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6 Oct.

"Sodomie"
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HISTOIRE

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Premier épisode

Shopping avec mon maître

Note

Bonjour à tous

L’histoire que je vous propose aujourd'hui est en fait une version enrichie d'une histoire déjà publiée ici (https://cyrillo.biz/histoire-gay-2022-Medor-fidele-Shopping-1.php#gsc.tab=0).

Je suis actif dominateur et cette histoire a été écrite pour moi par un soumis que j'ai rencontré en ligne. Je l'ai ici complétée pour en faire (pour moi) le fantasme ultime.

Ce que l'histoire ne dit pas, c'est que l'auteur de la version de base à préféré fuir par peur de vivre son rêve de soumis plutot que de l'assumer et de vivre pleinement son fantasme alors ne faites pas comme lui, assumez vos envies et vivez les à fond !!

Bonne lecture

Chapitre-1

Vous venez pour me déposséder. Comme vous me l’avez dit très clairement : à partir du moment où je me suis soumis à vous, tout mon argent vous appartient. Et étant sous votre domination, je dois désormais vous demander l’autorisation pour tout.

Tout a commencé en ligne. Nous nous sommes rencontrés sur un de ces nombreux sites dédiés aux fétiches sexuels. Votre profil de Mâle Alpha et de dominateur sans pitié m’avait fasciné. Dès nos premiers échanges, vous avez su trouver les mots juste pour me remettre à ma place de sous-homme. Et j’avoue que je ressentais une très vive excitation à chacune de nos conversations. Je n’ai jamais supporté l’idée d’avoir ce qu’il convient d’appeler une « petite bite ». Et même « petite bite » est un terme trop flatteur pour désigner mon appendice ridicule. Au repos, seul mon gland darde empêtré dans mon minuscule prépuce, offrant à la vue 2 pathétiques petits centimètres. Par ailleurs, étant incapable d’érection dignes de ce nom, au mieux, ma nouille se déploie sur 6 centimètres tout mous. On peut même dire que c’est une coquillette ridicule. Et ma coquillette se gonflait systématiquement en lisant vos réponses humiliantes. Comme si vous appuyiez sur un bouton. Vous aviez l’art de me retourner le cerveau, soulignant toujours à quel point mes attributs étaient sous-dimensionnés. Et vous vous amusiez du fait qu’en plus d’être mal monté, j’étais quasi impuissant. Effectivement, je peinais à me branler, n’arrivant à cracher mes quelques gouttes de sperme (certainement de mauvaise qualité) que très occasionnellement. A côté de vous, je ne suis qu’une larve. Vous êtes bien plus jeune que moi, car j’ai le double de votre âge. Vous avez su exploiter à votre profit toutes mes faiblesses. Vous avez compris que j’étais prêt à tout pour vous rencontrer. Nous habitions dans des villes assez éloignées, il fallut donc planifier votre venue chez moi pour un week-end durant lequel vous pourriez assouvir toutes vos envies. Je vous avais fait part de mon rêve d’être sous vos pieds, d’être aux ordres comme un bon larbin. Mais surtout, de mes fétiches obsessionnels pour les chaussures et les Timberlands en particulier (que j’imaginais venant m’écraser mes petites couilles), pour les jeans Levi’s ou les survêtements près du corps. Vous en avez ri, mais aussi compris que pour vous voir porter ces fétiches, j’étais prêt à dépenser sans compter pour vous. Que donc, quand vous viendriez, nous commencerions par une longue séance de shopping, et que naturellement, je paierai tout. La perspective de me dépouiller à votre profit vous excitait, et vous saviez que vous alliez littéralement m’hypnotiser, et annihiler toute volonté en moi. A défaut d’être en mesure de cracher du sperme régulièrement comme n’importe quel véritable mâle, j’allais cracher mon fric. Une forme de compensation sans doute.

Je vous ai donc payé le train, en première classe évidemment. Et je vous ai attendu fébrilement sur le quai de la gare. Je me suis habillé de façon à être le plus transparent et anonyme possible : costume gris anthracite mal coupé, une chemise blanche et une cravate terne. La vraie tenue de larbin. Parmi la foule qui grouillait, je vous ai repéré immédiatement encore dans le cadre de la porte de la voiture, prêt à descendre. Je m’empressai d’accourir vers vous, et alors que vous veniez seulement de fouler le sol, je me suis agenouillé spontanément devant vous. Peu importe la foule présente sur le quai, j’abandonnais toute fierté. J‘étais enfin à vos pieds- Alpha que j’avais tant désiré. J’embrassais en signe de respect et de soumission absolue vos baskets. Mon servage était désormais une réalité, et il pouvait s’écrire au présent.

Je vous ouvre la portière arrière droite, afin que vous preniez place comme passager d’honneur. Je baisse la tête alors que vous passez et montez. Je referme délicatement la portière, et je gagne ma place, celle du du chauffeur. Alors que je viens d’attacher ma ceinture de sécurité, vous m’ordonnez d’ouvrir ma petite braguette et de vous présenter mes petits grelots. Je note votre sourire ironique, alors que vous sortez de votre poche un fil transparent de pêche. Vous me dites de m’attacher ce fil autour de mes minuscules attributs, en faisant un nœud coulant. Il est clair que plus vous serez amené à tirer dessus, plus le nœud se resserrera. Il va de soi que je dois cacher à nouveau mes petites noisettes molles dans mon pantalon, refermer la braguette, dont dépasse le fil de pêche invisible à tout œil non-prévenu. Ce fil me relie inexorablement à vous. Vous pouvez le tirer sans effort, et me plonger si facilement dans un état d’obéissance totale. Je suis corps et âme à vous, sans contestation possible. Et ce fil insécable pourrait me castrer définitivement, mes toutes petites couilles molles étant plus faciles à couper que du beurre.

Nous faisons tout le trajet ainsi, mes petites billes tenues en laisse. Vous mettez de la musique durant les 30 minutes que dure la route, étant d’extrême bonne humeur. Je vous sens très détendu, même ravi de la situation, jambes bien écartées sur votre siège. Alors que, de mon côté, je me sens pris au piège, essayant de rester concentré sur ma conduite. Je sais qu’à tout moment vous pourriez tirer sur le fil. Peut de temps avant d'arriver, vous étendez vos pieds sur l'accoudoir central prenant vos aises. Une fois garé sur le parking du centre commercial, vous me regardez puis descendez le regard vers vos chaussures. Je comprends le message et me plie pour lécher vos pompes. Pendant que vous êtes confortablement installé, je suis dans une position inconfortable pour lécher vos skets, le dessus mais aussi et surtout la semelle. Vous portez des Gazelle Adidas, dont le bleu intense s’est délavé au fil du temps. Il est clair que vous les avez énormément portées. L’usure des semelles alors que je les lèche est patente, alors que le dessus est plus râpeux pour ma langue. Vous me donnez aussi des petits coups de chaussures pour votre propre amusement. Je suis enfin à ma place, sous les semelle d'un Alpha qui se sert de moi comme il l'entend. Une fois que vous estimez vos semelles suffisamment propres, vous me faites comprendre que je dois descendre par l’arrière de votre côté. Vous ne comptez pas lâcher cette laisse invisible pour me laisser descendre par la portière du conducteur. Je dois donc faire preuve de souplesse pour passer à l'arrière, ouvrir la portière et sortir de l’habitacle. Vous sortez à votre tour et je ferme la porte. A aucun moment vous ne lâchez le fil, et même, vous me pressez pour que je me dépêche. Vous avez hâte de passer aux choses sérieuses, à savoir le shopping.

Nous traversons le parking, mes grelots attachés par ce fil de pêche, qui sort par ma braguette, et vous tenez l'autre extrémité dans une de vos mains, pouvant tirer dessus quand bon vous semble. Vous marchez devant moi, et je vous suis docilement. Bien que vous ne connaissiez pas les lieux, votre instinct de Mâle Alpha vous permet de flairer vers où vous diriger pour faire le shopping de vos rêves.

Connaissant mon addiction pour les jeans Levi’s, vous m’ordonnez de commencer par cette boutique. Afin de me ramollir le cerveau, comme le cuisinier ramollit les ormeaux en tapant dessus au moyen d’un manche de couteau. Nous commençons donc par Levi’s. Vous choisissez deux jeans, un bleu brut, et un blanc immaculé. Sûr de votre pouvoir, et du fait que je vais baver directement, vous lâchez le fil de pêche pour aller les essayer. Vous savez que je vais vous attendre comme un bon toutou. Vous essayez le bleu brut d’abord, et quand vous sortez de la cabine, je note qu’il moule votre cul parfait, tandis qu’à l’avant, il met votre bulge en valeur. Puis, vous essayez le blanc. Quand vous sortez de la cabine, vous êtes tel un dieu grec, parfait. Je suis hypnotisé par vos fesses, les poches arrières soulignant combien elles sont saillantes, la couture centrale venant bien séparer ces deux demi-globes. L’étiquette rouge typique de la marque est le seul point de couleur dans ce paysage immaculé. La taille en est si parfaite qu’on devine les muscles de vos cuisses et vos mollets galbés. La qualité de la toile, à la fois épaisse et souple souligne vos attributs à l’avant. Mon misérable entrejambe ne peut s’empêcher de tressaillir en vous voyant ainsi. Vous le devinez à mon regard, et vous esquissez un petit sourire ironique, car vous savez que je viens de définitivement tomber comme un fruit bien mûr à vos pieds.

Pour me frustrer un minimum tout en gardant votre pouvoir hypnotique, vous décidez de porter le bleu brut pour poursuivre vos achats. Mais il va de soi que je dois vous acheter les deux jeans. Je ne peux m’empêcher de contempler votre cul moulé dans ce jeans neuf, et cette double couture sur les poches arrières qui ne sont autres que le « V » de la victoire. Le devant est tout aussi humiliant pour moi qui ait un micro pénis et des petites couilles molles alors que vous affichez fièrement un bulge hors normes. La vendeuse, jusque-là assez discrète vient vers vous. Il ne lui a pas échappé que les étiquettes sont restées fixées sur le jeans que vous avez décidé de porter. Elle vous propose spontanément de vous aider à les retirer. Proposition que vous acceptez immédiatement. Elle commence par couper l’étiquette fixée à la ceinture à l’avant. Je vois que sa main droite semble vouloir caresser votre entrejambe. Puis, elle effleure votre taille, pour aller enlever celle fixée à l’arrière de la ceinture. Ses deux mains caressent vos fesses bien fermes alors qu’elle ôte enfin l’étiquette attachée à la poche arrière droite. Je l’entends même pousser comme un soupir d’aise alors qu’elle vous caresse ainsi. Je constate que cette situation vous plait, que vous n’avez aucune pudeur dans un lieu public et surtout, qu’il est naturel pour vous que les autres soient irrésistiblement attirés par vous. Sans même bouger, vous lui demandez d’apporter un des t-shirts exposés sur un des comptoirs face à vous. En bonne professionnelle, elle n’a même pas besoin de s’enquérir de votre taille. Elle sait celle qui vous conviendra. Et même sans que vous ayez besoin de réclamer, elle vous ôte votre t-shirt. Elle en profite pour toucher la peau de votre torse, et à son expression, je devine qu’elle ressent comme des petites décharges électriques à son contact. Puis elle vous aide à enfiler ce t-shirt Levi’s. Force est d’avouer qu’il vous va comme un gant. Associé à ce jeans, il renforce encore davantage votre statut de Mâle Alpha. Votre regard satisfait indique à la vendeuse qu’elle peut également couper l’étiquette du t-shirt. Elle en profite pour vous caresser à nouveau. Mais tout ceci n’était qu’une mise en bouche. Car vous reprenez mes grelots en laisse, pour aller vers le comptoir. Alors que je paie à la caisse, vous me glissez, très calmement et d’une voix amusée, en susurrant dans mon oreille : « petite pute ». Cela a pour effet de m’aiguillonner encore davantage. Je prends le sac pour le porter en bon larbin.

Je vous propose ensuite d’aller chez Timberland. Vous acquiescez, mais avant d’arriver dans ce magasin, vous me dites que vous voulez d’abord aller pisser. Nous rebroussons donc chemin vers les toilettes. Il y a beaucoup de monde, et alors que vous me trainez par le fil de pêche, personne ne semble le remarquer. Il y a un peu de queue pour les cabines fermées, et sous les yeux étonnés des autres mecs derrière nous, nous entrons à deux dans les toilettes qui viennent de se libérer.

Je me mets à genoux comme vous me l'ordonnez et je lèche tout d'abord la lunette. Certains mecs ont pissé à côté et donc je nettoie tout avec ma langue. Puis vous vous mettez face à moi. Vous m’ordonnez de déboutonner votre jeans, d’ouvrir votre braguette, et de baisser et votre jeans et votre boxer. J’ai alors devant moi le saint des saints: votre sublime queue qui repose sur votre belle paire de couilles. Vous vous asseyez sur les toilettes confortablement, et vous m’ordonnez de m’approcher et de me mettre les mains dans le dos. Vous m’empoignez alors la tête pour la plaquer sur votre bite, je perds l'équilibre et me retrouve alors avec votre queue en fond de gorge, incapable de reculer et sachant pertinemment que je n'ai pas intérêt à essayer. Alors que vous n’êtes même pas en érection, je m’étouffe déjà vu la taille de votre membre. Je n’ose en imaginer la taille quand vous bandez ! Je peine à respirer, incapable d’inspirer la bouche ainsi pleine. Mais seul votre plaisir importe, et passe avant ma misérable existence. Avant même que j’aie le temps de respirer, je reçois le jet puissant de votre pisse qui vient taper jusqu’au fond de ma gorge. Alors que je bois chaque gorgée, je sens qu’au même moment, vous chiez copieusement sans retenue. Je devine que j’ai intérêt à bien humidifier ma bouche et ma langue pour ce qui va suivre. Vous me remplissez l'estomac de votre jet de pisse aussi puissant qu’abondant. Une fois que vous avez terminé de pisser, je dois attendre à genoux face à vous, votre queue toujours bien au chaud au fond de ma gorge le temps que vous terminiez de chier. Je peux lire la satisfaction sur votre visage de vous être libéré ainsi de toute votre merde. Je sens également votre queue prendre du volume. Visiblement la situation vous plaît. Je m’étouffe encore plus sur votre queue ! Vous me lancez ironiquement : « Il y a dans les chiottes de quoi te faire un délicieux repas ! Ce serait gâcher que de ne pas en profiter, ne penses-tu pas ? ». Je ne peux qu’acquiescer servilement, toujours la bouche remplie. Ayant fini, vous m'empoignez par les cheveux pour sortir votre queue de ma bouche, vous vous relevez, et me tournez le dos, vous appuyant sur le mur de vos bras puissants, me présentant votre cul musclé et arrondi. Je comprends ma mission. Je m’approche de votre cul, et je sors ma langue. Je commence par la partie de vos fesses la plus éloignée du trou. A la consistance, je devine que votre merde fut grasse, et très odoriférante. Je sais que vous avez des habitudes alimentaires d’Alpha véritable, variée et carnée. Puis, au fur et à mesure, ma langue se rapproche de l’orifice. La merde se fait plus présente et dense naturellement. J’avale au fur et à mesure, et je me force à saliver au maximum, afin de nettoyer parfaitement votre cul. Je goûte tout cela comme du miel d’Alpha. Je lèche, j’avale, je salive, et je recommence. Alors que ma langue pénètre plus profondément, je sens que vous appréciez la sensation de vous faire ainsi nettoyer par un PQ vivant. Surtout que le résultat est bien plus abouti : votre cul finit parfaitement propre, dégagé de toute cette merde grasse. « Pourquoi gâcher du papier quand une bouche peut servir ? » me lancez-vous, « et c’est bien plus écolo ! ».

Avec votre assentiment, je remonte votre boxer qui moule admirablement votre gros paquet et votre cul. Puis je remonte votre jeans. Vous vous mettez face à moi pour que je referme votre braguette, et le bouton de la ceinture. En me tirant à nouveau par le fil de pêche, vous m’emmenez aux lavabos, en m’ordonnant de rincer mon visage qui pue. Pas question pour vous de vous afficher avec un esclave qui pue la merde. Je m’exécute, et nous repartons faire votre shopping.

Une fois chez Timberland, vous commandez directement une paire classique. Vous vous installez bien confortablement dans un de leurs fauteuils, les jambes très écartées, et moi, je me mets à genoux à vos pieds, pour défaire les lacets de vos baskets, en attendant que le vendeur revienne avec la paire. Je vous aide à enfiler d'abord le pied droit dont je fais consciencieusement les lacets. Une fois terminé, votre pied gauche étant assez éloigné, je vais toujours à genoux jusqu'au gauche. J'aperçois votre bulge qui trône entre vos jambes en passant. Vous êtes sur votre téléphone, ne me prêtant aucune attention. Je ne suis qu'un esclave de plus à vos pieds. Cependant vous notez que je me suis arrêté pour vous admirer et sans même me regarder, vous me reprenez bien ostensiblement devant le vendeur « Magne-toi! ». Je lace le pied gauche, et vous vous levez pour marcher dans le magasin. Je reste à genoux pendant que vous marchez et vous admirez dans la glace. Pour ma part, je ne peux quitter les Timberlands des yeux. Car je sais que bientôt, elles me latteront les couilles. Vous revenez vous asseoir dans le fauteuil, et pendant que je vous déchausse, vous demandez au vendeur à voir également une paire noire. Je viens à peine de vous enlever la paire en nubuck, que le vendeur est de retour avec la paire de Timberlands noires.

Je vous enfile donc les noires à présent, passant d'un pied à l’autre, toujours à genoux. Je caresse le cuir lisse de cette paire, alors que vous êtes toujours confortablement installé. En passant à genoux, il ne m’échappe pas que votre queue a gonflé dans votre Levi’s. Visiblement, la situation vous plait énormément. Vous allez vous admirer à nouveau. Je vous attends toujours à genoux comme le bon toutou que je suis. Mon regard est tourné vers le sol, mais j’arrive à apercevoir vos pieds. Et surplombant cette nouvelle paire, la surpiqûre intérieure du fil orangé de votre Levi’s brut.

Vous annoncez au vendeur que vous prenez les deux paires. Je vous aide à remettre vos Gazelle, allant toujours d’un de vos pieds à l’autre à genoux, en époussetant discrètement le dessus au passage. Notre vendeur n’a rien dit, comme je regarde toujours vers le bas, je ne sais quelle réaction il peut avoir en me voyant ainsi à genoux devant vous.

Nous allons à la caisse, où le vendeur a préparé les sacs avec les deux paires. Quand le vendeur annonce le total, vous claquez des doigts, sans même me regarder, et je sors ma carte bleue. Alors que je finis mon code, au même moment, vous tirez légèrement sur le fil de pêche et me soufflez à l'oreille « petiiite biiiite ». Vous me l’avez dit calmement, en détachant bien chaque syllabe. Vous savez que de me traiter de « petite bite » au moment de payer m’excite énormément. J’espère que le vendeur ne l’aura pas entendu.

Le vendeur tend les sacs, et je m’en saisis.

Alors que j'ai les sacs en main, j’entends votre voix ferme lancer à la cantonnade : « Cette paire là aussi est pas mal ! ». Vous venez d’apercevoir la paire de Timberlands vert camouflage. Je me fige immédiatement. « Elles m'iraient bien aussi, non ? », votre question étant parfaitement oratoire et sonne comme un ordre. Je réponds d'un hochement de tête. Vous vous remettez donc confortablement en place dans le fauteuil, les jambes bien écartées, et de nouveau, je suis à genoux pour vous aider à les enfiler. Vous marchez pour vérifier le confort de cette 3ème paire, et vous en profitez pour faire un tour dans le magasin. Je reste toujours à genoux, tête baissée. Vous trouvez 3 modèles de jeans qui vous plaisent, le vendeur vous indiquant votre taille, vous partez essayer les jeans dans les cabines. Je veux me relever pour vous suivre, mais vous me dites d'un ton cassant « Bouge pas ! ». Je dois donc rester seul, à genoux dans le magasin sans bouger pendant que vous partez essayer les jeans. Le vendeur me regarde au passage d'un air mi-amusé mi-interrogateur. Je me sens soudainement exclu. Et un peu mal à l’aise, mais n’osant pas bouger.

Vous revenez enfin, satisfait, annonçant que vous prenez les trois.

Je vous remets alors vos baskets. Je vous ai remis le pied droit et je m'apprête à vous remettre le gauche. Je dois encore faire les lacets, mais vous prenez l'extrémité du fil de pêche et vous levez pour vous diriger plus loin. Tiré par le fil, je me dois de continuer ma tâche, tout en étant obligé de vous suivre à genoux. Vous vous arrêtez devant les ceintures. Pendant que je termine le lacet de votre basket gauche, vous commencez à essayer les ceintures. « J’abuse si je prends une ou deux ceintures ? » me demandez-vous sur un ton condescendant, sans même baisser le regard. « Tout ce qui peut vous faire plaisir », dis-je la voix étouffée par la douleur de mes couilles en feu.

"Combien ai-je de budget déjà ?"

"Il n'y a pas de budget pour vous, prenez tout ce qui vous plaît"

Pour toute réponse, vous tirez un coup sec sur le fil vers le haut. Ce qui a pour effet de resserrer le fil autour de mes grelots. J’essaie de contenir ma réaction. « Qu’est-ce que tu fous par terre, relève-toi! » m’ordonnez-vous. Je me relève prestement. Ayant pris deux ceintures en main, vous me trainez jusqu’à la caisse. Je ne peux m’empêcher d’imaginer que ces ceintures pourraient servir pour me fouetter par la suite. Il s’agit d’ailleurs plutôt de ceinturons, assez larges, avec une belle boucle épaisse. Au-dessus de la braguette de vos jeans, ces boucles, en attirant l’oeil par leur côté massif, viendront souligner la virilité naturelle de votre entrejambe. Un sourire ironique aux lèvres, et très doucement, vous me demandez, juste avant que le vendeur n'annonce le total : « Ça va, petite couille molle ? ». Suivi d'un claquement de doigt qui résonne comme un coup de fouet dans le magasin.

Je m'empresse de payer. Et de nouveau, dans mon oreille, j'entends votre voix au ton moqueur « peeeetiiiite bitiiie ». Je suis comme KO par une telle appellation, surtout dans un lieu public. Mais le claquement de vos doigts me sort de ma torpeur. Ce claquement de doigt indique que l'on s'en va. Je prends tous les sacs, très volumineux, et je vous suis servilement, les grelots de plus en plus serrés par le fil de pêche. Avant de sortir de la boutique Timberland, vous lancez bien fort, pour que tout le monde entende : « On va chez Nike à présent ! ».

Je suis tellement envoûté, par ce qui vient de se passer, par la façon dont vous me traitez devant tout le monde (ne faisant pas mystère que je ne suis qu’une sous-merde face à vous), par votre cul moulé dans le Levi’s que je viens de vous offrir, que je vous suis oubliant tout. Le seul souvenir qu’il me reste, est que je me retrouve à vos pieds chez Nike. Je suis à genoux pour vous faire essayer une paire d’Air Force 1 montantes, alors que vous avez les jambes bien écartées. C’est à ce moment là que je sens le regard curieux du vendeur. « Tu as vu comme elles sont bien blanches immaculées ? » me dites-vous d’un ton ferme et appuyé. Je reste amorphe, car je sais ce que cette phrase signifie. Le vendeur nous propose un produit spécial pour les nettoyer, et bien les entretenir. Mais vous répondez d'un air détaché : « Pas besoin de ce produit. J'ai beaucoup mieux à la maison. ». Et vous partez dans un petit rire tout en me fixant du regard. Le vendeur reste interloqué, mais je sais ce que vous avez dans la tête. C’est avec ma langue que je devrais maintenir vos AF1 parfaitement blanches, semelles comprises.

La paire d’AF1 enfilée, vous allez vers le rayon des survêts. D'office, vous attrapez le jogging gris Tech Fleece, et deux autres couleurs. Sur un ton très décidé vous dites: « Celui-ci, celui-là, et encore celui-là ! », tout en me les jetant dans les bras. Puis vous me trainez aux cabines d’essayage. Je me remets à genoux pour vous enlever les AF1 que vous avez gardées aux pieds, et vous me faites attendre devant la cabine d’essayage. Toujours à genoux, comme un clébard attend son maître. J’entends votre satisfaction de derrière le rideau quand vous voyez le bulge que ces joggings vous font. Mais pour ma part, je ne peux qu’imaginer, rêvant pourtant d’apercevoir le résultat. Mais d’office, je sais que le jogging gris met particulièrement bien en avant de façon insolente le paquet d’un homme véritable.

Pendant que je vous attends ainsi à genoux devant les cabines, le regard tourné vers le sol, j’aperçois les pieds d’un autre client. Il porte une paire de Palladiums montantes blanc cassé. Je n’ose relever les yeux, mon champ de vision ne me permettant pas de voir plus haut que les mollets finement musclés de cette personne. A la pointure des Palladium et à la fraîcheur de sa peau, je devine que c’est un jeune homme. Il entre dans une cabine lui aussi.

Au bruit de la toile du denim venant de votre cabine, je devine que vous renfilez votre Levi’s. Suit le bruit de la braguette que vous remontez d’un coup sec et ferme. Bruit du rideau que vous ouvrez. Je refais immédiatement vos lacets. Je prends dans mes bras les 3 joggings, et sur le chemin de la caisse, vous apercevez encore un autre jogging : « Je prends celui-là aussi tiens ! Il ira bien avec les Timbs ! », et joignant le geste à la parole, vous me le lancez littéralement dans les bras. Le tout dans la plus totale des indifférences pour moi, et je dois l’attraper au vol. Alors que je viens juste de récupérer ce survêtement supplémentaire, vous êtes déjà à regarder les t-shirts. Revenant des cabines, et flânant ostensiblement dans le rayon des t-shirt, un jeune blondinet : cheveux mi-longs joliment dorés, tout ébouriffés, visage d’ange, exhibant ses bras finement musclées grâce à un débardeur blanc. Ce débardeur est si échancré devant qu’il dévoile son pectoral, ainsi que sur les côtés laissant voir son torse. Le nylon blanc ultra fin est si transparent qu’il révèle ses abdos bien travaillés. Il porte un mini-short Addicted de sport bleu marine mais dont la ceinture est rouge désir. Deux empiècements rouges sur le côté des cuisses aussi. Mon regard descend le long de ses jambes élancées, et je me rends compte qu’il s’agit du porteur des Palladium blanc cassé. Ce jeune a tout autant un côté angélique qu’il pue le désir sexuel. Je vois que vous vous êtes échangé des regards complices. Feignant l’ignorer, vous faites mine d'hésiter entre les différents modèles de t-shirts : « Ça ne risque pas de faire de trop pour une seule fois? ». Je ne peux que répondre piteusement : « Faites vous plaisir. ».

- Faites vous plaisir qui ?

- Faites vous plaisir, Maître.

Vous venez de me forcer à dire à voix haute le mot de « Maître » dans le magasin, devant le vendeur, qui ne put s’empêcher d’avoir un sourire aux lèvres, mais surtout devant ce jeune blondinet. Comme si vous aviez voulu mettre les choses au clair. Lançant cela comme une évidence, vous concluez : « Je les prends tous alors ! ».

J'apporte toutes vos emplettes à la caisse. Un simple claquement de doigt m’ordonne de tout payer. Sans broncher, je m’exécute. Et avant que je ne saisisse tous les sacs, vous me tapotez le dessus de la tête, comme à un chien, en me disant « c'est bien » à haute voix, pour que le monde l’entende bien. Puis je lis sur vos lèvres ce que vous me dites de façon muette, mais en articulant bien ostensiblement les syllabes : « petite bite ». Vous ne jetez qu’un regard distrait au petit blond, sûr de votre conquête.

Nous sortons ainsi, vous devant, me trainant par la laisse du fil de pêche, moi portant tous les sacs. Le contraste entre nous surprend forcément. Même si le vendeur et les autres clients ont forcément compris que je n’étais qu’une sous-merde, au service d’un Alpha véritable. Ma seule consolation, sans pouvoir en être sûr, c’est que personne n’a remarqué cette laisse invisible que vous tenez dans votre main, le fil de pêche sortant de ma braguette.

Je sens que le fil de pêche est déjà bien resserré sur mes petits grelots, que j’imagine rouges et un peu gonflés, alors que nous arrivons à la boutique de sous-vêtements. Boutique qui propose toutes sortes de modèles. Un vendeur d’âge moyen nous accueille avec un grand sourire, mais vous passez à côté sans même le regarder. C'est alors qu'une vendeuse sort de la réserve. Elle est brune, cheveux mi-longs. En bon Alpha que vous êtes, votre œil aquilin ne manque pas de noter son décolleté généreux, qu’elle met en valeur dans un bustier moulant, qui lui serre la taille et qui gonfle sa poitrine pulpeuse. Il est évident qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, on devine même ses tétons qui semblent pointer à travers le tissu alors qu’elle vous regarde. Je vois que votre regard descend, et à mon tour, je constate, à travers le comptoir en verre qui nous sépare, qu’elle porte une mini-jupe. Elle exhibe ainsi ses longues jambes. Je devine qu’elle vous plait, ce que confirme un regard sur votre entrejambe. La braguette de votre Levi’s bien près du corps semble vouloir exploser. Elle est gonflée au maximum, créant une bosse qui rendrait jaloux n’importe quel homme, et ferait mourrir d’envie n’importe quelle femme. J’étais aussi jaloux de cette vendeuse. Car jamais vous n’avez eu -ou aurez-vous- pareille réaction en me voyant. J’aurais aimé que vous me considériez comme un objet sexuel, j’aurais été prêt à tout pour vous satisfaire. Mais, sans parler de mon physique banal, je sais qu’à vos yeux et à mon âge, je suis périmé. Ma date limite de consommation est dépassé depuis longtemps. Je ne puis qu’espérer vous servir, être votre chiotte personnel et votre porte-feuille ambulant. C’est une façon de compenser ma nullité, en sacrifiant pour vous tout ce que je possède.

« Bonjour monsieur, permettez-moi de vous aidez dans votre shopping » vous dit-elle.

Puis regardant son collègue qui nous a accueilli : « Je m'en occupe, tu ne peux pas comprendre ce dont monsieur a réellement besoin comme sous vêtements pour son confort ».

Vous demandez à voir les boxers Calvin Klein. « Uniquement des modèles de boxer qui conviennent aux entrejambes bien fournis. » ajoutez-vous, pour confirmer ce que la vendeuse a insinué. Je note que la vendeuse mate sans se cacher votre entrejambe. Elle se lèche même les lèvres rêvant, comme toutes, d'y gouter. Saisissant la perche tendue, elle répond en restant sur le même ton : « Nous avons des modèles pour les hommes peu gâtés par la nature, mais aussi des modèles justement fait pour les vrais mâles comme vous. » . Elle s’est cambrée en parlant, ayant d’abord jeté un œil vers moi, puis vers vous. Alors qu’elle se penche pour prendre des boxers, elle garde son cul finement rebondi en l'air et le présente au Mâle Alpha que vous êtes, bien serré dans sa mini-jupe. Mini-jupe si courte que je me demande si elle porte un quelconque sous-vêtement. Évidemment vous la reluquez sans vergogne : vous savez que toutes les femelles s'offrent naturellement et spontanément à vous et que celle-ci vous appartient déjà. Quand elle nous refait enfin face, ses jolies mains, soigneusement manucurées, vous présentent différents modèles pour mâles véritables.

Elle flirte ouvertement avec vous, en tenant des propos très humiliants pour moi et son collègue. « La matière est douce, et surtout est en mesure de maintenir admirablement les anatomies les plus développées. Il y a toute la place pour une queue épaisse et longue, tout en gardant une coupe près du corps. Vos boules de pétanque y seront tout à fait à l’aise, l'ensemble de vos attributs sera mis en avant pour magnifier votre silhouette et votre postérieur puissant sera lui aussi mis en valeur.».

« La matière est-elle suffisamment résistante pour supporter une érection ? Ma troisième jambe ne sait pas se contrôler devant une charmante demoiselle ».

« Rassurez vous monsieur, ce modèle est fait pour les hommes, les vrais, comme vous qui ont du titane entre les jambes! ».

Vous répondez d’une simple phrase oratoire dite sur un ton directif : « Je veux essayer ». La vendeuse comprend immédiatement ce que vous attendez d’elle et s’empresse d’ajouter : « Bien sur, je vous accompagne monsieur ! ». Et vous partez ensemble vers les cabines. D’un simple regard, vous me signifiez de rester près du comptoir. Alors que la vendeuse vous accompagne vers les cabines, je remarque qu’elle porte des talons aiguilles assez haut, qui lui procurent un déhanché extrêmement sexy lorsqu’elle se déplace.

Vous restez un moment dans les cabines, et je n'entends qu'à un moment la vendeuse vous disant « je vous avais dit que ce modèle maintiendrait bien le poids de votre grosse paire de couilles. ». Ma jalousie pour la vendeuse en est décuplée, car j'imagine que ses mains doivent caresser vos attributs à travers le tissu si fin, voire peut-être directement votre peau. Ne l'entendant plus parler un moment, peut-être a-t-elle même pu y goûter ? Etant resté près du comptoir, je ne le saurai jamais. Mais ça ne m'étonnerait pas. Je constate que son collègue est resté figé lui aussi de son côté, le regard baissé.

Vous ressortez satisfait (elle aussi a un grand sourire). Je note cependant que vous n'avez pas remis vos baskets. Un claquement de vos doigts. Je cours sans réfléchir les chercher dans la cabine. puis je reviens vous les mettre, à genoux, pendant que vous continuez de discuter avec la vendeuse. Très ostensiblement, vous reprenez l'extrémité du fil de pêche pendant que la vendeuse fait le total. C’est à ce moment là qu’elle s'aperçoit qu'il manque un des modèles. En toute décontraction, vous dites : « ah oui, je l'ai gardé sur moi, il est tellement confortable... J'ai l'impression d'avoir les boules en apesanteur ». Ce à quoi la vendeuse répond, avec un sourire entendu : « et quand on connaît leurs poids, même une fois vidées.... Mais c'est un cadeau de la maison ». J’aperçois seulement que, glissé dans la poche droite de sa mini-jupe, dépasse un bout de votre ancien boxer. Et encore une fois, d’un simple claquement de doigt vous me sortez de ma torpeur, pour que je sorte la carte bleue.

« Avez-vous besoin que mon collègue vous aide à porter les sacs ? Il est à votre disposition.»

« C'est gentil, j'ai déjà mon porteur personnel, répondez-vous, mais il peut aider, je n'ai jamais trop de personnel à mon service ».

Me voici comme mis en concurrence avec un autre larbin. Je suis même vexé, car je me fais un point d’honneur à pouvoir tout porter.

D’un ton enjoué, vous demandez très naturellement à cette vendeuse si complice « Vous faites les slips pour les petites bites ? » en riant. Tout aussi moqueuse, la vendeuse, en se trémoussant réplique « Désolé Monsieur, pour ça, il faut aller dans un magasin enfants. ». Claquant dans vos doigts, vous annoncez à la cantonade « on y va, les petites bites ». Et vous tirez d'un coup sec sur le fil, je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri ridicule. Mes petits grelots sont étouffés par le fil. Le collègue prend une partie des sacs, et nous suit.

Je m’étonnes à peine que cette vendeuse si prévenante ne vous ait pas laissé son numéro de portable. Je suis concentré sur ma douleur. Mais j’aperçois qu’elle vous lance un baiser du bout de ses lèvres pulpeuses.

Nous sortons alors du magasin. Vous devant, marchant fièrement la tête haute, me tenant en laisse, et l’autre larbin. Nous sommes deux porteurs marchant la tête basse. Attendant devant le magasin de sous-vêtements, le jeune blond vous attend très clairement. Il est adossé au muret de la composition florale centrale. Il prend une pose volontairement aguicheuse, accentuant la cambrure de son dos, le cul admirablement bien rebondi outrageusement en arrière. Sans hésitation aucune, vous vous dirigez vers lui. Comme un conquérant cueillant le fruit de sa victoire, vous l’enlacez par la taille. Vous savez qu’il n’attend que d’aller avec vous. Vous lui faites signe de nous donner les sacs qu’il tient à la main. Nous devons également porter ses achats, montrant la hiérarchie naturelle qui existe entre nous. Vous marchez ainsi devant nous, votre main droite sur sa fesse gauche. De votre main gauche, vous me traînez en laisse. En vous suivant, je m’aperçois que du mini-short du blond dépasse le fil de son string qu’il semble avoir remonté. Son cul est extrêmement rebondi indiquant une pratique assidue du sport. Vous avez désormais mieux à faire que du shopping. Je sens que vous avez hâte de rentrer à la maison. Alors qu’il faut prendre l’ascenseur pour retourner au parking, vous tendez le fil de pêche au second larbin. L’un comme l’autre, nous restons interdits. Vous adressant à l’autre, vous dites :« Je t’en confie la garde. Le temps que vous preniez les escaliers pour descendre. L’ascenseur n’est pas fait pour les larbins. Démerdez-vous pour être arrivés avant nous en bas, devant la porte de l’ascenseur. ». Je me sens profondément humilié. Me voilà rabaissé à un statut moindre que cet inconnu. Nous avons grosso modo le même âge, mais ce type -petit employé sans envergure- me parait si anodin que je rage de lui être ainsi confié. Mais ce n’est pas le moment de traîner. L’ascenseur n’est pas encore arrivé, et nous nous engouffrons dans la porte des escaliers. Nous les dévalons quatre à quatre. Vicieusement, jouissant de son bref pouvoir sur moi, l’autre s’amuse à bien tirer sur la laisse qui sort de ma braguette. Je vois, malgré la précipitation qui est la nôtre, qu’il jouit littéralement de cette situation inattendue, de son petit pouvoir fugace sur moi. Il n’y a aucune solidarité entre larbins, mais une concurrence féroce.

Nous réussissons à arriver juste au même moment que l’ascenseur au niveau du parking. Négligemment, vous reprenez la laisse des mains de l’autre larbin. Nous nous dirigeons vers la voiture. Arrivés devant celle-ci, je me dirige vers la portière arrière droite pour vous l’ouvrir. L’autre fait de même du côté gauche pour Maxence. Je viens de vous entendre le nommer ainsi. Nous restons ainsi de part et d’autre de la voiture, têtes baissées, attendant que vous daigniez prendre place à l’intérieur. Mais nous devinons que vous vous roulez une pelle magistrale. Maxence est légèrement plus petit que vous, et se tient sur la pointe des pieds pour être au même niveau que vous. Il se cambre amoureusement, cambrure accentuée par sa position. Cette pelle gourmande se prolonge. Vous prenez tout votre temps, profitant de l’instant sans égard pour nous. Seul votre plaisir importe. Mais nous n’osons pas relever le regard, ni bouger d’un iota. Alors que nous restons figés, vos lèvres s’enlacent. Sa main droite descend vers votre entrejambe, déboutonne votre jeans, et ouvre la braguette. Sans cesser de vous embrasser. Votre paquet bondit hors de votre boxer. Sans pudeur aucune, bien que nous soyons dans un lieu public, vous exhibez votre anatomie énorme. Votre queue est totalement à bloc. Vous donnez soudain une tape sur le cul de Maxence, qui comprend immédiatement. Vous entrez chacun de votre côté dans la voiture. Vous vous installez du côté droit, la queue fièrement dressée. C’est à ce moment-là que je m’aperçois que sur votre membre sur-dimensionné est inscrit un numéro de téléphone ainsi qu’un prénom : « 06 12 34 56 78 Kimberley ». Il s’agit de la vendeuse de sous-vêtements, qui a pu écrire sans problème les 10 chiffres de son numéro et les 9 lettres de son prénom au marqueur épais. Il reste même encore de la place sur votre bite. Alors que sur ma coquillette, on n’aurait à peine pu écrire le « 06 » en caractères microscopiques au feutre ultra-fin. Nous refermons les portes, puis avec l’autre larbin, nous allons ranger l’ensemble de vos emplettes ainsi que celles de Maxence dans le coffre. Je monte à mon tour dans la voiture, pour reprendre mon rôle de chauffeur. En pénétrant dans l’habitacle, je vois que Maxence a commencé à vous sucer. J’admire sa dextérité, car il parvient à prendre l’intégralité de votre membre énorme en gorge profonde, alors que moi, je m’étouffais déjà sur votre membre au repos. Bien que tout à votre plaisir, vous n’en restez pas moins capable de tout contrôler. Vous tendez simplement votre main gauche pour reprendre le fil de pêche. Et vous me dites de régler le rétroviseur intérieur de façon à ne pas pouvoir vous espionner : « Tu ne voudrais quand même pas profiter du spectacle, petit raisin mou ? ». Je n’ai pas le temps de répondre, que vous tirez d’un coup sec sur la laisse comme sur les rênes d’un cheval. J’allume donc le moteur, m’apprêtant à démarrer. L’autre larbin attend respectueusement notre départ, se tenant sur le côté gauche de la voiture. Vous abaissez votre fenêtre, sortez votre bras, et claquez dans vos doigts. « Viens ici, petit porteur. « . Le larbin accourt alors de votre côté. Maxence n’a cessé de vous sucer, et le larbin clairement regarde la scène. Il écarquille les yeux quand il voit la taille de votre entrejambe. « J’ai oublié de te donner ton pourboire. Tends ta main ». Le larbin s’exécute, et tend ses deux mains, comme un miséreux sollicitant l’aumône. Sans prévenir, vous lui lancez un énorme mollard, qui fait un bruit sourd en tombant au creux de la paume de sa main. Et vous remontez sans même lui prêtez un regard votre vitre, ni entendre son « Merci Maître! » et donnez un coup sec sur la laisse pour que je démarre enfin. Nous nous éloignons alors, laissant le larbin désemparé sur le parking alors qu’il contemple la voiture s’éloigner, votre crachat dans ses mains.

De rien. Avec plaisir.

Fab

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