Premier épisode | Épisode précédent
Le repas à 5 porta d'abord sur les études de Gabin et des fils de Daniel, mais comme Gabin ronchonnait, on passa au sujet des filles au moment du plat. Daniel expliquait qu'il avait eu bien du mal à leur faire terminer leurs études car ses fils n'avaient que les filles en tête. Toni put aisément en remettre une couche :
- On devrait les présenter à Gabin.
- Pffff, c'est bon !
- Ah, tu as toujours besoin de te dépenser au moins ?
- Mouais, c'est ce que pa' dit.
- Ben tu serais pas encore en terminale si tu ne pensais pas qu'aux poulettes.
- Ah j'ai connu ça : j'en ai retrouvé des culottes et des capotes dans la bagnole les lendemains de boîte !
- Mais Gabin a décidé d'être plus sérieux, vola au secours Miky.
- C'est vrai, c'est vrai, reconnut Toni, on va bien voir.
- Mes fistons se sont calmés maintenant, un taf et une copine, et Romain va même se marier bientôt.
Mais ce que Daniel ignorait, c'est que la future épouse était une incroyable nympho, toujours prête à ouvrir les cuisses et qui n'était jamais aussi heureuse que quand Romain la prenait par le cul tout en lui tringlant la chatte à trois doigts. Elle ne faisait qu'entretenir son obsession du cul. Quant à Rudy, le cadet d'un an, il avait deux copines : une officielle et bien gourmande à leur appart, et une autre au boulot, une simplette à gros seins qu'il baisait par tous les trous avec un collègue à la pause du midi.
- D'ailleurs j'espère qu'il vivra autrement le mariage... moi j'ai toujours la libido d'un jeune mais Lucette a celle de la retraite !
- C'est pour ça qu'il faut bien qu'on en profite avant d'être vieux, dit Gabin.
- On vient de te dire qu'on peut encore avoir de l'énergie après 40 ans, dit Jaco.
- Moi je suis comblé, dit malicieusement Miky en posant la main sur la cuisse épaisse de son homme.
- Moi aussi bébé.
" Tu m'étonnes " pensait Gabin, dont la bite se réveillait suite à certaines images... Le plat fini, les jumeaux se fumèrent une clope, les plus jeunes débarrassèrent. Ils allèrent ensuite au salon prendre le dessert. Gabin ne traîna pas : " faut que j'aille bosser ", dit-il en fixant Miky. Il fut applaudi par les trois mâles, et en partant il s'imagina Miky défoncé par eux, et n'en banda que plus.
Jaco avait fait asseoir Miky entre lui et son frère et Daniel dans le fauteuil en face. Après une petite liqueur, il chauffa son ptit en lui roulant une énorme pelle virile, et en lui titillant un téton. Puis Toni fit de même. Jaco alluma la télé, le son assez fort, et se joignit aux deux bouches ; les jumeaux caressaient Miky partout, sous son tee-shirt, qu'ils ôtèrent. Daniel sortit sa bite, bien droite, et la branla doucement en matant. Non seulement il savait qu'il allait bientôt retrouver ce cul de rêve, mais l'excitait aussi le spectacle de ces deux colosses velus, dont les bras puissants arpentaient le torse blanc, et les langues fouillaient et léchaient la bouche de Miky ; lui, gémissait, et palpait, les bras tendus et le désir croissant, les paquets devenus très raides. Les jumeaux étaient synchrones comme au temps où ils baisaient ensemble : ils abandonnèrent sa bouche et lui sucèrent les tétons, ce qui le fit crier de plaisir et se cambrer. Jaco en profita pour ouvrir son jean et le lui enlever. Miky bandait dur et mourait d'envie de se faire baiser. Les mains des jumeaux caressaient sa bite, sa raie et son trou tandis que les bouches lui aspiraient les lèvres ou les tétons.
Quand Jaco lui demanda à l'oreille s'il voulait bien montrer son cul à Daniel, Miky bougea aussitôt : il se tourna à 4 pattes sur le canapé, tendant sa croupe et vira son mini slip. Les deux grosses mains poilues écartèrent bien les deux petits globes et le trou rose et lisse apparut aux yeux émerveillés de Daniel, qui se leva, et vint illico s'agenouiller. Les jumeaux virent sa tête plonger directement entre les fesses, et Daniel bouffa le cul de Miky avec un appétit vieux de plusieurs mois : c'était bruyant ! mouillé, entrecoupé de grognements. Miky décolla, presque soumis déjà par la voracité de cette langue. Les mâles se levèrent et contournèrent le canapé ; ils sortirent leurs 22/7 et les donnèrent à Miky, qui les saisit à la base et lécha les glands qui suintaient avec autant de gourmandise que Daniel. Les jumeaux se caressaient les pecs, se suçaient la langue en soupirant, Miky suçait les deux dards brûlants, et Daniel, au paradis, suçait le trou bien ouvert de Miky, qu'il n'avait cessé d'écarter de ses grosses mains de maçon. Il était à point. En un éclair, Daniel vira ses chaussures, pantalon et slip, fléchit, planta son gland à moitié dans le trou, et prit Miky à la taille ; il s'enfonça alors lentement, au prix de mille efforts pour contenir son plaisir de se réenfoncer dans ce fourreau parfait. Miky, qui avait déjà beaucoup de plaisir à pomper les deux beaux gourdins, en ressentit encore plus, et son cul moulait à la perfection la bite de Daniel, au paradis des paradis - d'ailleurs, ça ne faisait pas 5mn qu'il limait qu'il s'interrompit, en répétant " merde ! merde ! pas déjà ! ".
Les jumeaux éclatèrent de rire, mais Daniel parvint à se contrôler, ressortit. Toni vint alors prendre sa place, Daniel vint se faire sucer et Jaco prit derrière lui un plaid qu'il installa sous Miky (l'expérience des taches !). Toni lui laissa la place, et 5mn après, ce fut à Daniel de réinvestir le cul cambré. Là encore, il ne fut pas long, et lâcha prise : il se mit à pistonner comme s'il ne pouvait plus rien pour contrôler ses coups de reins, et il se vida en grognant comme une bête et en tremblant de partir : chaque décharge le secouait comme le recul d'un fusil. Cela faisait sourire les jumeaux, et ils voyaient aussi le regard révulsé de plaisir de Miky se faisant remplir de jus. Daniel avait réduit la cadence, mais il s'exclama " putain, je débande pas avec un cul pareil ! " et il recommença à baiser Miky, plus longuement. Puis il laissa sa place comme auparavant, Toni, puis Jaco se suivirent entre les fesses demandeuses. Les trois bites qui défilèrent dans la jeune bouche gourmande étaient plus crémeuses... Quand Daniel reprit son tour dans le cul, il était décidé à lui " remettre une cartouche ", et il alla jusqu'au bout. Miky se branla, juta presque aussitôt ; comprimé, Daniel eut le temps de gueuler " putain ! ça va me décoller les couilles ! " et gicla sous les contractions de l'anneau de Miky, tout étourdi. C'est alors que Jaco jouit dans sa bouche et Miky, qui finissait d'avaler et avait un tiers de bite enfoncé reçut les giclées de Toni qui s'était fini à la main, partout sur le visage. Ils purent y lire l'extase de Miky, pour qui c'était absolument parfait : recevoir une grosse dose en bouche et en même temps se faire repeindre la face - tout en étant fécondé par le cul ! Il fallut longtemps à Daniel pour se remettre et débander vraiment : le temps pour les jumeaux de se faire nettoyer, de ramasser le jus avec glands et doigts pour le donner à Miky. Le collègue caressa longuement le dos et les reins de Miky et sortit sa queue ramollie avec douceur.
- Hmmm, Miky, mais que c'est bon ! quel cul de rêve !.... montre-moi ce que je t'ai mis.
Il écarta les fesses de ses deux mains et Miky baissa un peu le cul : un filet ininterrompa s'écoula, avec parfois de grosses coulées plus épaisses.
- Hmmm... ouais... tu m'as bien essoré, putain ! je suis haché !
- T'allais nous faire une crise cardiaque ou quoi ?, s'esclaffa Jaco.
- Ecoute-le, lui, qui peut en profiter tous les jours !... attends, je t'essuie...là, tout propre.
Daniel avait utilisé le plaid, Toni fit de même à l'autre bout, pour finir le visage.
Miky s'assit, et les jumeaux firent de même à ses côtés, l'embrassant. Daniel dans le fauteuil, rhabillé, remit ses chaussures. Jaco versa une dernière liqueur, que seul Toni accepta : " hé j'ai de la route, moi, dit Daniel, et j'entends déjà bobonne gueuler... ". Il était presque 23h, pas question de tarder davantage. Tout le monde se leva, Daniel roula un beau patin à Miky en le remerciant, et en lui disant à demain, " pour la bouche cette fois ! ", et il partit. Miky partit se doucher, et Toni, soudain, écrasa les lèvres de son frère avec les siennes. Jaco lui rendit virilement son baiser, le plaquant contre lui. Puis ils restèrent front à front un moment, avant que Toni dise :
- Putain, Jaco, je fais de ces trucs avec toi !
- Et t'aimes ?
- Putain oui !
- C'est bon de reniquer ensemble...
- Carrément.
Après un dernier baiser plus chaste, ils se rassirent dans le canapé pour finir leur verre devant la télé, puis rangèrent un peu et se mirent à la vaisselle. Ils constatèrent sans rien dire que non seulement ils avaient retrouvé leur complicité de baise, mais même là, en faisant la vaisselle, leur complicité de jumeaux, précédant les intentions de l'autre. Et ils sentaient l'amour qui les unissait, et Toni - car Jaco le savait déjà - aimait toujours plus Miky d'avoir recréé ce lien entre eux.
mike
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