils cachent à tout le monde : en effet, j’observe comment Philippe embrasse avant de sucer son frère. A ma grande stupeur, Cédric me prend en flag en train de les mater. Il comprend vite que ça m’excite. Il ne peut pas le savoir mais ça me rappelle les expériences que j’ai eues avec un mec quand j’étais jeune. Le lendemain, rempli de remords, je veux crever l’abcès et parler à Cédric. Mais quand j’entre dans le studio où il se trouve, je le surprends sous la douche en train de se masser la queue. Il m’invite alors à le rejoindre. Je ne peux résister. Cédric finit par se faire baiser par son « daddy ». Quand on se sépare, il me promet de garder ce moment secret. Moi, je me promets de ne rien révéler à sa mère, car je l’aime et je ne veux pas mettre notre relation en danger.
Le lendemain commence comme tous les autres matins. La seule différence est que Philippe reste à la maison car il ne sent pas bien. Il dit qu’il a de la fièvre. Il me montre le thermomètre : il a plus de 39 degrés ! Quant à Cédric, il se rend à la fac apes le petit-déjeuner. Il m’annonce que le soir, il retrouve 2 copines en villes et qu’il rentrera sûrement tard.
La journée est assez tranquille. Je vais de temps en temps voir Philippe, pour qui je m’inquiète, je lui apporte un thé ou de la soupe. Mais il dort la plupart du temps. L’après-midi, je le trouve en train de bosser sur des cours. Je lui prends son ordi et je lui recommande de se reposer pour guérir plus vite.
- Les partiels sont bientôt, tu sais...
- Tu es un bon étudiant, tu as déjà de super notes, c’est pas un jour de plus ou de moins qui feront la différence.
Je passe ma main sur son front et je suis surpris de constater qu’il est moins brûlant que ce matin.
- Si t’as besoin de quelque chose, dis-le moi.
Philippe fait oui de la tête. Puis, après un moment d’hésitation, il demande :
- Peut-être que tu peux m’aider. T’as 5 minutes ?
- Oui, pas de soucis.
Philippe a l’air nerveux. Puis, il tape sur le lit à côté de lui :
- Tu crois que tu peux un peu rester à côté de moi.
Je trouve ça bizarre qu’un garçon de 20 ans, malade, demande à son beau-père de rester à son chevet. Mais je réponds :
- Bien sûr.
Je m’assois alors à côté de lui. Mais au bout de 5 minutes, je commence à bouger car je trouve la position assez inconfortable.
- Couche-toi, ça sera mieux.
Je me couche. Philippe soulève sa couette. Je vois qu’il ne porte qu’un caleçon serré. Comme son frère, Philippe a des cheveux bruns. Il a un corps musclé, bronzé et un peu plus baraqué que Cédric. Son torse est musclé et imberbe et il a deux petits tétons marron foncé. Ses tablettes de chocolat sur son ventre sont bien définies. Il a de belles jambes musclées, un peu poilues, et un cul magnifique et rond.
Soudain, il se colle contre moi en me disant :
- J’ai froid... J’espère que ça te dérange pas.
- Non, bien sûr..., dis-je malgré ma gêne.
- Merci.
Son corps est contre le mien. Son paquet est contre ma jambe. Il passe alors un bras sur mon ventre et une jambe entre les miennes. Je ressens vraiment son matos bien volumineux contre ma cuisse. J’essaie de me calmer... mais ma queue se dresse lentement. Heureusement pour moi que Philippe s’est rapidement endormi. Son souffle caresse mon cou. Mon érection se calme et je m’endors à mon tour.
On reste ainsi pendant 2 heures. Ce sont des caresses qui me sortent de mon sommeil. Quand j’ouvre les yeux, je vois Philippe qui me caresse les cuisses et qui m’embrasse tendrement dans le cou. Je commence à parler :
- Phil...
- Chut !, répond-il.
Sa main passe de ma cuisse à mon caleçon qui était bien tendu sous l’effet de mon érection. Il se penche alors à mon oreille et il murmure :
- Je m’en occupe.
Sa langue parcourt mon corps, il écarte mes jambes poilues avec ses mains et il ouvre mon pantalon, puis mon caleçon. Il embrasse d’abord mon gland. Cette fois, je n’essaie pas de lutter contre mon excitation. Ses lèvres descendent le long de mes 17 cm qu’il avale d’un trait. Je ferme les yeux tout en caressant la tête de mon beau-fils. Il me suce un peu avant de s’occuper de mes boules tandis qu’il enfonce un doigt dans mon trou. Sa bouche reprend ma queue au fond de sa gorge tout en continuant de me doigter légèrement. Très vite, un deuxième doigt vient s’y ajouter. Il semblerait que Philippe veuille me baiser...
- Prépare bien mon trou si tu veux me baiser.
Il sort ma queue de sa bouche.
- T’inquiète !
Il me fait relever les jambes et il enfonce alors sa langue dans mon trou velu. Il plonge son visage entre ma raie et ses mouvements de langue me font bien gémir tandis que ses mains me massent les couilles et la bite. Ce faisant, il me regarde droit dans les yeux, ce qui m’excite au plus haut point. Je pose une main sur sa tête, faisant enfoncer sa langue toujours plus loin en moi. Elle tournoie dans mes entrailles, me procurant des gémissements forts. Puis, il se redresse et il vient m’embrasser. Je colle le jeune contre moi et je lui roule une pelle. D’un mouvement de reins, je le fais basculer sur le dos et je me retrouve sur son corps sportif.
- Suce-moi, me murmure Philippe à l’oreille. Et utilise beaucoup de bave pour que je t’enfonce ma queue bien profondément.
Mes lèvres descendent le long de son corps où elles déposent des baisers et je me dirige vers sa queue que j’admire. Son pubis est velu, avec des poils longs et frisés. Il a une queue de 19 cm, marron et veinée, avec un gros gland. Il a de grosses couilles poilues et bien pendantes.
D’abord, je branle sa bite et j’avale son precum. Puis, je prends ses 19 cm entièrement dans ma bouche. Le jumeau gémit doucement. Il pose sa main sur ma nuque et il donne le rythme de ma suce. Il crie quand je lui fais des gorges profondes. Ensuite, il se met à donner des coups de reins, m’envoyant bien sa teub au fond de la gorge. Mon menton se retrouve coincé contre ses couilles. Puis, il retire entièrement sa teub avant de l’enfoncer d’un coup sec jusqu’au fond de ma gorge. J’en ai les larmes aux yeux... Cependant, je trouve sa façon de me traiter très excitante. Ses mains me bloquent la nuque. Je n’arrive pas à le repousser. J’essaie de me calmer et je le laisse se servir de ma bouche.
- Lèche-moi les couilles !
Sans réfléchir, je sors sa teub de ma bouche et je m’occupe de ses boules ... qui sont recouvertes de ma bave.
- Tu fais ça bien, dit Philippe en posant sa teub sur ma tête.
Je les lèche, je les gobe. Je passe aussi sous ses couilles et je me mets à lécher un endroit qui parait très sensible chez lui car je sens sa teub se durcir sur ma tête... peu avant d’être prise de secousse.
- Putain, je vais jouir...
Mais juste avant de juter, il se retire et il me dit d’un air carnassier :
- Viens par là, je veux que t’es ma première giclée dans le cul !
Sans me laisser le temps de répondre, il saisit mon épaule et il me fait mettre sur le dos, le cul en l’air. Il prend mes chevilles en main et il fait entrer son gland dans mon trou. S’en suivent des minutes de douleur où son gland fore l’intérieur de mon cul poilu. Mais, il y va doucement, lentement. Heureusement que j’ai bien bavé sur sa teub.
- Putain, t’es serré !, s’écrie Philippe.
J’essaie de me détendre et au bout d’un moment, je sens sa bite entièrement en moi. Ses 19 cm de chair ! Il donne à peine quelques coups de teub... et je sens déjà son orgasme. 10 jets hyper puissants et très liquides me fouettent le fond de mon anus.
Je constate que sa queue reste dure et qu’il se met à me baiser en donnant de grands coups de reins avec sa semence comme lubrifiant. J’entends alors mes fesses et mon trou faire du bruit sous les coups de teub de Philippe. Son jus coule hors de mon trou béant pour recouvrir ses boules. Sa bite devient toute blanche. Il me fait vite mettre sur le dos et il reprend sa baise. Ses mouvements sont réguliers, parfois lents, parfois rapides ou amples. Je ne peux plus m’empêcher de gémir sous ses coups de queue tandis qu’il saisit mon membre après avoir bavé dans sa main. Il me branle au rythme de ses coups.
- Putain, continue, t’arrête pas, Philippe !, dis-je au jeune.
Il me pilonne les entrailles avec sa teub, en massant bien ma prostate.
- Vas-y, défonce-moi ! Plus fort !
Philippe me défonce tel un marteau-piqueur. Ses couilles fouettent bruyamment et rebondissent contre mon cul. Peu à peu, il se met à suer. De la sueur tombe de son front sur mon torse. Ses mains sont posées à côté de ma tête. Il se positionne presque à l’horizontale au-dessus de mon trou. Il me baise rapidement, violemment, sur toute la longueur de son membre. Son bas-ventre claque contre mes des fesses. Nos cries deviennent toujours plus forts et plus sauvages.
- Jute dans ma gueule, dit le jeune homme de deux fois mon cadet.
Je remplace alors sa main par la mienne et je me branle sous ses coups de bourrin. Je sens sa bite se durcir. Je comprends alors qu’il va de nouveau m’ensemencer... ce qui fait aussi durcir ma teub. Il accélère encore plus le rythme de ses coups et il s’enfonce une dernière fois bien au fond de mes entrailles en disant :
- Je vais t’ensemencer !
Je sens alors sa queue pomper son jus dans mes entrailles. Je sens ses jets les uns après les autres me fouetter le fond du cul. J’en compte huit au total. Je me branle et je hurle alors :
- Moi, aussi, je vais jouir !
Il ouvre alors sa bouche, il gobe mon gland et il reçoit le fruit de mon orgasme au fond de sa gorge. Je gicle 8 jets puissants. Il retire mon gland de sa bouche et il avale tout. Il laisse encore quelques instants sa queue dure en moi... Puis, quand elle se ramollit, il la retire. Il m’aide à me redresser en disant :
- T’es aussi bon en tant que passif qu’en tant qu’actif.
- Comment ça, demandé-je.
- Tu crois pas que je vous ai entendu hier soir dans la cave ?
Je ne dis rien, surpris... Il me dit qu’il va ensuite se doucher. Moi, je me recouche sur son lit et je reprends mon souffle en repensant aux derniers jours. Lorsque Marjorie est partie pour Paris, je n’aurais jamais cru que les jours sans elle se dérouleraient ainsi ! Mais j’ai peur de devenir accro aux deux jeunes. De plus, je ne pense plus à comment ma relation avec Marjorie pourra continuer. Ni Philippe ni Cédric n’ont laissé entendre que ce qu’il y a entre nous ait de l’importance. Pour moi aussi, ce n’est que du sexe.
Après quelques minutes, je me redresse et je vois alors un truc sous un oreiller. Je regarde et je vois une petite note écrite à la va-vite sur un bout de papier : « Comment manipuler un thermomètre ? » ainsi que « Méthode pour se faire vomir ». Philippe entre à ce moment dans la chambre et je lui lance en rigolant :
- T’es pas croyable, toi !
- Oui, je sais, je suis un bad boy.
On se met à rire chaleureusement. Puis, je lui dis :
- Par contre, demain, tu retournes en cours.
- Oui, papa.
Philippe et moi passons le reste de la journée ensemble : dans le jardin et dans la piscine. Ensuite, on se boit des bières sur la terrasse. Cédric rentre vers 11h et il ne semble pas surpris de voir son frère « guéri ». Il nous rejoint et on boit une bière ensemble. Les jumeaux me posent alors des questions sur mes expériences homo. J’y réponds. Puis, on tombe d’accord sur le fait que Marjorie ne devrait pas connaître ces détails ni ce qui s’est passé entre les jumeaux et leur beau-père, ni ce que les jumeaux font ensemble quand ils sont seuls dans leur chambre. Finalement, les deux garçons me disent :
- T’es le beau-père le plus cool qu’on puisse souhaiter !
A suivre...
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Meetmemz
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