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HISTOIRE

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Premier épisode

Agriculteur | Saison 23 | La saison du rut

2 | Touché coulé – Le récit de Julien.

Le barbu s'est levé, m'a jeté un regard d'invite, ou d'encouragement, c'est selon comme on le voit, puis s'est dirigé vers la porte de la salle vidéo par où David et moi étions précédemment entrés. Sans plus tergiverser, je m'arrache à mon gradin et, rajustant mon pagne, je le suis dans le couloir des cabines.

Par son maintien, cet homme affiche une grande assurance naturelle en même temps qu'il manifeste une attention aux autres, comme une déférence, qui tranquilise et inspire le respect. Plus petit que moi mais massif, très brun discrètement marqué de blanc, il marche d'un pas décidé. Du bout de ses doigts, il presse les portes pour vérifier si les cabines sont libres, et quand l'une d'elle s'ouvre, il l'écarte puis, courtois, il s'efface pour me laisser le passage. Ses yeux noirs reviennent sur moi, pétillants de gourmandise, les yeux de celui qui se voit proche d'obtenir ce qu'il souhaitait.

Et je me promets qu'il ne lui sera pas si facile d'être exaucé.

Mieux, qu'il devra le gagner. Aprement le disputer.

Il se retourne pour fermer soigneusement le loquet. En homme précis, méthodique. Il revient vers moi qui me tiens campé, une main à la taille. Son regard s'est adouci, il me souffle :

- "Prends-moi."

Je le regarde sans répondre. Cet homme au regard franc et direct m'est d'emblée plutôt sympathique et me donne l'envie non de l'expédier comme un vulgaire coup rapide, un kleenex jetable mais de l'amener à être mon partenaire, pour une vraie partie de cul. Chaude.

Alors je secoue la tête avec une moue de dédain.

À ma grande satisfaction, je lis dans ses yeux un vague ébranlement de ses certitudes d'homme de décision contrarié. Profitant de cette hésitation, j'étends le bras et, du dos de mes doigts joints, je lisse lentement sa fourrure depuis la clavicule jusqu'à la proéminence de son téton. Un geste apaisant. Son poil est plus souple et doux que je l'imaginais. Je saisis le bouton entre le pouce et l'index, le roule, l'étire et ses paupières papillonnent. Alors, d'un coup sec, je zèbre d'un trait d'ongle la peau tendre de l'aréole.

Il a sursauté, crié même. J'étire le cou, incline la tête vers lui, lèvres entrouvertes.

Mais il esquive.

Je me redresse, lui souris ironiquement et tend la main vers le verrou. Sa grosse patte intercepte mon geste et c'est lui qui vient m'embrasser ; aussitôt, ses lèvres se font douces, sa bouche est gourmande, sa langue volubile et le picotement de sa moustache drue brossant mes lèvres marque un délicieux contraste. Ma main bloque sa nuque et j'exige une deuxième ration de cette salade de museau, grasse, vorace, profonde.

Encourageant !

Ma bouche glisse à son oreille.

- "Je veux tout."

Ma bouche engloutit son pavillon qu'elle froisse, ma langue baveuse en envahit la conque, frétille en cherchant à s'introduire dans son conduit, s'irrite aux poils durs qui repoussent à l'abri de son tragus, presse, fait claquer l'air. Il suffoque, sonné, mais parvient à rétorquer.

- "Salaud."

- "Comme tu voudras!"

Je me détache de lui. Retrait.

Mais je bande déjà comme un cerf. Il contemple la tente que forme ma serviette, relève des yeux troublés dans les miens, indécis. Je souris, je sens, je sais qu'il va finir par s'aventurer hors des limites qu'il s'était fixées, qu'il pèse l'enjeu mais qu'il est ferré, que son désir a déjà débordé ses résolutions d'homme sage et tempérant. Il tend la main, hésite. Comme je ne me dérobe pas, il se hasarde à soulever le tissu sans me quitter des yeux, la pulpe de ses doigts effleure d'abord mes couilles, les roule, s'enhardit et remonte sur ma hampe, puis ils s'en emparent ; sa seconde main se précipite pour arracher la toile et il tombe, prosterné, pour m'engloutir.

Divinement.

Dans un festival de succions dont il a redouté de se voir privé. Alors, il se surpasse pour me convaincre. Précises, étroites, asséchantes, ses caresses soyeuses me font dresser sur mes orteils, le dos raidi, le ventre aspiré, soumis à une poussée de cent tonnes capable de faire décoller une fusée vers l'espace lointain.

Soudain, je me dérobe à lui, ma main en conque vient relever son menton en enveloppant sa gorge, rasée, heurtant l'arête proéminente de sa pomme d'Adam. Il étire son cou et, me penchant sur lui, je le galoche, longuement, savamment. Si je suspends mon baiser, il garde les yeux clos, bouche bée, lèvres frémissantes à attendre que je reprenne, encore trop raisonnable pour me relancer.

Mais déjà tremblant que tout puisse s'arrêter avant que ...

Donc je lui en donne, et encore. Avant de réclamer.

- "Montre-moi ce que tu m'offres."

Il se relève et, rein cassé, prend appui d'un avant bras replié sur la cloison, retire sa serviette d'un geste preste de l'autre main et me dévoile son cul. Un gros cul carré soutenu par deux cuisses solides et charnues, le tout ombré de ce pelage noir qui se fait barbiche sous les lourdes pommes, se discipline en pointe le long de sa raie jusqu'aux reins d'où il s'épanouit en éventail et vient griffer son dos.

J'ai sifflé.

D'admiration, il va sans dire. J'ai toujours aimé les hommes poilus et celui que j'ai sous la main l'est particulièrement et harmonieusement. Je ne peux réprimer l'appétit qui pousse ma main à plonger dans cette toison sombre et souple, pour l'ébouriffer en tous sens. Depuis les épaules jusqu'aux mollets, remontant à l'intérieur des cuisses pour cueillir ses bourses bourrues, faire rouler ses boules, les soupesant comme pour faire tinter le trésor qu'elles recèlent, m'emparer de son mandrin, poisseux, court et large, que j'astique vigoureusement à plusieurs reprises, m'acquitant ainsi scrupuleusement d'une politesse, d'un usage incontournable.

Car je reviens vite à l'objet de notre discussion. Ma paume englobe sa fesse, la gauche, l'extrémité de mes doigts, allant et venant, contrariant ce hérissement broussailleux défendant sa raie. Une minuscule impulsion et ils plongent dans sa moiteur, dérapent et le gras de mon pouce se niche sur son oeillet. Clos et serré. Un bouton.

Alors, tout en imprimant de petites pressions à sa corolle, je me courbe sur lui, mon torse le recouvrant, ma queue battant sa cuisse, nos poils s'agrippant. C'est pour m'inquiéter à mi-voix.

- "Dis-moi juste si tu es coutumier de l'exercice ou si ..."

-"Non!"

Je souris. Son souffle est court et sa réponse a claqué. Un aveu concédé de mauvaise grâce mais qui me réjouit, j'aime les défis. Et je me vois déjà le faire jouir, lui. Ma seconde main vient chercher son téton, le maltraite savament un instant, il halète et ma bouche revient à son oreille.

- "Dis-moi juste ce que tu voudrais, si c'est bien être embroché hardiment par un soudard ?"

Le pétrifier en évoquant l'un de ces scénarios radicaux, inconvenants de bestialité brute mais qui, pourtant, nous fascinent, tous autant que nous sommes ! Ne serait-ce que d'effroi pendant quelques secondes, nous, les "bien éduqués".

Mais, sans attendre sa réponse, je m'accroupis derrière lui. Mes deux mains soulèvent et écartent ses globes, j'enfouis mon visage dans ce triangle, respirant ses odeurs d'homme mêlées à des traces de savon puis je darde ma langue, une langue grasse et souple, lourdement chargée de salive. Surmontant sa surprise, effaçant rapidement son bref réflexe de crispation, il s'abandonne à elle dans un profond soupir, sans doute soulagé des craintes que j'avais pu faire naître et je le détrempe en savourant les parfums de sauvagine de sa corolle qui commence lentement à s'épanouir.

Je me redresse, me penche sur lui, à son écoute. Mon pouce a retrouvé sa place.

- "Alors, dis-moi, vite !"

Sa réponse ne vient pas ; mon pouce l'a pointé, il gémit mais mon doigt insiste, vibre, il parvient à l'entrouvrir, s'introduit patiemment en lui, comme un coin, poursuit lentement sa progression, inexorable. Sa respiration s'accélère quand mon ambassadeur atteint les premières soieries, les cajole par de souples ondulations sagement mesurées. Lui, il résiste, retient son souffle, déglutit bruyamment. Je me fais câlin, ma main libre, ma cuisse l'effleurent ça et là, il frissonne. Je supplie.

- "Suce-moi encore."

Il se casse en deux en reculant, repoussant habilement mon bras de telle sorte qu'il conserve en lui mon pouce qui le creuse ; il s'empare de ma bite durcie et la pompe précipitamment. Je souris et tempère son empressement de ma main libre dans ses cheveux.

- "Profite, elle est toute pour toi. Lèche-la aussi, et brosse-la, avec ton bouc."

Putain, j'adore ça ! J'en oublierais presque le patient labeur de lui assouplir le fion. Sa main me maintient et me pétrit ; ses lèvres, sa langue me repeignent le mat, le lissent, le têtent avant de l'engloutir, de le napper de salive ... et reprennent ... J'ai fermé les yeux, paupières plissées pour n'être plus que cette queue tendue, palpitante si voluptueusement enrubannée, picotée, aspirée, suçotée ...

Dans un sursaut, je porte mon poignet libre à mes lèvres ; avec les dents, j'arrache le scratch, j'extrais l'étui, le perce d'une canine tueuse. Je masse en rond son petit trou du cul délicat avec le gel qui se réchauffe rapidement et, sans davantage tergiverser, je perce. Une flèche, un trait.

Tétanisé.

Il s'est cambré, l'ours gris, les yeux et la bouche grands ouverts, un filet de salive barrant sa barbe, dans un gargouillis qui, peu à peu, s'éteint, une respiration qui reprend, cadencée par les petites touches, légères, que lui inflige mon majeur dans son profond soyeux qui se creuse, des paupières qui s'abaissent, un visage qui se détend, de petits geignements, si faibles encore qu'il me faut tendre l'oreille.

Ah, j'ai bien entendu ce couinement vite bridé quand l'index a rejoint le majeur. Il a rouvert les yeux, dégluti puis, de nouveau s'est isolé en lui-même, concentré sur cette chaleur qui l'envahit et qui part bien de là, oui! de son gros cul où dansent mes longs doigts magiques.

Des doigts lui prédisant le ciel.

De ma main libre, je relève son menton, je pose mes lèvres sur les siennes et c'est sa langue, souple et déliée, qui vient chercher la mienne. J'en murmure de contentement et il se joint à moi, comme autorisé désormais. Mes doigts libres retrouvent ses tétons, nos souffles se mêlent, entrecoupés de bisous, de lècheries. Sa caverne s'est creusée, drapée de soieries, dévorante.

- "Maintenant ?"

Son"oui" est presqu'inaudible.

- "Alors, capote-moi."

Cette irruption de la réalité fait sursauter cet homme en rameutant son esprit visiblement rompu aux responsabilités ; il rouvre les yeux, regard froid et retour du pragmatisme mais je le cueille d'un sourire carnassier qui l'aspire et, d'un simple accent dans ses limbes, mes doigts le ramènent aux vertiges qui le font flageoler sur ses jambes. Il saisit la protection qui dépasse de mon bracelet et ma main sur la nuque l'encourage à me dispenser une ultime caresse bucale avant d'emprisonner ma queue baveuse dans l'étroite pellicule de latex.

Je le galoche en goujat tout en le canalisant à petites touches pour le positionner face à la banquette, je noie son anus de gel et guide mon épieu que je niche sans effort. Soudain, je suis concentré, attentif à la moindre de ses réactions mais, à ma surprise, voilà qu'il se repousse vaillament et s'enfile plutôt aisément sur mon axe dans un vagissement victorieux. Une petite détente sèche de mes reins ajoute à mon honneur de niqueur en le suffoquant et je sens son conduit se contracter pour étreindre étroitement mon dard palpitant qui le fourre.

Alors mes mains le parcourent, se perdent dans ses poils, les lissent ou les rebroussent, explorent ses moiteurs, étirent ses muscles et il cède ; petit à petit, son gros pétard velu ondule et dévore ma bite. Il se révèle. Affamé.

Je le lime en longues glissades régulières, en balancement souple et fluide. Il se redresse, cambré, nuque cassée vers l'arrière. Ses bras, lancés par dessus sa tête, m'ont révélé la conque laiteuse de ses aisselles, ses toupets de poils sombres collés de sueur, son enivrante odeur de sanglier. Il tourne le visage vers moi, les yeux clos et tire une langue grasse qui rebique et frétille, un appel sur lequel je me rue en ronflant.

Mes mains ont empoigné chacune une de ses fesses charnues, les soulèvent, les écartent et ma bielle va et vient maintenant en métronome dans ce gros pétard poilu et gourmand. Des ripailles de goinfre. Quand je sens l'acmé approcher.

Mon pouls, ma respiration s'accélèrent irrépressiblement et lui aussi l'a senti. Il gronde.

- "Oui, viens ! Mais je te préviens, j'ai encore faim !"

C'est une vague qui monte, qui enfle, qui me coupe bras et jambes, me secoue de spasmes, m'éblouit, me disloque. C'est maintenant lui qui me soutient et me guide ; ironique, il ajoute :

- "J'espère pour toi que ton fusil a deux coups, chauffeur, parce que maintenant que tu as allumé le feu et lancé la machine, va falloir aller au charbon."

Il m'aide à m'allonger sur la banquette, retire le latex sans ménagement et aspire derechef ma quéquette ramollie en guimauve de foire.

Le scénario s'ébauche tel que, moi, je l'avais espéré. J'étends le bras pour lui doigter le fion. Son oeillet est juste souple et épanoui comme j'aime et j'anticipe déjà le bonheur qu'aura mon gland endurci à s'y glisser pour un deuxième round.

- "Alors prépare tes grosses miches."

Il m'a souri, goguenard, mais il n'a pas protesté. Et mon doigt a plongé.

Et, à nouveau, il a touché.

Coulé !

Amical72

amical072@gmail.com

De Gabriel Fauré, voici un air que tout le monde a, un jour, entendu et gardé dans l'oreille, sa Sicilienne

Suite de l'histoire

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Malek | S11 | 18 | +18 Fabrice
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