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Depuis une demi-heure, Gabin parlait avec Seb en cam ; il lui avait dit d'abord que c'était mort pour le show, vu qu'il y avait un invité en bas, puis ils avaient embrayé sur le basket. Mais quand Gabin entendit la douche, il eut un espoir : il sortit, alla jusqu'au haut de l'escalier, et n'entendit que son père et son oncle à la cuisine. Il revint aussitôt prévenir Seb. Les deux amis commençaient déjà à bander. Miky entra. Gabin fut surpris, mais ne débanda pas.
- C'est mon pote Seb.
- Salut, dit Miky en s'asseyant sur le lit.
- Salut, répondit Seb un peu gêné.
- Bon ben mec, je vais te laisser...
- C'est lui qui nous matait ? demanda Miky.
- Euh...
- Tu sais, la veilleuse c'est pas discret quand t'es en cam...
Les deux potes se sentirent très cons, et pour le coup débandèrent simultanément.
- Ca t'a plu, ce que t'as vu ?
- Euh... ouais, grave !
- Tu te branlais en même temps ?
- Ouais, et j'ai grave juté.
- T'as les mêmes besoins que Gabin, peut-être ?
- Gros juteur, ouais...
Les deux potes cette fois commençaient à rebander ; la conversation prenait un tour plus agréable qu'ils ne pensaient.
- Et t'es aussi bien outillé ?
- Tu veux voir ma bite ?
- Oui.
Seb se leva et présenta à l'écran son pieu qui finit de gonfler en direct.
- Très belle ! dit Miky. Gabin ?
- Il a une bonne teub... et c'est un gros producteur, ça te plairait...
- Tu voudrais de mon jus ? demanda Seb, sérieusement chauffé.
- Faut voir... je vais déjà commencer par celui de Gabin... et toi tu montreras.
Gabin se leva, Miky vint s'agenouiller, de trois-quarts face, pour continuer de voir la belle bite empoignée et branlée sur l'écran. Il entama la pipe du soir à Gabin, qui, excité par la situation, profita de sa bouche avec virilité. Miky fit une véritable démonstration, regardant l'écran autant que possible, où la masturbation continuait avec ardeur : très bel engin en effet. Gabin gémissait autant que Miky, et on percevait de loin les " ouais !... " de Seb. Miky s'empala deux ou trois fois la gorge jusqu'aux couilles, laissant Gabin lui limer les amygdales. Ce fut assez pour que Seb gueule : Miky ralentit sa pipe pour mieux voir et ne fut pas déçu : le gros gland dégorgea de sacrées giclées de foutre, que Seb dirigea sur son ventre... de quoi donner soif à Miky qui reprit avec appétit sa pipe, et bientôt Gabin râla de bonheur en se vidant dans sa bouche. Vidé lui aussi, Seb se rassit, et assista au spectacle du parfait nettoyage à coups de langue, ou comment ne pas perdre une goutte. Puis Gabin retrouva sa chaise et Miky le lit.
- Tu kiffes vraiment sucer toi ! dit Seb.
- Oui, j'adore ça.
- Et la jute aussi, ça se voit !
- J'en ai jamais assez.
- Et pourtant il s'en prend ! ajouta Gabin.
- Et tu veux goûter à mes réserves, demanda Seb dont le coeur palpitait en sentant la victoire acquise.
- Ben t'as l'air bien généreux, bien bâti, bien monté... alors oui ! répondit Miky avec un sourire.
- Putain, c'est cool ! et quand ?
- Ben samedi, reprit Gabin, après le basket tu repasses ici.
- Ah ouais, sans prob'.
- C'est quand, en fin d'aprem ?
- Yes.
- Ok, je serai là... on se fera du bien.
- Garanti, je vais pas te priver ! confirma Seb, aux anges.
- Bon les gars, je suis crevé, je vous laisse. Bonne nuit.
- 'Nuit, ajouta Gabin.
- Bonne nuit, à samedi ! finit Seb.
Miky regagna la chambre, prit le slip de Jaco et s'endormit comme une masse avec son odeur. Les deux jeunes continuèrent un petit moment leur tchat. Autant dire que Seb ne tenait plus en place, trop content ! et ça faisait bien marrer son pote, et ça l'excitait aussi, ce futur plan à trois, et voir Miky avec deux bites à traire. Ils se seraient bien rebranlés, en comparant leurs idées pour le samedi à venir. Gabin fit un gros effort et se coucha sans avoir juté, mais Seb ne tint pas et une fois couché, il se fit dégorger encore à gros bouillons, en visualisant la bouche pleine de Miky. Gabin entendit les pas lourds monter, la salle de bain, mais pas plus. Les deux frères arrivèrent dans la chambre, où Miky avait laissé la veilleuse. Ils se regardèrent en se souriant : Miky avait le slip de Jaco sur le nez et dormait. Ils restèrent un moment à contempler le ptit jeune, qui avait bien mérité de se reposer. Ils s'embrassèrent et se quittèrent.
Miky se leva en pleine forme, vraiment bien reposé après la rude soirée ; il était seul au lit. Les jumeaux devaient déjà être en bas. Il pensa au devoir qu'il devait rendre à la fac, et juste après à sa dose de lait matinal - enfin ses doses ! c'est vrai, il fallait qu'il s'y fasse ! quel luxe... En haut de l'escalier, il entendit un " adorable petit gars " : c'était Toni qui parlait à Jaco. Miky descendit, tout sourire, embrassa Toni sur la bouche et se baissa pour prendre à genoux son petit-déj au foutre entre les cuisses de Jaco, qui avait déjà sorti sa bite en le voyant apparaître. Elle était déjà bien gonflée, et dans la bouche de Miky elle durcit en un éclair. Toni regarda Miky téter en se masturbant. Jaco se laissait aspirer le gland, malaxer les boules et branler la queue avec bonheur. Quand il eut régalé son " bébé " en râlant d'extase, Miky se tourna et changea d'entrecuisses : Toni avait déjà bien fait monter la sauce, et le " bibi " en était presque au point de déborder. Les mains sur les cuisses du mâle, Miky se limait les amygdales sur son gland, et Toni libéra son jus avec plaisir. Les yeux de Miky pétillaient de bonheur quand il s'assit entre eux, se pourléchant les lèvres et les faisant rire. Les deux frères montèrent se doucher ensemble, et du coup Miky se glissa dans la chambre de Gabin, encore endormi, et le téta sous les draps : sa queue était lourde et molle, et il adorait sentir un gland durcir et grossir sous la tétée. Gabin gémit, se réveilla, tendit les bras et dégagea le drap pour voir dans la pénombre le spectacle réjouissant du prélèvement matinal. Miky interrompit sa pipe le temps de faire un grand sourire et un " bonjour ! ", que Gabin lui rendit volontiers, puis s'occupa des burnes. " Parfait ", dit Gabin, " j'allais te le dire... ". Miky les lécha longuement avec amour, puis revint s'acharner sur le pieu, qui avait développé ses beaux 22/7 avec orgueil. Gabin grogna, se crispa, tendit ses longues jambes musclées en promettant à Miky " de la bonne jute bien chaude " et se vida les couilles en soupirant. Miky se délecta de sa troisième ration, et Gabin se leva d'un bon pied.
Une heure plus tard, Toni serrait la main de ses collègues, Gabin celle de Seb, Jaco celle de Daniel et Jérémy. Et encore une heure après, Miky avait purgé Pedro et était en train de siphonner les bourses de Samuel. Gorgé de foutre, c'est sur un petit nuage qu'il rendit son devoir au cours de 11h - quelle parfaite matinée !
Celle de Gabin et Seb ne fut pas très concentrée ! Le pote ne s'était pas calmé, et parlait à Gabin de toutes les idées qu'il avait, des idées très juteuses, où Miky était soumis à leur bite, leurs couilles, leur cul, et s'avalait des giclées à répétition, se faisait embrocher par les deux trous et tourner. Les deux gars furent invités à se calmer dans le couloir par le prof furieux, et ils en profitèrent pour pousser jusqu'aux toilettes et se branler vite fait. Quand le prof leur dit de rentrer, ils étaient adossés au mur, l'air béat et plus légers...
Daniel et Jérémy remercièrent environ une centaine de fois Jaco pour la soirée : ils avaient dormi comme des bébés, les couilles apaisées, et Daniel n'arrêta pas de parler du cul de Miky, de toute la matinée. A la pause du midi, ils voulurent en savoir plus sur leurs débuts à tous les deux. Jaco n'eut pas d'autre choix que de se lancer dans le récit, ce qui n'arrangea rien à leur bandaison infernale :
" Ben ça faisait environ six mois qu'on se voyait. Il m'avait dit que je pouvais l'appeler et le chercher pour baiser chaque fois que j'avais envie, et j'en ai tellement profité qu'on se voyait tous les soirs... Il avait déjà passé plusieurs nuits ici, et finalement je lui ai proposé de rester chez moi. On est allé chercher ses affaires un matin, on a baisé toute la journée entre deux rangements. Miky a pris son rythme tout de suite, sa place, et même le rôle de femme au foyer sans que je lui demande rien. Ca m'a gêné même : maison nickel, bon repas qui m'attendait tous les soirs ; il arrivait à tout faire, en même temps qu'il se débrouillait comme un chef à la fac. Et surtout il voulait ma bite tout le temps, ou mon corps, me toucher n'importe quand... on était tout le temps à poil... et léger comme il est, je pouvais le porter, le soulever et l'amener à ma bite dans toutes les positions, et lui se donnait par la bouche ou le cul. Vu que j'étais pas là de la journée, et au pire il avait 4h de cours par jour, c'était long sans moi à la maison : alors quand je rentrais, c'était la fête ! J'avais pas fermé la porte qu'il me sautait dessus, et je sais pas combien de fois je l'ai enculé dans l'entrée ! Tous les soirs je me faisais masser ou lécher le cul et les pieds et ça se finissait par une bonne sodo ; souvent au milieu du repas il passait sous la table pour me pomper, comme ça pas pour me faire juter mais me maintenir raide, et puis il disait qu'il voulait tout le temps avoir ma bite en bouche... plusieurs fois il a mangé emmanché sur mon pieu aussi. Enfin bref, pendant un bon mois de transition on n'arrivait pas à ne pas baiser tout le temps et Miky me provoquait avec des scénars presque quotidiens : il voulait se faire enculer pendant qu'il faisait la vaisselle, alors il baissait son slip et cambrait son cul, ou quand il repassait... et moi, voir son cul ça me faisait bander illico ! enfin, pas besoin de te le dire Daniel... Je sais pas combien de fois il m'appelait dans la maison et je le trouvais le cul tendu en train de se doigter à mort ! Il a bien fini m'épuiser, le ptit gourmand ! mais quand j'étais à sec, je pouvais toujours lui mettre des doigts, il adore, et il se limait tout seul, ou alors je le branlais et je lui donnais son propre jus en attendant que je recharge... Je me souviens qu'une fois j'avais même pensé à lui acheter un gode mais il m'a dit qu'il voulait que ma chair... Et puis avec le temps, on a trouvé un équilibre : il patientait la journée en sniffant mon slip de la veille ou mon tee-shirt, on baisait à mon retour et après le repas, même si ça arrivait encore que je lui fasse plusieurs perfs en journée, le week-end surtout. Et puis là Toni vient d'arriver, et il a de la ressource... " L'arrivée de leur chef sauva les gars d'une éjac involontaire : Jérémy sentait que ses couilles allaient péter et Daniel n'était pas mieux.
mike
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